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Les années passent

Chapitre 2

Lesbienne
Les années passent Chapitre 2
Marianne
Leyla accepte mes libertinages par amour comme par soumission ; chasseuse dans l’âme je ne peux me passer de ces moments. Je n’aime qu’elle, mais souvent, trop souvent, mes sens prennent le dessus. Lorsque nous décidâmes de vivre ensemble, je ne lui dissimulai rien de ma vraie nature dont elle connaissait déjà les contours ; je suis sûre que secrètement elle imagina que notre vie en couple me rendrait fidèle, pas fidèle en fait mais si amoureuse, si attachée que je me contenterais d’elle. Les efforts qu’elle déploya pour être une soumise « parfaite » furent touchants, au point d’aller au-devant de mes désirs et de mes perversités, s’appliquant à devenir plus endurante, rivalisant avec moi dans le vice. Je ne dirais pas que ses efforts furent vains car je le répète, je n’aime qu’elle, elle me comble au point que parfois j’ai de furtifs regrets de l’avoir tant punie.Je suis comme je suis et jamais elle ne discute mes décisions ni ne remet en cause ce pacte silencieux. Nous passons de longs moments toutes les deux y compris nos vacances mais lorsque l’occasion se présente, je la saisis ou je la provoque comme ce soir. Et à ce moment précis alors que j’étais encore pleine d’envies, j’échafaudais des scenarios encore imprécis sur le déroulement du reste de notre soirée. Allais-je l’autoriser à chausser les escarpins de maitresse pour Lola (un peu plus tard cependant, j’avais très envie de frustrer notre nouvelle soumise) ? Pousser Lola vers ses limites, pourquoi pas ? J’en étais là de mes pensées en me caressant lorsqu’elles me rejoignirent.La vision de Leyla, entrant annelée, déclencha une bouffée de désir irrésistible. Je ne pouvais détacher mon regard de ses lèvres allongées qui ballotaient au rythme de ses pas.-Viens Leyla, enlève ta culotte et viens. Toi Lola tu t’agenouilles à côté de nous et tu feras ce qu’on te demande, rien d’autre.-Oui MadameLeyla m’enjamba, je sentis son souffle sur ma chatte, moi, j’avais la sienne sous les yeux encore rougie et enflée du fouet. Ma bouche s’empara de sa vulve chaude et humide alors qu’elle en était encore à s’enivrer de mon parfum intime. Ce plaisir, il fallait qu’il dure ; je retirais chacun des anneaux, je ne voulais que ses chairs, ses muqueuses. Ses lèvres entre les miennes, je la suçais doucement, ma langue recueillait sa cyprine et parfois s’attardait sur son joli bouton dressé.-Tu chatte est si douce, si mouillée.-Elle coule pour toi Marianne, elle coule pour ma maitresse.-Tu aimes la chatte de ta maitresse.-Tu le sais, je l’adore et là son parfum est tellement fort ! Je la voudrais encore et encore.-Elle est pour toi, je l’ai préparée pour toi.Lola, immobile et muette nous observait. J’attendis le bon moment pour l’inviter. Je vis sa main posée sur son entrejambe et d’un mot lui interdis.-Tu ne te caresses pas ; viens derrière moi.Elle se déplaça et je lui tendis un doigt à lécher. -Maintenant écarte les fesses de LeylaCe doigt placé sur son petit trou le caressait, le pénétrait longuement. Il y avait longtemps que je l’avais convertie à ce plaisir et son anus élastique déjà dilaté ce soir palpitait. Il me suffisait de faire de légers mouvements circulaires pour déclencher des battements, son conduit se serrait puis se desserrait ; elle attendait plus. Deux de mes doigts pénétrèrent la bouche de Lola qui les enduisit de sa salive.Nouvelle pénétration. Sous ma langue je sentis son clito se gorger, j’allais et venais avec mes doigts.-Encore Marianne, encore…dilates-moi.Je présentai mes doigts que Lola engloutit, sa langue passa le long de chacun, et fit couler une salive abondante sur ma main.Le petit trou de Leyla s’ouvrit sous ma poussée. L’une et l’autre au bord de l’explosion, notre orgasme synchrone et bruyant fut sans fin. Apaisés mais pas encore repues nos corps emmêlés dans une douce extase, avaient repris un rythme lent.
Au bonheur de ce plaisir s’ajoutait celui plus subtil et pervers d’avoir maintenu Lola en témoin passif de nos ébats et je n’étais pas encore sûre d’avoir épuisé, ce soir, mon envie de plus. La pousser plus loin vers un orgasme qui lui serait refusé m’animait. -Il faut qu’on s’occupe un peu de Lola. Viens l’embrasser et la caresser.Leyla se déplia docilement et posa ses lèvres mouillées sur la bouche de Lola ; j’observai leur baiser fougueux avant de saisir les seins de Lola que je caressai. Ses tétons dressés roulaient entre mes doigts ; je passai une main entre ses cuisses pour enfin m’attarder sur le fin nylon de son entrejambe que je massai par petites touches. Je me réjouissais de le sentir humide et poisseux, sensation qui m’invitait à poursuivre. Elle détacha sa bouche de celle de Leyla.-Je peux enlever mon collant madame ?— Non, pas maintenant.Leyla qui avait saisi mon dessein s’allongea sur elle, bouche contre bouche, seins contre seins me laissant poursuivre le massage de sa chatte.
Le supplice dura longtemps, Leyla ne se ménageait pas, elle aussi, pour faire monter son excitation, lui léchant les seins, lui présentant sa chatte, ses fesses jusqu’à ce que je signale qu’il était tard et qu’il était temps de dormir.La frustration de Lola était visible sur son visage mais elle était incapable de le dire. Elle prit enfin la parole pour demander si elle devait rentrer chez elle.-Si tu veux mais tu peux si tu le souhaites dormir ici.-J’aimerais bien ; je dormirais avec vous ?-Non, nous avons un matelas pour toi. Un matelas à poser au pied de notre lit.-Je peux mettre un T-shirt pour la nuit.-Non plus, tu dormiras avec ton collant mais avant je vais te poser une ceinture de chasteté.-C’est quoi une ceinture de chasteté ? Pourquoi ?-Pour t’empêcher de te caresser et pourquoi, parce qu’une chienne ne se caresse que lorsque je lui en donne l’ordre. Leyla, baisse son collant.Je posais la ceinture sur sa chatte luisante de mouille et la refermais.-Si j’ai envie de faire pipi comment je fais ?-Il y a une fente qui te le permet. Je remontais ensuite son collant.-Tu trouveras une brosse à dents sur le lavabo d’invitées, tu sais où est la salle-de-bains. Leyla prépare son lit.Elle se coucha la première alors que nous étions encore dans la salle-de-bains.-Marianne, tu es contente que j’ai trouvé Lola ?-Oui beaucoup. Pourquoi me poses-tu cette question ?-Elle te plait beaucoup ?-Elle me plait en tant que soumise et je crois qu’on pourrait aller plus loin avec elle.Je la sentais un peu contrariée ; Leyla avait besoin d’être rassurée comme à chaque fois qu’une femme venait partager nos jeux.-Écoute Leyla, c’est toi que j’aime et personne d’autre, alors cesse de t’inquiéter.Elle m’entoura de ses bras, tendrement.-J’ai deux envies, je voudrais que tu marques mes fesses ce soir, j’aime tellement lorsque le matin tu me découvres et me caresses. -Tu en as vraiment envie ? Et quoi d’autre ?-Oui j’en ai vraiment envie et je veux le montrer à Lola.-Tu veux montrer combien tu es endurante ?-Oui et j’aimerais aussi que tu gardes ta culotte cette nuit.-Bien sûr ma soumise coquine. Toi aussi.Je partis au salon prendre la badine, lorsque je revins, Leyla avait retiré sa culotte et se tenait à quatre pattes sur le lit. Je m’assis au bord devant Lola.-Leyla viens d’abord sur mes genoux.Je débutais une longue fessée, d’une main puis de l’autre et c’est lorsque son postérieur fut rougi que je la fis agenouiller toujours devant Lola.Je comptais quarante coups, ses fesses striées étaient magnifiques !-Si tu as envie, je peux encore Marianne.Il fallut vingt coups de plus avant que j’entende ses gémissements.Elle se releva un peu pantelante, enfila sa culotte et se coucha, je la rejoignis et éteignis les lumières.-Tu as aimé me donner cette fessée ?-Tu le sais bien ma Leyla, j’adore voir tes fesses rougir.-Je peux te caresser ?J’ouvris ma culotte et sa petite main se fraya un passage. L’excitation provoquée par cette fessée était intense et ses doigts habiles prirent possession de mon vagin ; Lola ne pouvait qu’entendre nos bruits à commencer par ce léger clapotis que ma gorge commença à couvrir lorsque Leyla poussa sa main que j’engloutis. Elle me branla longtemps, j’arrivai à contrôler mon orgasme jusqu’à ce que son doigt caressât mon petit trou.-Attends Leyla , doucement, oui doucement.Je relevais mes cuisses.-Lola, viens me lécher, viens maintenant.Elle se leva, vint poser sa bouche sur mon anus, je sentis sa langue tourner, me pénétrer à peine. J’en étais à perdre la tête.-Vas-y Leyla, défonce-moi, fort, fort…La chatte dilatée, au rythme de sa main et de la langue de Lola je partis loin, très loin. Plus tard, je sentis la main de Leyla se retirer doucement.-Lola mérite bien de déguster la mouille de sa maitresse, et plus. Donne-lui ta main !Accoudée, je me régalais de voir Lola la lécher posément et méticuleusement. Elle me plaisait Lola, pleine d’abnégation, elle avait accepté ce presque mépris d’elle que je lui avais imposé, longuement, et puis je l’avais trouvée endurante pour une novice ; son goût avéré pour le plaisir anal ne pouvait, lui aussi, que me séduire. Perverse mais sans méchanceté, il était temps de lui donner de derniers plaisirs avant la vraie nuit.-Leyla, baisse son collant ; viens Lola, je vais ouvrir ta ceinture.Agenouillée sur le lit devant moi, j’ouvris le cadenas sous le regard de Leyla. Lorsque je retirai lentement la coque qui couvrait son intimité, sans surprise, de longs filets gluants la liait à sa chatte.-J’aime les chiennes qui coulent. Leyla lèche la coque !Je passais ma main sur sa chatte, ses lèvres comme ses muqueuses baignaient dans une mouille abondante ; comme chaque fois, cette sensation me donnait une envie furieuse de la dévorer. Rien de tout ceci n’avait échappé à Leyla qui, peut-être à regret, réalisa que le temps de la frustration avait expiré pour Lola.-Allonge-toi sur le côté.La première je plongeais mon visage dans son sexe et naturellement, Leyla se mit en triangle. Trop frustrée, trop excitée, trop mouillée, Lola voulut jouir presque instantanément.-Tu attends, tu dois faire jouir Leyla avant ! Ces mots éveillèrent la salope qui sommeillait en Leyla ; le déni d’orgasme faisait depuis longtemps partie des épreuves qu’elle subissait et elle excellait à se retenir jusqu’à ce que je lui en donne l’ordre. La langue de Lola, s’agitait avec un certain talent sur le clito de Leyla qui se dérobait, revenait, repartait. Mes doigts, eux, jouaient avec son petit trou, je la caressais, tournais autour de son bouton ferme et turgescent ; un manège qui cessait dès que je la sentais prête à jouir. Sa bouche se déchaînait entre les cuisses de Leyla sans succès.-Ca n’est pas agréable ce que tu me fais !Ingénue et vicieuse, Leyla tentait de prendre les rênes en attente de ma réaction ; la situation m’excitait.-Lola, arrête ! -C’est injuste, ça n’est pas de ma faute ! Elle se retient ! -Tu dis donc que Leyla te mens ?-Non, non, je ne dis pas ça.-Que dis-tu alors ?-Elle le fait exprès. Elle se retient de jouir pour m’humilier.-Leyla qu’as-tu à dire ?-Je me suis retenue au début mais après ce n’était simplement pas agréable.Si le jeu me plaisait, je décidais cependant d’y mettre un terme et, de manière injuste de donner tort à Leyla.-Lola m’a divinement bien léchée ce soir, c’est donc de ta faute. Elle a été suffisamment frustrée et humiliée et ce n’est pas à toi de décider. Surprise et vexée, mon volte-face la prit à contrepieds.-Tu vas pouvoir méditer sur ton gout de te retenir de jouir ! C’est toi qui porteras la ceinture de chasteté cette nuit.L’humiliation violente que je lui infligeais faisait partie de sa vie et, résignée elle vint ceinture à la main se faire enfermer.Accroupie au-dessus du visage de Lola, je repris mes caresses, ma bouche sur sa vulve, je relevais ses cuisses et passai ma langue de haut en bas sur ses orifices.-Doigte-lui le cul Leyla. Fais-le bien !A ce jeu, Lola ne résista pas longtemps, moi non plus, et nous eûmes un puissant orgasme.-Maintenant j’ai vraiment envie de dormir. Lola remet ton collant.Leyla vint se blottir contre moi sans un mot.
Réveillée la première, je me levai pour aller préparer du thé et absorber une première tasse. A mon retour, Lola éveillée s’étirait sur son lit de fortune. Leyla dormait encore profondément.-Tu as bien dormi ?-Oui, merci Marianne-Tu es contente de ta soirée ?-C’était très intense ; je crois que j’ai encore du chemin à parcourir.-C’est normal mais c’est bien pour une première fois.-Vraiment ? Merci.-Viens prendre un thé, on réveillera ensuite Leyla.Je la laissais marcher devant moi pour profiter de la vue de ses formes généreuses moulées dans mon collant. Je versais la boisson chaude dans une assiette creuse que je posais à terre et m’asseyais sur une chaise. Debout, interloquée elle eut des hésitations que je dissipais vite.-C’est pour toi ! Dépêche-toi de le boire.Agenouillée, elle lapa le thé bruyamment et leva vers moi un regard servile. De mon pied nu, je massai son entrejambe gainé.-Vas y frotte-toi !J’ouvris mon zip pour me caresser ; affalée dans la chaise je passais mes doigts dans ma vulve, les lui donnais à lécher, revenais tandis que son bassin allait et venait.-Baisse ton collant !La sensation de mon pied dans sa chatte chaude et baignée de cyprine était divine et apportait cette touche d’humiliation que me faisait chavirer. Le talon posé sur le sol, mes orteils la branlaient, la pénétraient. Les yeux clos, ses tétons entre ses doigts, Lola se trémoussait sur mon pied n’osant demander plus. Elle voulut se caresser ce que je lui interdis. -Si tu veux jouir, c’est comme ça et pas avec tes doigts. Tourne-toi je te pénétrerai mieux.J’avais maintenant ses fesses rondes et musclées sous les yeux ; la maladresse de mes orteils n’entamait pas son désir et sa vulve se frottait, s’enfonçait jusqu’à ce que je la sente au bord de jouir.-Garde ton envie, on va voir si Leyla est réveillée.Le souvenir de la longue frustration de la nuit dernière ne pouvait que la hanter ; lorsque je lui demandais de remonter son collant elle n’eut plus à avoir de doute.Grosse dormeuse, Leyla allongée sur le côté était toujours dans un profond sommeil ; la couette soulevée, j’étirai délicatement sa culotte que je coinçais dans sa raie pour découvrir ses fesses encore zébrées, une vision qui me ravissait toujours. Son sommeil lui était précieux et je décidais de la laisser dormir à moitié. Penchée sur son oreille je lui murmurais de se laisser faire et se rendormir. Elle se retourna paresseusement, les yeux clos tandis que j’ouvrais sa ceinture pour la libérer et que je retirais sa culotte ; elle se laissa faire par petits mouvements et reprit sa position fœtale. Je ne pus m’empêcher de lui caresser les fesses d’un geste tendre et possessif en faisant courir mes doigts sur les marques encore rouges et boursoufflées. Elle tressaillit à peine.-Allonge-toi sur le lit Lola, tu vas commencer ma toilette intime.Accroupie au-dessus de son visage, j’écartais mes globes et collais mon petit trou sur ses lèvres dans l’attente de cette caresse dont je ne pouvais me passer. Sa chatte sous mes yeux, je ne résistais pas à masser ses lèvres humides dessinées par le collant moulé. Je faisais tourner mes doigts simulant parfois une pénétration à travers le tissu élastique. Leyla s’éveilla et les yeux encore endormis contempla un instant la scène. Elle leva son regard vers moi.-Le matin c’est moi qui embrasse ta chatte la première.-Mais oui viens, j’ai envie de sentir vos deux bouches.Comme toujours Leyla resta un long moment son visage contre ma chatte ; je sentais son souffle chaud. Je m’étais mise à quatre pattes pour offrir mes orifices. Lola animée par le plaisir de satisfaire sa maitresse enfonça ses doigts dans mon anus.-C’est bien Lola, c’est bon.A ses mots, la bouche de Leyla s’empara de ma chatte ; je n’avais pas envie de me retenir, je jouis longuement sous leurs caresses.Immobiles, moi à reprendre mes esprits, Leyla encore toute à son plaisir d’avoir possédé ma vulve tandis que Lola était toujours en attente. Je me doutais qu’elle était partagée entre l’envie de demander et celle de se taire trop certaine de ce que ses mots déclencheraient. La tête posée sur le ventre de Leyla, je retirais sa culotte et la ceinture. Sa jolie chatte portait encore quelques stigmates des épreuves de la veille et dégageait un parfum puissant de femelle. A ce moment précis j’avais surtout envie de prendre un petit déjeuner ; je caressais également celle de pousser Lola plus loin dans mes jeux.-Leyla va donc préparer un petit déjeuner pour nous et pour notre chienne , elle te rejoindra dans un instant. Je regardais ses fesses zébrées s’éloigner avant de me tourner vers Lola.-Tu peux enlever ton collant ; j’ai très envie de te travailler la chatte.Elle s’exécuta et debout devant moi tête baissée ne dit mot.-Donne-moi la pompe pour ton clito et viens t’allonger.J’aspirai jusqu’au dernier souffle d’air, posai un collier autour de son coup et, en laisse l’emmenai vers la cuisine.Leyla qui nous attendait eut un léger sourire de satisfaction en nous voyant arriver. Je versais du thé dans l’assiette creuse qu’elle avait utilisée et, après l’avoir coupé en morceaux déposais un toast dans l’écuelle que Leyla avait posé sur le sol. A genoux entre nous deux elle lapa le breuvage et dut manger sans ses mains.-Tu comprends qu’une chienne prend ses repas ainsi !-Oui Madame, c’est normal, je suis votre chienne.Je préparais un autre toast qu’une fois découpé je plaçais dans ma chatte et celle de Leyla ; nous aimions l’une comme l’autre les jeux de nourriture. Docilement elle vint les saisir avec sa bouche.-Veille à ne laisser aucune miette !Comme elle s’appliquait notre Lola à passer le temps nécessaire pour que nos vulves soient propres. Lorsqu’elle releva la tête, sa tâche accomplie, je ne pus que caresser son visage dont l’expression d’abandon et de soumission était la promesse de bons moments à venir.-Leyla, libère son clito !Trop heureuse à l’idée de ce qui allait suivre, elle retira la cup. Le bouton enflé, rouge sang pointait entre ses lèvres.-Retournons dans la chambre.Elle nous suivit au bout de sa laisse et, sans instructions, se tint debout mains sur la tête. -Tu te souviens des étirements de Leyla ?Muette Lola s’agenouilla devant moi.-Pas ça Madame, je ne pourrais pas.-Viens, on va le faire ensemble.Leyla, mon adorable éducatrice allait lui montrer l’exemple ; elle aimait exhiber son endurance et amener nos compagnes à se dépasser. Elle prit trois paires de pinces, lia avec leurs deux chattes et comme une offrande me tendit la trousse qui contenait les poids. Lola s’était laissée faire jusque-là.-Pas les poids Madame, s’il-vous-plait pas les poids !-Très bien mais alors soit prête à être punie. Leyla retire les pinces, toi Lola allongée !Je posais méticuleusement des pinces à linges sur ses lèvres grandes et petites et deux sur son clito ; un gémissement continu s’échappa de sa gorge.-Je ne veux pas t’entendre !Lola se mordis les lèvres. Ma badine en mains, je la fis aller et venir sur le « buisson » de pinces longuement.-Maintenant répète après moi « je dois obéir à ma maitresse »Sa voix étranglée, Lola répéta.Le ballet de la badine reprit.-On recommence, je t’écoute !Après cinq fois, Leyla la libéra, se tourna vers moi.-Elle est très mouillée !En sueur, essoufflée par l’effort Lola était vaincue.-Est-ce que tu méritais cette punition ?J’entendis « oui » dans un hoquet.-C’est bien, Leyla va s’occuper de toi. Il est temps de te dilater la chatte.Habituée à ces séances, Leyla avait la douceur et la patience pour arriver à ses fins. Ses doigts la pénétrèrent lentement les uns après les autres. Je les observais. Elle la branla longuement avec quatre ses doigts jusqu’à ce qu’enfin son pouce pénétrât.-Tu vas y arriver Leyla, continue.-Je vais y arriver, elle coule beaucoup.Son petit poing entra enfin et Lola devint comme possédée. La séance prit fin pour elle sur un sublime orgasme.
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