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Les aventures d’Aldvin le Barde

Chapitre 6

La vengeance d’Aldvin

Travesti / Trans
Chapitre 6 : La vengeance d’AldvinAldvin raconte :Fort heureusement, le caractère chaotique de mon nouveau Dieu avait fait en sorte que j’ai des vêtements de femme elfe en adéquation avec mon genre apparent. Cela dit, j’avais plutôt l’apparence d’une voleuse comme Sourisse. Je traversai la ville pour aller vers notre maison. En ville, je passai devant une échoppe où il y avait un miroir. Je m’arrêtai pour m’observer : j’étais une jolie femme elfe, le Dieu ne s’était pas moqué de moi de ce point de vue... Le commerçant m’interpella et s’adressa à moi en langue elfique, je lui répondis du tac au tac dans la même langue d’une belle voix de femme elfe. Apparemment, je parlais aussi maintenant couramment la langue, bien mieux qu’Aldvin, homme humain ne le faisait. Je profitai de mon passage en ville pour manger un morceau.
En sortant de la ville, je me dirigeai vers le bois où Mégane m’avait initié à la magie. Tout en marchant, j’avais échafaudé une stratégie de « premier contact ». Je me rendis donc à la clairière et psalmodiais le chant pour créer la cabane où nous aimions bien nous retrouver. J’avais acquis cette compétence magique il y a quelque temps déjà. Les herbes montèrent pour créer la cabane. Le fait de changer de corps n’avait pas altéré mes pouvoirs magiques.
Nous étions en début d’après-midi. Je m’allongeai un peu et tombai en demi-sommeil. La voix de Mégane me tira de mon sommeil. Elle était encore à l’extérieur et ne m’avait pas vue.
— Qu... Quoi... Comment est-ce possible ? s’exclama-t-elle en voyant la cabane.
Puis entrant dans la cabane et me voyant :
— Qui êtes-vous ? Que faites-vous là ?— ... C’est moi, Mégane ! dis-je bêtement.— Qui moi ?— Aldvin !— Comment osez-vous ? Et moi je suis le roi Barduk ?— C’est difficile à croire, mais je suis bien Aldvin...— Arrêtez de vous foutre de moi.— Mégane, je peux te conter tout un tas de choses que seuls Advin et toi connaissez.— Bien sûr, vous êtes peut-être une agente des prêtres du Dieu de la Mort et vous l’avez fait parler.— Non, je suis Aldvin et je suis mort et ressuscité. J’ai refusé de me convertir et ils m’ont tué.— Ah... — Garmil est un prêtre du Dieu de la Mort et n’a pas hésité à participer à mon sacrifice.— Nous savons qui il est depuis que nous t’avons déposé devant la porte du temple.
— Tu me crois ?— Oui, enfin je ne sais pas... c’est tellement étrange.— Laisse-moi te raconter.
Je commençai par lui prouver qui j’étais réellement en évoquant nombre de détails et situations que nous seuls connaissions puis je lui racontai mon réveil au temple, ma mort, l’entrevue avec le Dieu et mon retour.
— Oh Aldvin, c’est tellement bon de te revoir !
Elle me prit dans ses bras et nous nous enlaçâmes, bouche contre bouche, seins contre seins. C’était si bon de la serrer dans mes bras. Au lieu de l’érection que je ressentais jusqu’ici, je sentis mon sexe de femme s’humidifier...Mégane me parla au coin de l’oreille :
— On continuera plus tard... Nous avons plus urgent à traiter : Garmil devrait revenir d’ici une heure. Rentrons vite mettre le reste du groupe au courant.
%%%%%%Sourisse raconte :Andgaar, Léodegran et moi étions dans la cour de la maison. Léodegran fendait du bois pour la cheminée et Andgaar et moi nous affairions à ranger la cour. Mégane apparut soudain venant du bois en compagnie d’une femme elfe, ma foi fort jolie, dont j’aurais bien fait mon quatre heures...Mégane s’adressa à nous d’emblée.
— Briefing immédiat dans la salle commune, urgence absolue. Les questions après.
Nous interrompîmes nos activités pour nous retrouver tous en salle commune. Mégane prit la parole :
— Chers camarades, je vous présente une vielle connaissance et surtout membre des challengers du péril : Aldvin.— Aldvin ? répondîmes nous trois en chœur.— Comment est-ce possible ? ajoutai-je.
La femme elfe nous raconta qui elle était, donnant des détails que nous seuls pouvaient connaître sur la personne qu’elle prétendait être. Elle évoqua ce qu’elle avait vu lors du combat contre le basilic et immédiatement après. Elle nous conta aussi son sacrifice au temple du Dieu de la Mort et nous confirma que Garmil était bien le salaud que nous avions identifié. Il expliqua le changement de corps dû à sa résurrection.*Après ce récit, Andgaar prit la parole :
— Nous te croyons, Aldvin, n’est-ce pas camarades ?
Nous acquiesçâmes.
— Aldvin, comment doit-on t’appeler maintenant que tu as un corps de femme elfe ?— Je ne sais pas, je n’y ai pas réfléchi... peut-être Aldvine tout simplement ?— D’accord, va pour Aldvine.
J’étais admirative de son histoire et la façon dont il·elle s’en était sortie. En plus quelle belle femme il était devenu !Sous l’égide d’Andgaar, nous décidâmes d’une stratégie à adopter lors de l’arrivée de Garmil, qui n’allait pas tarder à être là.Quelques minutes plus tard, Garmil entra dans la maison et nous annonça :
— Aldvin est décédé de ses blessures... Nous n’avons pas réussi à le sauver.
Mégane fit semblant de se mettre à pleurer.
— C’est bien triste et une très grande perte. Au-delà d’être un camarade de combat des challengers du péril, c’était un très bon ami, dit Léodegran.— Pouvons-nous voir le corps ? demandai-je, nous souhaiterions lui faire des funérailles dignes de ce nom pour honorer sa mémoire.— Nous avons incinéré le corps, répondit Garmil.— Ah bon, dit Andgaar ? Et de quel droit ?
Sur ces paroles, Mégane lança un sort de paralysie. Garmil pouvait néanmoins encore s’exprimer.En application de notre plan, Aldvine ne s’était pas elle encore exprimée. Garmil protesta :
— Mais que faites-vous, vous êtes fous !— Garmil, dis-je, nous savons que tu as tué Aldvin en le sacrifiant et que tu travailles pour le Dieu de la Mort.— Et alors ?— C’est tout ce que cela te fait ? dit Léodegran. Tu mérites la mort.— Et qui est cette personne d’espèce inférieure ? Que fait-elle là ? éructa Garmil.— Tu le sauras bien assez tôt, sale vermine... dit Aldvine.
Andgaar prit alors un ton solennel :
— Garmil, en application du code de conduite des soldats de fortune, tu es coupable des trois chefs d’accusation suivants : dissimulation d’obédience dans le but de tromper ton unité, corruption d’esprit sur personnage mineur et assassinat délibéré d’un camarade. La sentence pour de tels actes est la mort. As-tu quelque chose à dire pour ta défense ?— Allez vous faire foutre, vous n’êtes que des faibles et des dégénérés et pour certains d’entre vous apparentés à des sous-races ignobles.— Léodegran, Mégane, Sourisse, confirmez-vous la sentence ? demanda Andgaar.— Nous la confirmons, répondîmes nous en chœur.— La sentence est exécutoire, et ce de façon immédiate, dit Andgaar.— Je réclame le droit d’exécuter la sentence ! dit Aldvine.
Nous acquiesçâmes. Garmil demanda :
— Mais qui es-tu ?— Je suis Aldvine, je suis ressuscitée après que tu aies tué Aldvin que j’étais...
Mégane coupa alors la parole de Garmil par un sort et il ne put plus dire un seul mot. Aldvine proposa que nous allions dans la forêt pour l’exécution, elle ne voulait pas que nous salissions la maison, la cour ou le jardin avec le sang de ce traître...Une fois en forêt, Garmil fut à genoux, Aldvine sortit une dague et alors qu’elle lui tranchait la gorge, elle dit :
— Va en enfer... et restes-y à jamais !
C’est ainsi que fut vengée la mort d’Aldvin. Restait à Aldvine de vivre sa nouvelle vie.(à suivre)
— dans la partie de jeu de rôle, il n’y avait pas d’histoire d’amour au sein du groupe (ni de femme magicienne), je fis le choix que mon personnage devenu femme elfe retrouve le groupe dans une taverne et fasse une entrée tonitruante :— Qu’avez-vous fait de mon amant ? (évocation bien sûr de mon ancienne existence d’homme)
Tous furent étonnés que leur ancien compagnon ait eu une maîtresse... Et de fil en aiguille, je leur expliquai qui j’étais réellement... Le prêtre mauvais loyal fut exécuté avant mon retour.
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