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Les aventures d’Aldvin le Barde

Chapitre 9

Divers
Chapitre 9 : La quête du MiroirMégane raconte :Cela fait cinq ans qu’Aldvin était devenu Aldvine. L’agence tout risque s’était considérablement enrichi pendant cette période, et nous avions tous envie de passer à autre chose. De toute manière, notre marché local d’opérations de soldats de fortune allait finir par s’effondrer : nous avions quasiment éradiqué les orcs et les gobelins de la contrée, les prêtres du Dieu de la Mort se tenaient à carreau et ne progressaient pas dans les sympathies de la population humaine... Bref, cela devenait de plus en plus calme.Aldvine avait des moments passagers où elle n’allait pas bien, visiblement, elle déprimait. Aussi un matin, alors que nous prenions notre petit-déjeuner, j’ouvris la conversation :
— Aldvine, et si nous partions en quête du miroir des gnomes ?— Cela fait longtemps que j’y pense, peut-être même tous les jours, me dit-elle.— Si vous partez, je viens avec vous, dit Sourisse, ce serait trop dangereux que vous partiez seules toutes les deux.— Les filles, je pense que nous pouvons dissoudre l’agence, dit Andgaar. J’aspire à un peu de repos et je pense que Léodegran sera d’accord avec moi.— Oui, dit Léodegran, je pense même me caser, il y a une jeune commerçante veuve avec laquelle je crois avoir un ticket...— On me propose de l’avancement au sein de mon temple, dit Wilky, si j’accepte, j’y passerai plus de temps.— Les filles, vous pouvez partir en quête, avec notre bénédiction et notre amitié, dit Andgaar. Cela dit, si vous avez besoin d’un coup de main, nous serons toujours là, n’est-ce pas les gars ?— Oui, dirent Léodegran et Wilky en chœur.
Andgaar reprit, toujours dans son rôle habituel de stratège et d’organisateur :
— Je suggère la procédure suivante au cas où vous avez besoin de nous : tu te téléportes à la maison et on revient avec toi retrouver les autres. Ou vous revenez toutes les trois s’il y a trop de danger.— Merci Andgaar, merci les garçons, dit Aldvine, je ne dis pas que nous n’aurons pas besoin de vous ici où là, nous n’avons aucune idée de l’endroit où se trouve ce miroir.— Que la quête commence ! dit Sourisse. Bon on fait quoi maintenant ?— Je pense qu’il nous a d’abord consulté les archives de ma guilde, dit Mégane.
%%%%%%Sourisse raconte :Mégane demanda l’autorisation aux archimages d’accéder au fonds documentaire qu’ils avaient évoqué lors de notre entretien (voir chapitre 7). Ils acceptèrent de très bonnes grâces, s’étonnant même que nous ayons attendu autant de temps pour le faire... Aldvine était galvanisée par la quête. C’était un bonheur pour tous dans le groupe.
Mégane alla seule consulter les archives, les archimages avaient fait une exception pour elle, car son niveau de magie était en principe insuffisant pour qu’elle ait le droit de consulter de tels documents. Sa recherche dura plusieurs jours, le temps d’identifier quels documents étaient les bons... Malgré leur magie, les archimages n’avaient pas trouvé un système fiable et rapide pour explorer les grandes masses de données dont il disposait. Il y avait certes un mage, Kwant, qui travaillait sur un concept qu’il appelait « moteur de recherche », mais ses travaux ne semblaient pas près d’aboutir...
Après de nombreuses heures passées dans les archives du plus haut niveau local d’archimages, elle finit par trouver le document évoquant les gnomes de Bretagne. Selon le texte, il existait un portail situé dans le royaume voisin de Sylvestrie, plus précisément dans la plaine de Rigomer, et qui permettait de changer de monde. La Bretagne était apparemment dans ce monde. Les archives parlaient aussi de la forêt où vivaient ces gnomes et l’identifiaient sous le nom de forêt de Brocéliande. Le portail marchait dans les deux sens et permettait de revenir à Rigomer. Ces informations dataient de plusieurs siècles et aucun ajout récent ne permettait de confirmer leur validité.
Le soir de la découverte de ces informations, Mégane nous raconta tout cela. Andgaar nous sortit diverses cartes de notre royaume et du royaume voisin.
— Selon ces cartes, dit-il, la région de Rigomer se trouve à près de mille lieues d’ici. Il vous faudra passer les frontières du royaume par les montagnes pourpres, traverser le lac de Skip puis les collines de Galgal avant d’arriver dans la plaine de Rigomer.— Un beau périple en perspective... dit Aldvine.— Il y aura assez peu de villes sur le parcours, et ces contrées sont probablement sauvages et dangereuses, surtout les montagnes pourpres et les collines de Galgal... dit Léodegran.— La chance que vous avez, c’est que votre itinéraire passe par la contrée où se trouve le donjon du basilic. Vous gagnerez cent lieues en vous téléportant là-bas.— Bien, dis-je, nous partirons avec de l’équipement pour plusieurs mois, avec des chevaux.— On part demain ? demanda Mégane.— Ben oui, pourquoi pas ? répondit Aldvine.
Ce soir-là, nous fîmes l’amour toutes les trois, avec une intensité inégalée jusqu’ici. Ce ne fut que baisers, caresses, léchage de chattes et d’anus. Alors qu’Aldvine s’équipait de l’olisbos-ceinture pour pénétrer Mégane, je lui dis doucement au creux de l’oreille que j’aimerais bien qu’elle me prenne avec... Ma chatte d’hermaphrodite n’avait pas reçu de pénétration depuis mon viol vingt ans auparavant... Aldvine introduisit son sexe factice dans la chatte bien humide de Mégane. Celle-ci était en levrette et son corps ondulait au rythme des va-et-vient. Elles étaient si belles toutes les deux... Aldvine avait des petits seins bien fermes, classiques des femmes elfes. Après que Mégane avait joui, Aldvine vint vers moi :
— Tu veux vraiment, Sourisse ?— Oui, Aldvine, j’aimerais voir si tout n’est pas trop rouillé...
Je l’embrassai puis me mis dos sur la couche pour recevoir la pénétration. Je bandais et Aldvine n’eut pas de mal à trouver l’entrée de ma chatte juste sous mon pénis. J’étais certes bien lubrifiée par mon excitation, mais je profitai aussi des sécrétions que Mégane avait laissées sur l’olisbos. C’était un peu une nouvelle défloration pour moi, mais dans un cadre si doux et si amoureux ! Aldvine y alla très doucement, promena d’abord le bout de l’olisbos sur mes lèvres avant de commencer doucement sa pénétration. Elle me demanda si ça allait et si elle devait poursuivre plus avant. Je lui répondis :
— Vas-y, c’est trop bon, continue.
Mégane vint se mettre à califourchon sur moi pendant qu’Aldvine était en moi. Elles s’embrassèrent et se caressèrent les seins pendant que Mégane piquait sa chatte contre ma bouche et que je me délectai de la lécher.Je finis par jouir de la chatte. Mégane jouit elle aussi.Après quelques minutes, Aldvine me demanda de la pénétrer en levrette avec mon sexe masculin, d’abord par la chatte puis par le cul. Elle avait la chatte et le cul de Mégane, elle aussi en levrette, devant sa bouche. Elle jouit elle aussi à son tour et Mégane eut un nouvel orgasme. Nous passâmes le reste de la nuit à dormir toutes les trois, enlacées...Nous passâmes la matinée à nous préparer. A midi, les chevaux étaient prêts et nous aussi. Mégane lança le sort de téléportation.(à suivre)
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