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Les aventures d’Aldvin le Barde

Chapitre 10

SM / Fétichisme
Chapitre 10 : Gal-DûrAldvine raconte :Cela fut difficile pour moi de me retrouver téléportée près du donjon dans lequel j’avais été si gravement blessé. Nous ne nous attardâmes point. La contrée était peu peuplée et nous installâmes un bivouac pour la nuit, ce que nous fîmes pendant six jours avant d’arriver devant la ville de Gal-Dûr, au pied des montagnes pourpres.
Il s’agissait bien de la ville d’où vient le mot galduri qui désigne une pénétration sexuelle par le trou normalement fait pour évacuer nos excréments... La population de Gal-Dûr était essentiellement composée de nains, qui sont traditionnellement de très bons mineurs. Les montagnes pourpres regorgeaient de minerais précieux divers et les nains s’y étaient naturellement installés.
La ville était pleine d’échoppes licencieuses, qui proposaient ouvertement toutes sortes d’olisbos, du joli linge à porter à même le corps avec de la dentelle, des voilages transparents et autres fioritures. Nous nous attardâmes dans une de ces boutiques pour faire quelques emplettes. Et j’avoue que je trouvais mes comparses particulièrement attirantes avec ces effets. Nous trouvâmes une auberge qui avait une chambre libre pour trois personnes et fûmes heureuses d’avoir un meilleur confort pour une nuit, sachant que nous allions attaquer le lendemain le franchissement des montagnes pourpres.
L’aubergiste était un nain, sa femme l’était aussi. Il n’était pas spécialement sympathique avec nous, sans doute le fait que je sois elfe n’arrangeait rien. Les nains et les elfes ont été longtemps ennemis et cela a occasionné des guerres dans le passé. Aujourd’hui, le royaume est pacifié, mais les rancœurs perdurent. J’avoue que mon appartenance à la race elfe n’étant pas de mon fait, je me fichais un peu de ces considérations politiques.
Nous fîmes un bon repas dans cette auberge, mais curieusement, le vin me laissa un goût étrange à la fin du dîner...Je me réveillai avec un mal de tête carabiné. Je ne pouvais pas bouger, j’étais attachée (ah non, pas encore les prêtres du Dieu de la Mort, pensai-je) et bâillonnée, les jambes écartées. Pire, je sentais mes orifices, ma chatte et cul, remplis par des objets. Je tournais la tête, jusqu’ici orientée vers le plafond, pour apercevoir mes camarades, elles aussi entravées et bâillonnées comme moi. Elles étaient vêtues de ces dessous aguichants que nous avions achetés la veille. Je ne saurais dire si leurs orifices étaient remplis comme les miens, mais cela devait probablement être le cas...
Nous étions visiblement dans notre chambre. Nous étions tombés sur un couple d’aubergistes pervers... Qui sait comment était la population dans cette ville à la réputation sulfureuse ? En tout cas, pas de magie possible pour Mégane avec le bâillon dans la bouche. J’essayais de bouger un peu, mais cela ne changea rien. Nous étions maintenant toutes trois réveillées et essayons toutes de nous désentraver sans succès. C’est alors que les olisbos en moi se mirent à bouger... Je n’avais pas vu dans la pénombre qu’ils se prolongeaient par des tiges qui actionnaient leurs mouvements. J’entendais mes camarades gémir, elles étaient soumises à la même torture.
J’étais étonnée que Sourisse, en bonne maîtresse assassine, n’arrive pas à se libérer... Il était bien connu que les nains sont des experts en matière d’entrave, de bondage devrais-je dire... Nous étions condamnées à prendre notre mal en patience en attendant de trouver une opportunité de nous libérer... Autant arrêter de lutter pour l’instant, je décidai de prendre cela positivement et de me laisser porter par le plaisir. Au bout d’un temps indéfini, mais qui fut long à me faire ramoner la chatte et le cul, je finis par jouir intensément et ne pus trop crier étant bâillonnée, mais les gémissements étaient là, comme chez mes voisines d’ailleurs...
Quand nous eûmes joui toutes les trois, les machines s’arrêtèrent et la porte de la chambre s’ouvrit. L’aubergiste et sa femme entrèrent, accompagnés d’une autre naine, plus jeune.
L’aubergiste vint vers moi et me défit mon bâillon. Il présenta son sexe devant ma bouche et me força à l’engloutir. Je ne voyais pas ce qui se passait pour mes camarades, mais elles dirent que Sourisse avait eu droit à lécher la chatte poilue de la femme naine et que Mégane avait reçu en bouche la bite du jeune nain. J’entendis soudain Mégane prononcer un sort d’immobilisation. Nos violeurs s’arrêtèrent immédiatement. J’avais encore la bite de l’aubergiste dans la bouche et dus me contorsionner pour me libérer de sa présence. Mégane avait su profiter d’un court instant de retrait du sexe du jeune nain pour lancer ce sort libérateur. Il fallait nous désentraver et la magie de Mégane aida Sourisse à se libérer. Puis elle vint nous détacher. Je pus m’extraire de ma couche après avoir libéré mes deux orifices...
— Ça va les filles, demanda Mégane ?— Oui, dit Sourisse, heureusement que j’ai grandi depuis mon premier viol... J’ai presque pris du plaisir... Ça ira, ce n’était pas si dur que cela.— Moi aussi, j’ai pris du plaisir, dis-je.— Cela s’est entendu malgré le bâillon... Moi aussi j’ai aimé une partie...— Voilà une aventure que nous ne raconterons pas aux garçons !— Effectivement, il vaut mieux...
Nous observâmes la pièce. Des tringles en bois sortaient du mur avec à leur extrémité les olisbos. Nous n’avions pas la veille prêté attention à ces petites trappes dans les murs que nous avions pris pour de la marqueterie ornementale...
Nous bâillonnâmes et entravâmes à leur tour l’aubergiste, sa femme et le jeune nain sur nos couches, leur pénétrâmes les orifices avec les olisbos (chatte et cul pour la femme et que cul pour les hommes) et allâmes voir dans la pièce à côté d’où venaient les tringles. Une sorte de machine les actionnait. Sourisse l’observa puis trouva un levier qu’elle activa. Nos galduriens étaient maintenant galdurisés par leurs propres systèmes...
Nous revînmes à la chambre, nous nous rhabillâmes, prîmes nos affaires et quittâmes la ville. L’aube se levait et nous souhaitions nous éloigner le plus vite possible de ce lieu pervers très paradoxal (j’avais quand même bien joui...). Ou alors étions-nous nous-mêmes perverses ?
La ville était bien derrière nous et elle disparut de notre vision arrière après le passage d’un premier col vers midi. Nous décidâmes d’éviter le plus possible les nains et d’être les plus discrètes possible. Mégane fit un sort d’illusion qui nous donna l’apparence de naines en voyage. Nous pûmes ainsi rester sur la route jusqu’à l’arrivée aux mines qui se trouvaient plus haut à environ une journée de la ville. Selon les cartes d’Andgaar, les mines offraient une possibilité de traverser une partie des montagnes pourpres et de percer ainsi dans la vallée suivante, évitant le passage de cols hauts en altitude et actuellement enneigés.
Mégane nous assura que son sort d’illusion durerait jusqu’à la nuit. Nous entrâmes et payâmes le dû pour avoir le droit de traverser (ah, ces nains, tout est payant avec eux). On me remit un plan des mines avec notre droit de passage. Les couloirs que nous empruntâmes étaient larges et nous croisâmes de nombreux nains, des mineurs principalement, mais aussi des commerçants. Une auberge se trouvait à une heure de marche (nous avions pu entrer les chevaux, mais devions marcher à leur côté en les tenant par le licol). Nous y allâmes et pûmes avoir une chambre pour trois.
Sourisse inspecta nourriture et boissons pour voir si aucune drogue ne s’y trouvait, être prises une fois (c’est le cas de le dire...) suffisait. De même, nous protégeâmes la chambre avec les arts combinés de Sourisse et Mégane. La nuit fut bonne et réparatrice. Je ne saurais dire si je fis des rêves lubriques.Nous sortîmes des mines en fin d’après-midi. Nous étions dans une grande vallée qui descendait vers le royaume voisin, dont la frontière était une rivière qui se jetait ensuite dans le lac de Skip. Nous bivouaquâmes en montagne cette nuit-là. Je fis un sort de réchauffement climatique local (à l’échelle d’une clairière, rassurez-vous) pour que nous n’ayons pas froid pour la nuit.La descente de la vallée dura encore trois jours, tout se passa très bien.(à suivre)
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