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Les aventures d’Aldvin le Barde

Chapitre 16

la vie avec le miroir

Avec plusieurs femmes
Aldvin·e raconte :Le miroir fonctionnait bien quand nous étions dans la forêt située près de la maison, là où Mégane m’avait initié à la magie après que j’avais rejoint le groupe. Nous y construisîmes une vraie maison dans la clairière qui était aussi celle de nos premiers ébats.
Le fait pour Mégane, Sourisse et moi d’avoir eu à abandonner chacune nos premiers enfants aux korrigans ne nous avait effectivement pas traumatisées, les korrigans avaient été très efficaces dans leur sort de gestion du traumatisme. Cela dit, nous décidâmes d’un commun accord entre nous trois de remettre le couvert. Je serais le père des enfants que Sourisse et Mégane porteraient, mais étant mâle humain et non elfe comme la fois précédente puisque le miroir me permettait de redevenir humain. La variante concerna l’enfant que je devais porter en tant que femme elfe, puisque Mégane devait essayer le miroir pour se transformer en mâle et me proposa d’être le père de l’enfant que je devais porter.
Nous fîmes l’amour toute la journée dans notre grande nouvelle maison dans la forêt... Ce fut un grand moment de luxure amoureuse. Nous décidâmes de commencer par mon rôle de géniteur et je me transformai en Aldvin pour le plus grand bonheur de Sourisse et Mégane. Elles avaient revêtu leurs dessous achetés chez les nains à Gal-Dûr (cf. chapitre 10) pour me rendre encore plus fou d’elles. Cela dit, je n’étais pas sûr d’en avoir besoin, mais le fait est qu’elles ainsi très belles toutes les deux. Je décidai moi aussi de revêtir mes dessous galduriens, bien qu’étant homme. Mégane et Sourisse me félicitèrent de voir mon sexe bien bandé entouré de belle lingerie. Il est cependant notable de signaler que Sourisse était dans le même état, son sexe mâle d’hermaphrodite se dressait fièrement au-dessus de sa chatte dont je devinais qu’elle était déjà bien humide.
Je m’approchai d’elle pour l’enlacer et l’embrasser. Mégane s’était assise dans un fauteuil pour sa part et nous observait en caressant sa chatte. Sourisse et moi ne tardèrent pas à nous allonger sur le divan pour un 69 en guise de préliminaire et je pus ainsi faire alterner ma langue entre sa bite et sa chatte, prenant la première en bouche de temps en temps. Quand je sentis la chatte de Sourisse vraiment prête à recevoir mon membre, je lui proposai de passer au plat principal et de la pénétrer. Je m’étais retenu de jouir pendant le 69, j’avais après tout deux femmes à honorer en cet après-midi de joie.
Le coït avec Sourisse fut très intense et peut-être un peu trop rapide à mon goût... Je me répandis en elle avec bonheur et elle exprima sa jouissance en gémissant fortement. Je me retirai de sa chatte d’hermaphrodite et lui fis un long baiser amoureux. Sourisse était encore allongée sur le lit et Mégane vint la câliner après que je me fus retiré. Elles restèrent longtemps à se caresser.
Le temps passant et à force de les observer se gouiner, je retrouvai de la vigueur et vins les rejoindre. Elles étaient en 69, Mégane sur Sourisse. J’avais une vue sur la chatte de Mégane copieusement léchée par Sourisse. Je demandais à Mégane si je pouvais lui rendre visite. Elle donna son approbation en arrêtant furtivement sa fellation sur le sexe de Sourisse. Ma pénétration ne posa aucun problème tant la chatte de Mégane était lubrifiée. Sourisse accompagnait ma pénétration de ses doigts sur mes bourses et je sentais également son souffle.
Je ne sais si je produisis suffisamment de semence dans l’instant pour mettre Mégane enceinte, mais j’eus vraiment le sentiment d’être vidé lorsque je me répandis en elle. Il fallait faire vite maintenant pour que Mégane se transforme en homme, et moi en femme, pour faire notre affaire dans l’autre sens. Nous allâmes, elle et moi, devant le miroir. Je prononçai les moi et me transformai en Aldvine. Mégane prononça elle aussi et pour la première fois, la formule qui allait faire d’elle un homme. On sentait de l’appréhension dans sa voix.
%%%%%%%Mégan raconte :J’étais devant le miroir et commençai par réciter la phrase dans ma tête. Pour une magicienne comme moi, la mémorisation des formules magiques ne posait jamais de problème d’ordinaire, mais là, j’étais atteinte d’une émotion intense. Je ressentis un léger voile de vision puis le miroir me renvoya l’image d’un homme qui ressemblait beaucoup à la femme que j’étais.
— Comment dois-je t’appeler ? me dit Aldvine.— ... pourquoi pas Mégan !— Alors ce sera Mégan !
Nous nous embrassâmes goulûment pour fêter cette première transformation. Cela me faisait drôle d’être devenu homme, je n’avais plus de poitrine, ma taille était plus droite, moins fine et surtout j’avais un beau service trois-pièces entre les jambes... Le contact d’Aldvine fit dresser ce sexe et je ressentis une envie forte de jouer mon rôle de mâle. C’était bien autre chose que de porter l’olisbos qui nous servait d’habitude dans nos jeux entre femmes.
Sourisse vint nous rejoindre et nous nous caressâmes debout tous les trois. Elle passait la main sur mon sexe et la faisait aller et venir. De son autre main, elle caressait la chatte d’Aldvine. Elle nous dit :
Vous êtes prêtes (le féminin l’emportait sur le masculin entre nous...), je vous laisse rejoindre le divan.Sans un mot, Aldvine et moi allâmes sur le divan. Aldvine s’allongea sur le dos et je vins m’approcher, mon sexe tendu jouant d’abord avec ses lèvres et son petit bout, puis j’entrai en elle. Quelle sensation ! Je comprenais pourquoi Aldvine avait souhaité pouvoir redevenir Aldvin ! Je n’avais pas de comparatif jusqu’ici avec une femme humaine, mais Aldvine maîtrisait bien l’art des femmes elfes et je ressentis beaucoup de choses pendant notre coït. Notre jouissance fut quasi simultanée et Aldvine me demanda que je reste en elle pour que mon sexe libère toutes les gouttes de ma semence.
Sourisse avait observé la scène et me félicita en venant me lécher le sexe.
— J’en profite, dit-elle, tu vas redevenir femme pour neuf mois !
Puis j’allai au miroir et redevins Mégane.Nous étions donc de nouveau enceintes toutes les trois. Les garçons qui vivaient toujours dans l’ancienne maison furent très amusés de l’apprendre et nous félicitèrent. Ils furent très discrets et ne posèrent pas de questions sur le pourquoi du comment.
Lors de notre cinquième mois de grossesse, nous reçûmes la visite d’Éléonore, accompagnée du fils de Sourisse. Elle était de passage avec sa compagnie dans notre ville, mais nous fit part de son désir d’arrêter sa vie itinérante de saltimbanque. Sourisse lui proposa naturellement qu’elle vienne vivre avec nous avec leur enfant. Éléonore fut enchantée de cette proposition et laissa dès le lendemain la direction de la compagnie à Malakar, qui était le plus sage et le plus expérimenté des comédiens de la compagnie. Sourisse nous avoua avoir en tête de rejoindre Éléonore depuis notre sauvetage de la compagnie dans les collines de Gargal...
La vie était belle, nous enfantâmes toutes trois la même semaine. La congrégation religieuse de Wilky nous fut très utile pour les derniers mois et les accouchements.FIN
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