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Les aventures de Caro

Chapitre 4

Voyeur / Exhibition
Me revoilà! La suite de mes aventures est un peu plus axée sur l’évolution de ma cousine après son initiation décrite dans les épisodes précédent. 

Mercredi 2 août 1989
J’ai des nouvelles de Valy qui est rentrée ce week-end de la colo où elle travaillait. D’abord elle respire mieux à la maison, car son père est enfin parti.La procédure de divorce est entamée.
Comme son frère est allé chez un de ses copains dont les parents ont une maison sur la côte, et que sa mère est plutôt cool, Valy a commencé dès lundi à bronzer à poil dans le jardin.
Ma tante n’a rien dit jusqu’à ce que ma cousine reste comme ça aussi le soir à l’intérieur:— Dis donc, c’est nouveau ça, de te balader à poil dans la maison? Tout à l’heure pour bronzer, OK, mais là… Et c’est quoi cette épilation? On te voit tout!— Oh, maman, c’est la mode. Et c’est mignon, non? D’ailleurs, Caro est encore plus épilée que moi, elle n’a plus aucun poil!— Parce que tu as vu Caro nue?— Oui, en juin. On allait pas se gêner entre cousines, on a fait un peu de naturisme.— Mais Ju était là, pourtant?— Evidemment, et je savais déjà comment c’est fait, un mec! Et lui aussi est tout épilé. De toute façon, on est tous majeurs, alors ou est le mal?— Soit, admettons, mais pense à ton frère!— Lui aussi, il a un an de plus que moi! Et là il est absent pour deux semaines, alors laisse-moi en profiter et je te promets d’enfiler quelque chose chaque fois qu’il est là. Quoique, je crois pas que ça le gênerait trop de me voir à poil…
Marie-Lou a capitulé et je propose à Valy d’aller la soutenir dans sa démarche ce week-end.
Dimanche 6 août 1989
J’arrive en fin de matinée à Bouc-Bel-Air, et c’est Marie-Lou qui m’ouvre la porte en maillot alors que Valy rentre de la terrasse, à poil:— Viens Caro, avant de manger on a le temps de profiter un peu du soleil!Sa mère l’apostrophe:— Dis donc, tu aurais pu t’habiller, on aurait pu t’apercevoir depuis la rue! Décidément…J’interviens tout de suite:— Allez, Marie, on s’est vues comme ça jour et nuit pendant toute la semaine, en juin! Donc, on va faire un peu de bronzage intégral. OK?
Lorsqu’elle vient nous prévenir que le repas est près, elle nous trouve étalées, les jambes écartées, et je crois qu’elle est un peu gênée en voyant mon épilation totale.  Pour la rassurer un peu, je remets un string pour le repas, et Valy m’imite.
Après le dessert, nous l’aidons à débarrasser, puis nous lui proposons de faire une sieste digestive au soleil.Comme elle garde tout de même un bas de maillot, je la chambre un peu:— Allez, on est entre nous, lâche-toi, enlève tout!Elle proteste un peu, mais finit par céder:— Ce que vous me faites faire…— Bravo maman!Je rajoute:— Dis donc, Marie, avec ta toison abondante, c’est comme si tu avais un maillot! Tu devrais t’épiler, au moins sur les côtés!-Tu as raison, je me néglige un peu trop ces derniers temps, je l’avoue.-Tiens, attends, je vais te le faire tout de suite! J’ai l’habitude de le faire à maman et à Sève, et maintenant aussi à Valy.
Elle n’ose pas faire de manières et accepte.Je lui fais une coupe bien dégagée, mais je lui laisse un bon triangle isocèle.Elle tressaille un peu quand je la rase le long de la fente jusqu’à l’anus, mais elle se laisse faire.
Nous la complimentons pour son nouveau look, et je vois à ses tétons que cette séance l’a un peu troublée.Elle promet à Valy de refaire du naturisme lorsqu’elles sont entre elles à condition que Valy tienne sa promesse de porter quelque chose quand Ben sera de retour.

Jeudi 17 août 1989
Ju est en train de me prendre en levrette quand le téléphone sonne.
Je décroche, et c’est Valy qui me tiens au courant:— C’est bon, ma mère prend goût à la vie sans vêtements. Il a fallu que je la pousse encore un peu le lendemain, mais dès le mardi elle s’est mise directement à poil dès son retour du boulot. Mais quand Ben est revenu dimanche, ça a été la fin.— Oui, il fallait s’en douter. Elle allait pas s’exhiber devant ton frère.— Oh, mais je suis pas restée inactive! J’ai tenu la promesse de pas me balader à poil devant lui. Mais je porte juste un string et un débardeur, rien de plus, et parfois seulement le string. Ma mère à un peu protesté, mais elle a été obligée de reconnaitre que ma tenue, c’est «quelque chose», comme promis, même si c’est pas beaucoup.— J’imagine la tête de ton frère!— Ah, c’est sûr, ça l’a d’abord estomaqué, mais ça lui plait bien vu la forme de son short. J’en fait même profiter ses deux potes de fac hier.— Raconte!— Quand ils sont arrivés avec lui, j’étais dans le jardin en train de bronzer.Comme j’étais à plat ventre avec les pieds tournés vers l’entrée, je me suis redressée sur les coudes et j’ai tourné la tête pour leur dire bonjour.Ils avaient une vue sur la ficelle dans ma raie! Un peu plus tard, je suis entrée pour aller me chercher à boire et je me suis bien  penchée en prenant une bière au frigo.Ils étaient prêts à exploser quand je leur ai fait face sans essayer de cacher mes tétons.Je pense que le soir ils se sont tous branlés en pensant à moi, même mon frère!Et j’ai même pas la moindre honte à ce que ce soit mon frère.— Eh bien, bravo, continue! Oh oui, plus fort!— Comment ça plus fort?— Euh, rien, c’est Ju qui est en train de me bourrer pendant qu’on parle.— Ah, évidement, j’aurais du m’en douter! Alors profitez bien, et à bientôt!

Mercredi 13 septembre 1989
Le “à bientôt” dont il était question au-dessus s’est concrétisé dès le samedi suivant puisque ma cousine est venue passer le week-end avec nous. Outre les parties à trois le samedi à la maison, nous l’avons emmenée dans les Calanques où nous l’avons initiée à la baise en plein air, avec les risques d’être surpris. Cela n’a pas été le cas, personne n’est passé vers la crique où nous étions.
Depuis, Ju a accepté de remettre en marche une Auberge dans les Alpes du Sud et en prendre la direction à partir d’octobre. Courant septembre, nous y montons pour qu’il fasse le point des travaux à faire pour la réouverture. 
Nous sommes sur l’autoroute qui descend des Alpes, assez tard dans la soirée.J’ai un bonne envie de pisser depuis un bon moment, et là, je ne peux plus tenir.Ju sort à l’aire du Pont Mirabeau, et s’arrête à quelque distance du bloc sanitaire. L’aire étant déserte, il me lance :— Chiche, tu y vas à poil !
Je ne me dégonfle pas. J’enlève ma robe légère sous laquelle je ne porte rien, et je garde juste mes sandales pour marcher. Je vais tranquillement aux toilettes, et je me soulage enfin.
Juste comme je finis, j’entends le bruit d’une voiture qui s’arrête pile devant le bloc. J’entends une voix de femme qui dit à quelqu’un qu’elle fait vite.Sans me démonter, je tire la chasse, je sors du WC et je tombe pile sur une femme qui reste bouche bée de se trouver devant ma nudité.Je prends un air décontracté, et je me rince les doigts au lavabo en lui disant :— Avec cette chaleur, on ne sait plus quoi se mettre !
Puis en sortant du bloc, je me retrouve au niveau de leur voiture, avec son mari médusé, et à l’arrière un ado, sans doute leur fils, qui vu son air ahuri mettra du temps à réaliser ce qui se passe. Je leur adresse donc un petit signe en souriant, et je m’éloigne sans me presser pour qu’ils profitent au maximum du balancement de mes fesses.
Dès que je suis dans la voiture, Ju démarre.Il s’est mis à poil pendant mon absence et il bande dur.Je le branle pendant que nous reprenons la route.Au péage, j’ai déjà tout avalé mais nous sommes encore à poil, faisant une grande surprise à la caissière. Nous stoppons à l’aire suivante pour nous nous rhabiller avant d’arriver à Marseille.

Jeudi 12 avril 1990
Depuis octobre, rien de spécial, la routine avec quelques parties à trois avec Valy lorsque nous sommes redescendus vers Marseille pour les fêtes de fin d’année.
 Nous sommes maintenant installés à Jausiers et en attendant de trouver un appartement, nous occupons une chambre de fonction derrière le bureau.Tout est calme jusqu’à aujourd’hui, véritable début de la saison.Ben étant allé passer une semaine chez son père, Valy a relancé le naturisme familial depuis le week-end dernier. Et apparemment Marie-Lou s’y est remise sans problème.
Hier soir, Valy venait de prendre une douche pour se rafraîchir, mais comme en fait elle s’était un peu tripotée en se lavant, elle a continué sur son lit avec son vibro en se mettant un peu de musique dans les oreilles. Elle était tellement absorbée par sa manœuvre qu’elle n’a pas entendu sa mère l’appeler pour venir dîner.
Après plusieurs appels sans réponse, elle est montée la chercher. Elle est entrée sans prévenir, croyant la trouver avec des écouteurs à fond sur la tête, mais le bonus, c’est qu’elle avait les jambes grandes ouvertes et qu’elle se pilonnait la chatte avec le gode.Elle sont restées figées toutes les deux:— Alors, Valy, tu… mais qu’est-ce…— Dis, tu pourrais frapper avant d’entrer!— Euh… oui, excuse-moi… Euh, le dîner est prêt…— OK, j’arrive tout de suite. Tu m’as coupé l’envie, de toute manière!
Elle s’est levée et l’a suivie en abandonnant le vibro sur le lit, toutes deux toujours à poil. A table, elles ont parlé de l’incident. Finalement, Valy a fait valoir que c’était assez naturel à son âge d’avoir des besoins et Marie-Lou a admis qu’en effet ça lui manquait à elle aussi depuis pas mal de temps. Mais elle n’a pas accepté la proposition de Valy de lui prêter son jouet.
Jouet que Valy s’est empressée de ré-utiliser dès qu’elle st retournée se coucher, en repensant à la situation précédente qui la faisait mouiller.

Jeudi 24 mai 1990
Coup de fil de Valy:— J’ai fait très fort hier! ma mère était sortie pour l’après-midi, et les deux copains de Ben étaient là.Comme d’habitude depuis le retour des beaux jours, j’étais en string sur la terrasse et eux me mataient à mort les fesses par la baie vitrée du salon où ils étaient installés. Tout à coup, j’ai fait semblant de réaliser l’heure, et je suis rentrée en disant que j’allais être en retard à mon rendez-vous en ville, rendez-vous fictif évidemment.
Je suis allée prendre une douche, et je suis redescendue mal entourée dans une serviette trop petite qui s’ouvrait sur mon minou, sous le prétexte que ce que je voulais mettre était sur l’étendage. Je suis passée comme ça devant les garçons médusés et je suis revenue avec des affaires à la main et ma serviette encore plus mal ajustée. J’ai laissé tomber au passage un string en dentelle en faisant mine de ne pas m’en apercevoir.
Quand je suis repassée une fois ma robe légère enfilée, le string avait disparu.Je suis allée à la porte d’entrée, que j’ai claquée pour leur faire croire que j’étais sortie, mais je me suis planquée dans le recoin de l’entrée.
Je les ai entendu faire des commentaires sur mon académie, mon épilation et mon string, qu’ils avaient ramassé. Et ça a été l’escalade. Un des amis a proposé de l’essayer, et Ben est monté en chercher deux autres dans mes tiroirs pour que chacun en ait un.
J’ai profité de la confusion pour jeter un coup d’œil discret. Ils étaient trop mignons, dans mes strings! Comme ils bandaient, leurs bites dépassaient au dessus du tissu. Soit dit en passant, mon frère en a une belle, mieux que ses copains mais pas aussi grosse que celle de Ju!Ça c’est terminé par un concours de branlettes et ils ont giclé sur le carrelage. Je dois avouer que ça m’a un peu excitée et que je me suis passée une main dans le string sous la jupe.
Pendant qu’ils étaient occupés à tout nettoyer, j’ai pu quitter la maison sans bruit.Quand je suis revenue, ma mère était rentrée, les copains étaient partis, et les strings avaient réintégré leur place.— Super, il faut absolument qu’on monte un coup pour coincer ton frère!

A suivre…
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