A force de l’écouter nous raconter ça, moi je commençais sérieusement à être disons émoustillée. Ce salaud de Maurice s’en est bien rendu compte. Il a demandé à Jacqueline de nous faire une démonstration avec Milou. Elle a accepté tandis que son homme, sans complexe, s’est mis à poil en disant :— Moi, quand je la vois baisée comme ça par le chien, il faut que je passe derrière tout de suite tellement ça me fait de l’effet.Maurice ne disait rien mais me regardait. Voir son copain tout nu, la bitte dressée, Jacqueline qui était montée sur la table et se faisait lécher par le chien, j’aime autant vous dire que je mouillais de plus en plus.Quand je l’ai vue se mettre à genoux après avoir mis des chaussettes aux pattes de son chien (elle m’a dit que c’était pour ne pas être griffée), s’agenouiller sur la table, guider le chien dans son sexe et laisser faire, j’étais drôlement troublée ; si je ne m’étais pas retenue, je crois que je me serai branlée comme une folle !Je commençais à ne plus très bien savoir ce que je faisais. Aussi, quand Maurice a mis sa main dans mon slip pour appuyer son majeur le long de ma fente, je n’ai pu que soupirer :— Oui ! Il a compris que j’étais consentante et a commencé à me doigter tandis que je regardais l’accouplement qui se déroulait à quelques dizaines de centimètres de moi.De sa main libre, Maurice a sorti sa queue et a posé une de mes mains dessus. Je l’ai serrée spasmodiquement puis j’ai commencé à la branler. D’un seul coup, il a rugi, m’a soulevée et m’a planté sur sa queue, juste en écartant mon slip.Je n’attendais que ça et j’ai pris mon pied tout de suite.Quand j’ai eu terminé, je me suis débarrassée de ma robe et de mon slip pendant qu’il se mettait à poil, lui aussi, puis je suis revenue me planter sur son sexe en lui disant :— Tu as gagné, mon salaud. Sur la table, Jacqueline prenait un pied d’enfer. Comme le chien ne bougeait plus, j’ai deviné qu’il devait la remplir. Ça a duré un bon quart d’heure. Pendant ce temps-là, Maurice me bourrait tout en me triturant les seins pendant que je me masturbais comme je ne l’avais jamais fait. Il disait que j’étais super bonne, que je n’avais plus qu’à essayer avec le chien ; je lui répondais en criant des saloperies dont j’aurais eu honte en temps normal, mais j’ai hurlé que je voulais bien essayer avec le chien. C’est là que, avec un grand cri, Maurice s’est vidé dans mon ventre.Milou était à peine sorti de Jacqueline qu’André le remplaçait. Avant de repartir dans un autre orgasme, Jacqueline m’a demandé de venir vers elle.Je l’ai rejointe sur la table. Elle m’a dit que le chien allait me nettoyer avec sa langue. C’est vrai qu’un chien sait y faire mieux qu’un homme : il va plus loin à l’intérieur, il n’hésite pas à te lécher le sexe complètement plein de sperme. Enfin, elle m’a fait mettre à quatre pattes. Elle l’a mis en face de mon sexe et Milou m’a pénétrée pour la première fois.Maurice regardait ça la langue pendante. Moi, je me concentrais sur mes sensations. Elle avait raison : quand il m’a bloquée avec son gros bulbe, sa queue a continué à grossir et il m’a remplie sans discontinuer. Je n’avais jamais ressenti ça, évidemment. Je me suis mise à jouir pendant tout le temps que ça a duré. Quand le chien est sorti de moi, j’ai senti qu’une quantité de sperme comme je n’en avais jamais reçue me coulait hors du sexe. Il y avait une flaque entre mes jambes.Maurice, à son tour, est devenu fou. Il est monté sur la table et m’a dit :— Bon dieu, il faut que je te baise encore.Je l’ai accueilli sans problème et c’est depuis ce jour là qu’il est aussi mon amant, mais juste pour la baise, sans sentiment. Et on gagne tous les deux plein d’argent avec mes démonstrations.Après… Soudain, Michelle donne un grand coup de freins et s’exclame :— Merde !
Derrière, Amandine et Laura sont violemment projetées l’une contre l’autre.Michelle se retourne :— Excusez-moi les filles ! Je ne vous ai pas fait mal ?Rassurée par la réponse négative de ses deux passagères, elle leur apprend :— Ici, je rate l’embranchement en plein jour ! Alors, la nuit, vous pensez …Laura lui répond très poliment:— Nous nous en doutons, Madame ! Mais votre histoire est passionnante et nous n’en connaissons pas la fin.En riant, elle réplique :— Vous voudriez bien la connaître, hein ? Je peux vous dire que, après ce que vous avez subi, vous avez le choix entre vous faire l’amour toutes les deux - mais je me demande si ce n’est pas déjà fait, parce que vous vous tenez les mains sans arrêt et je vois comment vous vous regardez - ou alors essayer aussi avec un chien.Laura dit :— C’est que… ça ne nous dit rien avec un chien. Nous deux, en venant chez vous, on a découvert…— Que vous étiez amoureuses l’une de l’autre ? C’est très bien comme ça, félicitations ! Mais je vais vous raconter la fin de mon histoire. Je suis rentrée chez moi, enfin chez René, pour une fois sans retard. Il faut dire que j’avais passé l’après-midi à faire l’amour soit avec le chien soit avec Maurice. Heureusement qu’il y a une douche chez lui, parce que je devais puer le sperme à cent lieues !C’est justement ça qui a mis la puce à l’oreille à René. Il m’a vu arriver fraîchement douchée et en pleine forme alors que d’habitude j’arrivais plutôt fatiguée. Il m’a interrogée sur ce que j’avais fait. Je l’ai un peu envoyé bouler puis je lui ai dit que la copine de Maurice avait commencé mon entraînement avec le chien. Il a un peu tiqué quand je lui ai dit que Maurice et son copain étaient spectateurs, mais a été très intéressé quand je lui ai parlé du chien. Je lui ai dit que Maurice allait faire de la pub de bouche à oreille et que son bar allait certainement être plus rentable qu’il l’avait été jusqu’ici.On commencerait la semaine prochaine parce que Jacqueline voulait m’apprendre tout ce que je pouvais faire avec le chien : des cunnilingus géniaux, avec des orgasmes à tour de bras, si j’ose dire, soit allongée sur le dos, soit avec un gros coussin sous les fesses pour que le chien puisse avoir accès totalement à ma bouche d’amour, soit à quatre pattes mais là elle m’a déconseillé au début. Dans cette position là, le chien, plutôt que de lécher longtemps, préfère monter « sa chienne », parce que c’est dans cette position que les chiens font l’amour.Elle m’a dit aussi que je pouvais prendre plusieurs positions. On peut même faire ça à la missionnaire, comme avec un homme. Pour moi, comme Maurice et René sont extrêmement poilus tous les deux et que j’adore sentir leurs poils sur ma peau nue, ça serait encore plus intéressant de sentir le pelage du chien. Jacqueline m’a montré comment, grâce à son bulbe, le clito ressort ; je peux le masturber plus fort que d’habitude. Maintenant que j’ai la technique, je peux vous dire, mes petites, que j’ai des orgasmes à la chaîne dont vous n’avez pas la moindre idée.Jacqueline m’a montré aussi comment le faire comme la première fois, à quatre pattes, mais là j’ai moins de grosses impressions.Elle a dit que je peux aussi mettre le chien sur le dos et faire comme avec un homme, mais un chien n’aime pas trop être sur le dos. Pour ça, il faut qu’il soit très habitué avec sa maîtresse et il faut faire ça de préférence sur un lit ou un tas de couvertures.Pour finir, elle m’a aussi montré comment faire une fellation au chien. Quand j’ai raconté ça à René, il ne tenait plus en place : il voulait à toute force assister. Je lui ai dit de patienter un peu, parce que Jacqueline venait tous les jours au bar pour m’apprendre. Il fallait que je sois au top si je voulais que les clients paient un maximum pour voir ça.Je lui ai dit qu’il ne pouvait pas venir me voir m’entraîner, comme il le souhaitait, parce qu’il fallait qu’il aille à son boulot, mais que, dès le premier soir où je ferais ça en public, il pourrait venir.Ça l’a calmé un peu sur le coup et il m’a fait l’amour comme il y avait longtemps qu’il me l’avait fait.
