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Les aventures érotiques d'Amandine et Laura.

Chapitre 10

Divers
J’ai eu une surprise à la fin de ma dernière séance d’entraînement.C’était le vendredi. Je savais à peu près tout maintenant, je n’avais plus qu’à pratiquer assidûment.Jacqueline m’a dit qu’il y avait un truc qu’on pouvait faire toutes les deux : elle se faisait fourrer par le chien, je me mettais sous elle et je regardais, pour voir ce que ça faisait. Eventuellement, je pouvais lui lécher le clito, puis après on verrait.Je lui ai dit que je n’avais jamais fait l’amour avec une nana, sauf une fois avec Virginie, justement, là où je vous conduis, mais qu’il n’y avait pas de chien et que les circonstances étaient différentes.Elle m’a dit que ça n’avait pas d’importance, que je n’avais qu’à regarder, elle s’occupait de tout.Je me suis allongée le dos contre la table, sur une couverture. J’étais juste sous son ventre. Elle a mis Milou en position. Lui, sans se poser de questions, il a commencé à lui faire l’amour. Je voyais tout ça en gros plan et je me disais que c’était comme ça que je me faisais fourrer par le chien. C’est vrai que quand son bulbe a grossi, le clito de Jacqueline est sorti au maximum et je l’ai un peu léché. Elle a poussé un soupir de soulagement. Je suis restée sans rien faire de plus.Au bout d’un quart d’heure, le chien est sorti d’elle. Elle a mis sa main sous son sexe et s’est pratiquement assise sur ma tête en me disant :— Ouvre la bouche, tu vas goûter au sperme de Milou comme jamais !Je lui a obéi. Elle a ôté sa main et j’ai senti que tout ce que le chien lui avait mis me descendait dans la bouche. Maurice et son copain regardaient. Maurice, ça l’a mis dans un tel étant que, d’un seul coup, il s’est mis à poil et m’a enfoncé sa grosse queue dans le minou. C’est là que je me suis rendu compte que j’étais trempée et ouverte comme jamais. Comme Jacqueline m’avait demandé de m’épiler totalement, en me précisant que les spectateurs verraient bien mieux, il hurlait qu’il voyait bien où il se mettait et il me chatouillait le clito en même temps qu’il me baisait. Sans qu’elle me le demande, j’ai nettoyé Jacqueline avec la langue. Son mec, avant même que j’ai fini, l’a fait agenouiller sur la table et l’a pénétrée d’un seul coup. Pendant que Milou, dans son coin, se nettoyait avec la langue, la porte s’est ouverte brusquement.
C’était René. Il s’est mis à hurler comme un malade. Il faut dire qu’il devait avoir un sacré spectacle sous les yeux.Vous voyez d’ici le tableau : Milou dans son coin en train de se lécher, moi allongée sur le dos avec mes jambes autour des reins de Maurice qui avait commencé à éjaculer dans moi, Jacqueline en train de se faire baiser par André.C’est justement lui a réagi le premier. Il a sauté de la table et a demandé à René de se calmer. Maurice n’a même pas fini de m’envoyer sa dose dans le ventre ; il est sorti de moi, encore raide, en finissant d’éjaculer dans l’air tout en s’engueulant aussi avec René. Moi, totalement dans les vaps, je commençais à me branler.J’ai pris conscience d’un seul coup que ça pouvait mal se terminer. Je suis descendue de la table et, avec Jacqueline qui s’est jointe à moi, on a tenté de calmer le jeu. René gueulait que j’étais une salope, qu’il y avait du sperme qui me partait entre les jambes tellement l’autre fumier, comme il le disait, m’avait remplie comme une traînée. Comme il venait d’apprendre qu’il n’avait plus de boulot parce que sa boîte fermait, il m’a promis de me mettre sur le trottoir et de me faire bosser comme pute. Il m’a traité de tous les noms et a finalement dit que je n’avais qu’à me barrer de chez lui puisque je me faisais baiser par n’importe quoi. Maurice n’a pas apprécié d’être traité de n’importe quoi. Il a fini par dire que je n’avais qu’à choisir entre lui et René.
Là, j’ai craqué. Je me suis mise à chialer comme une godiche. Jacqueline s’est rapprochée de moi pour me consoler. Elle m’a posé des tas de questions. Entre deux gros sanglots et deux reniflements, je lui ai dit que je voulais les garder les deux. J’aimais René comme une folle et il me faisait merveilleusement l’amour, mais j’aimais aussi quand Maurice me baisait comme un malade, surtout après le chien.Jacqueline a fait un clin d’oeil à André en lui demandant de les calmer. Elle a lancé à la cantonade qu’on allait se laver toutes les deux. On a pris nos vêtements et on est parties se doucher. Nous avons beaucoup discuté et je lui ai avoué que je voulais garder mes deux amants, comme je l’avais déclaré tout à l’heure. Elle m’a dit que j’y arriverais peut-être, mais qu’il fallait que je fasse preuve de beaucoup d’imagination.Quand on est redescendues, René m’a dit :— Viens, on va chez moi.Maurice m’a dit :— N’oublie pas que tu commences lundi, nous avons des clients… et ils paient cher pour te voir avec le chien.J’ai emmené René dans ma 2 CV ; il n’a pas desserré les dents, ça me faisait mal. Je pleurais quand on s’est arrêté.
J’ai tout de suite compris que beaucoup de choses allaient changer. D’habitude, René descendait de la 2 CV, puis il venait ouvrir ma porte et m’aidait à descendre. Il ouvrait la porte de la maison et s’effaçait pour me laisser passer Là, rien de tout cela.Il a fermé sa portière et il est parti aussitôt ouvrir la porte de la maison.Je suis descendue de la voiture puis j’ai fermé la porte de ma voiture. Je me suis dirigé à mon tour vers la maison. Il a refermé la porte juste devant mon nez, pas à clé, heureusement.J’ai continué à pleurer en silence tout en ouvrant la porte.René était déjà assis dans son fauteuil habituel. Il m’a dit :— Espère de salope ! Tu voulais te faire baiser par le chien ou par ton patron ? A moins que ce soit par la nana et son mec ? Ou peut-être tous ensemble ? Après tout, tu as trois trous et deux mains !J’étais atterrée. Je lui ai répondu :— Salaud ! Avec le chien, c’était pour nous, pour qu’on sorte un peu de la mouise dans laquelle on est. Oui, Maurice m’a baisée, c’est arrivé comme ça mais je n’en avais pas l’intention. Mais je peux te dire que j’ai bien joui.— Evidemment ! Et sûrement plus qu’avec moi, non ?— Non, pas plus qu’avec toi. Différemment, c’est tout. En plus, je te l’ai dit, toi je t’aime et avec lui c’est juste pour le cul !Et je me suis remise à chialer.
Il n’a rien dit, il m’a regardée pleurer, debout devant lui. C’est ça qui dû le remuer. Il s’est mis debout, m’a prise dans ses bras et m’a fait asseoir dans son fauteuil. Il s’est agenouillé près de moi. Là, il m’a dit :— Ecoute, ma princesse - c’est comme ça qu’il m’appelle dans nos moments de tendresse - comprends moi : j’arrive, je te vois en train de te faire baiser par ton patron et de sucer le sexe d’une nana, qui, si j’ai bien compris, était rempli de sperme.En reniflant, je lui ai avoué :— Oui, c’était celui du chien.— Mets-toi à ma place : moi aussi, je t’aime, ma princesse. Tout d’un coup, en voyant ça, tout s’est effondré autour de moi. Rends-toi compte que, en plus, je venais d’apprendre que je n’avais plus de boulot… et je venais de me taper cinq bornes à pied !J’ai souri dans mes larmes et je lui ai caressé la joue. Il m’en a fait autant et finalement nous nous sommes embrassés comme des malades.Il m’a dit, en me tirant du fauteuil :— Viens !
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