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Les aventures érotiques d'Amandine et Laura.

Chapitre 11

Divers
Il m’a arraché ma robe et mon slip, il a jeté mes chaussures au loin, puis il s’est déshabillé à toute vitesse. Il m’a prise debout, me pénétrant d’un seul coup. Nous avons joui tous les deux un maximum, très vite, en même temps. Il m’a, lui aussi, envoyé une dose de sperme dont je me souviens encore.Il m’a longuement regardée puis il m’a dit :– C’est vrai que ça te va bien, pas un poil à la chatte. Je vois bien que je t’ai remplie, ça coule.
J’ai mis ma main sous mon sexe et j’ai attendu que tout sorte de moi. Je l’ai bu en me léchant la main, puis j’ai tété sa belle verge jusqu’à ce qu’elle se redresse.Il m’a de nouveau plantée dessus et il m’a emmenée au lit, où on a fait l’amour toute la nuit. On a fait ça jusqu’au lundi matin. On est sorti du lit juste pour manger et se doucher. On a un peu dormi pour se reposer, quand même, mais vraiment le minimum. Dès qu’il y en avait un qui se réveillait, il réveillait l’autre et c’était reparti.
Lundi, quand je suis partie au boulot, René a voulu m’accompagner. Je lui ai fait promettre de ne pas se battre avec Maurice ; il me l’a juré. Je n’étais pas trop rassurée quand même. J’angoissais d’autant plus que c’était le jour de ma première démonstration avec Milou.Maurice a été un peu surpris de me voir arriver avec René, puis il a fait contre mauvaise fortune bon cœur. Je crois qu’il s’était fait un cinéma sans sa tête en pensant qu’il allait me baiser tout son soûl en attendant les premiers clients-voyeurs.J’ai essayé d’avoir une conversation normale avec eux deux, mais ils boudaient comme des gamins, chacun dans leur coin. Je leur ai dit que c’était une grande première et que s’ils allaient gagner de l’argent, c’était uniquement grâce à moi. Ils ont quand même continué à faire la gueule jusqu’à l’arrivée des premiers clients, qui voulaient juste à boire, puisqu’il n’y en avait aucun de ceux que Maurice avait invités à notre « session spéciale », comme il l’appelait.Après, comme il y a eu un peu de monde, ils se sont calmés ; en fait, ils ont continué à faire la gueule chacun de leur côté, mais ça se voyait moins.
Enfin est arrivée l’heure de ma première séance.Finalement, ça a très bien marché.Comme Jacqueline me l’avait montré, j’ai mis à Milou les chaussettes qu’elle m’avait données. Je me suis déshabillée, puis j’ai fait venir le chien sur la table. Après, je m’y suis mise à mon tour.Je me suis agenouillée devant son museau. Il m’a d’abord léché le sexe. Ensuite, je l’ai guidé pour qu’il me rentre dedans.À ce moment-là, silence de mort dans la salle : tous les gars qui étaient autour regardaient. Ils ont vu mon verrouillage par le chien. À un moment, il y en a un qui s’est écrié :– Oh, les gars, qu’est-ce qu’il doit lui mettre ! Regardez : il a le trou du cul qui s’ouvre et qui se ferme. Ça doit être à chaque fois qu’il lui balance une dose de purée. Ah, je ne regrette pas mon pognon !
Comme d’habitude, Milou est sorti de moi au bout d’un quart d’heure à peu près, puis il est descendu de la table pour aller se lécher dans son coin. Son sperme coulait de moi ; sur la table, une flaque grandissait de plus en plus, d’après ce que m’ont dit René et Maurice.J’étais encore un peu en transes, mais j’ai quand même vu deux clients qui m’ont donné chacun une enveloppe, avec un sacré pourboire dedans. Je les ai mises sous mon genou, le gauche, je m’en souviens bien.Finalement, tous les assistants sont partis. Il n’y avait plus dans la salle que Milou dans son coin, moi sur la table en train de récupérer, René et Maurice assis près de la table et qui regardaient, les yeux exorbités.
Le sperme du chien coulait toujours de mon sexe. J’ai dit que j’allais prendre une douche. Pour toute réponse, ils se sont mis à poil tous les deux et René m’a dit :– Tu ne te rends pas compte comment tu nous as excités…

Il m’a baisée aussi sec sur la table et, après qu’il ait fini, Maurice m’a prise aussi. Moi, j’étais étonnée que René accepte ça, mais je prenais des pieds pas possibles. Finalement, quand Maurice a eu terminé, René a remis ça. Quand Maurice a voulu à son tour remettre le couvert, René a dit non. Il avait compris pour la première fois, parce que lui aussi avait un besoin urgent de « se soulager les couilles », comme il l’a précisé ; mais pas question de remettre le couvert. D’ailleurs, il allait prendre une douche avec moi.
Maurice, visiblement, aurait bien recommencé ; mais quand il a vu comment ça risquait de tourner, il a dit qu’il allait compter la recette.Quand on est redescendu de la douche, mon René et moi, il était toujours à poil, avec des billets plein les mains. Il m’a dit :– Michelle, tu avais raison ! On vient de faire avec ta seule démonstration plus que le chiffre d’affaires d’un mois entier !
Dès lors, ça s’est passé comme ça : tous les jours, séance avec le chien ; ensuite, René me prenait dans le sperme du chien, puis Maurice dans les deux spermes mélangés et René, dans la totalité, une nouvelle fois. Moi, je jouissais en continu.Mais ils étaient toujours jaloux et deux événements sont intervenus, qui ont bien changé les choses.
Le premier, c’est que notre propriétaire nous a mis à la porte. Il a dit que, puisque René n’avait plus de boulot, ce n’était pas mon salaire de gagne-misère qui allait payer le loyer. J’ai longuement réfléchi, puis j’ai convaincu Maurice de nous loger dans l’appartement qu’il avait au-dessus du bar, puisqu’il avait cinq chambres et qu’il n’en occupait qu’une. Il a accepté, mais il voulait me faire payer un loyer en nature. Je lui ai rappelé que c’était grâce à moi que son affaire tournait, et qu’en fait il n’avait rien à demander parce qu’il me baisait quand même.J’ai ajouté que je mettais mes pourboires dans l’affaire, en plus de ce qu’il demandait à ses clients pour me voir et qu’il ne serait pas roulé.
Il était jaloux de René parce que lui partageait mon lit et dormait avec moi, tandis que lui n’avait rien. Je lui ai dit que René avait simplement compris qu’il ait une grosse envie après m’avoir vue avec le chien, puisque c’était pareil pour lui.– Oui, tu as raison, c’est parce qu’il est dans le même état. Je suis sûr que s’il y avait des clients qui avaient demandé à te passer dessus, il aurait accepté.
Le deuxième événement, c’était ce soir, juste avant votre arrivée. J’en avais plus qu’assez de les entendre faire leurs crises de jalousie. Je leur ai dit :– J’ai trouvé un truc qui devrait vous calmer. Asseyez-vous sur ce banc, je vais vous attacher.Ils étaient tellement stupéfaits qu’ils m’ont laissé faire. Je les ai attachés bien solidement. Mon grand-père, qui était marin, m’avait appris à faire des nœuds impossibles à défaire par eux. Une fois ceci fait – et vous avez vu que je les ai mis l’un en face de l’autre – j’ai appelé Milou.Je n’ai pas besoin de vous raconter le reste : vous avez tout vu.
Elle ajoute :– Justement, nous voilà arrivées.Elle arrête la 2 CV devant une très belle maison, entourée d’un haut mur. Elle sonne. Une femme d’à peu près son âge, très belle, brune aux cheveux courts et aux yeux noirs, arrive. Elles s’embrassent sur la bouche, sujet d’étonnement pour Amandine et Laura, puis la femme leur dit :– Mesdemoiselles, mon amie Michelle m’a appris succinctement ce qui vous est arrivé. Venez avec moi à l’intérieur, vous allez m’expliquer plus en détail.Michèle intervient et dit :– Écoute, Virginie, il faut que je reparte ; je suis très attendue.En riant, elle ajoute :– Elles te raconteront !Laura l’interroge :– Et vos peignoirs ?– Gardez-les pour l’instant. Virginie vous indiquera comment faire pour me les rendre. Au-revoir ; il faut que j’y aille !Sur ces mots, elle embrasse une nouvelle fois Virginie sur la bouche. Laura se précipite contre elle et l’embrasse sur une joue en lui disant :– Merci, Madame !Amandine en fait autant.Michelle sourit et leur dit :– Soyez heureuses, toutes les deux !Elle monte dans sa 2 CV et démarre dans l’obscurité.Virginie leur dit :– Venez avec moi.
Elles suivent la jeune femme dans une allée d’un petit parc et arrivent devant la porte d’une maison qui leur semble être un vrai petit château. Elle ouvre la porte et, d’un geste, les invite à entrer.Pendant leur court trajet, tout au plus une dizaine de mètres, Amandine et Laura ne cessent de se tenir par la main. Elles se serrent l’une contre l’autre avant de pénétrer dans cette maison inconnue.
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