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Les aventures érotiques d'Amandine et Laura.

Chapitre 22

Divers
Dans le petit réduit où sont les quatre femmes et David, cinq paires d’yeux observent la scène par la sorte de meurtrière aménagée qui leur permet de voir ce qui se passe dans le repaire.Les assistants sont à la fois horrifiés et fascinés.David est derrière sa femme, collé à elle. Chantal sent la virilité tendue à éclater de son mari. Amandine et Laura se pressent tellement fort de chaque côté de Virginie qu’on pourrait croire que les trois femmes voudraient n’en faire plus qu’une. Virginie a une main de Laura dans sa main droite et une autre d’Amandine dans la gauche. Elles se croisent les doigts et se les serrent à s’en faire mal.
Dans le repaire bien éclairé, Giorgio fait une fellation à Alberto sous la direction de Clarisse. Elle l’aide de coups de fouet, tandis que Basile et Blaise lui tiennent chacun un bras. Elle crie :– Tiens, mon salaud ! Allez, pompe-le bien ! Et t’as pas intérêt à en laisser tomber une goutte par terre, parce que de toute manière tu la lécheras.Claudio se démène comme il peut pour ne pas avaler le sperme d’Alberto qu’il sent venir dans sa bouche, mais Blaise lui pince le nez et Basile lui met un grand coup de poing dans le dos. Il est ainsi contraint d’avaler.À la demande de Clarisse, les deux frères le remettent debout. Clarisse lui ordonne d’ouvrir la bouche et contrôle qu’il a bien tout avalé. Elle s’adresse ensuite à ses frères, qui obligent Claudio à lécher le reste de sperme qui suinte de la verge rabougrie d’Alberto, avant de lui enfoncer un autre chiffon dans la bouche et de lui clore les lèvres avec un autre gros morceau de scotch, comme Alberto.Finalement, les deux frères le portent sur le phallus de bois et l’enfoncent dessus jusqu’à ce que ses fesses touchent le tabouret-support. Lui aussi saigne de l’anus, lui aussi a le sphincter éclaté, mais les deux frères ne s’en soucient pas du tout.Clarisse continue à organiser « le reste de la fête des salauds », comme elle dit.Elle demande à ses frères d’ôter le bâillon de la bouche d’Alberto. Il est à peine délivré qu’il commence à hurler. Elle lui donne une bonne dizaine de coups de son fouet-martinet en lui précisant :– Écoute, ordure, ça c’est pour te faire payer la mort de ma sœur. Et c’est pas fini. Ton copain t’a pompé le nœud et a tout avalé ; tu vas lui en faire autant. Allez, les gars !Ils font mettre Alberto à genoux devant la verge de Claudio. Apparemment, il n’est pas très à l’aise avec le mandrin factice enfoncé dans l’anus et les pieds du tabouret, mais elle n’en a cure. Elle masturbe un peu Claudio, qui pleure de douleur ; puis, une fois qu’il a trouvé une taille qu’elle juge normale, elle ordonne à Alberto :– Allez, ouvre la bouche et tète-le !Alberto gémit un « non » qui ne lui plaît pas. Basile prend le nez de Barolo pour lui faire ouvrir la bouche, et elle lui met elle-même le phallus de Claudio dans la bouche. Une fois cela fait, elle dit :– Tu le pompes et tu fais comme ton copain. Et tu as intérêt à faire ça bien, parce que mes frères vont te foutre des coups de pied au cul. Alors, avec ce que tu as dedans, imagine un peu…Alberto, complètement défait, ne peux qu’obéir à Clarisse. Il suce la virilité tendue de son ami jusqu’à ce que ce dernier, avec un soupir, se répande dans sa bouche. Clarisse intervient :– Et surtout, tu n’en mets pas une goutte à terre !Barolo semble vaincu définitivement. Il ouvre la bouche quand Clarisse le lui ordonne, pour vérifier qu’il a bien tout le sperme de son ami « dans le bec », comme le précise Clarisse ; il avale le tout et rouvre la bouche pour qu’elle vérifie qu’il a bien tout avalé et, enfin, elle demande à ses frères de le remettre sur son tabouret.Les deux Italiens sont maintenant l’un en face de l’autre, assis sur leurs tabourets, le godemiché de bois enfoncé dans les entrailles. Clarisse dit :– Et maintenant, nous allons faire quelques photos. Vous vouliez que ma sœur et moi fassions des films avec des poneys, des chevaux et même l’ours qui a tué Céleste ? Nous, on se contentera de photos. Mais je crois bien qu’on va les diffuser auprès de vos petits copains mafieux… Bon, assez discuté. Vous êtes prêts, les gars ?– Oui, vas-y Clarisse, répondent ensemble Basile et Blaise.Elle retourne dans le coin où elle avait mis les tabourets puis revient avec un appareil photo. Elle ordonne à ses frères :– Allez, vous leur sortez le matériel du cul et vous les mettez à genoux. Je vais prendre en photo leur trou explosé.Elle agit comme elle le dit, mettant les tabourets à côté des fesses des deux hommes. Elle ajoute :– Maintenant, vous recommencez à les emmancher dessus. Je vais prendre des photos quand ils seront à mi-course, puis d’autres quand ils toucheront de nouveau le tabouret. Il y a encore de la graisse, mais on s’en fout : ils ont maintenant le cul bien percé.Sous les hurlements de douleur des deux hommes, les frères jumeaux recommencent l’opération du début. Une fois qu’ils sont bien assis, Clarisse dit :– Bon, ça, les gars, c’était seulement la première partie. Maintenant, vous allez passer à confesse.Elle repart poser l’appareil photo puis revient avec un magnétophone. Elle explique aux deux hommes de nouveau ensanglantés :– Les tabourets, c’était pour venger ma sœur. Ce qui va venir aussi, d’ailleurs ; mais ça servira à éviter à d’autres tout ce que vous faites subir à tout le monde. Alors, autant vous dire que vous avez intérêt à répondre à mes questions parce que vous ne partirez pas d’ici vivants si je juge que vous racontez des mensonges !
Elle commence un interrogatoire précis au cours duquel les deux hommes, dès qu’ils répondent avec une petite hésitation, reçoivent une volée de coups de fouet-martinet.Finalement, elle fait avouer à Alberto tout ce qu’il trafique, il « ouvre son cœur », comme elle le dit et lui donne toutes les indications que, en fait, Clarisse mais surtout David recherchent : les noms et les adresses de ses correspondants dans le domaine du trafic de drogue, de films pornographiques, de filières pour faire disparaître des jeunes femmes, etc. Elle leur explique que, avec ses frères, elle les avait vus avec deux jeunes danseuses, sur son bateau, et qu’ils étaient arrivés juste au moment où elles s’étaient échappées à la nage. Ils avouent qu’ils voulaient mettre Amandine et Laura dans des maisons très spécialisées, dont ils leur donnent les adresses, où elles se seraient produites avant de se faire « mettre par les clients surexcités par leurs démonstrations » moyennant l’ingurgitation de la drogue de Carlo qui les aurait empêchées de réfléchir.Clarisse conclut en disant :– C’est parfait, tout ça ! Maintenant, quelques dernières photos.Elle repose le magnétophone et s’empare de nouveau de l’appareil photo.En revenant, elle sourit :– Voilà : vous allez vous mettre en 69 et de nouveau cracher dans la bouche de l’autre. Vous avez intérêt, parce que mes frères vont remuer les tabourets tant que ce ne sera pas parfait : vous savez, comme vous faites avec les jeunes femmes qui ne veulent pas se faire mettre par un âne, en les faisant préparer par vos sbires avec des manches de pioche... Allez, au boulot !Blaise fait tomber Alberto au sol ; Basile saisit Claudio, empalé sur son tabouret. Ils les disposent tête-bêche. De nouveau, les deux hommes sont contraints de se faire une fellation mutuelle sous les coups de fouet de plus en plus violents de Céleste, au point que ses frères interviennent pour l’empêcher de les massacrer.
Ils savent ce qu’il faut faire pour la calmer dans de telles circonstances : ils la déshabillent, se mettent nus et lui pénètrent chacun un orifice tout en prenant des photos et en menaçant les deux empalés.
Dans le petit réduit, les spectateurs contemplent pour la première fois les deux frères et la sœur en pleine action. David, les yeux fous, sodomise sa femme Chantal tout en lui mettant une main impérieuse devant la bouche pour qu’elle ne hurle pas ; il utilise l’autre pour la branler violemment comme il ne l’a jamais fait. De son côté, Virginie se fait masturber par ses deux jeunes amantes tout en leur caressant le clitoris, en même temps qu’elles s’embrassent à pleine bouche toutes les trois.
Brusquement, la folie prend fin dans le petit réduit. Tous ont atteint à un orgasme auquel personne ne s’attendait. Dans la salle du repaire, Clarisse se calme et attend que ses frères aient fini de lui « donner sa dose » comme elle dit. Ils lui posent précautionneusement les pieds au sol. Comme folle, elle ouvre son sexe et ses fesses, faisant couler sur les deux hommes allongés sous elle tout le sperme que ses frères lui ont prodigué. C’est à cet instant qu’elle se rend compte qu’Alberto et Giorgio ont la bouche pleine du sperme de leur voisin.
Elle reprend le manche de son fouet-martinet et les contraint, sous la menace, à avaler le sperme qu’ils s’apprêtent à recracher en espérant que nul ne s’en rende compte.
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