Elle a dans la main gauche un petit pot. Elle l’ouvre et en fait sentir le contenu à Camille puis à Marion. Elle leur apprend :– Oui, mes chéries, je l’ai choisie parfumée pour que ça ne soit pas désagréable pour vous, en plus de la consistance.Elle demande à Camille :– Ma chérie, tu te souviens bien de ce que j’ai dit ?– Oui, maman, après que tu m’aies expliqué comment bien me laver l’intérieur.– Es-tu prête ?– Oui, maman ! Il faut que je mette à quatre pattes ?Philippe répond :– Non, ma chérie ! Pour ta première fois, il faut que tu soies dans cette position ; c’est plus doux pour toi, moins « bestial », en quelque sorte. Tu te mettras à quatre pattes d’autres fois, va ! Et puis, regarde : comme ça, tu pourras t’admirer dans tous ces miroirs !Camille sourit. Après un instant de réflexion, elle s’adresse à tout le monde :– Regardez bien, surtout toi, Marion ! Maman va aider papa à dépuceler mon petit trou.Marion s’agenouille au sol. Sa tête est proche du sexe de sa sœur. Sylvie ouvre le petit pot qu’elle a apporté, y trempe les doigts et étale sur l’anus de Camille un peu de la crème qu’il contient. Elle juge :– Ça sent très bon, ma chérie !Marion ajoute :– C’est vrai, tu sais, Camille !Elle reprend et interroge sa mère :– Maman, tu en mets aussi sur papa ?– Évidemment, mon cœur ! Et pour toi, demain, je le ferai aussi. Il faut que tout soit parfait et papa et moi ne voulons surtout pas que vous ayez mal.Marion vient se coller contre sa mère adoptive, lui enlace la taille et lui dit :– Merci, maman.Sylvie juge que maintenant Camille est suffisamment apprêtée. Philippe est debout près d’elle, en érection. Elle se penche sur la verge de son mari et la prend dans sa bouche, longuement. Philippe sourit. Elle fait ressortir l’engin de sa bouche et, s’adressant à son mari, dit :– Normalement, tu es suffisamment lubrifié ; mais je vais aussi te mettre de la pommade-miracle.Elle prend une noisette de la pommade en question et l’étale tout le long de la verge de son mari. Elle insiste sur le gland, puis elle le guide juste en face du petit trou inviolé. Elle demande, comme si elle avait oublié :– Oh... Marion, tu veux bien aider Camille ?– Oh oui, maman !
– Alors, fais comme tout à l’heure : ouvre bien son petit trou pour que papa puisse la pénétrer sans difficulté.Marion pose ses deux mains sur les fesses de sa sœur et les écarte l’une de l’autre. Le petit trou plissé s’ouvre comme une fleur qui éclot. Marion demande :– Comme ça, maman ?– Oui, mon cœur ! Exactement.Un peu inquiète, elle s’enquiert auprès de sa sœur :– Camille, je ne te fais pas mal ?– Non, Marion ! Merci !Sylvie reprend la direction des opérations :– Bon, je crois qu’on peut y aller. Tu veux bien, mon chéri ?– Oui, lui répond Philippe. Il ajoute à l’attention de sa fille :– Camille, si je te fais un peu mal, tu me le dis et j’arrête immédiatement. Nous avons tout notre temps.– Oui, papa.– Parfait. Bon, ajoute-t-il en s’adressant à sa femme, guide-moi, ma chérie, s’il te plaît ! Sylvie prend dans une main la verge luisante de son mari et la met juste en face de l’anus tout aussi pommadé de Camille. À l’aide de petits coups de reins, Philippe s’enfonce petit à petit dans les entrailles de sa fille jusqu’à ce que, d’un seul coup, le sphincter s’ouvre en grand. Sous les yeux attentifs des spectatrices, il se retrouve enfoncé jusqu’aux testicules dans le rectum de Camille. Il cesse alors tout mouvement.Camille, qui ne savait pas trop quelle attitude adopter, est maintenant en position de grand écart. Elle envoie ses mains en avant pour toucher le corps de son père et lui dit, avec une sorte de fierté dans la voix :– Oh, mon papa d’amour, tu es tout entier en moi. Je n’ai même pas eu mal. Merci, maman ! Et maintenant ?C’est sa mère, Sylvie, qui répond :– Maintenant, ma chérie, papa va te faire comme tout à l’heure. Marion, si tu veux, tu peux aider ta sœur à être encore plus heureuse : lèche-lui son petit bouton d’amour et tout son sexe, comme vous le faites si bien lorsque vous êtes toutes les deux.Marion, heureuse de pouvoir participer à la défloration anale de sa sœur, répond immédiatement :– Oh oui, maman !Elle plonge sur le sexe ouvert de sa sœur et, avec ses lèvres et sa langue, embrasse tout ce qu’elle voit.Pendant ce temps, Philippe a mis ses reins en marche. Sylvie, sa femme, est aux premières loges pour le voir entrer et sortir de plus en plus rapidement mais avec de moins en moins de difficulté, de l’anus de leur fille. Elle sourit.Virginie a recommencé à caresser les cheveux de Camille ; Amandine et Laura lui flattent doucement un sein.Soudain, tout s’accélère. Camille, qui halète, crie :– Oh oui, papa, c’est bon ! Va plus fort, plus loin, plus vite, s’il te plaît !Sous les yeux impressionnés des spectatrices, elle a son premier orgasme anal. Après avoir éjaculé, Philippe s’abat sur le corps de sa fille chérie. Sylvie enveloppe ses reins et ceux de leur fille avec ses deux bras.Petit à petit, les participants à cette scène se remettent de leurs émotions. Philippe sort doucement de l’anus de Camille. Marion, sans se soucier de la pommade qui lui barbouille le bas du visage, lèche le petit trou de sa sœur qui se referme lentement et elle avale le sperme que leur père a déposé en elle.Après un petit moment de silence, Camille demande :– Papa, tu n’es pas encore venu dans ma bouche !– Petite gourmande ! répond Sylvie. Mais je ne sais pas si tu vas aimer la pommade qui le recouvre… Elle s’adresse à la responsable de la salle et lui demande :– Virginie, tu veux rester vers elle ? Je vais nettoyer Philippe et nous revenons.Marion intervient :– Maman, je peux t’aider ?Sylvie sourit et lui répond :– Oui, ma chérie. Viens, il y a des toilettes par là.Pendant la courte absence de Philippe et de ses deux femmes, Camille prend une main d’Amandine dans sa main droite et une de Laura dans la gauche. Elle leur apprend, en les serrant :– Je suis très heureuse que vous ayez tout vu. Je voulais tellement n’avoir autour de moi que des gens que j’aime.Virginie lui répond, en lui caressant le front :– Tu es heureuse, maintenant ?– Oh oui, Madame Virginie ! Maintenant, je suis une vraie femme. Papa va couler dans ma bouche et, grâce à lui, à maman et à Marion, je serai complètement femme. Je suis heureuse, si vous saviez !Virginie entend un bruit et signale :– Ah, les voilà !Effectivement, Philippe et Sylvie reviennent à proximité du lit. Sylvie demanda sa fille :– Ma chérie, s’il te plaît, veux-tu te mettre à genoux sur le lit ?Camille s’exécute. Sa mère s’agenouille près d’elle. Elle lui parle à l’oreille et Camille sourit. Sylvie demande :– Marion, viens voir.Elle parle aussi à l’oreille de sa seconde fille ; tous les assistants devinent qu’elle lui donne des instructions précises. Ils en ont immédiatement la preuve puisque Marion se glisse entre les cuisses de sa sœur, ouvre la bouche, sort sa langue et caresse le sexe de sa sœur avec son extrémité pointue.Sylvie fait signe à son mari de s’approcher. Elle embouche sa verge en totalité, la fait sortir de sa bouche puis la met dans celle de sa fille. Pendant ce temps, Marion s’occupe du sexe de Camille avec la bouche et la langue.Sylvie guide la tête de sa fille et lui glisse des instructions à l’oreille. Camille entame sa première fellation et, comme sa mère le lui a recommandé, elle flatte les testicules de son père avec une main.Philippe ne reste pas insensible à ce traitement. Il annonce :– Oh, ma petite Camille, tu fais ça presque aussi bien que ta maman. Tu as une langue délicieusement agile. Je sens bien que je vais remplir ta bouche.Effectivement, au bout de quelques instants, le gros tuyau situé sous la verge de Philippe se gonfle spasmodiquement et toutes les femmes présentes devinent qu’il éjacule dans la bouche de sa fille.Sylvie murmure de nouveau à l’oreille de Camille. Celle-ci approuve de la tête et ferme les lèvres. Sylvie appelle Marion et l’aide à s’installer en face de sa sœur tandis que Philippe descend du lit. Elle explique :– Mes chéries, partagez-vous ce que papa vient de donner à Camille en vous embrassant à pleine bouche. Moi, je vais enlever les dernières gouttes de son plaisir.Sous les yeux de Virginie, d’Amandine et de Laura, les deux sœurs, bouche-à-bouche, se partagent le sperme de leur père pendant que Sylvie le nettoie comme elle l’a dit.Les trois jeunes femmes-témoins se caressent mutuellement, émues jusqu’au plus profond de leur corps par la scène à laquelle elles ont assisté. Après cette formation approfondie, tous les assistants éprouvent le besoin de se reposer quelque peu. Virginie annonce :– Restez quelques instants en famille sur ce lit, s’il vous plaît. Amandine, Laura et moi-même revenons bientôt.Les trois jeunes femmes partent, laissant Sylvie et Philippe embrasser amoureusement leurs deux filles.Elles reviennent avec un plateau contenant un seau à champagne, une bouteille et sept flûtes.Pendant que Virginie débouche la bouteille et remplit les flûtes, Laura dit :– Nous ne buvons jamais ; mais pour aujourd’hui et demain, nous allons faire une exception. Camille, il faut célébrer cette première fois comme il convient.Amandine distribue une flûte à chaque personne présente. Virginie lève son verre et dit :– Je bois non seulement à la première fois de Camille, mais aussi et surtout à l’amour que vous avez en vous. Gardez-le intact.Elle boit une gorgée de champagne puis fait le tour de toutes les personnes présentes en les embrassant sur la bouche.Finalement, Philippe leur dit :– La cérémonie serait incomplète si je ne vous invitais pas toutes au restaurant. Mais… il va falloir que nous nous habillions !Un éclat de rire général approuve sa proposition. Chacun récupère ses vêtements et, à pied, ils se dirigent vers le restaurant de Paul pour clore cette belle journée.
