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Les aventures érotiques d'Amandine et Laura.

Chapitre 26

Divers
La soirée se déroule classiquement.
À la sortie du restaurant, les trois jeunes femmes rentrent tranquillement, en parlant de ce qu’elles ont vu. Virginie apprend à ses deux amies :– Je suis très heureuse pour Camille. Sylvie m’avait dit qu’elle attendait avec impatience le jour de ses dix-huit ans pour se faire déflorer par son père, qu’elle aime d’un amour très tendre, avec sa mère – elle, donc – comme témoin et comme aide. Il faut dire que c’est une famille très soudée et qu’ils sont très heureux ensemble. Elle a dû être encore plus heureuse de mêler Marion à ce jour d’exception ; elles ne sont pas sœurs mais comme elles ont été élevées ensemble, c’est comme si elles l’étaient. Et je pense que, demain, Marion se fera un plaisir d’apprendre l’amour avec son père adoptif sous les yeux de sa mère et de sa sœur adoptive. J’ai trouvé que c’était très beau. Et vous, mes chéries ? Amandine répond : – Moi aussi, et je pense qu’il en est de même pour Laura. Malgré ce que nous avons vu, continue-t-elle d’un ton interrogatif, tu nous admettras quand même dans ton lit ?– Petite chérie, tu sais bien que ce n’est plus mon lit, mais notre lit.Comme, sur ces derniers mots, elles arrivent devant la lourde porte qui donne accès à leur « nid d’amour » – comme le précise Laura – elles l’ouvrent puis elles se mettent nues et pénètrent ainsi dans la maison, puis dans leur chambre, qui est une fois de plus le témoin de leur amour et de tout ce qu’elles ont imaginé pour le magnifier.
Le lendemain, elles font comme d’habitude : lever nues, petites caresses qui parfois se transforment en longues séances de sexe, plusieurs longueurs dans la piscine extérieure, d’une durée et d’une intensité différentes selon l’heure, douche suivie d’un petit-déjeuner conséquent qui est préparé par celle que – à l’imitation de Virginie – elles appellent « Mamie Simone », cours pour leurs élèves ou, quand il n’y en a pas, longues séances de bronzette au bord de la piscine, agrémentées de jeux érotiques à trois pendant que Mamie Simone fait leur chambre et prépare leur repas de midi.
Justement, ce mercredi-là, Mamie Simone leur a dit :– Vous savez, mes petites, ça me fend le cœur de savoir que vous allez partir samedi prochain. Et Mademoiselle Virginie ne dit rien, mais je suis sûre que ça doit être pire pour elle. Maintenant, vous avez pris dans son cœur la place d’Hélène. Elle va se sentir abandonnée. Pour l’instant, elle est très occupée mais je sais ce qu’elle va devenir après votre départ !– Mamie Simone, lui dit Laura, Amandine et moi en parlons longuement lorsque nous sommes juste toutes les deux. Nous ne voulons pas abandonner Virginie, vous savez, (elle baisse la tête comme pour chercher ses mots ou cacher sa confusion, ou plutôt comme si l’aveu lui coûtait devant une étrangère) nous aussi, nous l’aimons comme nous nous aimons toutes les deux. Nous allons voir nos parents et nous revenons le plut tôt possible.– Je vous crois, mes petites, mais ce serait bien mieux si vous restiez ici définitivement. C’est déjà bien que vous l’aimiez ; alors, rendez-la heureuse jusqu’à la fin de votre séjour. Si vous l’aviez vue comme je l’ai vue après la mort d’Hélène, vous comprendriez ce que je veux dire. Vous l’avez fait revivre et, rien que pour cela, je vous remercie.Et elle fait à chacune un petit baiser tendre sur la joue.Amandine et Laura lui rendent son baiser mais n’ont pas le temps de répondre à son propos : Virginie les appelle et elles partent à sa rencontre.
En fait, leur amie veut préparer « le passage à l’amour total de Marion », comme elle dit. Elle est très heureuse car après cet après-midi, les deux sœurs pourront continuer leurs jeux amoureux en compagnie de davantage de personnes, hommes et femmes inclus.Elles retournent visiter la « salle aux miroirs » et réarrangent la disposition du lit, qui a un peu changé de place en raison de son utilisation intensive.Elles entendent soudain Mamie Simone qui les appelle en leur demandant de passer à table. Elles obéissent d’autant plus rapidement à son injonction qu’elles ont faim.
Après le repas, une petite « sieste » coquine les occupe jusqu’à l’arrivée de Marion, de Camille et de leurs parents. Le cérémonial utilisé la veille est identique jusqu’à ce que Sylvie, une fois Marion devenue définitivement « une vraie femme », comme elle se qualifie elle-même, demande à Virginie :– Dis-moi, Virginie, pouvons-nous revenir demain après-midi, bien avant la soirée que tu organises pour nos amis ?
Interloquée, Virginie lui répond positivement, mais aucune des questions que toutes les personnes présentes posent à Sylvie ne reçoit de réponse autre qu’un laconique « Demain… ».
Après avoir raccompagné toute la famille, père, mère et filles jusqu’à la porte, les trois jeunes femmes s’interrogent : que peut bien vouloir Sylvie ?Elles se posent mutuellement la question tout en revenant dans la salle où Marion, comme sa sœur, s’est transformée définitivement en femme accomplie. Le lit est revenu à sa place et Virginie entraîne ses deux compagnes dessus. Elle s’allonge et leur demande de s’installer de chaque côté d’elle.Elle leur explique longuement ce que sera la séance du lendemain : elle l’a préparée en secret avec Camille et Marion, qui veulent avoir trois hommes pour chacune d’elles, parce qu’elles veulent savoir ce que ça fait qu’être pénétrées de partout au même instant. Virginie a justement invité six couples, ce qui en fera sept avec Philippe et Sylvie. Elle pense que les deux sœurs seront heureuses de pouvoir « satisfaire leur curiosité » dit-elle en riant. Et comme elle pense que les hommes seront suffisamment excités par le fait de pouvoir « goûter de la chair fraîche », tout devrait aller pour le mieux. Il y aura là Philippe et Sylvie, bien sûr ; David, le commissaire de police et sa femme Chantal ; Paul, le restaurateur et sa femme Laurence, et quatre autres couples qu’Amandine et Laura ne connaissent pas encore : André et Juliette, Laurent et Sophie, Thierry et Mélanie ainsi que Christophe et Marjorie.Amandine pose la question :– Je comprends que les six hommes seront satisfaits ; mais leurs femmes ?– C’est là que j’aurai besoin de vous, mes chéries. Nous sommes trois, elles sont six ; elles adorent être fistées. Accepteriez-vous de vous occuper chacune de deux d’entre elles ?Amandine et Laura se regardent, un peu surprises : voilà une question à laquelle elles ne s’attendaient guère. Finalement, Laura répond :– Oui, ma chérie ! Nous le ferons pour toi. Mais… est-ce qu’il ne faudrait pas qu’on s’entraîne un peu ?En riant, Virginie les attire toutes les deux contre elle. Elles s’embrassent à pleine bouche, puis elles se caressent mutuellement les seins, les fesses et elles descendent au sexe. Virginie leur dit qu’elles peuvent se mettre en rond, la bouche de l’une étant sur le sexe de sa voisine la plus proche.Finalement, avec beaucoup de délicatesse, Amandine fiste Virginie qui elle-même rend le même service à Laura, laquelle met sa main dans le sexe d’Amandine.Tout en se faisant ceci, elles embrassent le sexe qu’elles occupent et plus particulièrement le clitoris qui se dresse devant leurs yeux.Après ce premier round, elles se reposent quelque peu les unes contre les autres, tendrement emmêlées, puis elles décident de refaire la même chose en changeant de partenaires : Amandine pour Laura, Laura pour Virginie et cette dernière pour Amandine.Dans la salle, les miroirs sont les témoins de leurs étreintes qu’elles accomplissent jusqu’à l’orgasme, les yeux fermés, chacune se concentrant sur son propre plaisir mais aussi sur celui de sa partenaire.Elles n’enlèvent pas leurs mains de l’endroit bien chaud et humide où elles se trouvent et se reposent, la tête sur le ventre de celle dont elles occupent le sexe.Elles sont quasi-endormies lorsque Mamie Simone, qui les cherche, leur dit :– Eh bien, Mesdemoiselles, je vous cherche partout pour vous dire que le repas est prêt. Allez, venez !En riant, chacune sort délicatement sa main de l’endroit qu’elle occupait puis elles se redressent et imitent Virginie, qui enlace la vieille femme dans ses bras et lui dépose deux baisers sonores sur les joues en lui disant :– Merci, Mamie Simone. Nous étions…J’ai vu, répond-elle en souriant.Amandine et Laura, à leur tour, se précipitent à son cou et lui font des bises sonores, ce qui leur vaut une réponse tendrement amusée :– Arrêtez, vous allez me décoiffer. Venez plutôt manger.Elles la suivent tandis qu’elle leur apprend :– Vous avez de la chance : vous êtes très très belles toutes les trois, surtout quand vous êtes ensemble !Et le train-train de toutes leurs soirées reprend : elles apprécient le repas concocté à leur intention par Mamie Simone ; elles lui disent au-revoir puis vont dans leur chambre où elles font une rapide toilette avant de se glisser dans leur lit.
Ce soir-là, elles parlent beaucoup : qu’est-ce que Sylvie peut-elle bien vouloir faire avant la « réception » du soir ?Finalement, lasses de s’interroger à ce propos, elles finissent par faire l’amour, Virginie demandant aux deux filles de la fister dans le rectum car elle a ses règles. Elle leur précise :– Laura, prend le tube de crème qui est dans la table de nuit, s’il te plaît.La jeune femme lui obéit. Virginie précise :– Mes règles, ça tombe mal ; mais au moins, comme ça, je serai complètement à vous. Je veux que vous vous mettiez dans moi, de ce côté-là, comme vous l’avez fait par devant.Inquiète, Amandine interroge :– Mais… tu es sûre qu’on ne va pas te faire mal ?– Sûre, ma chérie. Allez, mettez de la crème sur vos mains et sur mon petit trou, puis allez-y.Amandine et Laura agissent ainsi que Virginie leur a expliqué. Elle les guide un peu avec ses propres mains, et finalement, au bout d’un long moment, elles se retrouvent avec leurs deux mains enfoncées jusqu’au poignet et même au-delà dans le rectum de Virginie qui leur demande d’une voix implorante :– Mes chéries, je voudrais que vous vous mariiez en moi de ce côté-là comme vous l’avez fait dans mon sexe.Les deux jeunes femmes, intimidées au début, croisent doucement leurs doigts dans le rectum de Virginie qui, avant de partir dans une jouissance à laquelle ni Laura ni Amandine ne s’attendait, leur déclare :– Je suis heureuse, mes amours ! Je vous ai mariées dans mes deux orifices et je ne l’avais jamais fait. Il n’y a que dans ma bouche que je ne peux pas. Je suis heureuse !Des larmes de bonheur baignent ses joues.Les jeunes femmes retirent précautionneusement leurs mains et Virginie, qui sombre déjà dans la torpeur agréable qui précède son sommeil, leur demande de lui mettre une serviette périodique très épaisse avec une culotte en plastique car elle a des règles très abondantes au début et qu’elle ne veut pas tacher les draps.Après cela, épuisées par leur séance d’amour, les trois jeunes femmes s’endorment d’un seul coup.
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