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Les aventures d'un étudiant en lettre

Chapitre 2

Hétéro
Depuis ma précédente expérience avec Elsa, mon imagination et ma créativité pour attirer de nouvelles conquêtes dans mon lit ont décuplé.
«Et tel Alexandre, je souhaiterais qu’il y ait d’autres mondes pour pouvoir y étendre mes conquêtes amoureuses ».
Je fis de cette réplique ma devise et de Dom Juan mon modèle. Moi, Alfred, 18 ans allait découvrir les affres du plaisir. Bien que mal à l’aise avec ma copine depuis mon après-midi torride, je ne regrettais en rien mes actes et cherchais une nouvelle proie. Je souhaitais changer de décor, de type de partenaire pour encore élargir le champ des possibilités sexuelles qui s’offraient à moi. A ma grande surprise et pour mon plus grand plaisir, ce ne fut pas moi qui trouva ma future aventure mais le destin lui-même. Le 25 février, quelques jours après mes ébats majestueux, je me rendis à un oral d’histoire blanc ; et là surprise à la place de ma professeur habituelle je tombe face à face avec une femme d’une beauté resplendissante, pleine de charme.
Une trentaine d’années, peut-être plus, des cheveux roux longs et lisses qui formaient un véritable feu d’artifice de nuances, des yeux vert clair à l’éclat mystérieux, un corps élancé dans une robe pourpre, un décolleté profond laissait apparaître un soutien-gorge noir, en dentelle. De légères taches de rousseur lui parfumaient son visage couleur lait. Ses seins généreux attiraient mon attention tout comme ses collants à motif noirs qui à chacun de ses pas prenaient une teinte différente. Un maquillage très léger allumait son regard qui me scrutait en rentrant dans la salle d’’examen. Ses boucles d’oreilles d’émeraudes, son parfum à la fois envoûtant et musqué, son maintien impeccable, tout m’attirait chez elle. Il me fallut faire un effort incommensurable pour retrouver ma concentration nécessaire pour mon oral. Après vingt minutes pendant lesquels j’avais exposé mon propos, elle me posa de nombreuses questions auxquelles j’avais à cœur de répondre correctement. Alors que nous discutions de la qualité de mon exposé, quelque chose durcit en moi, ce qui ne m’aida pas à rester concentré. Je redoutais l’instant où il faudrait se lever, où il faudrait quitter cette atmosphère langoureuse.
J’avais quitté notre univers, je volais dans cette classe à travers un espace sans limite. Mais il fallut atterrir, une fois sortie j’eus ce sentiment de frustration qui fait suite à un acte non accompli. Ma décision était prise, je devais essayer quelque chose, je m’assis près de la salle et réfléchit à une stratégie, la tâche s’annonçait particulièrement ardue. Deux autres candidats passèrent, mais aucune idée ne me venait. Le temps défilait et il se fit tard, vers 19h00 la dernière candidate quitta la pièce, j’attendais. La voila, je ne savais pas quoi dire, mais elle était devant moi, mon corps entier frissonna et mon sexe se redressa de nouveau. Finalement je parvins à retrouver mes moyens pour la questionner sur la qualité de ma prestation. Je pense qu’elle avait déjà compris mes intentions, un large sourire marqua son visage. Tout en discutant de mon sujet, nous descendions les quelques marches qui nous séparaient de la sortie. J’étais aux anges ! Je réussissais à maintenir un contact, un lien et donc un espoir de réaliser mon fantasme. Mon sexe ne débandait pas, nous étions arrivés sur le parking quand elle s’en est aperçue. Elle émit un rire sonore avant de déclarer :
« Et bien, on dirait que tu es tout chose, je te fais de l’effet on dirait. »J’étais rouge de honte et complètement paralysé, je me sentais perdu. A ma grande stupeur, elle m’invita à monter dans sa voiture. Pendant tout le trajet, un silence pesant régna mais je sentais quelque chose qui grandissait en moi. Si bien que lorsqu’elle me demanda ou j’habitais, je répondis avec une grande témérité «Qu’importe où je loge, j’aimerais plutôt découvrir…» mes mots se perdirent dans son éclat de rire fracassant, elle répondit :«Tu ne manques pas d’audace, j’espère que tu seras aussi vigoureux tout à l’heure jeune homme.» Plus un mot ne fut prononcé. A peine quelques minutes plus tard, elle se gara en face d’une grande maison. Elle m’emmena jusque dans le salon ou elle m’offrit à boire. La discussion était horriblement plate et je sentais l’instant crucial venir. Soudain elle dit : «Allons voyons cela , cette queue doit étouffer depuis tout à l’heure». C’est vrai, je bandais encore, elle déboutonna mon jean et ôta mon caleçon. Je tremblais, elle le remarqua, me sourit et commença à me caresser puis à me sucer doucement. Sa langue experte jouait avec mon sexe, tout deux s’entremêlaient dans sa bouche, puis elle se mit à me branler. Elle portait toujours sa robe pourpre décolleté ce qui me donnait une vue fascinante sur sa paire de seins imposants. Enlevant le reste de mes habits, je prenais un plaisir orgastique à voir cette femme fatale me pomper le dard avec vigueur. Puis elle s’arrêta et me dit : «ça suffit pour l’instant, voyons de quoi tu es capable». Tout en parlant, elle avait remonté sa robe jusqu’à sa taille et me présentait une petite culotte noir en dentelle. Sans hésiter, je voulus la caresser, mais elle m’interrompit. « Prends ton temps» susurra t-elle. Après plusieurs minutes de caresses où mon excitation était incontrôlable, elle m’autorisa à lui lécher le clitoris. Elle semblait insatisfaite et sans cesse elle me rabâcha des conseils, au bout d’un bon quart d’heure elle fut enfin comblée par un mouvement de langue rapide autour de son clitoris. C’était enfin parti, je me mis à la doigter sans relâche et à peloter ses bons gros seins. Elle retira dans un geste gracieux sa robe qui glissa à terre puis dégrafa son soutien-gorge de dentelle avant de me le mettre en bouche. J’étais à elle, j’exécutais toutes ses directives, je léchais, doigtais, caressais… Enfin elle poussa un gémissement de plaisir, ce qui me soulagea. Bien que son pubis soit légèrement poilu, sa fente était nette, propre et large. Je ne sais combien de temps je suis restée la agenouillé face au fauteuil ou elle écartait ses longues jambes en lui procurant un plaisir modéré. Puis elle m’autorisa enfin à faire comme il me plaisait, alors je lui enfonce le majeur et l’auriculaire droit dans le vagin et me met et faire des va et vient très rapides. Sa réaction ne fut pas longue à venir, elle poussa un hurlement de plaisir, je sentis sa chatte se contracter autour de mes doigts, une marée d’hormones l’envahirent. Un liquide chaud se répandait sur ma main, j’amplifiais encore le mouvement et de nouveaux cris parvinrent à mes oreilles. Tout en léchant avec vigueur son clitoris gonflé je continuais ce mouvement vertical. Puis sans prévenir, un flot de liquide transparent jaillit de son sexe, un torrent de plaisir lui arracha un cri venu d’ailleurs, je fus inondé par ce fleuve qui n’en finissait pas de s’écouler : elle avait éjaculé. Après quelques instants de latence, elle me fit signe de la pénétrer, et avec douceur ma queue découvrit son vagin. Debout, j’observais cette beauté de la nature, les jambes écartées, allongée sur le divan, elle était si belle, son parfum me fit chavirer et je redoublai d’intensité. Je pose ma main sur ses seins, puis les fais glisser sur ses fesses bien rondes. Puis elle se retourne, me présentant son joli cul pour que je la prenne en levrette. Ses gémissements s’accentuèrent d’avantage dans cette position, je ne pus résister à l’envie de lui mettre une bonne fessée qui laissa une belle marque pourpre sur sa fesse droite. Je sentais le sperme qui avançait doucement mais sûrement, à mon grand regret. Elle dut le sentir car elle ordonna que l’on rechange de position, je m’assis sur le fauteuil et elle vint violemment me pénétrer. Ma tête était plongée dans la courbe de ses seins, je sentis ses doigts autour de mon crane, ses ongles réduisirent la peau de mon dos en lambeau. Elle sautait avec force et détermination sur ma queue tendue comme jamais, j’aurai voulu que ce moment ne finisse jamais. A moitié asphyxié par ses courbes avantageuses je ressentis une vive pression sur l’arrière de ma tête, elle accéléra encore, ses cris me percèrent les oreilles, et encore, de plus en plus aiguë, et encore, j’implose, elle exulte dans un mugissement surpuissant et se laisse tomber sur mon sexe encore vibrant de plaisir. Elle tremblait. Puis mordillant mes pectoraux, voulut savoir si j’avais déjà envoyé la sauce, à son grand plaisir je lui dis que non. Alors elle se retira précautionneusement, retira la capote trempée et se mit à me branler. Trois mouvements plus tard un liquide chaud et épais trônait entre ses seins. Elle les massa un moment puis me fixant, lécha chacun de ses doigts. J’ai ensuite passé une très longue nuit en sa compagnie, ou elle m’expliqua de nombreuses choses sur l’anatomie féminine et sur les plaisirs de la chair. Elle m’initia à quelques nouvelles pratiques telles que l’anulingus. Le lendemain la journée me parut immensément longue, malgré tout le plaisir pris durant cette nuit, je savais que je ne recoucherai pas avec elle. Ma quête est longue et je ne peux m’attarder sur chacune de ces fantastiques créatures qui peuplent notre terre. Cette femme fut un nouveau déclic dans ce voyage initiatique, cependant je n’ai jamais su son nom.
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