Masturbation, fellation, éjaculation faciale, branlette espagnole, cunnilingus, autant de mots que j’aspire à découvrir avec profondeur. Me voila lancé sur un chemin, sans retour possible, celui du plaisir au jour le jour. Sans réellement me fixer d’objectif j’imagine l’immensité des possibilités que nous offre le corps humain. Depuis mon « oral » d’histoire, je cherche de la nouveauté, certes je pratique encore jour après jour le missionnaire avec ma copine mais à tout moment une nouvelle histoire torride peut apparaître. En cette journée ensoleillée du 1er mars, alors que j’avais terminé les cours, je remontais les rues pentues de Rouen en compagnie de Clarisse, camarade de galère en classe préparatoire littéraire. Arrivés à un croisement, la petite brune guillerette s’arrête net ; une grande femme aux cheveux ébène et à la peau matte lui saute dans les bras. Surpris, je garde mes distances, gêné. Après une rapide présentation j’apprends que ma chère Clarisse est bisexuelle et que je suis face à sa «copine». Abasourdi, j’essaye de cacher ma frustration et ma surprise, prenant l’air dégagé. N’ayant rien à faire en ce vendredi soir elles m’invitent à les raccompagner. Sans réelle arrière pensée j’accepte avec plaisir, le beau temps me rend joyeux. La ballade rouennaise se poursuit et écoutant leur conversation j’apprends qu’elles organisent un apéritif avec de nombreux amis à nous.Quatre jours plus tard, je me retrouve assis sur un pouf au milieu d’un vaste salon richement décoré, nous sommes chez Ophélie, l’amie intime de Clarisse. L’ambiance est bonne et la dizaine d’invités rigolent bruyamment, après quelques verres alcoolisés, un karaoké débute. Je profite que l’attention soit fixée sur les chanteurs pour observer Clarisse : elle est très en beauté ce soir, sa petite robe de soirée noire laisse apparaître des formes fines et élancées. Plutôt petite, cette brunette pleine d’énergie se tenait de telle façon que j’avais une vue idéale sur une culotte rayée bleue et blanche. Figé sur cette vision je ne fis pas attention et renversai tout le contenu de mon verre. Troublé je m’excuse auprès d’Ophélie et en rigolant vient éponger, la grande et belle femme aux formes généreuses, en se penchant, m’offre une vue imprenable sur un fessier rebondi qui ne me laissa pas indifférent. La fin de la soirée approchant, la plupart des invités nous quittaient, tant et si bien que nous nous retrouvâmes tous les trois complètement seuls. Je leur propose alors mon aide pour aider aux rangements, elles acceptent avec plaisir. Pour me remercier, Ophélie m’offre un dernier verre dans la cuisine. Clarisse vient alors s’asseoir sur ses genoux. Alors que l’on discute je vois les mains des deux filles remuer, Clarisse rougit.Je reste sans réaction, je me rends compte que je suis seul avec deux filles particulièrement jolies qui ont l’air d’être dans un état d’excitation avancée. Je sens mon sexe frémir sous le caleçon. Soudain la main d’Ophélie s’avance sous la robe noire et commence à peloter les petits seins qui s’y trouvent. Je vide mon verre très rapidement, me lève et m’approche de ce couple lesbien en pleine action. J’hésite, mais mon désir monte très rapidement, d’autant plus quand je remarque que la culotte de Clarisse est à terre et que des doigts s’agitent autour de son clitoris. Doucement je m’accroupis, je soulève le voile noir et donne un bon coup de langue entre les doigts et le petit bouton. Clarisse gémit, je décide de continuer. A ce moment Ophélie monte sur la table et écarte ces cuisses découvrant un string mauve, Clarisse commence à s’occuper d’elle. Je sens ma queue bouillir, en léchant cette chatte bien humide qui émet des odeurs fortes mais terriblement bandantes. Prenant de l’assurance je commence à la doigter doucement, à ce moment Ophélie redescend de la table et s’agenouille devant moi, elle commence à décrocher ma ceinture puis à ouvrir ma chemise. Très vite mon dard est sorti, elle le suce maladroitement, mais au moment où je ne m’y attendait plus, elle l’enfonce complètement dans sa gorge. Un râle profond sort de ma bouche pendant que je doigte rapidement. Je sens la fille remuer au bout de ma langue, elle se tortille en gémissant, sa vulve rougit et gonfle. Ma queue grandissante dans la bouche d’Ophélie en crève d’impatience. Je sens que la nuit sera longue… tant mieux ! Les effluves de sa chatte m’envoûtent et je redouble d’intensité. Puis alors que Clarisse se remit à jouer avec les seins et le sexe d’Ophélie, je l’empale au bout de mon dard et la baise vigoureusement. Nos corps claquent ; elle, assise sur sa chaise, la tête sur la chatte de sa copine, moi debout une main sur ses seins et l’autre s’appuyant sur la table. Elle se met à gémir de plus en plus fort, Ophélie l’accompagne et j’assiste à un duo de cris de plaisir. La pièce s’embaume d’une odeur suave et forte qui démultiplie nos vélocités respectives. Mes jambes brûlent, sa chatte humide trempe ma bite qui claque encore et toujours rythmant nos ébats. Une fois que Clarisse a joui, je passe à Ophélie, penchée au dessus du bar me présentant son cul bien rond. Pendant ce temps je vois l’autre chaudasse qui se masturbe tout en me léchant les couilles. La chatte d’Ophélie est bien chaude grâce au travail précis de la langue de Clarisse. C’est si bon, je sens la sueur qui ruisselle sur tout mon corps, les deux femmes créent une harmonie vocale avec leurs cris le tout accompagné par le claquement continu. Elles jouissent en même temps dans un écho sonore impressionnant.Après quelques minutes de répit, elles se mettent toutes deux en levrettes sur le canapé du salon, je commence par la plus grande, puis je passe à l’autre alors qu’elles se roulent des pelles impressionnantes. Je m’assois sur le divan, l’une me monte dessus pendant que je doigte l’autre, dans ce trio infernal je ne distingue plus les deux cochonnes qui jouissent l’une après l’autre à de nombreuses reprises. Enfin je déverse mon sperme crémeux sur leur langue, elle joue avec le faisant couler d’une bouche à l’autre. Mon excitation remonte à la vue de ce spectacle étonnant, et c’est reparti pour un tour, toujours assis la petite Clarisse saute sur mon sexe, sa chatte me trempe les jambes. Pendant plus de deux heures nous continuons, enchaînant les positions, accumulant les éjaculations et les orgasmes. Complètement vidés nous nous étalons sur les tapis du salon face aux miroirs, nos corps tremblent encore, la sueur créé des éclats luisants sur nos muscles fatigués, l’odeur est devenue insupportable, la pièce méticuleusement rangée s’est transformé en un champ de bataille. Je vois la pièce tournée puis le noir. Je me réveille le lendemain matin au milieu de ce salon, les deux corps inertes sont à mes côtés.Après une bonne douche bien méritée je quitte la maison plein d’images incrustées à tout jamais dans ma mémoire ; mon premier plan à trois était si merveilleux… Une nouvelle étape dans mon initiation aux vices des plaisirs artificiels, de la chaire.Chaque jour plus complète ma connaissance sexuelle reste cependant encore très restreinte…Vivement ma prochaine aventure
