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Les aventures d'un étudiant en lettres

Chapitre 7

Orgie / Partouze
VII. Une soirée qui dégénère

Le printemps est arrivé hier et – comme tous les ans – le lendemain du 21 mars c’est l’anniversaire de mon meilleur ami, Jules. C’est un grand gaillard qui me ressemble ; étant petits on nous croyait frères. Cette année, il fête son 19ème anniversaire chez lui, dans un appart’ assez grand à quelques kilomètres de Rouen. Je suis invité à venir avec ma copine ; j’accepte presque à regret, comme j’aurais pu trouver une nouvelle aventure de dingue.
Nous arrivons vers 20h : toujours à l’heure. Je prends le temps de regarder ma copine ; je connais son corps par cœur. Un visage doux, une peau très blanche parsemée de grains de beauté, un long corps très fin, de bons seins bien ronds que j’aime caresser le matin au réveil.C’est une très belle femme qui possède un style de caractère, et pas maladroite dans un lit. Je l’aime, c’est certain, mais mon aventure n’est pas contradictoire avec cet amour : je veux simplement découvrir ce monde du libertinage et je sais qu’il n’est pas fait pour elle.
Ce soir, elle porte une robe en coton coloré, à majorité pourpre. Ses longues jambes sont entourées de bas, ce qui lui donne un charme inexplicable. Comme à son habitude, elle est maquillée très légèrement. Ses seins charnus dessinent des formes infinies sur ce corps de princesse. Son collier bleu met en valeur ses sublimes yeux clairs dans lesquels se reflète mon regard. Nous approchons doucement de l’immeuble main dans la main, heureux et détendus. Jules nous ouvre la porte, il a l’air guilleret ; derrière lui se tient Emilie, sa copine depuis trois ans, une petite brunette d’origine maghrébine. Elle porte une robe de soirée sombre, très distinguée, et son sourire habituel trône sur son visage très fin. Nous nous installons dans le salon où nous attendons les autres invités ; il y aura deux autres couples.
Très rapidement arrivent Hélène et Anthony, un couple étonnant composé de cette petite femme à l’allure estudiantine avec ses lunettes et ses couettes, et ce grand monsieur de près de deux mètres au corps charpenté, aux cheveux épais d’un noir intense. Je les connais depuis le collège, elle surtout ; elle n’a pas grandi depuis, je crois bien. Son petit corps est resté tout fin et ses doigts de bébé font pâle figure dans les pattes de son ami de taille. Enfin, après quelques minutes pendant lesquelles l’alcool coule, Jeanne arrive accompagnée de son nouveau fiancé, Christophe. Un couple charmant de cadres dynamiques dans le domaine de la finance. Cette femme rondelette attire la sympathie ; ses piercings au nez et au nombril lui donnent un certain style. Elle porte un haut jaune et une petite jupe bleue. Lui, plus commun, est venu en costume de travail.
Tout ce beau monde réuni entame un repas convivial où chacun raconte ce qu’il devient. Assez discrète, ma copine garde une main sur ma cuisse et sa tête vient se poser régulièrement sur mon épaule. À la fin d’un dîner bien arrosé, Jules nous propose un jeu nouveau qu’il ramène de vacances. Le but est de se donner des gages, plus ou moins osés, en tirant des cartes et en lançant des dés. Évidemment, très vite, quelques habits tombent ; l’ambiance devient très détendue et tout le monde y va de son petit commentaire. Alors que c’est mon tour de jeu, la carte m’indique que je dois embrasser le nombril de la troisième personne à ma gauche et que cette dernière devra enlever un vêtement supplémentaire. Mon regard tombe sur Emilie qui – toute heureuse – ôte avec grâce sa robe, nous dévoilant un sublime soutien-gorge noir et un ensemble de lingerie très raffiné : bas maintenus par un porte-jarretelles, le tout égayé par un string provocant. Après avoir réalisé mon gage, je ne peux m’empêcher de laisser une main traîner sur sa hanche ; l’assemblée est médusée par tant de fanfreluches, l’excitation est montée d’un ton. Le second moment fort suit de quelques minutes, lorsqu’Hélène, déjà en sous-vêtements, doit aller caresser le sexe d’un homme sous peine de perdre un habit. Gênée, elle se dirige vers moi, et vient d’une main lente masser mon sexe devenu dur dès son choix effectué. Ce gage va alors mettre le feu aux poudres et, en quelques instants, la pièce composée de deux fauteuils et d’une table basse va devenir un véritable terrain pour une orgie exceptionnelle.
La caresse me fait un effet atomique et, oubliant ma copine, je plonge la main dans sa culotte en lui roulant une pelle très sensuelle. Alors Jules et Emilie débutent la partie par un « Allez, tout le monde à poil ! » et, joignant le geste à la parole, Emilie débute une grosse fellation. Tous les invités se mettent nus ; je ne fais pas attention à la réaction de ma copine, trop occupé à exciter le clitoris d’Hélène. Quand je l’aperçois enfin, elle est en train de s’occuper de Jeanne. Alors, la soirée devient pour moi un flou artistique complet, dans un torrent de mains, de pieds et de corps enlacés ; nous débutons tous une partouze, ma première partouze. D’abord troublé, je me fais vite à l’idée lorsqu’Emilie, ayant laissé Jules aux soins de ma copine, vient accompagner Hélène dans une double pipe. Mon sexe est à la fête : elles enchaînent caresses, coups de langue et gorges profondes, elles m’avalent les couilles, me sucent le gland, me branlent avec panache. Mes doigts continuent de faire grossir un clitoris, puis s’enfoncent dans un vagin humide. Je ne sais plus qui fait quoi, je suis emporté dans un flux de plaisir et d’orgasme. Les fluides se mélangent, des gémissements traversent la pièce ; je crois reconnaître les petits cris aigus de ma copine. Reprenant mes esprits, je me retrouve la langue dans un minou bien taillé en triangle, à genoux devant le canapé auquel la fille est adossée. Sans chercher à savoir qui c’est, je lui enfonce deux doigts avec vigueur. Alors que je lui donne un premier orgasme, je sens une bouche autour de ma queue ; elle branle et suce en cadence pendant que mes doigts continuent à se perdre dans la chatte humide.J’entends alors des cris sourds et puissants : certains commencent à baiser !
L’atmosphère est brûlante ; l’odeur suave de nos corps entremêlés atteint mes narines, surmultipliant mon désir. C’est alors que je laisse échapper un petit « ah » quand mon sperme tout chaud est avalé à grandes gorgées par la fille à mes pieds. En moins d’une minute, dans cette ambiance, ma queue est de nouveau toute dure et je pénètre la première chatte qui passe, en missionnaire. C’est Emilie ; je sens son corps chaud, ses seins généreux contre mon torse. Sa moule est bien trempée : elle n’en est pas à sa première bite, ce soir… Nos deux corps claquent, mon cœur s’accélère, je sens des mains se poser sur mon dos. L’une des filles s’appuie sur moi pour être prise en levrette. Sur mon cul, ses mains sont douces, mais quand la salope a un orgasme, elle me plante ses ongles dans le creux des reins. Je ne peux m’empêcher de crier quand cette douleur vive traverse ma peau. Comme pour se faire pardonner, la fille se met à me lécher les couilles et le sexe pendant que je continue à mettre de grands coups dans cette chatte toute ouverte par mes soins. Le sang bat dans mes tempes, une grande chaleur m’envahit et le travail de langue de la salope à genoux me fait jouir : je déverse une bonne saucée de foutre sur le corps inerte d’Emilie, qui semble s’endormir malgré les cris de plaisir qui gagnent encore en intensité.
Je me retourne alors et vois les cinq autres invités les uns sur les autres : une fille est coincée sur un des canapés entre deux mecs, l’un lui laboure le vagin et l’autre lui baise la bouche. Le dernier couple est juste en-dessous, au sol ; la femme saute sur sa queue, faisant rebondir son petit cul bien rond dans un claquement sec. Derrière moi, les deux filles se sont positionnées en 69 et se lèchent mutuellement. Ainsi rangé au rang de spectateur, je laisse le temps à mon sexe de reprendre son souffle. Une fois ma dureté retrouvée, je m’approche de la fille qui saute et lui enfonce ma bite droit dans la gorge, sans la prévenir. Elle s’étouffe à moitié avec mais semble aimer ça ; elle la prend en bouche. Ainsi positionné, j’assiste à des orgasmes multiples : l’un des deux mecs sur le canapé – celui de derrière – lâche une grosse purée bien épaisse sur la fesse déjà luisante de la fille qui hurle de plaisir. Alors, celle qui me suce jusque là, vient d’un coup de langue essuyer cette souillure sur le corps de rêve. Excité par ce geste, je me précipite et rentre mon dard bouillonnant dans ce trou bien ouvert. Passer après un autre mec est une sensation étrange mais agréable ; le vagin est bien humide. J’imprime d’entrée une très vive cadence. Devant moi, je vois Jules qui se fait sucer goulûment par celle que je tiens au bout de mon sexe. D’un regard, je comprends ce qu’il souhaite faire ; il s’assied sur le fauteuil voisin. Je fais signe à la fille d’aller s’empaler sur lui. Elle s’exécute, et pendant qu’elle se met à remuer sur cette queue, je lui prépare son petit trou à coups de langue et de doigts. Puis, une fois l’endroit bien lubrifié, je viens lui rentrer mon sexe dans l’anus. Ça doit être sa première sodomie car son cul est étroit ; ma bite est toute serrée dans cet orifice. Je m’en veux d’être aussi direct en enculant cette fille avec tant de force, ce qui lui arrache un cri monstrueux, entre plaisir et douleur. C’est trop tard pour réfléchir, alors je continue sans relâche, pris dans cette double pénétration, Jeanne – puisque c’est elle – hurle et tout son corps tremble. Je sens tous ses muscles se contracter à chacun de mes coups, la sueur coule le long de son dos, mes mains sur ses hanches la maintiennent ; en-dessous de nous, Jules, dont la longue queue pénètre son vagin, essaie de donner des coups dans le même rythme que moi. Nous parvenons enfin à trouver le truc pour enculer et baiser cette fille dans la même cadence. Mais cette réussite n’est que de courte durée car Jules jouit ; elle, dans un râle de bonheur, expulse plusieurs longs jets de liquide blanc et visqueux sur l’entrecuisse de la demoiselle.
Me retirant de ce corps encore tremblant de fatigue et de désir, je me retourne et vois un tableau inattendu : Anthony, ayant joui tout à l’heure, dort dans un coin ; Christophe, étendu sur le sol, jouit dans la bouche d’Hélène alors que ma copine et Emilie continuent leurs cunnis endiablés. Leurs corps, tels des feuilles inertes, vont et viennent avec leur courbure. Leurs dos s’arquent en des courbes aux dimensions inhumaines. Soudain, Emilie, dans un ultime sursaut, éjacule, trempant le parquet d’une mouille abondante. Ma copine se tourne alors vers moi, les yeux brillants d’un désir furieux ; elle se lève vivement et, tremblante, elle m’embrasse. Je la soulève en utilisant mes dernières forces, la plaque contre le mur, attrape sa jambe droite et commence à la pénétrer de toutes mes forces. En à peine quelques coups, je sens son corps se raidir, sa chatte se remplir de mouille, puis elle se laisse tomber à genoux. Pris d’un instinct hors-normes, je lui attrape les cheveux et finis de me branler sur ce visage d’ange. En quelques allers-retours je vois une nappe de liquide épais recouvrir cette petite bouille, ce visage épuisé par l’effort.
Je sens mes jambes tressaillir et je m’effondre sur le sol ; mon corps entier est éreinté. Je me sens bien, et d’un dernier mouvement je vois la totalité des invités dormant ou somnolant, le corps inerte, parfois recouvert de fluides divers. L’odeur est âpre ; forte, la mouille d’Emilie dévale le parquet vers la porte. Mon sexe, redevenu, flasque est épuisé ; la tension présente dans cette pièce depuis des heures est retombée. Mes yeux se ferment seuls. Je me laisse partir dans un sommeil salvateur ; demain sera un autre jour…
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