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Les aventures extraordinaires de Firmin.

Chapitre 1

La belle au parking (Partie 1/2).

Avec plusieurs hommes
Je m’appelle Firmin et j’ai 50 ans. Je suis originaire de nulle part et de partout ; je suis un célibataire endurci car mes longues années de service dans les forces spéciales françaises ne m’ont pas permis de m’enraciner quelle part et de fonder une famille. Mais je ne regrette rien car cette vie de baroudeur aux quatre coins du monde a répondu à toutes mes attentes. Vous vous en doutez, Firmin n’est pas mon vrai prénom mais, dans les forces spéciales militaires comme dans les unités d’élite de la police ou de la gendarmerie, on ne donne jamais sa véritable identité. Ma carrière militaire s’est achevée il y a quelques années au Mali près de la ville de Tombouctou. La balle d’un rebelle touareg m’a éclaté l’épaule gauche et les médecins ont décidé que je ne pouvais plus continuer à partir en opérations extérieures. J’ai donc décidé de quitter l’armée plutôt que d’être renfermé dans un bureau à gratter de la paperasse. Depuis, je conduit un taxi à Paris et j’exerce de temps en temps, comme vous le lirez, les fonctions de chauffeur de maître. Je suis libre comme l’air !   Libertin dans l’âme et dans le corps, j’ai toujours fréquenté les clubs coquins et autres lieux chauds de Paris. Il y a déjà une bonne dizaine d’années, lors d’une permission dans la capitale, j’avais sympathisé avec le gérant d’un restaurant libertin rue des Martyrs. Sorlut était, paraît-il, un ancien espion de la DGSE et j’avais plaisir à fréquenter son établissement. Nous parlions de ces contrées lointaines, qui nous manquaient, en buvant un verre de vin accompagné d’un bon petit plat. Depuis, « Chez Sorlut » a disparu de même que chez « Chris et Manu », un club de la rue de la Rochefoucault dans le 9ème arrondissement où j’avais mes entrées. La patronne m’appréciait bien, comme Piaf, je pense qu’elle aimait les tatouages et le parfum de sable chaud. Plus récemment, c’est mon ami Maurice qui a bouclé les portes du Béverley, le dernier cinéma pornographique de la capitale. Les cannibales de l’immobilier ont eu la peau de ces petits coins sympas ! C’est maintenant sur internet que l’on peut rencontrer ses partenaires de jeux entre adultes consentants ; c’est beaucoup moins sympa ! En ce qui me concerne, le chemin qui mène au plaisir est aussi important que la destination. La jouissance du corps et l’irruption de foutre ne sont pas une fin en soi. Ce qui compte, c’est l’excitation progressive, le plaisir cérébral, la jouissance de l’esprit, l’ivresse des sens, … Pas facile de trouver son bonheur sur internet où beaucoup sont dans la recherche du plaisir immédiat !   Heureusement, au hasard de mes discussions sur quelques sites libertins, j’ai fait la connaissance de Thierry. Il est dans mes âges, travaille sur Paris et partage globalement ma philosophie du sexe. Au cours de nos échanges, il m’a avoué qu’il souhaitait rebooster sa relation amoureuse avec son amie Alex. Cette dernière, peut-être à cause de son âge, a perdu goût au plaisir, aux sorties coquines et aux rencontres libertines. Pourtant, semble-t-il, Dieu sait qu’elle a aimé cela à une certaine époque !!! Au fil de nos conversations, j’ai proposé à Thierry de l’aider à redonner de l’appétit sexuel à Alex. Je dois avouer que je n’étais pas désintéressé car les photos que m’avaient montrées Thierry étaient des plus sensuelles. Si la belle Alex retrouve l’appétit, qui sait si un jour je ne serai pas au menu …. Mais dans l’immédiat ce n’était pas l’objectif ! A mes yeux, ce qu’il fallait, c’était que Thierry parvienne à sortir Alex dans quelques lieux publics, si possible coquins, et qu’il réussisse à l’exhiber et plus si possible mais sans la brusquer. Il fallait impérativement que ce soit elle qui reprenne goût aux jeux coquins et aux plaisirs de la chair.   Nous convenons finalement avec Thierry de tenter une sortie nocturne sur un parking routier dans les proches environs de Paris. Le soir venu, je décide de laisser mon taxi au garage pour sortir ma vieille voiture de collection et ainsi jouer au chauffeur de maître. C’est donc au volant de ma Jaguar blanche MKII, intérieur cuir noir et tableau de bord en ronce de noyer, roues rayons, que je me gare dans une petite rue près du parc Monceau. Tandis que Thierry contourne la voiture et s’installe à l’arrière gauche, j’ouvre la porte arrière droite et Alex s’installe. Elle a dû recevoir des consignes précises car je remarque qu’elle soulève l‘arrière de son manteau puis relève bien sa jupe avant de s’asseoir sur la banquette en cuir. Comme j’ai pu apercevoir furtivement qu’elle porte des bas, ses fesses sont ainsi directement en contact avec le cuir. La qualité d’une sortie se joue dans les détails…. A peine suis-je installé au volant que Thierry me dit - Firmin, nous allons où vous savez. Je lui réponds - Bien monsieur. et nous voici en route pour la banlieue ouest de Paris. L’intérêt de mon métier de taxi, c’est que je connais maintenant parfaitement Paris et ses environs. Ce sont surtout mes courses de nuit, pour raccompagner des noctambules à leur domicile, qui m’ont permis de bien connaître les recoins de la capitale, ceux où les corps s’embrasent et se consument en l’espace de quelques instants.   Après un petit quart d’heure de route, je sors de l’A86 et je m’engage dans les petites rues de Gennevilliers qui mènent vers la zone portuaire en bord de Seine. Je ralentis l’allure puis m’engage sur un parking où sont stationnés de nombreux poids lourds. Ils sont là pour la nuit de manière à pouvoir charger ou décharger leurs marchandises dès l’aube et ainsi repartir pour la suite de leur tournée. Je gare la Jaguar entre les semi-remorques et autres camions et coupe le moteur.  Dans le rétroviseur intérieur, je vois que Thierry s’est rapproché d’Alex et commence à lui caresser les jambes et l’embrasser dans le cou. La belle est un peu craintive et le lieu l’intimide certainement. Heureusement, son compagnon semble bien la connaître et sait lui prodiguer les gestes qu’il faut. Alex se détend, la main de Thierry remonte sous le manteau qui m’empêche de voir ses jambes. Au bout d’une dizaine de minutes de caresses sensuelles et de baisers brûlants, Thierry parvient à retirer le manteau d’Alex et quelques instants supplémentaires lui suffisent pour défaire les boutons du chemisier et l’ouvrir en grand laissant ainsi apparaître un charmant soutien-gorge Aubade noir et ivoire. Leçon numéro 1 : Ne pas brusquer la belle ! Thierry et moi nous rendons vite compte que quelques routiers se sont regroupés autour de la voiture et observent avec attention les évolutions des ébats amoureux de mes deux passagers. Alex, les paupières fermées pour mieux se laisser envahir par le plaisir naissant, n’a pas vu ces hommes qui la matent avec envie. Lentement, une main de Thierry réussit à remonter bien haut la jupe d’Alex et ses jambes gainées de soie noire sont maintenant exposées à tous ces regards lubriques. La main se fait plus ferme et le compas des jambes s’ouvre laissant apparaître maintenant le fin tissu du string assorti. Quelques doigts se glissent sous le fin tissu, la belle bourgeoise gémit et se cambre. Leçon numéro 2 : Savoir jouer avec la dentelle !   La bouche de Thierry dévore les lèvres de la belle, lui effleure la nuque avant d’accaparer les seins libérés des bonnets. Ses mains ne restent pas inactives mais lui caressent le dos, le ventre, les fesses, les cuisses et la chatte. Alex gémit plus fort et s’abandonne aux envies de son amant. Ce dernier ouvre rapidement sa braguette et en extrait sa queue déjà bien bandée. D’un geste tendre, il incite Alex à se pencher sur son bas-ventre et à prendre ce sexe viril en bouche. La belle s’exécute et entame une fellation qui me semble particulièrement appliquée si j’en crois le visage réjoui de Thierry. Pour éviter de jouir trop vite, il fait relever la belle et lui dit - Tu as vue ? Tes admirateurs sont nombreux ! Alex tente de cacher ses seins et sa chatte derrière ses petites mains et proteste - Oh non ! Partons vite ! D’une voix douce mais ferme, Thierry la rassure - Mais non, tu ne crains rien !!! Ce sont de simples voyeurs, des routiers qui sont ravis de voir une aussi belle femme. puis il ajoute - D’ailleurs Firmin va descendre pour maintenir l’ordre. C’est un ancien militaire qui en a vu d’autres !   Je sors de la voiture et j’en fais le tour pour venir me positionner près de la porte arrière droite. Je fais comprendre aux routiers, dont la plupart semblent être des chauffeurs étrangers, qu’ils doivent bien se tenir s’ils veulent continuer à profiter du spectacle. Thierry reprend ses baisers et ses caresses pour qu’Alex retrouve vite la sérénité. Cinq minutes lui suffisent pour que la belle gémisse de nouveau de plaisir et en oublie ces mâles aux yeux lubriques. Thierry se penche alors vers la vitre du côté d’Alex, tourne la manivelle chromée qui fait descendre la vitre (Eh oui, en 1962 – année de sortie de la voiture – il n’y avait pas de commande électronique !!) Je devine déjà la suite et je sors la boite de préservatifs que j’ai en poche. La distribution commence. C’est comme avec un paquet de bonbons dans la cour de l’école, tout le monde en veut ! J’entends Thierry qui dit à Alex - Fais moi plaisir chérie, offre ta bouche gourmande à ces hommes en manque ! Elle hésite, rapproche son visage, le recule mais finalement passe sa tête par la vitre. Une première queue se présente, épaisse et bien poilue, un routier turc probablement ! Les lèvres se rapprochent du gland violacé et l’engloutissent. Timide au début, la jolie dame met vite du cœur à l’ouvrage. D’où je suis, je vois qu’elle garde les yeux fermés ; certainement pour mieux être dans son rôle de bourgeoise salope. Elle tète et avale cette bite qui ne tarde pas à jouir. Cela n’a pas duré longtemps, tant mieux car les copains attendent !   Pendant une bonne demi heure, les routiers vont se succéder à la fenêtre de la Jaguar qui fait office de glory hole sur ce parking obscur. Alex tète les glands, avale les queues, embouche les bites qui se succèdent et en extrait tout le foutre. A peine celui qui s’est vidé est-il parti qu’un autre prend la place. Il y aurait de quoi faire une superbe étude anatomique sur les différents types de queues, cela complèterait la chanson de Pierre Perret. Il y en a des gros touffus, des petits joufflus, des durs, des mous, des beaux, des laids … Leçon numéro 3 : qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse !   Cela fait déjà une bonne heure que nous sommes là. La belle bourgeoise, craintive à l’arrivée sur le parking, apeurée à l’idée d’être matée est maintenant libérée de tout complexe et semble même prendre un certain plaisir à jouer la belle de nuit. Je regarde Thierry et je lui dis - Monsieur souhaite-t-il que nous rentrions à la maison Avant qu’il ne puisse me dire quoi que ce soit, c’est Alex qui me répond…….(A suivre).
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