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Les aventures extraordinaires de Firmin.

Chapitre 4

Au service de madame la comtesse (Partie 2/2).

Avec plusieurs hommes
Depuis quelques jours, je n’arrête pas de penser à Tatiana, cette comtesse russe mature que j’accompagne chaque semaine à sa séance de bridge. Mercredi dernier, de retour chez elle, elle s’est offerte à moi et j’avoue que j’ai pris plaisir à l’honorer comme elle le souhaitait. Mais je n’oublie pas ce qu’elle m’a dit au moment où je la quittais.
— Firmin, je veux que vous m’organisiez une nuit de débauche. J’ai envie d’être prise par plusieurs mâles comme une fille de joie, une femme de petite vertu.
Alors que je désespérais de trouver une réponse à sa demande, c’est ce midi que j’ai eu le déclic en passant avec mon taxi devant le commissariat du 18ème arrondissement. En effet, je connais le commissaire, nous nous sommes rencontrés quand j’étais militaire. Lors d’un séjour en Afghanistan, alors que je participais à une escorte de sénateurs français venus sur place dans le cadre d’une mission d’évaluation du Sénat, il était l’agent de la DGSE chargé d’établir pour eux les contacts avec les hommes du commandant Massoud. Nous avons sympathisé et nous nous sommes rencontrés plusieurs fois sur place par la suite. Très vite, je lui ai donné le surnom de Camel, un peu parce qu’il était d’origine arabe, mais surtout parce qu’il ne se séparait jamais de son paquet de cigarettes Camel menthol. Même s’il ne fumait pas beaucoup, ce paquet de cigarettes à la main me permettait de le reconnaître lorsqu’il s’habillait comme les afghans pour mieux se fondre dans la population.
De retour en France, nous avons continué à nous fréquenter et ce n’est que récemment qu’il m’a annoncé sa reconversion comme commissaire de police. Nous avons bien arrosé cela en nous remémorant nos souvenirs de ces lointains théâtres d’opérations. Je viens à l’instant de lui exposer ma recherche pour Madame la Comtesse et mon scénario lui convient bien. Rendez-vous est fixé pour le mercredi suivant vers 22h30 – 23h00 à son commissariat.
Ce mercredi, comme chaque semaine, il est à peine 20h00 lorsque je me gare près du musée d’Orsay devant l’immeuble de Madame la Comtesse. Je lui ouvre la porte de l’immeuble, lui donne le bras jusqu’à la voiture puis lui ouvre la portière arrière droite de ma Mercedes. Tandis qu’elle s’installe, je la détaille discrètement des pieds à la tête. Elle est toujours aussi élégante dans ses vêtements d’une autre époque. Sa jupe s’arrête juste sous les genoux et je remarque que ses jambes sont gainées de noir. Avec ses escarpins à talons hauts, c’est très excitant ! D’autant plus qu’elle doit certainement porter des bas comme mercredi dernier lorsqu’elle s’est offerte à moi dans sa chambre.
Lorsque nous sommes en route pour son club de bridge place Saint-Augustin, je la mate discrètement dans mon rétroviseur intérieur. La coquine s’en est aperçue, car elle remonte légèrement sa jupe pour me montrer les longues jarretières qui retiennent ses bas. Si elle savait ce qui l’attend après sa soirée au club, elle serait plus prudente.
Arrivé place Saint-Augustin, je descends et lui ouvre la portière avant de l’accompagner jusqu’à la porte du club. Avant qu’elle ne disparaisse, je lui dis.
— Bonne partie de bridge Madame la Comtesse. J’ai hâte de revenir vous chercher...
Elle me regarde et me sourit ; puis me répond :
— A tout à l’heure Firmin. Comme d’habitude, je vous appelle dès que notre partie est terminée.
Je retourne à mon véhicule et, une fois assis à l’intérieur, j’adresse un rapide SMS à mon ami Camel.
— Je confirme le rendez-vous de ce soir. Tatiana n’est pas encore au courant !

A 22h10, mon portable sonne et Madame la Comtesse m’annonce que la partie de bridge est terminée et que je peux venir la récupérer. Comme je suis resté dans le quartier, je suis là deux minutes plus tard pour la reprendre dans mon taxi.Lorsqu’elle est bien installée à l’arrière du véhicule, je lui dis :
— Madame la comtesse, vous m’avez demandé mercredi dernier de vous organiser une nuit de folie. Est-ce toujours d’actualité ?
Je croise son regard dans le rétroviseur et je vois qu’elle réfléchit. Au bout de quelques secondes de silence, elle me répond :
— Oui Firmin, j’en ai toujours envie et ce soir ce sera parfait.
Tandis que je conduis, je lui explique en quelques mots les grandes lignes du scénario. Cela la fait bien rire et elle me dit.
— Je vais devoir jouer un rôle, mais cela n’est pas pour me déplaire. Mais resterez-vous avec moi toute la soirée ? Votre présence me mettrait en confiance.
Je lui réponds :
— Oui Madame la Comtesse, je ne serai pas loin de vous. Et je serai là pour vous raccompagner à votre domicile, quelle que soit l’heure !— Alors, appelez-moi Tatiana pour me faire plaisir,
me supplie-t-elle.
Il doit être 22h30 lorsque je gare mon taxi devant le commissariat du 18ème arrondissement rue de Clignancourt. J’accompagne Tatiana à l’intérieur et nous demandons à voir le commissaire en personne pour déposer une plainte. Le planton nous regarde puis nous guide jusqu’au bureau de Camel. Là, je fais comme si je ne connaissais pas l’intéressé et je lui explique que mon accompagnatrice m’a demandé de la conduire ici, car elle vient d’être violée et souhaite déposer plainte.Lorsque Camel interroge Tatiana sur les circonstances de l’agression, celle-ci lui répond :
— Je suis encore sous le choc et ne je sais plus très bien comment cela s’est passé. Je me souviens que je marchais dans la rue, revenant d’une soirée chez des amis, lorsque deux hommes m’ont interpellée puis m’ont obligée à les suivre dans la cave d’un immeuble.— Et là, que s’est-il passé ?
poursuit Camel.
— Je ne sais plus, la pièce était sombre et j’ai perdu la notion du temps et des événements,
répond Tatiana.Me mêlant à la conversation, je propose :
— Peut-être que la mémoire reviendrait à Madame si elle se retrouvait dans une pièce à peu près identique.
Tatiana saisit la balle au bond :
— Oui, c’est très possible !

Camel se lève et nous dit :
— Venez, nous allons tenter l’expérience dans l’une des cellules d’isolement au sous-sol du commissariat.
Puis, une fois hors du bureau, il hèle le planton :
— Georges, donnez-moi la clé d’une cellule puis demandez à Franck et à Gaby de nous y rejoindre.
Une fois en possession de la clé, il nous demande de le suivre dans les escaliers qui mènent aux cellules en nous précisant :
— Vous avez de la chance, la soirée est calme et nous n’avons aucun pensionnaire en train de cuver.
Une fois au sous-sol, il nous entraîne dans un couloir plutôt glauque. Normal, nous ne sommes pas dans un hôtel cinq étoiles ! Arrivés tout au fond, Camel ouvre la porte de l’une des cellules et nous demande de le suivre à l’intérieur. C’est plutôt spartiate avec un simple matelas jeté sur une paillasse en béton dans un coin de la pièce et deux couvertures défraîchies posées dessus. La lumière est blafarde, car les lieux ne sont éclairés que par une seule ampoule cachée derrière un plexiglas qui n’a pas été nettoyé depuis des lustres.Camel demande à Tatiana :
— Est-ce que la cave ressemblait à ce sous-sol ? Cela vous aide à vous souvenirs des détails ?
Les deux agents de police en civil, Franck et Gaby, entrent dans la cellule au moment où Tatiana répond :
— Oui, c’était un endroit aussi sombre et lugubre que celui-ci. Je me souviens que les deux inconnus m’ont retiré mon manteau puis ont commencé leurs attouchements en se collant contre moi.
Camel lui demande :
— Cela ne vous ennuie pas Madame si je demande à mes deux hommes ici présents de simuler avec vous les faits ?
Tatiana accepte :
— Oui, qu’ils agissent ainsi. Cela devrait m’aider à me remémorer la suite des événements.

Les deux agents se rapprochent d’elle, lui enlèvent son manteau et commencent à la tripoter. Franck, un solide gaillard de près de 2 mètres et 100 kilos, est devant elle et l’oblige à se coller tout contre lui. Gaby, plus sec et moins costaud, se plaque contre son dos. La frêle comtesse disparaît presque entre les deux hommes, mais elle joue bien la soi-disant reconstitution en cherchant à se débattre.Mais bien vite, la bouche de Franck se soude à la sienne, l’empêchant de parler. Gaby ne perd pas son temps et caresse le corps de Tatiana tant qu’il peut. Les hommes se font de plus en plus pressants, et nul doute qu’ils prennent plaisir à participer aux ébats. Tenant fermement Tatiana d’une main, Franck glisse sa main libre sous la jupe de la comtesse et lui caresse ostensiblement les jambes. Gaby a entrepris de défaire les boutons du chemisier tout en embrassant la nuque de la noble victime.Tatiana s’écrie alors :
— Oui, c’est ça !!!! Ils ont retiré mes vêtements puis m’ont allongé en lingerie sur des cartons posés dans un coin de la cave.
S’adressant à ses deux hommes, Camel leur dit :
— Parfait les gars, continuez !

En un tour de main, ils retirent le chemisier et la jupe de Tatiana puis l’allongent sur le matelas après avoir déplié les couvertures. La comtesse est maintenant en guêpière, string et bas sur la paillasse et les deux agents continuent de la caresser et de l’embrasser partout. La situation est des plus excitantes pour Camel et moi qui regardons la scène sans pouvoir participer.Tatiana continue à jouer son rôle de victime non consentante, mais ses gestes de défense et ses cris sont de moins en moins virulents.
— Non, pas ça !— Laissez moi, vous n’êtes que des brutes !— Au secours, à l’aide !
Tandis que Gaby s’allonge entre ses jambes pour lui dévorer la chatte, Franck l’embrasse avec fougue tout en lui caressant les seins.Tatiana arrive tout de même à nous dire :
— Oui, c’est exactement comme cela qu’ils ont agi avant de me prendre dans différentes positions.
Camel incite alors ses deux agents à poursuivre leurs œuvres.
— Continuez messieurs, Madame commence à se souvenir des événements.
Les deux hommes lui répondent en chœur :
— Pas de souci patron. On continue !

Les deux hommes décident alors de donner plus de véracité à la reconstitution en mettant Tatiana à quatre pattes sur le matelas et en se débraguettant. Une fois que Madame la Comtesse est en position, Franck glisse sa queue dans la bouche de la belle et lui dit.
— Vas-y salope, suce-moi bien ou je te fais la peau.
Jouant à merveille le rôle de la belle bourgeoise apeurée, Tatiana lui répond :
— Oui, abusez de moi tant que vous voulez, mais ne me faites pas de mal !
Gaby, qui vient de retirer le petit string noir de la victime, se positionne derrière la croupe ainsi offerte et la pénètre d’un solide coup de queue. Lui aussi lance ses menaces.
— Oui, on va te baiser comme on a envie. Et si tu cries, je t’assomme !
Avec la bite de Franck bien plantée au fond de sa gorge, Tatiana ne peut plus répondre. Mais au fond d’elle-même, elle savoure l’instant.
— Quel bonheur ! Cela faisait si longtemps !
Les deux hommes ont maintenant pris leur rythme de croisière et leurs deux queues coulissent en cadence dans la bouche et la chatte de la comtesse.Au bout d’une dizaine de minutes, Gaby aide Tatiana à se relever et c’est Franck qui s’allonge sur le matelas. La comtesse doit ensuite s’asseoir sur ce paratonnerre qui pointe vers le ciel.Une fois qu’elle est empalée sur Franck, Gaby se glisse derrière elle et colle son visage contre les fesses d’albâtre de la bourgeoise. Camel et moi comprenons très vite que le coquin a l’intention de sodomiser la comtesse, ne sachant nullement si cela fait partie de la reconstitution. Heureusement, alors que l’intéressé vient de commencer ses mouvements de va-et-vient bien cramponné aux hanches de la belle, Tatiana s’écrie.
— Oui c’est cela ! Ils m’ont prise de partout alors que je continuais à me défendre contre eux.
Bien vite, ses gémissements montrent que cela n’est pas pour lui déplaire,
— Oh oui, encore !— Cela fait si longtemps !— Je ne me souvenais pas que ce soit aussi bon !

Alors que la comtesse gémit sous les assauts de ses faux agresseurs, je lui demande :
— Tatiana, maintenant que vos souvenirs vous reviennent, savez-vous s’ils se sont sauvés une fois leur forfait accompli ?
Camel poursuit :
— J’imagine qu’ils se sont enfuis en vous abandonnant dans la cave.
Entre deux gémissements, Tatiana parvient à articuler :
— Non, je ne me souviens pas très bien comment cela s’est terminé. Je crois bien qu’ils ont appelé des copains.
Entrant dans le jeu dont il a parfaitement compris les tenants et les aboutissants, Franck s’écrie :
— Ohé les copains là-haut ! Descendez au sous-sol, on a besoin de vous.
Poursuivant dans son rôle de femme violentée, la comtesse hurle :
— Non, pas ça ! Vous avez eu ce que vous vouliez, laissez-moi maintenant.
Gaby lui rétorque :
— Allons ma belle, au point où vous en faites, deux ou trois autres queues ne peuvent pas vous faire de mal !

Trois autres agents, cette fois en tenue, viennent d’entrer dans la cellule et savourent des yeux le spectacle qui s’offre à eux. Franck pousse un rugissement en se vidant dans la chatte de Tatiana tandis que Gaby, ancien sous-officier de la coloniale, se met à chanter :
— C’était un wagon de pines, qui revenait d’Indochine. Y en avaient des longues des fines, qui pendaient par la portière. Tiens voilà la coloniale, tiens voilà les coloniaux !
Et répand son foutre dans cette croupe accueillante avant de réussir à entonner le second couplet de sa chanson paillarde.A peine se sont-ils relevés que Tatiana est mise debout par deux solides gaillards. En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, ils embrochent la comtesse, lui dévorent la bouche et la nuque, caressent ses seins et ses fesses et accordent leurs mouvements pour honorer la noble dame. Cette dernière a maintenant complètement oublié son rôle de victime face à d’ignobles brutes. Elle crie son plaisir :
— Oh oui, continuez messieurs, c’est si bon !— Plus fort, plus profond, encore !
Et en oublie son chaste vocabulaire de vieille aristocrate russe :
— Oh oui, baisez-moi comme une salope !— Je suis votre chienne, profitez en bien !— Je ne suis qu’une pute, allez-y !

Pendant l’heure qui suit, les agents vont se succéder dans la petite cellule au sous-sol du commissariat. Tatiana se donne sans compter, offre sa bouche gourmande aux plus timides des agents et tend sa croupe aux autres. Les plus sages profitent longuement de sa chatte maintenant bien lubrifiée ; les plus pervers investissent son cul bien dilaté par les saillies précédentes.Plus Madame la Comtesse se fait prendre et plus elle semble avide de queues. Les flots de foutre qui se déversent dans sa gorge et ses entrailles semblent la dynamiser. Certains agents reviennent à la charge et les plus endurants triplent même la mise pour le plus grand bonheur de la dame.Mais comme dans tout combat, les hostilités cessent faute de combattants qui, épuisés par les assauts successifs et les incessantes luttes au corps à corps, remontent les uns après les autres dans les étages du commissariat pour reprendre des forces.
Vers 1h00 du matin, je gare mon taxi devant le domicile de Tatiana et je lui donne le bras pour la raccompagner jusqu’à son appartement. Dans mon autre main, je porte les vêtements qu’elle n’a pas eu la force de remettre.Une fois dans son appartement, je lui fais couler un bon bain que je parfume avec des huiles essentielles. J’ôte le manteau de Tatiana et je lui retire ensuite ses escarpins, sa guêpière et ses bas. Elle se glisse dans l’eau et son corps disparaît sous la mousse. Je la laisse seule et je vais préparer son lit. Lorsque je reviens, une dizaine de minutes plus tard, elle est en train d’enfiler son peignoir. Nous nous dirigeons vers sa chambre, son peignoir glisse à ses pieds et c’est nue qu’elle se glisse sous les draps. Elle me regarde et me dit :
— Quelle mémorable soirée ! Je vous remercie !
Puis elle me dit :
— Déshabillez-vous Firmin et couchez-vous près de moi. Là je vais dormir, mais demain matin je serai toute à vous...
Une fois à poil, je me couche près d’elle, elle dort déjà. Mais je sais que demain nous appartient...
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