Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 39 J'aime
  • 2 Commentaires

Les aventures extraordinaires de Firmin.

Chapitre 6

Jeux de rôles (Partie 2/2)

Avec plusieurs hommes
Je suis donc là avec la belle Alex dans ce sauna libertin de la rue de Provence à Paris. Thierry, son mari, est à quelques mètres de nous, mais ce soir, il a souhaité que ce soit moi qui joue le rôle de l’époux et lui n’est qu’un inconnu. Dans ce jeu de rôle convenu entre nous deux, et dont Alex n’est pas au courant de toutes les subtilités, j’entraîne la belle vers un petit salon où je vais la punir d’avoir osé profiter de mon absence de quelques minutes pour céder aux avances de Thierry qu’elle est supposée ne pas connaître.
Nous voici devant la pièce où trône une croix de Saint-André fixée au mur. La pièce est plongée dans la pénombre, seulement éclairée de quelques lampes rouges blafardes accrochées dans les coins. Nous entrons et je demande à Alex de se coller le dos contre le bois de la croix. Je lui dis.
— Tu t’es comportée comme une épouse infidèle en t’offrant au premier venu alors que nous avions convenu que nous étions ici simplement pour quelques exhibitions. Je vais t’attacher et te livrer à tous ces mâles qui n’attendent que ça.
D’une voix à peine audible, elle me supplie :
— Oh non, pas ça ! Je me suis laissée aller sous l’effet de l’alcool, ce n’est pas de ma faute !
Je lui rétorque assez fort pour que tous entendent.
— Si tu ne supportes pas l’alcool, il fallait y penser avant ! Tous les hommes présents ici ont vu comment tu t’es foutu de moi en t’offrant au premier venu. Je vais leur montrer que c’est moi qui décide pour toi.
En disant cela, je fais glisser sa robe à ses pieds et je lui retire son string. Ensuite, je lui attache les poignets et les chevilles aux bracelets de cuir fixés aux quatre coins de la croix de Saint-André puis je lui mets un bandeau sur les yeux. Alex est maintenant les bras grands ouverts et les jambes écartées sur la croix, elle n’est plus que revêtue de ses bas noirs. Elle est vraiment dans une position très impudique, voire obscène, avec sa chatte offerte à tous les regards et sa poitrine largement exposée.
Me tenant tout près d’elle, je la laisse ainsi quelques minutes sans rien dire tandis que quelques hommes pénètrent dans la pièce. D’un signe discret de la main, je leur fais comprendre de ne rien dire et de patienter.Je prends ensuite un martinet de cuir noir accroché au mur et je fais signe à Thierry de s’approcher. M’adressant à Alex, je lui dis :
— Tu t’es comportée comme la dernière des salopes, tu comprends bien que tu mérites une petite leçon. Tu vas recevoir quelques coups de martinet pour t’apprendre les bonnes manières. Tu dois savoir que c’est moi qui choisis quand et par qui tu peux te faire prendre lorsque nous sortons.
La belle s’écrie :
— Non, pas ça ! Détache-moi s’il te plaît ! Je te promets de ne plus recommencer !
Maintenant, je dis à Thierry en lui faisant un discret clin d’œil :
— Monsieur, puisque c’est vous qui avez entraîné ma femme dans le péché, c’est vous qui allez lui administrer la petite correction qu’elle mérite.
Thierry se saisit du martinet et commence à donner de légers coups sur les cuisses et les bras d’Alex qui s’écrie :
— Je te demande pardon ! Je ferai tout ce que tu veux, mais arrête le martinet.
Je fais signe à Thierry de continuer encore un peu, tandis que je réponds à Alex :
— Tu as voulu jouer à la salope sans mon autorisation, maintenant, c’est moi qui vais jouer à faire de toi une vraie salope.

Je fais signe à Thierry d’arrêter les petits coups de martinet et je fais comprendre aux cinq ou six hommes agglutinés autour de la croix qu’ils peuvent commencer à la caresser et la lécher comme ils le souhaitent.Bien vite, il y en a un qui se met à genoux entre les jambes d’Alex et sa bouche vient se coller à la chatte ainsi offerte à la hauteur de son visage. Deux autres viennent de chaque côté et leurs lèvres gourmandes s’activent sur les deux tétons déjà bien tendus. Les derniers, en attendant d’être mieux placés, se contentent de glisser leurs mains sur les fesses, le dos et le ventre de la belle.Thierry et moi regardons ces mâles s’activer sur le corps de la belle Alex qui semble apprécier la situation. Elle ondule du bas-ventre pour accompagner les mouvements de langue de celui qui la butine et bombe le torse pour mieux donner ses seins à téter aux deux affamés. Thierry me dit :
— On dirait que votre épouse apprécie la punition que vous avez décidé de lui infliger.
Avec un sourire complice, je lui réponds :
— J’apprécie moi aussi de la voir ainsi. Et vous, si elle était votre femme, qu’en penseriez-vous ?
Il me répond :
— Je crois que je serais ravi d’avoir une épouse aussi joueuse.
Je poursuis en lui disant :
— Je crois que nous allons poursuivre dans une autre pièce plus propice aux ébats et aux étreintes fougueuses.
Thierry acquiesce :
— Vous avez raison, ce sera bien mieux sur un grand lit !

Je fais comprendre aux hommes que la première partie de la punition est terminée puis je détache Alex. Je la prends par la main et l’entraîne maintenant vers un autre salon où un grand lit carré invite au plaisir. Je décide que la belle doit garder les yeux bandés, car elle n’a nul besoin de savoir qui l’entoure.Une fois qu’elle est allongée sur le lit, voilà de nouveau les hommes qui se pressent contre elle. Je distribue rapidement les préservatifs, mais je précise tout de même les consignes.
— Messieurs, l’ultime punition de ma femme sera de recevoir sur son corps le foutre de vous tous. Je vous demande donc de vous réserver pour le bukkaké final.
Un homme présente déjà sa queue encapuchonnée à l’entrée de la chatte d’Alex. Il n’a nul besoin de forcer pour s’introduire dans la place. Pendant ce temps, deux autres queues sous protection se pressent contre la bouche de la belle. La voilà maintenant en train de sucer avec application les bites qui se présentent à elle tandis qu’elle est pilonnée par une autre bite bien raide. Les autres ne restent pas inactifs, mais se branlent en regardant le spectacle ou en lui caressant les seins et les cuisses.Au bout d’un bon quart d’heure, Alex est mise à quatre pattes sur le lit et les hommes changent de place ; un vrai jeu de bites musicales.
Pendant une bonne heure, en variant les positions, Alex va ainsi passer de queue en queue pour le plus grand plaisir de Thierry et moi qui assistons à ce spectacle divin. Je demande alors à Alex :
— Alors, ma belle épouse. Apprécies-tu ta punition ? Te souviendras-tu que c’est moi qui décide ?
Entre deux fellations, elle réussit à me dire :
— Oui, j’ai compris la leçon. Je ne recommencerai plus !
Je poursuis :
— C’est parfait ! Veux-tu que ta punition cesse ?
Elle me répond :
— Non, je crois que je mérite d’être encore punie pour m’apprendre à me tenir comme il se doit.
La belle a parfaitement compris ce que Thierry et moi attendons d’elle. M’adressant aux hommes, je leur dis :
— Allez-y, messieurs, continuez votre ouvrage ! Ma femme a compris que sa punition est méritée et doit encore durer un peu.

Au bout d’un nouveau quart d’heure de baise torride, je comprends que les hommes ne pourront pas tenir longtemps. Je leur dis alors :
— Messieurs, je vous invite à vous répandre sur le corps de mon épouse. C’est sous vos longs jets de foutre qu’elle va être lavée de son péché.
Alex est alors allongée sur le dos, les hommes se placent tout autour d’elle et, une fois les préservatifs retirés, commencent à se branler d’une main tout en la caressant de l’autre.Je m’approche et je défais le bandeau qu’Alex a sur les yeux depuis le début de sa punition. Je lui dis :
— Tiens petite salope, tu peux maintenant regarder tous ces hommes qui ont bien profité de toi. Ils vont maintenant se vider les couilles sur toi et tu rentreras à la maison recouverte de tout leur foutre.
Les uns après les autres, les hommes se répandent en longs jets crémeux sur le corps d’Alex. Elle en a partout sur le ventre, les seins et même le haut des cuisses. J’invite les hommes à bien étaler le sperme de leur gland sur tout le corps ainsi offert ; ils ne se gênent pas pour le faire.
Quelques instants plus tard, Alex et moi prenons congé de l’assistance puis nous dirigeons vers ma voiture. Une fois au volant, je fais un tour du quartier et repasse devant le sauna pour récupérer Thierry qui vient se sortir à son tour de l’établissement. Il s’installe à l’arrière près d’Alex et lui dit :
— Ma chérie, tu as tenu ton rôle à merveille. Voilà une excellente soirée.
Puis, il me dit :
— Quant à vous Firmin, comme à chaque fois, vous avez été parfait dans votre rôle de maître de cérémonie.
Lorsque j’arrête la voiture au bas de leur immeuble, Thierry me dit :
— Firmin, montez donc avec nous. Je ne doute pas qu’Alex aimerait vous remercier pour cette superbe soirée.
Je les suis dans l’escalier. Le reste de la nuit nous appartient ...
Diffuse en direct !
Regarder son live