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Les aventures extraordinaires de Firmin.

Chapitre 7

Chaïma, chienne d'un soir ...

Zoophilie
En ces premiers jours de décembre, il fait vraiment un temps horrible sur Paris. Toutefois, bien calé au volant de mon taxi, je me moque des coups de vent et des trombes d’eau qui balaient et nettoient les rues de la capitale. Il doit être 17h00 lorsque je dépose un client à proximité du Palais du Luxembourg. Fatigué par une longue journée, je décide de garer ma Mercedes pour marcher un peu dans les jardins. Rien de tel qu’un grand bol d’air frais pour se ressourcer après de longues heures dans les célèbres embouteillages et bouchons parisiens. Merci madame la maire de Paris pour votre remarquable politique en matière de circulation urbaine ! Une fois au volant, considérant la recette de la journée bien suffisante, je décide de rentrer chez moi. C’était sans compter sur le hasard qui fait souvent bien les choses !   Alors que je remonte la rue Soufflot et passe entre la place du Panthéon et la mairie du 5ème arrondissement, une femme me hèle d’une main tout en s’accrochant désespérément de l’autre à son parapluie pour l’empêcher de s’envoler. Certainement plus par curiosité par que charité, je m’arrête à la hauteur de la dame qui s’engouffre aussitôt dans l’habitacle confortable de ma luxueuse berline allemande. Les cheveux ébouriffés, le visage tout mouillé, elle me dit avec un grand sourire - Mon cher Noé, vous me sauvez du déluge. Un grand merci à vous ! Je me retourne et la regarde d’un peu plus près : joli visage, yeux marrons, , cheveux bruns bouclés, typée Moyen-Orient, la quarantaine, un peu moins d’un mètre soixante, poitrine généreuse (95D à vue d’œil), agréable à regarder. Je lui réponds en souriant  - Je suis vanné et j’allais rentrer chez moi pour me reposer. Mais vos airs de petite chatte trempée jusqu’aux os m’ont ému. Où dois-je vous déposer ? Elle m’indique une destination en banlieue prèsd e Colombes et je lui réponds - Vous avez de la chance, c’est tout près de chez moi ! Je ne vais pas vous abandonner ici. Quelques instants plus tard, nous sommes en route et je reste concentré sur ma conduite pour éviter les piétons, cyclistes et autres scooters que l’on peine à distinguer dans la nuit qui tombe lentement sur Paris.   Alors que je n’ai pas vraiment envie d’entamer la conversation, la petite dame installée à l’arrière se lance dans un long monologue. - Quelle journée galère ! La plupart de mes étudiants étaient absents et le déjeuner de ce midi était infect. J’ai perdu mon après-midi en assistant à une réunion inutile, ma voiture n’a pas démarré au moment de rentrer chez moi et mon parapluie est tout cassé. Vous êtes vraiment la seule bonne chose qui me soit arrivée aujourd’hui. Et elle me lance avec un grand sourire qui lui illumine le visage - J’imagine que Noé n’est pas votre vrai prénom ! Devant sa vivacité d’esprit et sa gaieté, je ne peux que lui rétorquer en souriant à mon tour. - Noé est le prénom qui figure sur ma licence de bateau taxi, Firmin celui qui figure sur mon passeport ! Toujours aussi joviale malgré les déferlantes de pluie qui continuent à s’abattre sur la voiture et me contraignent à mettre les essuie-glaces en vitesse « ultra rapide », elle me dit - Firmin, je m’appelle Fadia et vous m’avez sauvée des eaux. Je vous en suis infiniment reconnaissante ! Ce n’est pas sans une certaine fierté que je lui réponds - Je n’allais pas vous laisser vous noyer même si vous êtes prête au sacrifice. Là, elle marque un temps de surprise avant de poursuivre - Comment pouvez-vous connaître la signification de mon prénom en arabe ? Comme nous en avons encore pour un quart d’heure de route, je lui raconte un peu ma vie.  
 Lorsque nous arrivons à destination, elle sait que je suis un ancien militaire des forces spéciales qui a quitté le service actif suite à une blessure de guerre au Mali. Elle a également compris que j’ai pas mal bourlingué en 30 ans passés dans l’armée et de nombreux déplacements et séjours à l’étranger. Je lui ai aussi raconté comment, lors d’un séjour en coopération militaire à Riyad en Arabie Saoudite, je me suis égaré avec un collègue dans le Djebel Tuwaya en voulant rejoindre la ville de Nadjrân près de la frontière avec le Yémen. Le hasard faisant bien les choses, nous avons été remis sur le bon chemin par une noble famille saoudienne qui traversait le désert au volant d’un gros 4X4 Toyota. Par la suite, j’ai sympathisé avec cette famille et j’ai rencontré l’une des soeurs du père de famille. Elle s’appelait Fadia et nous avons vécu, pendant mon séjour d’un an, quelques belles heures coquines dans son luxueux appartement au centre de la capitale. C’est elle qui m’a expliqué que le prénom Fadia signifie « qui est prête au sacrifice » et c’est avec moi sur l’autel du plaisir qu’elle s’est sacrifiée.   Une fois la voiture arrêtée devant l’adresse indiquée, je descends et ouvre la porte à ma cliente. Elle me dit  - Voyez-vous Firmin, moi aussi j’ai des origines arabes car je suis native de Dubaï aux Emirats Arabes Unis. J’ai bien aimé notre conversation. Pourriez-vous être là demain matin à 8h00 pour me raccompagner au travail là où vous m’avez sauvée du déluge ? Bien évidement, je ne peux qu’acquiescer - Bien sûr, cela ne pose aucun problème. A demain !   C’est ainsi que le lendemain, je me présente à 8h00 pour récupérer Fadia. Une fois qu’elle est installée dans la Mercedes, c’est à son tour de me parler de sa vie. Elle m’explique qu’elle est mariée avec un mari souvent absent pour affaires. Elle est professeure de lettres classiques à l’université Panthéon-Sorbonne et adore son métier d’enseignante. Une fois arrivée à l’université, elle me demande mon numéro de portable. Je lui donne l’une de mes cartes professionnelles et elle me dit - Si les réparations de ma voiture nécessitent plusieurs jours, pouvez-vous assurer mes déplacements le matin et le soir ? Bien évidemment, je ne peux pas lui refuser ! L’après-midi, alors que je suis du côté d’Orly, je reçois un sms de Fadia « Problème de boite de vitesses. Pas de voiture avant fin de semaine. A ce soir 18h30. Merci beaucoup. » Etre le chauffeur particulier d’une si charmante enseignante n’est pas pour me déplaire !   Pendant les deux jours qui suivent, matin et soir au cours de nos déplacements, nous passons ainsi une trentaine de minutes à papoter comme de vieux amis. Je lui raconte mes souvenirs d’ancien combattant tandis qu’elle me parle de sa vie, de l’université et de ses passions pour l’écriture et l’antiquité. Après que je lui aie dit que j’étais célibataire et que cela me convenait très bien, notre conversation s’est orientée vers le sexe puis, de fil en aiguille, sur les pratiques un peu exotiques. Lui ayant dit que j’avais une amie qui s’intéressait à la zoophilie, Fadia m’a expliqué que l’on manque de références antiques sur ce sujet mais il est certain que c’était une pratique courante, notamment dans les cultes et les sectes, en particulier celui d’Isis. Par ailleurs, dans la civilisation grecque, on est quasiment sûr que c’était pratiqué dans certaines sociétés grâce aux différents récits relatifs à Zeus et à ses multiples transformations pour séduire ou abuser les femmes. Ainsi, sous la forme d’un taureau, il aurait violé Déméter et il aurait eu des relations sexuelles avec Perséphone sous la forme d’un serpent. Enfin, selon certains, le temple d’Aphrodite Parne, la déesse grecque de la copulation indécente, abritait de jolies femmes et des chiens sacrés et il y a, semble-t-il, peu de doute sur la forme d’adoration à laquelle se livraient ces femmes. La ville de Corinthe aurait même eu un temple avec 10 000 prostitués des deux sexes et plusieurs centaines de chiens. On rapporte également que l’entière population de Sybarites, une ancienne ville grecque du sud de l’Italie détruite en 510 av. J.C., était connue pour avoir des relations sexuelles avec les chiens.   Aujourd’hui jeudi, notre conversation porte encore sur le sexe. Je lui avoue que, pour moi, le plaisir sexuel ne peut pas être déconnecté du plaisir cérébral et que je privilégie, avec mes partenaires, les jeux de rôle et les situations de voyeurisme. La baise n’est pas une fin en soi, l’acte sexuel doit s’inscrire dans une histoire excitante et être l’aboutissement d’un cheminement érotique et cérébral. De son côté, elle me déclare avoir eu jusque là une vie sexuelle normale mais être de plus en plus attirée par la soumission. C’est avec une certaine émotion dans sa voix qu’elle me dit aimer beaucoup ce qui se rapporte au chantage et à la force virile. A ses propos, je comprends vite qu’elle fantasme sur la femme en position de faiblesse qui se s’abandonne aux envies des mâles. Ses nombreuses références à la zoophilie et aux chiens me font également comprendre qu’elle y pense depuis très longtemps et voudrait bien franchir le pas. En la déposant devant chez elle, je lui dis que j’aimerais bien lui faire une petite surprise le lendemain soir puisqu’elle récupère sa voiture ce week-end et n’aura ensuite plus besoin de mes services. Elle me dit qu’elle est d’accord ! Avant de repartir avec mon taxi et rentrer chez moi, je lui dis que ce serait parfait si elle pouvait porter une belle parure de lingerie sexy pour notre dernière journée.   Le lendemain vendredi, je la récupère devant chez elle comme les jours précédents. Comme la veille, il pleut et je ne peux pas voir ce qu’elle porte sous son imperméable blanc cassé. Tout en roulant en direction de son université, je lui dis que sa petite surprise est pour ce soir après sa journée de travail. Dans le rétroviseur intérieur, je la vois ouvrir son imperméable, en écarter les pans et me dévoiler ses jambes gainées de bas noirs. Elle porte des petites bottines de cuir à talons qui la rendent particulièrement sexy. Elle me dit - Mon mari ne rentre de Bruxelles que samedi après-midi et ce soir les enfants sont invités à dîner chez des copains. Je ne suis donc pas pressée de rentrer en fin de journée et vous pourrez ainsi me surprendre. Une fois garé près de l’entrée de l’université, je lui dis - Bonne journée Fadia. Je suis impatient d’être à  ce soir.   Ma journée de travail est relativement calme ce qui me permet de passer quelques appels téléphoniques pour peaufiner le scénario que j’ai imaginé. Il est maintenant 18h45 lorsque je me gare près du Panthéon pour récupérer ma charmante professeure. A peine est-elle installée à l’arrière du taxi qu’elle me questionne - Alors Firmin, où avec-vous prévu de m’emmener pour me surprendre ? Sans même lui jeter un regard dans le rétroviseur intérieur, je lui réponds - Je ne prévois pas trop à l’avance. Je vais y réfléchir sur le chemin du retour. Alors que nous roulons depuis une dizaine de minutes, j’annonce à Fadia que je vais devoir m’arrêter quelques instants chez un garagiste car j’ai l’impression d’entendre un bruit suspect dans le moteur. Comme j’ai l’habitude de fréquenter ce secteur, je n’ai aucun mal à trouver un garage et j’entre dans la cour devant l’atelier. Il y a là des épaves de vieilles voitures qui doivent être pourries depuis longtemps, d’autres qui sont accidentées et attendent d’être enfin réparées et même deux ou trois vieux camions de dépannage qui ne doivent plus rouler. Fadia me dit - Il craint un peu votre garage ! Vous n’avez pas peur de vous faire arnaquer ?  J’essaye de la rassurer en lui disant que je suis déjà venu ici il y a quelques années et que j’en suis ressorti vivant. Une fois la voiture garée, je descends et me dirige vers la porte du hangar derrière laquelle on voit un peu de lumière. Fadia me dit - Je descends avec vous ! Je ne serai pas rassurée du tout si je reste seule dans la voiture. Je l’attends et nous nous dirigeons ensemble vers la porte éclairée. Il y a une sonnette sur laquelle j’appuie. On entend aussitôt une sonnerie à l’intérieur et des aboiements. Quelques secondes après, une grosse voix crie - Couchez les chiens ! Bougez pas ! puis ajoute - Voilà, j’arrive !   La porte s’ouvre et un homme, la cinquantaine passée, mal rasé, un peu bedonnant ouvre la porte. Il nous entraîne vers ce qui ressemble à un bureau au fond du hangar. Pour y parvenir, nous sommes obligés de suivre un dédale entre les voitures en cours de réparation, éviter les outils et autres bidons qui jonchent le sol puis contourner le pont élévateur sous lequel deux autres hommes s’affairent. Comme le patron, ils sont en combinaison de travail et plutôt sales. Ils nous regardent du coin de l’œil tandis que le patron nous fait entrer dans ce qui ressemble à son bureau. Les deux chiens rentrent à notre suite et se couchent dans un coin. L’homme dit à Fadia - Asseyez-vous ma petite dame, ça ne sera pas plus cher ! Elle s’exécute et s’installe dans un canapé plutôt mité. Je lis dans son regard qu’elle n’est toujours pas très rassurée. Puis le patron me dit qu’il est tard et qu’il n’est pas sûr de pouvoir s’occuper de ma voiture ce soir. Je lui explique que j’ai absolument besoin de repartir avec mon taxi dès ce soir pour raccompagner ma dernière cliente, rentrer chez moi et travailler le lendemain matin. Il me répond - Bon, venez avec moi. Je vais voir ce que l’on peut faire. Je demande à Fadia de m’attendre tranquillement dans le bureau et je la rassure en lui disant que tout va s’arranger. Puis nous sortons du bureau, retraversons le garage et sortons dans la cour pour aller voir ma voiture.   Sitôt dehors, le patron me tape un grand coup sur l’épaule et me dit - Sacré Firmin, tu as toujours des histoires de fou avec tes copines ! Je lui réponds - Mais non Youssef, ce n’est pas une copine, juste une cliente qui fantasme comme je te l’ai raconté. Puis il m’annonce - Maintenant tu n’as plus qu’à longer le mur de droite du hangar et te poster discrètement à la fenêtre du bureau pour assister à la suite des événements. Avant de m’éloigner pour aller prendre mes fonctions de voyeur, je donne les ultimes consignes à mon copain - Surtout pas de violence ! Il faut que ça semble vrai et qu’elle ne puisse pas refuser. Youssef repart à l’intérieur du garage tandis que je file vers mon poste d’observation. Une fois arrivé à la fenêtre derrière laquelle je suis masqué par les rideaux et l’obscurité qui règne dehors, je note qu’elle est légèrement entrouverte. Super, je vais voir et entendre ! A ce moment là, Youssef entre dans la pièce et dit à Fadia - Votre chauffeur n’avait pas d’argent sur lui ! Il est parti au distributeur qui est à deux kilomètres. Je ne commencerai pas les travaux tant qu’il n’est pas revenu ! Je lis un peu d’angoisse sur le visage de la professeure lorsque le garagiste lui dit - Donnez moi votre imperméable, il fait un peu chaud ici. Elle se lève du canapé et s’exécute. Les deux chiens s’avancent vers elle et commencent à se frotter à elle. A ce moment là, les deux gars qui bossaient dans le garage entrent à leur tour dans le bureau. L’un d’eux dit au patron - La journée est finie ! On continuera demain les travaux sur l’Audi, il n’y en a plus que pour une heure. Youssef leur répond - Désolé, il va falloir regarder la Mercedes car le chauffeur doit ramener cette petite dame chez elle.   Visiblement les deux gars ne sont nullement satisfaits de devoir faire des heures supplémentaires. L’un d’eux rétorque au patron - On est déjà resté une heure de plus hier soir et on ne gagne pas un radis de plus. Ce n’est pas normal ! L’autre poursuit - Oui Youssef, Ali a raison ! Les clients doivent payer en heures sup ! Le patron leur répond - Vous n’avez qu’à vous arranger avec la petite dame. Rapidement, la situation dégénère car les deux gars ont bien l’intention de profiter de l’occasion. Le dénommé Ali dit à son copain - Rachid, viens on va se payer en nature ! Ils s’avancent vers Fadia qui n’en mène pas large et qui tente de les raisonner - Le chauffeur est parti chercher de l’argent. Il sera là dans un petit quart d’heure. Tout en se débraguettant, Rachid lui rétorque - Un quart d’heure ! C’est suffisant pour nous. Ali enchaîne - Tu vas voir, tu vas y prendre goût ! Tu as l’air un peu bourgeoise, tu vas voir ce que c’est que des vrais mâles. Rachid se fait plus agressif - Tu te laisses faire et tout se passera bien. Sinon, on va te baiser quand même mais ce sera moins gentil.Fadia ne sait plus quoi répondre et les deux hommes ont maintenant retiré leur combinaison de mécanicien. Ils ne portent plus que leur tee-shirt et leurs chaussettes.    En un tour de main, ils obligent la dame apeurée à se mettre debout, lui retirent son chemisier puis sa jupe. Bien évidemment, la parue sexy que j’avais demandé à Fadia de porter ne peut qu’exciter encore plus les deux hommes qui y vont de leurs commentaires - Ali, regarde moi comment elle est habillée cette bourgeoise. Super bandante ! - Tu as raison Rachid, on est tombé sur une salope. Elle va avoir ce qu’elle mérite ! - Oui, on va la niquer comme une petite pute ! - Si ça se trouve, elle ne demande que ça ! Youssef se joint finalement à ses deux ouvriers, déchire et arrache le string d’un mouvement puis s’exclame - Vous avez raison les gars ! On va s’en occuper comme elle le mérite ! Fadia tente de se rebeller - Non, je vous en prie ! Laissez moi ! Voyant que la situation est sans issue, elle les supplie - Surtout ne me faites pas mal ! Je vais me laisser faire. Ali jubile - Je vous l’avais bien dit qu’elle va aimer. Elle fait la sainte nitouche mais elle ne demande que ça !   Quelques minutes plus tard, Fadia est à quatre pattes sur le tapis plus que douteux qui recouvre le sol du bureau. Elle tourne le dos à la fenêtre et je peux me hisser sur la pointe des pieds pour mieux voir la scène.  Ali est à genoux devant elle et son sexe est déjà glissé dans la bouche de la belle. Youssef est quant à lui bien calé derrière et frotte sa queue contre la croupe si accueillante. Rachid se branle d’une main tout en caressant la superbe poitrine qui s’offre à lui. A les entendre, je sais qu’ils apprécient la situation - Putain, elle a de ses seins ! J’en ai rarement vu d’aussi beaux ! - Sa bouche est bien chaude. Cela me réchauffe après m’être gelé les couilles toute la journée dans l’atelier ! - J’espère que le chauffeur va prendre son temps pour qu’on en profite bien. Youssef ahane comme un forçat tout en donnant de grands coups de boutoir. Ali ondule du bas-ventre et ses gémissements en disent longs sur le plaisir qu’il éprouve. Les deux chiens se sont rapprochés du quatuor et tournent autour en couinant. Youssef lance aux deux hommes - Les deux chiens sont aussi excités que nous ! Leur flair doit leur dire que nous avons là une belle chienne accro à la bite. Pendant le quart d’heure qui suit, les hommes changent plusieurs fois de position. Fadia tente bien de faire cesser les ébats mais elle est vite rappeler à l’ordre - Ne bouge pas la petite dame ! On n’en a pas fini avec toi ! - On va te prendre de partout et tu vas adorer çà ! - On va même t’enculer. Et ne nous dit pas que c’est la première fois ! Les trois hommes mettent du cœur à l’ouvrage et Fadia finit par émettre des gémissements de plaisir. On voit clairement qu’elle s’applique à bien sucer et ses mouvements de croupe accompagnent les assauts de celui placé derrière elle. Les hommes le remarquent - Regardez, la bourgeoise commence à y prendre du plaisir ! - Ca doit faire un bout de temps qu’elle n’a pas joui comme ça ! - Oui, il est temps de bien l’arroser! Presque à l’unisson, Rachid et Ali se vident ; l’un dans la bouche et l’autre dans la chatte. Youssef se répand en longs jets crémeux sur le dos de la belle. Ali et Rachid sortent du bureau en disant à leur patron - Maintenant que la petite dame a payé de sa personne, nous allons jeter un coup d’œil à la voiture du chauffeur.    Alors que Fadia est sur le point de se redresser, Youssef lui ordonne - Non, reste à quatre pattes jolie salope. Ce n’est pas fini ! Puis, s’adressant à ses deux dobermans, il leur dit - Allez les chiens, à vous d’en profiter un peu ! Fadia tente de se soustraire aux assauts des deux animaux mais je sais qu’elle a là l’occasion unique de réaliser son fantasme. A son tour, comme les femmes dans le temple d’Aphrodite Parne il y a des millénaires, elle va copuler avec les chiens sacrés et devenir ainsi l’une des prêtresses de la zoophilie. Le premier chien est déjà debout sur ses pattes arrière et se plaque contre la croupe offerte à ses envies lubriques. Fadia pousse un petit cri lorsque le fauve donne un puissant coup de bassin vers l’avant et s’accouple à elle. Le patron encourage son animal de la voix - Vas-y Brutus, baise la bien comme elle en a envie ! Brutus continue sa fornication en s’agitant comme un pantin. Soudain, il se soude à sa femelle et j’imagine qu’il est en train de la remplir de son jus. Quelques minutes plus tard, à peine est-il retiré, que c’est le second chien qui prend position. Rapide comme l’éclair, il se redresse et pose ses pattes de devant sur le dos de la chienne. Youssef se rapproche et lui dit - Doucement Kador, je vais te guider ! Toi tu vas t’occuper de son petit cul ! Il se met à genoux près de Faida et je comprends qu’il est en train de guider l’animal. La belle ayant été également bien ouverte de ce côté ci, l’animal n’a pas de mal à s’introduire entre les fesses contre lesquelles cogne déjà son bas-ventre. Il semble moins pressé que son compère car lui se retire entièrement de sa femelle avant de bien replonger au fond de la grotte. Fadia se laisse enfin aller aux assauts de l’animal et elle lui parle comme s’il pouvait la comprendre. - Oui, prends moi bien, je suis ta chienne ! - Plus profond, encore ! Youssef encourage son animal  - Vas-y Kador, elle aime ça ! - Oui, fais-en ta chienne d’un soir. Elle n’attend que çà ! Soudain, l’animal stoppe ses mouvements et je comprends qu’il est en train de se verrouiller à sa femelle. Il hurle à mort et j’imagine qu’il est en train de la féconder de tout son foutre. Le patron jubile de voir son chien prendre un tel pied. Fadia s’écroule au sol, entraînant avec elle le chien qui reste emboîté dans le cul qu’il vient de prendre. D’où je suis, j’ai l’impression qu’il donne encore quelques coups de queue comme s’il voulait se vider entièrement.   Lorsqu’il se retire enfin, Youssef aide Fadia à se relever et lui tend son chemisier et sa jupe. Tandis qu’elle se rhabille, il lui dit - Alors ma belle, cela ne vous a pas fait de mal ! Je garde votre string en souvenir ! Quelques instants plus tard, elle a remis son imperméable et est assise sur le canapé comme si rien ne s’était passé. Lorsque je rentre dans le bureau accompagné des deux ouvriers, Youssef s’écrie - Vous en avez mis du temps ! Un peu plus, c’est moi qui ramenais la dame chez elle. Puis Ali lui dit - C’est bon, la Mercedes est réparée ! C’était juste une durite d’injection qui était desserrée. Youssef me dit alors - Finalement, ce n’était pas la peine que vous abandonniez madame pour aller au distributeur. Vous me devez rien !   Une fois dans la voiture, nous reprenons la route. Dans le rétroviseur intérieur, je vois que Fadia écarte les pans de son imperméable, retrousse légèrement sa jupe et écarte grand les jambes. Je constate qu’elle ne porte plus de string. Mais ça je le savais ! Lorsque je stoppe le taxi devant chez elle, il fait déjà bien nuit. Je descends et lui ouvre sa portière. Une fois dehors, elle se colle à moi et m’embrasse sur la bouche. Sa salive a encore le goût du foutre. Elle me dit  - Merci Firmin. Même si j’ai eu un peu peur, j’ai adoré votre surprise ! Vous êtes un amour ! Je lui réponds - Cela a été un plaisir de faire un bout de chemin avec vous pendant ces quatre jours. A bientôt peut-être !
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