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Les aventures extraordinaires de Firmin.

Chapitre 8

La bretonne aux beurs (Partie 1/2)...

Avec plusieurs hommes
Cette histoire est fictive, elle est cependant inspirée d’un vrai fantasme d’une lectrice qui se reconnaîtra certainement …. La pandémie de Covid-19 ne facilite pas le travail des chauffeurs de taxi car les clients se font plus rares. Nous avons beau mettre en œuvre un protocole sanitaire très strict, certaines personnes paniquent à l’idée d’embarquer dans un taxi déjà occupé par une foule de virus invisibles. De plus, quand on est un chauffeur de taxi qui aime faire la causette comme moi, on est frustré avec le port du masque qui empêche de bien se faire comprendre. Mais comme il faut bien gagner sa croûte, je continue le job en attendant des jours meilleurs. Cependant, pour éviter de faire de trop longs trajets dans les rues de Paris sans ramasser aucun client, je me suis rapproché d’un prestataire d’organisation de salons professionnels. C’est ainsi que depuis maintenant plusieurs mois, je me suis fait une spécialité dans le transport entre les gares parisiennes et les principaux sites d’exposition. Même si les salons se font de plus en plus rares comme les clients ! Du mardi 13 décembre midi au jeudi 15 décembre soir, dans le hall 2 du parc des expositions de la porte de Versailles (Paris Expo), se tient le salon de l’édition et de l’imprimerie organisé par l’Union Nationale des Industries de l’Imprimerie et de la Communication (UNIIC). C’est ainsi qu’en ce mardi matin, j’effectue depuis déjà 08h00 des transports entre la gare Montparnasse et Paris Expo. J’en suis à me demander si c’est un métier essentiellement masculin car je ne vois défiler que des hommes. La plupart doivent être les patrons ou les directeurs de production de grosses imprimeries car ils sont tous fringués en costard – cravate et traînent de superbes valises et attaché-case en cuir.J’ai beau leur faire la discussion, leur vanter les splendeurs de Paris, rien n’y fait ! Quand je n’en ai qu’un seul dans le taxi, il passe son temps à pianoter sur son téléphone. Quand j’en ai deux, ils passent leur temps à parler de rotatives, de photocopieuses ou autres coupeuses et plieuses. J’ai beau leur dire que moi j’en suis resté à 1454 avec l’invention de l’imprimerie par Gutenberg, cela ne les fait pas rire du tout. Il doit être 09h30 lorsque je suis de nouveau à l’arrête minute de la gare Montparnasse, debout près de ma Mercedes avec mon petit panneau à la main « Parc des expos – salon UNIIC ». Je discute avec un collègue, ancien militaire comme moi et reconverti lui aussi comme taxi, lorsqu’une jeune femme s’approche de moi avec sa petite valide rose et son sac à main en bandoulière. Alors que je m’apprête à lui dire que je suis malheureusement réservé, elle me lance d’une voix chantante— Bonjour, j’ai une invitation pour le salon. C’est vous le chauffeur réservé par l’UNIIC ?Je tourne le dos à mon copain, m’empare de la petite valise, ouvre la portière arrière droite et lui réponds— Oui madame, c’est cela ! Je m’appelle Firmin, je vous souhaite la bienvenue à Paris et je suis à votre service pour vous transporter jusqu’au parc des expositions.Elle s’installe puis je referme la portière avant de mettre la valise dans le coffre.Une fois au volant, je démarre et nous quittons Montparnasse pour rejoindre la rue de Vaugirard qui va nous mener tout droit à destination. A chaque feu rouge, j’en profite pour jeter un œil dans mon rétroviseur intérieur et regarder d’un peu plus près ma passagère. C’est une jolie métisse, mi antillaise mi asiatique, la petite trentaine, 1 mètre 70 environ, sportive avec de beaux seins (85C je dirais !), cheveux frisés jusqu’aux épaules. Cela me rappelle mes séjours militaires en Asie et aux Antilles où j’ai parfois rencontré de belles filles comme elle. En général, elles sont douces et câlines, mais cachent souvent un tempérament de feu.Tout en lisant une revue, elle a dû remarquer que je la mate dans le rétro mais cela ne semble pas la choquer, bien au contraire ! Elle ouvre lentement le compas de ses jambes de manière à entrouvrir légèrement le long manteau qu’elle porte. Il faut dire qu’il ne fait pas chaud sur Paris en ce moment ! Nouveau feu rouge, nouveau regard dans le rétroviseur. Elle a de superbes gambettes gainées de soie noire, une jupe qui laisse entrevoir de jolies cuisses. Mine de rien, elle écarte un peu plus les jambes, je devine de la lingerie rouge. Violent coup de klaxon derrière moi, le feu est passé au vert !  Nous voici déjà au parc des expositions, je n’ai pas vu le temps passer. Alors que je m’apprête à descendre lui ouvrir la portière, elle me dit— Firmin, ça ne vous ennuie pas de garder ma valise et de me récupérer à 16h00 ici pour me conduire à mon hôtel ?Elle me fait un si beau sourire que c’est impossible de refuser— Bien sûr que non madame ! Je serai là à 16h00 à vous attendre.Puis je lui tends une carte de visite en lui précisant— Et voici ma carte avec mon téléphone. Au cas où vous finiriez plus tôt que prévu.Elle me répond
— Vous êtes super gentil, moi c’est Océane. A ce soir !Lorsqu’elle s’éloigne vers la porte d’accès au parc, je la suis du regard. Elle tortille un peu du cul, un régal à voir !Avant de disparaître dans le flot des professionnels qui se pressent là pour les différents salons du moment, elle se retourne et me fait un petit signe de la main. J’ai hâte de la retrouver ! Il n’est même pas 16h00 lorsque je suis de retour devant le parc des expos. Je n’ai pas le temps de reprendre la lecture de mon journal, commencée ce matin, que la voici qui arrive aussi pimpante et souriante que le matin. Une fois qu’elle est installée à l’arrière, elle me dit— J’ai réservé à l’hôtel Mercure place de Clichy. Je trouve bizarre d’avoir réservé une chambre si loin de la porte de Versailles mais ce n’est pas mon problème. Nous voici donc en route et je lui demande si cette première après-midi de salon s’est bien passée. Elle me répond que oui et, de fil en aiguille, la voici qui me parle d’elle comme si nous étions des amis de langue date. Elle a 32 ans, est née en région parisienne mais habite en Bretagne dans le département du Morbihan. Elle s’est mariée à 21 ans avec David qui est son aîné de 20 ans et ils ont un enfant. Comme elle me l’a déjà précisé ce matin, elle est responsable commerciale dans une grosse imprimerie locale et elle a été chargée de représenter son entreprise au salon de UNIIC car son patron vient juste d’avoir le Covid. Avec un grand sourire, elle me dit que cela n’est pas pour lui déplaire de venir pour quelques jours sur Paris car cela fait longtemps qu’elle attend cela. Je lui demande— Je comprends ! Vous avez certainement des achats à faire avant Noël.Elle me répond— Pas du tout ! Sans que je lui demande quoi que ce soit, elle me déclare être naturiste et, en mon for intérieur, je me dis qu’elle peut se le permettre avec sa plastique et qu’elle doit attirer bien des regards. Puis, elle me dit être devenue libertine, poussée dans cette voie par son mari qui prend de plus en plus de plaisir à la regarder s’ébattre avec d’autres hommes. Il apprécie surtout la voir avec des blacks car il adore le contraste des corps emmêlés, sa jolie femme à la beau hâlée au milieu de robustes africains – avec une préférence pour les sénégalais - à la peau bien noire. Je n’ai nul besoin de fermer les yeux pour imaginer ma jolie passagère saillie vigoureusement par quelques blacks friands de ce genre de jolie plante. Ils apprécient d’autant plus que la belle me déclare de la manière la plus naturelle qu’elle n’a aucun tabou, sauf le scato !Malgré les bouchons, nous sommes malheureusement déjà arrivés place de Clichy. Je sors sa valise du coffre et m’apprête à prendre congé d’elle lorsqu’elle me dit— Firmin, j’ai confiance en vous et je dois vous faire un aveu.Devant mon regard intrigué, elle se rapproche de moi, baisse la voix et poursuit— Si je suis ravie d’être à Paris, ce n’est pas pour faire des achats mais c’est toutefois pour m’offrir mon cadeau de Noël.Je suis curieux d’en savoir plus et la voici qui me confie son souhait de cadeau. Nous en discutons entre adultes majeurs et je la conseille. Puis elle me dit— C’est parfait ! Cela me laisse le temps de prendre une douche, téléphoner à mon mari et à mon fils, envoyer un mail à mon patron et me préparer avant de vous retrouver à 21h00 dans le hall de l’hôtel.En ce qui me concerne, cela me laisse le temps de faire encore quelques clients dans le secteur des XVIIème et XVIIIème arrondissements avant de prendre un rapide encas. A l’heure dite, je la retrouve dans le hall et quelques minutes plus tard, nous voici dans un wagon de la ligne 2 en direction de Nation. Océane porte toujours son long manteau et elle est perchée sur de petites bottines à talons aiguilles. Bien évidemment, elle attire les regards de tous les mecs présents dans la rame ; il y a là de nombreux beurs qui sont loin de rester insensibles à ses charmes. Je me penche vers elle et lui dis à l’oreille— Voilà qui vous met déjà dans l’ambiance ! Vous êtes sûre de vouloir vous offrir ce cadeau de Noël ?Elle jette un coup d’œil autour d’elle et croise les regards lubriques et concupiscents de tous ces mâles. Elle me dit— Oh oui ! J’en ai tellement envie !Quelques instants plus tard, nous sortons de la rame et descendons les escaliers de la station Barbès Rochechouart. Une fois dans la rue, nous sommes abordés par les jeunes vendeurs à la sauvette de parfums, de cigarettes et autres contrefaçons qui, eux aussi, reluquent ma compagne. Nous voici maintenant devant la façade néo-égyptienne du cinéma Le Louxor, remarquable exemple de l’architecture antique des années 1920. Pour bien connaître ce lieu, je sais qu’il y a là de quoi satisfaire les envies de ma jolie bretonne. Je prends deux billets pour l’un des films et, une fois dans la salle, nous nous installons quasiment au milieu d’une rangée en partie haute. Avant qu’elle s’assoie, j’aide Océane à retirer son manteau. Quel plaisir pour les yeux ! Elle se retrouve en mini jupe grise avec un chemisier assorti très léger sous lequel perce la pointe de ses seins. Pas besoin de porter des lunettes pour voir qu’elle n’a pas de soutien-gorge. Ses bottines à hauts talons et ses bas noirs satin lui sculptent les jambes, confirmant qu’elle est une sportive assidue comme elle me l’a dit dans le taxi. Un collier de cuir rouge bien serré autour de son cou complète sa tenue ; cela lui donne un look de jolie métisse soumise, voire un peu chienne.Notre installation, surtout celle de ma voisine, n’est pas passée inaperçue et pendant la publicité et les extraits de films à sortir, quelques hommes changent de place et s’installent pas très loin de nous. Océane est ravie, ils sont tous bien typés maghrébins ; de jeunes beurs et de vieux chibanis. Dès le début du film, je pose la main sur l’un des genoux d’Océane qui écarte ostensiblement les jambes pour que je puisse remonter plus haut. Malgré la pénombre, on devine qu’elle porte un string rouge dont le tissu épouse parfaitement son mont de vénus et la fente de son abricot.Soudain je me lève et je dis assez fort pour que nos voisins proches entendent— Chérie, je vais aux toilettes. Je te laisse en bonne compagnie.Bien évidemment, je traîne un peu pour me rendre aux WC situés sur le palier desservant les trois salles de l’étage. Cinq bonnes minutes plus tard, lorsque je reviens dans la salle et rejoins Océane, ma place est occupée. Ma jolie bretonne est bien entourée ; un jeune beur à sa gauche et un plus âgé à sa droite, deux vieux juste derrière et un jeune juste devant.Ces cinq mâles ne restent pas inactifs et ne soucie bien évidemment pas de ce qui se passe à l’écran. Pour eux le spectacle est là dans la salle et ils y participent. La mini jupe d’Océane est troussée bien haut et n’en cache pas plus qu’une ceinture qu’elle aurait autour la taille. Son chemisier est grand ouvert et son 85C pointe fièrement vers l’avant. Les voisins de droite et de gauche lui caressent les cuisses qu’elle garde ouvertes. Les deux de derrière lui pelotent les seins et l’embrassent dans le cou. Celui de devant, le regard fixé sur le string rouge, se branle d’une main énergique.Je m’installe à proximité immédiate du groupe de manière à profiter de ce superbe spectacle, digne d’un bon film porno, tout en pouvant intervenir rapidement si la situation dégénère. Mais je ne doute pas que les cinq compères, ayant compris que la belle est totalement consentante, vont savoir gérer l’évolution des ébats de manière à les conclure comme ils le souhaitent.En observant un peu mieux le visage de ma compagne d’un soir, je vois qu’elle a fermé les yeux et s’abandonne totalement à ces cinq maghrébins qui ne doivent pas avoir tous les soirs le plaisir de s’occuper d’une aussi jolie femme. Elle est sur le point de profiter enfin du cadeau qu’elle souhaite s’offrir depuis déjà de longues années : se faire prendre par des beurs et n’être qu’un objet de plaisir entre leurs mains. Le jeune assis à gauche a décidé de passer aux choses sérieuses car il oblige Océane à se mettre debout et lui retire mini jupe et string. A peine est-elle rassise que les deux vieux de derrière parviennent à lui retirer son chemisier. Voici maintenant la belle simplement parée de ses bas noirs auto fixant et de son collier rouge. Quelle allure elle a, une belle salope sexy et BCBG !Les cinq hommes ont maintenant tous le sexe à l’air et leur état montre clairement qu’ils ne sont pas là pour enfiler des perles. L’homme de droite oblige Océane à se pencher vers son bas-ventre et la bouche sensuelle s’empare du gros gland circoncis qui se présente. Pour faciliter son ouvrage, elle se met à genoux sur son siège pour mieux le sucer. Se faisant, elle offre sa croupe et ses fesses de sportive au jeune de gauche qui ne compte pas laisser passer une si belle occasion. Il se lève, serre bien les hanches d’Océane de ses deux mains et lui pénètre la chatte d’un violent coup de queue.Placé comme je suis, je vois le trio de profil et c’est un régal de voir la belle s’occuper de la queue de l’un tandis qu’elle se fait bien baiser par la bite de l’autre. A voir la manière dont les deux hommes s’agitent, je me doute qu’ils ne vont pas tenir longtemps. Je ne me suis pas trompé car celui de droite jette soudain la tête en arrière, plaque une main sur la tête d’Océane et l’oblige ainsi à l’emboucher jusqu’en fond de gorge. Au sourire qui se dessine sur son visage mal rasé, je comprends qu’il est en train de décharger tout son foutre dans la bouche gourmande de sa fellatrice.Océane a toujours la bite en bouche, certainement pour en extraire tout le jus, lorsque le jeune se raidit dans son dos, se soude à sa croupe et pousse un long râle sans se soucier le moins du monde des autres spectateurs captivés par le film. Je le devine cramponné aux hanches de la belle pour éviter qu’elle ne bouge pour échapper au torrent de perme qu’il déverse en elle. S’il savait qu’elle n’attend que cela, il serait moins inquiet ! Visiblement, les cinq arabes se connaissent car les deux qui viennent de se vider laissent aussitôt la place. Océane reste à genoux sur son fauteuil – position qu’elle semble apprécier –mais cette fois-ci en tournant le dos à l’écran. Elle se retrouve ainsi face à deux belles queues déjà bien tendues et présente sa croupe au plus jeune. L’un des deux vieux – celui qui vient de se faire emboucher – dit quelques mots en arabe au jeune qui lui répond dans la même langue avec un grand sourire. Tandis que la bretonne, déjà bien chaude, passe d’une queue à l’autre tout en branlant celle qu’elle ne suce pas, je devine les intentions du plus jeune qui se colle à la croupe offerte à lui. Placé comme je suis, je vois qu’il pénètre la chatte d’Océane et fait quelques allers-retours dans l’orifice bien alésé auparavant par son collègue.Cependant, je comprends vite que c’était seulement pour se mettre en jambe. En effet, il se retire et repositionne son gland entre les fesses musclées de la jolie métisse. Sans ménagement, il s’introduit d’un coup sec dans ce petit cul qui, j’en suis certain, en a connu bien d’autres. Une fois dans la place, il se met à besogner la belle comme un vrai marteau-piqueur. Je ne sais pas s’il travaille dans les travaux publics mais en tout cas il tient la forme. Cela fait bien trente minutes que le film a commencé, à l’écran comme dans la salle. N’ayant rien suivi du film projeté, je ne sais nullement s’il est intéressant. Mais ce qui se passe juste à mes côtés est bougrement captivant !Les deux vieux semblent moins endurants que le petit jeune car l’un vient déjà de se vider dans la bouche d’Océane. A la voir se lécher les lèvres comme une chienne se lécherait les babines, je comprends qu’elle doit apprécier le goût du foutre. Le chibani doit bien avoir 60 ou 65 ans, le sperme se bonifierait-il avec l’âge comme le bon vin ? Dans ce cas, elle est en train de déguster un grand cru ! Le second n’a pas le temps de glisser sa queue dans la bouche encore pleine de foutre de son copain. Certainement trop excité pour se retenir encore quelques secondes, il lâche ses jets sur le front d’Océane puis, de son gland, il étale bien sa sauce sur les joues et le menton.Le jeune est maintenant seul et continue à s’activer dans le cul de ma compagne tout en lui excitant les seins de ses doigts. Maintenant qu’elle n’a plus la bouche occupée, Océane peut exprimer tout le plaisir qu’elle a se faire prendre comme une chienne. Elle gémit et se mord les lèvres pour ne pas crier plus fort ; il ne faudrait pas gêner ceux qui sont là pour le film ! Malgré toute sa bonne volonté, le jeune ne peut plus tenir. Il se soude aux fesses d’Océane, la maintient bien contre lui en la tenant fermement par les hanches et je devine, à l’expression réjouie de son visage, qu’il se répand dans le cul de cette salope de provinciale. Nul doute que demain ces cinq arabes vont largement commenter au bar du coin leur sortie au cinéma de ce soir ! Un petit quart d’heure plus tard, nous sommes de retour dans le hall de l’hôtel Mercure. J’embrasse Océane sur les lèvres, elle a encore un goût de foutre en bouche et une odeur de luxure se mélange à son doux parfum.Je lui dis— Alors, êtes-vous satisfaite de ce cadeau de Noël ?Avec un grand sourire, elle me répond— Oh oui ! Je poursuis— Si vous le souhaitez, je peux vous offrir un autre cadeau de Noël demain soir ! Mais dans un lieu moins clinquant.Elle me fixe droit dans les yeux, semble hésiter mais me répond finalement— Chiche !Puis elle me demande d’être là demain matin à 08h00 pour la ramener au parc des expositions pour sa seconde journée de salon.Je la regarde s’éloigner vers l’ascenseur. Je souris en voyant sa démarche chaloupée, elle en a vraiment pris plein le cul !Vivement demain soir, je lui réserve une belle surprise pour sa seconde et dernière soirée à Paris…..
A suivre !
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