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Les aventures de Fantasmix

Chapitre 8

Divers
Après ce succulent repas nous sommes remontés dans la chambre de Marie reprendre ce que nous avions commencé. Nous nous sommes de nouveau déshabillés et je m’allongeai sur le dos ; Marie vint me sucer, puis elle me demanda de la dévirginiser. Comme je m’inquiétais de savoir si elle le voulait vraiment, elle me répondit comme si je lui demandais sa main :
— Oui, je le veux.
Pendant que je mettais une des capotes que ma mère m’avait données, Marie prit un ancien drap et le posa sur le lit pour ne pas tacher la literie, puis je l’amenai sur le bord du lit afin de bien pouvoir la pénétrer ; je mis alors mon pénis à l’entrée de son vagin.
Je m’amusai avec son clito avant de faire entrer doucement ma limousine dans son garage. Elle gémit lorsque je déchirai son hymen, et un peu de sang coula sur le drap. Je continuai alors ma progression encore plus doucement, et puis d’un coup j’accélérai le mouvement, ce qui fit gémir de plus belle ma dulcinée.
Au bout d’un moment, elle me demanda de changer de position car elle voulait que je la prenne en levrette, ce que je fis. Tout en continuant mes va-et-vient, je lui demandai comment il se faisait qu’elle connaisse autant de trucs sur le sexe alors qu’elle ne l’avait jamais pratiqué ; elle m’avoua s’être souvent masturbée devant des vidéos quand sa mère n’était pas à la maison. Je m’en doutais, mais je voulais vérifier.
Nous continuâmes nos jeux sexuels pendant plus d’une heure, puis dès que nous eûmes joui tous les deux, nous séparâmes nos deux corps. J’enlevai la capote que je nouai avant de la jeter dans la poubelle, puis je me rallongeai à côté de ma chérie qui me prit dans ses bras, et nous nous endormîmes rapidement après quelques échanges de baisers et de câlins.
Le lendemain, lorsque je me réveillai, je vis que Marie dormait encore. Alors pour, ne pas la réveiller, je me levai doucement du lit, me rhabillai, puis je descendis dans la cuisine.La mère de Marie était en train de laver la vaisselle ; quand elle me vit, elle me dit bonjour et me demanda si j’avais bien dormi. Je lui répondis que j’avais passé une excellente nuit, et je lui demandai si elle n’avait pas entendu trop de bruit. Elle haussa les épaules, me fit un clin d’œil avant de me confier
— Je n’ai rien entendu.
Je souris… Elle me demanda alors ce que je voulais prendre pour mon petit déjeuner ; je lui répondis « Une tasse de lait chocolaté avec des biscottes beurrées, si vous avez cela. » Elle me demanda si je ne voulais pas quelque chose de plus. Lorsque je lui répondis par la négative, elle eut l’air déçu. Je ne compris pas pourquoi et je n’y prêtai pas plus attention.Je terminai mon petit déjeuner et remontai dans la chambre ; j’ouvris la porte m’assis sur la chaise de bureau pour la contempler : elle était si belle, si sexy que j’eus envie de me branler, ce que je fis jusqu’au moment où elle se réveilla et me vit.
— Petit coquin… Viens à mes côtés au lieu de te masturber tout seul !
Je m’exécutai et me mis à côté d’elle. Marie me prit dans ses bras et m’embrassa ; je lui rendis son baiser. Elle me prit la main et l’amena à son entrejambe ; je me mis alors à la caresser pendant quelques minutes avant qu’elle ne se lève pour aller prendre son petit déjeuner et se laver.
— Attends-moi là, je ne serai pas longue… m’assura-t-elle.


A partir de cet instant le temps me parut comme arrêter, son absence commençait à me frustrer. Je voulus la rejoindre mais je lui ai dit que je l’attendais. Je ne voulais pas la décevoir...
Je sortis donc mon téléphone afin de parler avec Francis. Malheureusement pour moi il n’était pas joignable. J’essayais ensuite de contacter madame X et pareillement injoignable : elle devait être avec Francis en train de s’amuser.
Tant pis, je trouvais le temps long, très long c’était horrible, en réalité il ne se passait pas énormément de temps mais je ne sais pas pourquoi cela me paraissait atroce.
Je finis par me poser des questions sur l’avenir, mes projets. Puis je me rendormis sans le vouloir.
Marie se glissa dans le lit et me caressa le vissage tendrement. Je me réveille, l’embrasse puis elle me dit :
Bah alors tu t’es rendormi ? Désolé d’avoir été longue j’ai voulu t’impressionner et te préparer ton petit dej’. Elle me montra le plateau sur le bureau, elle sortit du lit pendant que je me frottais les yeux et me l’amena.
Un succulent jus d’orange, des madeleines et un bol de café au lait accompagné d’un magazine érotique. Je ne compris l’intérêt du magazine qu’après avoir dégusté cette délicate attention.
Marie silencieuse pendant ma dégustation déclara que ce n’était que l’apéritif, ouvrant les pages du magazine et me montrant une image d’un homme mangeant de la chantilly sur le sexe de sa partenaire.
-Tu aimerais qu’on le fasse ? me proposa la petite coquine qui me servait de petite copine.
Elle sortait la crème et je lui signifiais que j’acceptais.
A suivre...

J’espère que ce huitième chapitre vous a plus la fin n’étais pas préparé et j’ai perdu la suite de l’histoire, je me souviens un peu de la suite mais pas suffisamment pour l’écrire alors j’écrirais une suite fictive si jamais je continue d’écrire. Merci de votre compréhension !!! Fantasmix

P.S -ça promet pour la suite je vous le dis bien que les événements ont changé. Nous sommes victimes du syndrome de Mandela, du moins il semblerait hahaha :)
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