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Les aventures de Mia

Chapitre 3

Erotique
— Non toi toute seule !— Elle se saisit de la canne et commença à frotter l’extrémité du pommeau sur son sexe, l’envie coulait déjà entre les lèvres de sa fente, elle avait bien écarté ses cuisses, sa tête était baissée, elle voyait bien ce phallus en ivoire prêt à la pénétrer, à son habitude elle se mordait la lèvre inférieure avec ses dents.— Vas-y enfonce le dans ta chatte gourmande mon trésor !— Elle poussa ce sexe inerte dans son vagin en poussant un gémissement.— Vous êtes un salaud pour me faire faire ça !— Tout à fait je suis ton salaud !— Mais pourquoi je fais ça ?— Parce que tu en as terriblement envie !— Comment vous le savez ?— Il suffit de te regarder !
Mia faisait aller et venir dans sa chatte trempée le pommeau de la canne, elle avait fermé les yeux et continuait à gémir de plaisir.
— J’adore te voir jouir ma puce !— Vous bandez ?— Comme un âne !— C’est vrai ?— Oui, mais active un peu la cadence !— Oh non je vais jouir trop vite !— Ce n’est pas grave tu recommenceras à jouir après !— Oh putain je jouis !— Ce n’est que le début ma chérie, tu es si belle dans ta jouissance !
Mia activait le phallus canne dans son sexe, sa mouille coulait le long de ses cuisses, elle poussait de petits cris et un beaucoup plus fort quand l’orgasme arrivait. Philippe lui écrasait les tétons qui étaient tout dur.
— Vous bandez ?— Bien sûr que je bande !— Je voudrais voir votre sexe.— Tu veux dire ma queue ?— Oui votre queue !— Ou tu préfères voir ma bite ?— J’ai envie de voir votre bite, montrez-moi votre bite.— Tu es sûre ?— Oh oui je voudrais la sucer s’il vous plaît !— Tu n’as pas encore assez joui mon amour !— Mais je n’arrête pas de jouir !— Je veux que tu jouisses encore !— Vous avez dit mon amour ?— Oui !— Vous avez de l’amour pour moi ?
Mia avait glissé sa main entre les jambes de Philippe.
— C’est vrai que vous bandez !— Je te l’avais dit !— Elle drôlement grosse !— Eh oui trop grosse pour toi ! — Ah non sûrement pas !— Tu la veux ?— Oh oui je la veux !— Alors peut-être un jour ?— S’il vous plaît !— C’est trop tôt ! Fais-toi jouir !
A chaque jouissance, le corps de Mia était pris de soubresauts, au bout d’un moment, elle lâcha la canne et s’effondra sur Philippe, elle avait du mal à retrouver une respiration normale, il dut la soutenir pour ne pas qu’elle s’étale par terre.
— Vous pouvez me ramener chez moi je suis morte !— Tu es si merveilleuse que je vais te raccompagner devant ta porte !— Vous êtes gentil et méchant à la fois !— Et pourquoi donc méchant ?— Parce que vous ne voulez pas me montrer votre bite d’amour !
Sur le chemin du retour, Mia s’endormit sur son siège, les cuisses écartées, Philippe ne put s’empêcher de caresser ce minou si gourmand. Mia sortit de la voiture en titubant, elle envoya avec sa main un baiser à Philippe et disparut.
Mia était songeuse, presque un peu triste, elle s’était couchée la veille dès que Philippe l’avait déposée chez elle et s’était endormie comme une masse, ce n’est que plus de dix heures après qu’elle avait émergé.
Mia se posait beaucoup de questions, elle avait trente-trois ans, elle se savait timide et réservée, sa vie professionnelle était satisfaisante, même plutôt réussie, mais sa vie amoureuse était très fade, quelques amants qui ne lui avaient pas laissé de souvenirs impérissables, sa vie sexuelle ressemblait à un désert, ses seules jouissances, elle ne les devait qu’à ses doigts et puis là elle venait de rencontrer Philippe qui avait presque trente ans de plus qu’elle et qui lui avait apporté en deux rencontres des choses qu’elle n’avait jamais pu imaginer. C’était fou et honteux de se sentir femelle comme elle se sentait, dès que ses yeux se posaient sur elle, elle se sentait belle et désirable, jamais elle n’avait ressenti autant d’émoi. Elle qui se voulait forte devenait en sa présence toute fragile et vulnérable, mais qu’avait-il de plus que les autres pour la perturber autant ?

Pourquoi voulait-il qu’elle jouisse devant lui, c’était malsain une attitude pareille, peut-être qu’elle n’était qu’un objet sexuel à ses yeux et pourtant il lui avait dit « mon amour » c’etait perturbant. Maintenant qu’elle avait accepté de faire ce qu’il avait voulu, allait-il bien vouloir lui faire l’amour, car elle en avait l’envie, elle voulait que sa bouche se colle à la sienne et que leurs langues se mélangent, elle voulait sentir sa verge la pénétrer, elle était persuadée qu’il lui donnerait une grande jouissance. Toute sa vie s’écroulait à cause d’une canne et d’un vieil homme, son esprit d’habitude bien clair se retrouvait aujourd’hui malmené par des envies de sexe, de jouissance, c’était déprimant de devenir esclave. Il fallait absolument qu’elle aille le voir pour lui parler, il devait l’aider à sortir de ce couloir tout noir, il devait pouvoir la comprendre, peut-être l’aimait-il ?

Mia avait eu un emploi du temps très chargé les deux jours qui avaient suivi, elle avait rencontré beaucoup de difficultés à rester concentrée sur son job, ses pensées étaient trop souvent occupées par Philippe et ça la mettait en rogne, car son boulot n’avançait pas comme elle aurait voulu. Durant ces deux jours, elle rentrait tard le soir, beaucoup trop tard pour aller frapper à la porte de Philippe et puis elle ramenait aussi un peu de travail chez elle de façon à pouvoir se libérer plus rapidement de sa tâche et s’accorder un jour de liberté. Le soir en se couchant, elle avait envie de se caresser, mais elle ne le faisait pas, elle avait peur d’être encore plus excitée après.

Enfin un jour de libre, se disait Mia quand elle s’était réveillée, je vais passer voir Philippe ce matin, mais avant, il faut que je fasse un peu de ménage. Une fois qu’elle eut fini de remettre son appartement en ordre, elle alla prendre une douche et se prépara, elle avait décidé de remettre sa jolie petite robe qui se portait sans soutien-gorge, elle prit dans le tiroir une petite culotte vert pomme, la rangea et en prit une noire qu’elle enfila. Elle se regarda dans la glace, elle remit ses cheveux en ordre et resta un moment à regarder son image dans le miroir, puis elle se dit « Pourquoi j’ai mis une petite culotte puisqu’il va me demander de la retirer ? » Elle retira son sous-vêtement et le remit avec les autres.

Elle ferma la porte à clef et partit d’un pas décidé, en marchant sur le trottoir, une petite brise lui caressait le visage, ce n’était pas pour lui déplaire, ce petit vent s’engouffrait légèrement sous sa robe, elle le sentait passer sur son sexe, elle n’avait pas l’habitude de ne pas porter de petite culotte, et ça lui provoquait une sensation très agréable. Elle regardait les gens qui marchaient comme elle en ville, de savoir qu’elle était nue sous sa robe au milieu de tous ces badauds commençait à l’exciter, elle imaginait la surprise de Philippe quand il s’apercevrait qu’elle n’avait pas de culotte, ça la faisait sourire. Elle était arrivée, les battements de son cœur s’étaient accélérés, elle avala sa salive et sonna, la porte s’ouvrit, à sa surprise, c’était une grande femme qui l’avait ouverte, Mia vit immédiatement que cette femme tenait dans sa main la canne avec le serpent sculpté, son sang ne fit qu’un tour, elle eut voulut faire demi-tour.
— Philippe ! Il y a de la visite pour toi !— Qui c’est ?— Je crois que c’est ta petite princesse !— Fais-la entrer ! Dis-lui que j’arrive tout de suite !
Mia ne pouvant reculer entra dans la maison, sa surprise fut encore plus grande quand elle s’aperçut qu’il y avait une deuxième femme, un peu plus jeune que la première qui avait bien dépassé la cinquantaine.
— Philippe arrive tout de suite, il est en train de se refaire une beauté, nous on vous laisse, amusez-vous bien !
Elle avait dit ça avec un petit sourire moqueur qui n’avait pas plu à Mia, dans la pièce flottait une odeur d’encens mélangée à du parfum de femme, Mia se sentait mal à l’aise, elle regrettait d’être entrée, elle aurait dû rester sur le pas de la porte pour mieux se sauver. Philippe apparut, il était en peignoir, un grand sourire illuminait son visage.
— Mais oui c’est bien ma princesse !— Je vois que vous en avez beaucoup des princesses ?— Pourquoi dis-tu cela ?— Parce qu’il y en a deux qui viennent de sortir !— Philippe éclata de rire, ce qui énerva Mia.— Je vois que monsieur dans ses matinées, aime la compagnie féminine !— Calme-toi je vais t’expliquer !— Pas la peine, monsieur doit être fatigué après avoir joué de la canne ?— Tu vas m’écouter ?— Non ! Non ! Alors comme ça vous aimez aussi faire jouir les vieilles peaux avec votre canne ?— Tu arrêtes de dire des conneries ?— Ah oui alors je dis des conneries ?— Parfaitement !— En plus ça sent la pute dans cette pièce !— Là tu vas un peu loin !— Vous avez raison je vais aller loin, même très loin ! Sur ce, monsieur le roi de la canne je vous dis adieu !
Mia d’un pas décidé se dirigeât vers la porte quand Philippe la rattrapa par l’épaule.
— Je n’ai pas eu le temps de te présenter ma sœur et son amie !— C’était votre sœur ?— Oui et sa chérie !— Ah bon !
Mia était confuse, elle se sentait rougir de honte, quelle idée d’avoir joué la jalouse, se disait-elle, elle ne savait plus quoi dire.
— Tu croyais que c’étaient mes maîtresses ?— Un peu quand j’ai vu la canne avec le serpent !— Je lui ai raconté notre histoire et comme cela l’avait excitée, elle me l’a demandé pour jouer avec son amie !— Ce n’est pas vrai ! Vous n’avez pas fait ça ?— Fais quoi ?— Vous ne lui avez pas raconté ?— Je dis tout à ma sœur !— Vous êtes un salopard ! C’était entre nous deux !— Pas d’inquiétude, ma sœur est muette comme une carpe !— C’est pour ça qu’elle souriait en me disant "amusez-vous bien".
Philippe souriait en la regardant s’offusquer, il a fait trois pas en avant vers elle, mais Mia a reculé d’autant.
— Vous êtes infâme !— Tant que ça ?— Plus encore même !— Pour me faire pardonner, je t’offre l’apéritif !— C’est ça et on efface tout ?— Ah non on efface rien, c’était trop merveilleux !— Je ne parle pas de ça !— Allez fais-moi un sourire ! Je te sers quoi ?— Quelque chose de fort, vous n’êtes qu’un odieux personnage !— Whisky ?— Je veux bien !
Mia était encore en colère quand elle s’installa dans le fauteuil, elle remarqua tout de suite qu’il y avait sur la petite table deux cannes posées l’une à côté de l’autre.
Mia avait tout de suite remarqué la forme des pommeaux et l’usage que l’on pouvait en faire, dans sa tête elle s’était dit en pensant à Philippe « Et bien mon cochon si tu crois que tu vas pouvoir t’en servir avec moi, tu vas être déçu ». Elle venait de se rappeler qu’elle n’avait pas de petite culotte, s’il s’en apercevait, il allait croire que c’était une invitation, elle se mordit les lèvres en y pensant. Philippe arriva avec un plateau sur lequel il y avait une bouteille, deux verres et un bol de glaçon. Il versa dans le verre de Mia une bonne rasade et en fit de même dans le sien.
— Tu veux un glaçon ?— Oui merci !— Veux-tu des cacahuètes ?— Pourquoi pas !Il alla chercher une assiette, y versa des cacahuètes et poussa l’assiette juste devant Mia.— C’est quoi ces cannes sur la table ?— C’était pour que ma sœur choisisse !— Ah bon ! Et vous en avez beaucoup des cannes ?— Une bonne vingtaine, tu veux les voir ?— Non je n’y tiens pas plus que ça !— J’aime beaucoup ta robe !— C’est la même que la dernière fois, mais je l’ai lavée depuis !— Elle met ta jolie poitrine en valeur !— Et maintenant vous allez me demander de vous montrer mes seins ?— Tu as deviné !— Eh bien non !— Dommage ! — Eh oui dommage !
En se penchant en avant pour attraper quelques cacahuètes, un pan du peignoir de Philippe avait glissé et le vêtement s’était quelque peu ouvert. Les yeux de Mia étaient attirés par ce morceau de corps qui s’était dévoilé, elle voyait bien le genou et une partie de la cuisse, mais le reste était caché par le tissu. C’est bien il n’est pas beaucoup poilu, ça tombe bien parce que j’ai horreur des hommes singes, se disait-elle. En buvant une bonne gorgée d’alcool, elle scrutait l’entrejambe de son vis-à-vis, mais rien ne pouvait laisser deviner un sexe. Une pensée coquine lui traversa la tête.
— Je vous fais toujours bander ?— En voilà une question ?— Vous ne m’avez pas répondu.— Bien sûr que tu me fais bander !— Et qu’est-ce qui vous fait le plus bander chez moi ?— Dis donc tu es d’humeur coquine ?— Vous ne m’avez pas répondu.— Tout me fait bander chez toi mon trésor !— Mais quoi en particulier ?
Philippe avait du mal à répondre, il aurait bien voulu lui dire, mais il avait peur d’être trop direct.
— Mes jolis tétons ?
Mia avait sorti de sa robe un de ses seins.
— Vous préférez voir les deux ?
Mia avait laissé tomber les bretelles de sa robe, puis elle avait placé ses mains sous ses seins et avec chaque index elle titillait ses tétons, elle fixait l’entrejambe de Philippe et aperçut un mouvement sous le peignoir, elle se réjouissait.
— Vous aimez ?— Tu joues à quoi ?— Vous me trouvez bandante ? Vous savez, je peux faire mieux.— Tu peux faire mieux ? Cela va être difficile, c’est déjà parfait !— Vous croyez que ça va être difficile ?— Je le pense !— Pas moi !
Mia s’était enfoncée dans le fauteuil, elle avait remonté ses genoux pour placer ses deux pieds sur le fauteuil, elle écarta ses genoux en appuyant de ses mains sa robe sur son entrejambe.
— Vous voulez voir ?
Philippe la regardait en souriant, Mia voyait maintenant une bosse qui se précisait sous le peignoir.
— Vous avez envie de voir ma petite culotte ?— De quelle couleur est-elle aujourd’hui ?— Devinez ?— Noire ?— Perdu !— Blanche ?— Perdu !— Rose ?— Perdu.— Alors, montre-moi ?
Mia remonta sa robe doucement sur ses cuisses et dévoila sa nudité aux yeux de Philippe.
— Il n’y en a pas !— Je vois !— Moi aussi je vois que vous bandez !
Philippe changea sa position dans son fauteuil et referma son peignoir, il comprit qu’il venait de se faire avoir.
— Maintenant vous allez me le montrer ce sexe ?— Pourquoi veux-tu le voir ?— Parce que j’ai envie !— Oh tu sais il est comme beaucoup de sexe d’homme !— Oui, mais là il bande !— A peine !— Je vais aller le voir pour vérifier ?— Je te ressers un verre ?— Après !
Mia était sortie de son fauteuil, s’était mise à quatre pattes et avançait vers Philippe.
— Qu’est-ce que tu fais ?— Je suis une panthère qui va attaquer sa proie !
Philippe fut pris d’un fou rire tandis que Mia continuait à se mouvoir doucement vers lui, elle le regardait dans les yeux, elle était juste devant lui, elle posa ses mains sur les genoux de Philippe, elle se redressa pour s’asseoir sur ses talons, elle le fixait intensément dans les yeux ; son envie de découvrir le sexe de cet homme était trop forte pour qu’elle y renonce, elle commença doucement à défaire la ceinture du peignoir, Philippe la laissait faire, la ceinture était maintenant défaite, elle écarta les pans du peignoir pour laisser apparaître devant ses yeux le sexe en début d’érection.
— Oh ! Mais il n’est pas si gros que ça ?— Il est peut-être encore endormi ?— Il ne faut pas le réveiller alors ?— Trop tard je crois qu’il se réveille !— Je vais l’aider !
Mia avait les yeux grand ouvert, elle le voyait enfin et elle le trouvait beau, elle commença à le caresser du bout de ses doigts sur toute sa longueur, elle le voyait se redresser de plus en plus.
Elle était terriblement excitée, elle sentait en elle un désir incontrôlable, c’est à pleine main qu’elle venait de le saisir, elle faisait monter et puis descendre cette main, elle décalotta le gland turgescent, elle entreprit de branler cette verge toute dure, elle la quitta des yeux pour chercher ceux de Philippe, mais elle ne put les voir, il avait renversé sa tête en arrière, tout en continuant à le branler doucement, elle entreprit de caresser le gland avec sa langue, visiblement cela lui faisait beaucoup d’effets, elle n’en pouvait plus, elle fit entrer dans sa bouche ce sexe et avec délicatesse elle le suça comme un gros sucre d’orge, Philippe gémissait et avait posé ses mains derrière la tête de Mia lui donnant une cadence qu’elle respectait, avec une de ses mains, elle malaxait doucement les testicules de l’homme, elle sentait bien dans sa bouche les soubresauts qui secouaient le sexe de Philippe, elle était aux anges.
— Philippe lui repoussa sa tête pour sortir sa verge de la bouche de Mia.— Arrête tu vas me faire jouir !— Et alors vous n’avez pas envie ?— Pas tout de suite !— Mais si je continue, laissez vous faire !— Non arrête, tu es trop adroite pour que j’arrive à me retenir !— Vous vous gênez pas pour me faire jouir alors à mon tour ! — D’accord, mais tout à l’heure !— Non tout de suite !— Buvons un verre d’abord !
Philippe s’était relevé, il avait refermé son peignoir, mais elle devinait très bien son érection. Il resservit deux verres et s’installa dans son fauteuil, Mia ne se désarma pas, elle alla s’asseoir sur ses genoux, passa ses jambes sur l’accoudoir en lui passant ses bras autour du cou, elle le regardait dans les yeux et lui souriait. Comme elle en mourrait d’envie, elle posa ses lèvres sur les siennes, il ne bougeait pas, elle glissa sa langue entre ses lèvres pour la faire pénétrer dans la bouche de Philippe, la vivace langue de Mia dansa dans cette nouvelle bouche qu’elle n’avait pas encore visitée et ils échangèrent un long baiser fougueux. Les mains de Philippe se promenaient sur le dos de Mia, elle en avait des frissons, leurs bouches se séparèrent.
— J’aime beaucoup ton sexe et je crois qu’il m’aime bien aussi !— Ah tu veux parler de ma bite ?— Oui votre grosse bite !— Tu es contente maintenant que tu la connais ?— Oui, mais je ne connais pas tout d’elle encore ?— Ah bon ?— Elle n’a jamais visité mon minou !— Dis donc tu en veux des choses toi ?— La faute à qui ?
Mia sentait la main de Philippe qui lui caressait la cuisse sous sa robe, ce dernier avait saisi entre ses lèvres un téton de Mia qui avait toujours les seins à l’air. Elle sentait maintenant cette main qui se glissait entre ses cuisses, elle les avait un peu écartées.
— Dites donc monsieur vous n’êtes pas en train de profiter que je n’ai pas de petite culotte ?— Voyons mademoiselle ce n’est pas mon genre !— J’en doute !— Vous avez tort, mademoiselle !
Elle sentait les doigts qui avaient franchi sa fente, sa respiration s’accélérait, maintenant ils excitaient son clitoris, Mia avait collé sa tête sur l’épaule de Philippe, elle sentait la jouissance toute proche.
— Mon petit trésor attrape une canne qui est sur la table !— Oh non je veux votre bite !— Attrape une canne !— Oui, mais laquelle ?— Celle que tu veux !
Mia étira son bras et attrapa la première venue qu’elle donna à Philippe.
— Non garde-la et mets-toi-la ! Je te laisse le fauteuil !— Oh non ! Faites-le-vous !— Je te laisse le fauteuil, tu te fais jouir et tu me suces en même temps ?— Oh oui je veux bien ! Et vous allez jouir vous aussi ?— Il y a des chances !— Promis ?— Promis !
Mia se caressait le clitoris avec le pommeau de la canne qu’elle tenait dans une main et avec son autre main elle avait saisi le sexe de Philippe qui était debout à côté du fauteuil, elle léchait le gland qui lui était offert tout en glissant le pommeau dans sa chatte, elle activait ce dernier plus vite, mais ce n’était pas facile de coordonner tous ces gestes, Philippe s’en aperçut.
— Attends c’est moi qui vais utiliser la canne !— Humm !— Ne parle pas la bouche pleine !— Humm !
Elle pompait avec passion cette verge, il était évident qu’elle voulait la faire gicler dans sa bouche, elle s’appliquait à accélérer et puis à ralentir ensuite elle la sortait de sa bouche et faisait tourner sa langue sur le gland tout en la branlant énergiquement avec son autre main, elle malaxait les testicules, mais parfois elle était obligée de cesser parce que Philippe faisait jouer le pommeau de la canne dans son vagin, il le faisait aller et venir plus ou moins vite, plus ou moins loin et s’arrêtant sur le clitoris pour le faire encore plus grossir. Mia avait les jambes grandes ouvertes et donnait de temps à autre des coups de reins pour s’empaler sur ce phallus quand ce dernier ralentissait de trop. De sa bouche pleine sortaient des bruits gutturaux plus ou moins fort et parfois violents quand la jouissance arrivait.

Ce qui devait arriver arriva, elle branlait cette queue quand elle sentit Philippe se contracter en bloquant sa respiration, elle avait tout de suite compris qu’il allait jouir, alors elle enfourna cette verge dans sa bouche et l’aspira en continuant à la branler avec sa main, elle entendit Philippe pousser un terrible et long râlement, elle sentit le liquide chaud envahir sa bouche et les secousses que cette bite avait pour expulser son foutre, Mia était aux anges pour la première fois avec Philippe, elle avait ce qu’elle voulait. Le sexe qui était dans sa bouche diminuait de volume, mais elle le pompait toujours, avalant tout ce qu’elle pouvait avaler puis elle le sentit partir, elle en était presque désolée.

Philippe n’avait pas bougé, il avait lâché la canne et caressait les cheveux de Mia qui le regardait en passant sa langue sur ses lèvres pour essuyer les dernières traces de l’éjaculation de Philippe.
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