Je vous ai raconté ce qui s’est passé pendant les vacances de Pâques 2011. Mon mari n’en a jamais rien su, j’ai gardé ce moment intime et adultère pour moi; pas de remords, pas de regret non plus d’ailleurs..Pour les vacances d’été, nous partons avec nos enfants en juillet sur l’arrière pays d’Aix en Provence. C’est un pays que j’adore: les odeurs, le soleil, le calme et la sérénité qui se dégagent de ces paysages. Nous y avons d’ailleurs conçu notre petit dernier. Nous sommes dans un hôtel avec spa, piscine, superbe bastide qui a toutes les facilités que peut offrir un hôtel de ce standing.Les enfants vivent globalement leur vie, mon mari et moi nous nous reposons. Un matin, nous remarquons un jeune couple au petit déjeuner, 25-27 ans, avec un tout jeune bébé. Cela nous renvoie pas mal d’années en arrière, mon mari et moi! Je constate quand même que l’épouse à pas l’air facile à vivre, ou alors elle est de mauvaise humeur. Le mari, lui ne dit rien, il est pas mal : grand, brun musclé. On échanges quelques amabilités, ainsi que les matins suivants.Nous sommes un jeudi, et mon mari a décidé de partir en randonnée avec les 4 enfants. Il fait beau, et pour ma part, la randonnée, c’est pas mon truc. Je suis venue pour me reposer, et c’est le jour du marché au village. Je laisse donc mon époux partir avec les enfants. je me lève et enfile une petite robe d’été après la douche, puis je vais prendre mon petit déjeuner seule. Je croise le jeune couple. Puis je pars tranquillement au marché. Petit marché de pays, les couleurs, les odeurs, les voix qui chantent, je flâne dans les allées... et ... je croise de nouveau le jeune couple. Nous échangeons un peu plus, je leur dis que je suis seule aujourd’hui au moins jusqu’au soir, mon mari et enfants partis en randonnée. Elle s’appelle Marie, lui Bruno. Elle est effectivement d’un caractère particulier, limite infecte d’ailleurs. Son ton est sec, pas un mot doux, l’impression qu’elle est constamment agacée. Au bout d’une demi-heure, elle décide de rentrer à l’hôtel, pour le bébé qui a trop chaud, pour le bruit qui l’indispose, pour les odeurs qui sont limite de lui donner la nausée. Bruno demande à profiter encore du marché (il demande!!! j’hallucine! il ne décide même pas tout seul!.. un couple qui ne durera pas dans de telles conditions). Nous nous retrouvons donc tous les deux dans le marché, Bruno et moi. Après quelques allées, il m’invite à boire un verre, et on discute de choses et d’autres. Il a besoin de parler, notamment de son couple. Marie et lui sont mariés depuis 3 ans, il a 27 ans, elle 25. Depuis sa grossesse, leur relation a changé. Elle a eu des nausées dès le 5ème mois de grossesse et leurs rapports sexuels se sont arrêtés là. Il en parle librement, sans prise de tête. Je suis détendue aussi. Je lui dis que pour ma part, mes grossesses ont toutes eu l’effet inverse : une libido qui s’est développée, à faire l’amour jour et nuit, surtout vers la fin. 4 grossesses au total! IL me sourit et je vois bien dans son regard qu’il imagine la chose. Il me dit qu’il pensait que cela allait revenir après l’accouchement, mais non. Depuis la naissance, elle en a que pour l’enfant, qu’il a le sentiment d’être rejeté. Je fais rapidement le calcul dans ma tête : depuis le 5ème mois, le bébé a 3 mois : 7 mois sans de vrais rapports.Il est midi, nous rentrons car il doit être là quand Marie ira manger. Il me demande si je sortirais l’après midi. Non, je vais rester à l’hôtel, le soleil sera trop chaud et j’ai envie de farniente et piscine. Il part, je reste au village et m’offre un petit resto.Je rentre à l’hôtel vers 13 heures, et me dépêche de me changer, pour profiter du calme de la piscine totalement vide au moins jusqu’à 15 heures, heure à laquelle les gens vont commencer à y retourner en famille . J’enfile mon petit deux pièces bleu (très petit, j’avoue), prends la serviette, la crème solaire, les lunettes de soleil, mon téléphone, mes revues, et me voilà sur un transat, seule, à lézarder et à sentir le feu du soleil sur ma peau.vers 13h30, je vois Bruno qui arrive également à la piscine, il porte juste un maillot noir, une serviette. Oui, bien bâti, épaules larges, pectoraux et abdominaux apparents : le fait de ne pas coucher avec sa femme lui laisse le temps de se défouler à la salle de fitness.. je suis méchante... Il s’assied sur le transat à côté, en me disant que Marie est partie coucher le bébé, et que comme elle a rien dormi à cause de l’allaitement, elle va faire la sieste aussi.. comme d’habitude, jusqu’à 17 heures, entrecoupée des périodes d’allaitement. Nous reprenons notre discussion du matin, et cela devient plus intime. Il m’explique qu’effectivement, il n’a pas touché sa femme depuis 7 mois, qu’elle refuse même le contact charnel, pas devant l’enfant, à cause de la fatigue. Je lui demande si il voit ailleurs, il me réponds que non et il me retourne la question. Je lui réponds que non, mais je suis troublée, car je vois alors défiler des images, des flashs et je ressens des sensations de ce qui c’est passé en avril.. je revois et ressens Marc dans sa chambre d’hôtel, et ça me serre le ventre. je réajuste mes lunettes en espérant que mon trouble n’a pas été visible.Nous allons faire quelques longueurs et revenons sur nos transats. Je sèche vite et il me propose d’étaler ma crème. je ne peux m’empêcher d’esquisser un sourire et .. d’accepter. Ses mains chaudes font plus qu’étaler la crème. je les sens me presser, comme rentrer en moi, avides de toucher de la peau féminine, d’aller là où .. sur ma nuque, mon dos.. je défais mon lacet du haut, mais ne le retire pas, c’est interdit par le règlement de l’hôtel, de faire du topless.. mais mon dos est nu. Le bas des reins. je tourne ma tête vers lui, et avec mes lunettes de soleil, il ne voit pas que je le mate. ses cuisses, son torse poilu et musclé, qui bouge avec les mouvements de ses mains, et son caleçon de bain qui est gonflé, et il ne s’en cache même pas! Il passe sur mes cuisses, le bas de mes fesses hors de mon bas de maillot.. "- on sent que vos mains n’ont pas caressé de femme depuis longtemps.. (mais pourquoi je lui dis ça??)— ah bon, ça se sent tant que ça, oui, j’avoue que.. j’aime vous passer de la crème.— oui, ça se voit bien que vous aimez (tu cherches là, arrête!)— il faut dire que.. vous êtes très belle, attirante et ...."ses mains ralentissent, reviennent sur mes fesses et me les pelotent carrément"... une belle femme comme vous, la quarantaine en plus, mon fantasme, pour un homme comme moi qui n’a pas touché depuis longtemps, j’ai qu’une envie, lui faire l’amour.. on va dans votre chambre?"C’est direct
