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Les aventures de Sandra

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Je me nomme Sandra ; je suis une jeune femme de 24 ans, qui mesure 1,68 m. Ma taille est fine, et j’ai de longs cheveux blonds lissés, des yeux marron, des seins bien ronds en forme de pomme qui remplissent mon soutien-gorge de taille 90C, et une belle paire de fesses rebondies et fermes grâce à mes nombreuses séances de footing. J’aime prendre soin de moi ; je m’habille toujours sexy, mais pas vulgaire. Étudiante en master « commerce », je vis dans un petit appartement à Nantes. De plus, je suis célibataire, préférant profiter de la vie. Pour cela, je peux compter sur plusieurs sexfriends avec qui je m’adonne à de bonnes parties de sexe, de jambes en l’air.
Le plus fidèle d’entre eux – un ami de mon université – veut me faire tenter une nouvelle expérience : il me relance tous les jours pour que je me fasse sauter par d’autres hommes. Bon, j’aime ça, et mon petit groupe de sexfriends tourne en rond depuis quelque temps. Je connais le goût de chacun de mes potes car ils ont tous éjaculé dans ma gorge, sur mon visage, dans mon sexe, ou ont étalé sur mes seins leur pommade divine. Alors je ne suis pas très difficile à convaincre, mais je veux faire les choses en grand : cette fois-ci, un film devra confirmer mes actes. Il ne va pas être déçu, le porc : je lui réserve une belle surprise ! Je peux compter sur l’aide d’un mec que j’ai connu sur Internet : « Wolf », c’est son pseudo. Il travaille dans la postproduction photo et vidéo ; c’est donc lui qui s’occupera du montage. Sur les conseils de Wolf, je téléphone à Alex, un de ses amis qui est photographe.
Il me faut plus d’une heure pour me doucher, m’épiler intégralement, me maquiller, me parfumer sur tout le corps et choisir mes vêtements pour me faire toute belle. La température étant estivale, j’opte pour une robe blanche, légèrement transparente. J’omets de fermer les deux premiers et les trois derniers boutons sur le devant, dévoilant ainsi à chaque mouvement l’arrondi de mes seins jusqu’aux aréoles, ce que permet mon soutien-gorge très échancré. Dessous, je ne porte qu’un mini-slip de couleur chair agrémenté de dentelle ; de quoi damner le diable lui-même ! Pour moi, les sous-vêtements représentent la mise en valeur du corps et avivent la convoitise des hommes. Enfin j’enfile une paire d’escarpins avec des talons de près de dix centimètres qui mettent en valeur la cambrure de mes reins. À présent, mon look est bien en rapport avec ce que je m’apprête à faire : en me contemplant devant mon miroir, je me trouve à la limite "garce" ; mais après tout, je ne vais pas faire du baby-sitting ! Et me voilà partie, seins et cuisses en avant, ma tenue exprimant toute ma rancœur à l’encontre de mon ami.
Il faut avouer que je n’ai pas eu de mal à trouver sur Internet des hommes prêts à me rencontrer ; l’un d’eux a même proposé sa maison pour nous recevoir. À quatorze heures pile et pas une minute de plus, lorsque je m’arrête devant celle-ci, je n’en mène pas large ; mais quand je prends une décision, je vais jusqu’au bout. Je suis accueillie par trois hommes plutôt bien habillés : le cameraman (qui n’est autre que l’ami de Wolf, Alex) et les deux qui doivent me sauter comme il faut, Thomas et Nathan. Je comprends aussitôt que je ne leur suis pas indifférente : ils me déshabillent du regard. Thomas est un grand brun basané d’allure sportive tandis que Nathan est blond, plus petit et plus carré.
Nous traversons la maison pour nous retrouver dans un charmant jardin où ils m’invitent à m’asseoir pour prendre un verre et faire connaissance. C’est Alex qui mène la danse ; après quelques banalités, il se lève, fouille dans un sac posé sur une chaise et en sort un miroir et trois masques afin que j’en choisisse un. Le premier – un simple loup – me découvre trop, me semble-t-il. Le deuxième est une voilette légèrement transparente que je refuse également par crainte qu’elle ne se soulève au cours de nos ébats. Je suis déjà à fond dans ma vengeance ! Je choisis le troisième qui ne laisse apparaître que mes yeux et ma bouche.
Pendant que, penchée en avant et masquée, je me contemple dans le miroir, Thomas et Nathan se sont levés et approchés de moi. Ils plongent sans vergogne leurs regards dans mon décolleté où mes seins apparaissent en totalité, seulement retenus par mon soutien-gorge affriolant. Alex pose devant moi un document à signer autorisant Wolf à diffuser sur son site Internet ce qui sera filmé. Il me montre aussi les résultats des tests HIV de Nathan, de Thomas et de lui-même, qui sont tous négatifs. Ainsi, je risque de subir les assauts non pas de deux mais de trois hommes, et cela m’excite beaucoup. À mon grand étonnement, cela ne me trouble pas plus, bien au contraire… Je me sens excitée, et être masquée fait tomber mes dernières inhibitions. Je signe sans hésiter, me lève et attends la suite avec impatience.
Alex saisit sa caméra et commence à filmer tandis que Nathan et Thomas s’approchent de moi. Nathan saisit mon visage entre ses mains et m’embrasse à pleine bouche ; il a un goût de vanille. Thomas, de son côté, défait les derniers boutons de ma robe qui tombe à mes pieds, puis il fait glisser mon slip le long de mes cuisses et, soulevant mes pieds l’un après l’autre, me l’enlève. Il m’entoure de ses bras musclés, et mon soutien-gorge a vite fait de prendre le même chemin. Je me retrouve uniquement vêtue – si l’on peut dire – de mes escarpins. Pas question de les quitter. Thomas se colle dans mon dos et empaume mes seins ; Nathan, tout en continuant à m’embrasser, glisse une main sur mon ventre et l’insinue entre mes cuisses.
— Alors, ma petite garce, on mouille déjà ?
Être nue, coincée entre deux hommes habillés, cela m’excite. Je sens mon ventre s’humidifier ; Thomas en profite pour y insérer un doigt puis, m’attrapant par les cheveux, me bascule la tête en arrière et m’embrasse à son tour. Lui, il a un goût de menthe. Son autre main descend dans mon dos et se glisse entre mes fesses ; mon excitation grimpe de plusieurs degrés : maintenant, je suis prête à tout accepter de trois hommes ; ma vengeance va être très agréable...
Thomas et Nathan, tout en continuant à m’embrasser et à me caresser, se déshabillent à leur tour. Ils placent chacun leur sexe tendu dans chacune de mes mains ; je prends plaisir à les masturber doucement alors que mon ventre et mon cul s’enflamment sous leurs doigts qui me fouillent profondément. Je ne m’attendais pas à ce qu’un orgasme me prenne brutalement ; cela déclenche des exclamations admiratives et des commentaires salaces des trois hommes :
— T’a vu la salope comme elle jouit ?— Oui, et on a à peine commencé…— Elle doit être bonne, la bourgeoise !
Mes jambes flageolent ; je m’accroche au cou de Thomas pour ne pas tomber. Les mains des deux hommes toujours sur moi me soutiennent également. Toujours filmée et photographiée, je suis transportée dans la maison et allongée sur un canapé. Nathan s’agenouille pour venir manger ma chatte gluante alors que Thomas me présente son sexe à sucer. Je ressens comme un dédoublement de la personnalité : je ne suis plus la jeune femme rangée, je deviens le sosie de moi-même.
Sous la langue de Nathan, mon clitoris m’envoie des ondes de plaisir de plus en plus fortes. Sous ses doigts, mon cul s’ouvre de plus en plus largement. Je suce Thomas comme je n’avais jamais sucé mon ami. N’y tenant plus, j’agrippe les cheveux de Thomas et l’oblige à remonter sur moi. Je prends sa verge et, la guidant moi-même, impatiente, la fais entrer jusqu’au fond de mon ventre. J’ai le souffle coupé : il est beaucoup plus large que mon ami, me dilatant totalement. Quel plaisir de se sentir ainsi pleine, une grosse queue dans mon ventre… Le bonheur ! Je me mords les lèvres pour ne pas crier et jouir sous cette pénétration brutale.
— Mais, la garce, elle mordrait ! Avale au fond de ta gorge ! Gobe tout, salope ! clame Thomas.
Nathan entreprend de me baiser, entrant et sortant de plus en plus rapidement de mon ventre, faisant grimper ma jouissance à chaque aller et retour. Je sens la verge de Thomas – que je continue à sucer goulûment – se contracter ; il me saisit la tête entre les mains et éjacule au fond de ma bouche, ne me laissant comme unique possibilité que de tout avaler, ce que je fais en en éprouvant un certain plaisir. J’aime ça, ce goût légèrement salé, ce liquide tiède directement dans ma bouche, un plaisir inégalé. Je l’aspire, je veux tout, comme si je voulais extraire de ses couilles le moindre jus… Quel bonheur !
Décidément, c’est mon jour de délices ! Voyant cela, Thomas décide de me prendre à son tour et se déchaîne. Mon corps répond à ses assauts, le plaisir monte du plus profond de ma chatte, je halète sous le corps de Thomas auquel je m’agrippe. La jouissance me prend violemment, entraînant des spasmes de mon vagin sur le sexe de Thomas. Je jouis plusieurs fois sous ses assauts, et lorsqu’il vient en longs jets chauds au fond de mon ventre, je ressens l’orgasme le plus violent que je n’ai jamais ressenti. Je ne peux retenir un cri qui me semble s’éterniser tandis que Thomas se vide au plus profond de moi.
Suivent quelques minutes de répit pendant lesquelles Thomas et Nathan vont se rafraîchir, me laissant demi allongée sur le canapé, les cuisses écartées et le vagin béant d’où le sperme s’écoule entre mes fesses. Alex me propose une bière, sans cesser de me photographier ou de me filmer. Habituellement, je n’en bois jamais ; mais nouvelle femme que je veux être, j’accepte, sachant bien que l’alcool – même à petite dose – me fait tourner la tête. Le liquide frais et râpeux me fait du bien. Hélas il fait disparaître le goût du sperme de Thomas. « Quel mélange dans mon estomac ! » ne puis-je m’empêcher de penser.
Thomas revient le premier ; il recommence à me caresser et à m’embrasser. Je saisis sa queue qui reprend sous mes caresses une taille et une fermeté de bon aloi pour la suite. Sa main s’active bientôt entre mes cuisses, ses doigts forçant alternativement mon ventre et mes reins parfaitement lubrifiés par leur sperme. Mon désir réapparaît, je me mets à gémir sous ses assauts… Sous mes doigts, je sens qu’il est prêt lui aussi. Il me met sur le côté et vient dans mon dos, plaçant sa verge contre mon anus ; j’ai peur qu’il ne me fasse mal…
Je saisis malgré tout son sexe à pleine main et le guide moi-même lentement. Je suis étonnée de la facilité avec laquelle mon cul l’accepte. Il l’a tellement bien préparé que je ne ressens aucune douleur. Au contraire, me sentir – et surtout me savoir – sodomisée stimule mon désir. Sa queue bute par va-et-vient, sortant totalement son sexe puis se renfonçant jusqu’à ce que son bassin claque contre mes fesses. Ma main se glisse entre mes cuisses. J’enfonce trois doigts en moi, accordant mon rythme à celui de Thomas dont je sens le sexe à travers la fine paroi qui sépare sa bite dans mon cul de mon vagin mouillé et humide. Mon clitoris m’envoie des éclairs de plaisir à chaque frôlement de ma main ; ils rejoignent les ondes jouissives qui viennent de mon cul et de mon ventre.
Nathan revient dans la pièce et nous regarde ; je vois son pénis reprendre de la vigueur et se dresser bientôt fièrement. Il s’approche de nous et demande à Thomas de se mettre sur le dos. Je me retrouve à moitié assise, empalée sur Thomas tandis que Nathan m’écarte les cuisses. Le spectacle doit lui plaire car il reste un long moment à me détailler tandis qu’Alex me mitraille avec son appareil photo. La situation me rend folle : me savoir exposée ainsi en pleine sodomie m’excite davantage encore. Je m’active de la main sur mon clitoris et dans mon ventre. Mon plaisir grandit de plus en plus ; la jouissance explose, me laissant sans forces, toujours empalée sur Thomas.
Nathan se met à genoux entre mes cuisses et passe sa langue sur mon clitoris, qui réagit à ce traitement. Voyant cela, Nathan se redresse et se place entre mes cuisses ; tenant son sexe à pleine main, il l’appuie contre l’entrée de mon vagin. J’ai peur, craignant d’être déchirée. Je tente de me dégager, mais Thomas me tient fermement par les hanches, et déjà le gland de Nathan force le passage. D’un coup il passe l’entrée de mon vagin et, agréable surprise, je ne ressens aucune douleur. Puis, d’une longue poussée, il me pénètre jusqu’à buter au fond de mon sexe. Fantastique ! « Formidable impression d’être prise en sandwich… » ai-je le temps de penser avant que les deux hommes, accordant leurs rythmes, ne m’entraînent dans une longue chevauchée de jouissance. Si une femme n’a pas connu ça, elle n’a rien connu.
D’orgasme en orgasme, mon corps accueille Thomas et Nathan. Lorsque Thomas me remplit de sa jouissance, Alex lui confie sa caméra et prend sa place. Ce n’est que du plaisir pendant encore près d’un quart d’heure, jusqu’à ce que Nathan et Alex se vident en même temps, me remplissant le cul et la chatte de longs jets brûlants, me faisant jouir au point de perdre conscience.
Les trois hommes sortent dans le jardin, une bière à la main, me laissant seule en travers du canapé. Je redescends peu à peu sur terre, éreintée. Jetant un coup d’œil à ma montre, je constate que nos ébats ont duré près de deux heures. Je retire mon masque et vais aux toilettes où je fais sortir une quantité impressionnante de sperme de mon corps. Ensuite je trouve la salle de bain où je prends une longue douche chaude. Je passe enfin dans la cuisine où je bois trois grands verres d’eau fraîche d’affilée, puis je rejoins les hommes dans le jardin pour récupérer mes vêtements abandonnés.
Ils me félicitent chaudement pour ma performance, insistant particulièrement sur la puissance de mes contractions vaginales qui leur ont massé la bite de façon exceptionnelle. Alex prend encore de nombreuses photos de moi, me précisant qu’il me les enverra pour que je choisisse celles qu’on mettra dans une ou plusieurs contributions sur le site Internet de Wolf. Je remets ma robe ainsi que mes sous-vêtements, malgré les protestations de Nathan qui ne voulait pas me rendre ma culotte. Pour me punir, il défait les trois premiers et les quatre derniers boutons de ma robe et m’interdit de les remettre. Il ne m’en reste que deux pour la maintenir fermée. Dès que je bouge, mes sous-vêtements se voient entre les pans de ma robe. Alex mitraille toujours, me rassurant en m’expliquant que l’on flouterait mon visage sur le site Internet.Après avoir dit au revoir à tout le monde, je quitte la maison, rejoins ma voiture et reprends la direction de mon domicile.
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