Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 170 J'aime
  • 2 Commentaires

Les Aventures Sexuelles d'Antoine Müller

Chapitre 1

La Coiffeuse

Hétéro
Antoine Müller avait 25 ans, brillant professeur de philosophie agrégé à la Sorbonne, il vivait dans le 14e arrondissement de Paris, dans un appartement de 57 m². Célibataire, il collectionnait les coups d’un soir, ses amis, presque tous Parisiens, organisaient souvent des fêtes auxquelles il ne manquait jamais de participer. Son intelligence lui avait permis de devenir très rapidement un professeur respecté malgré son jeune âge. Ses yeux verts pétillants témoignaient de son humour acéré et de son intelligence, d’un naturel sportif, Antoine allait courir plusieurs fois par semaine, son style élégant, sa barbe brune et sa conversation passionnante avaient fini de faire de lui un parfait séducteur.
Le réveil se mit à sonner, réveillant le professeur. Aujourd’hui, lundi 25 Octobre 2018, était son premier jour de vacances, vacances qui dureraient deux semaines. Antoine éteignit son réveil et consulta l’heure : 07h00. Müller aimait se lever tôt, même lorsqu’il n’avait pas de cours à donner. Il se leva et enfila une tenue de sport, après avoir avalé un petit-déjeuner composé d’une pomme et de deux tartines à la confiture d’abricot et s’être brossé les dents, il partit faire son footing. Quand il fut de retour chez lui, il était 08h30, il partit se doucher puis, toujours aussi classieux, il se vêtit d’une chemise et d’un pantalon. Il attrapa un bouquin de Spinoza sur une de ses trois étagères remplies de livres et s’installa sur un canapé pour commencer sa lecture. Il n’émergea de son ouvrage qu’à 09h45, ayant rendez-vous dans un salon de coiffure à 10h00, il se dépêcha de sortir de chez lui et de prendre un métro qui le mènerait à sa destination.
Il arriva à 10h01, une minute de retard, ce n’est pas bien grave, se dit-il. Il pénétra dans le salon de coiffure et remarqua que la coiffeuse y était seule. Cette dernière le prit donc immédiatement en charge, elle fit s’asseoir dans un siège, saisit une paire de ciseaux et un peigne et commença son ouvrage. Pendant qu’elle travaillait, Antoine l’admirait grâce au miroir qui se trouvait devant lui, elle devait avoir à peu près son âge, ses cheveux étaient noirs, mis à part une mèche bleue, et ses yeux étaient d’un marron classique. Elle portait une jupe de tailleur moulante qui épousait parfaitement la forme de son cul et un chemisier blanc qui laissait deviner l’armature de son soutien-gorge.
— Vous être très belle, mademoiselle, lui dit-il.— Merci, vous êtes très mignon aussi, vous savez ?— Vous me flattez, mais à côté de votre corps d’Aphrodite, je n’ai rien d’un Apollon, mais tout d’un Héphaïstos.— Vous exagérez...— Non, non pas du tout, vous êtes sublime, votre mari a bien de la chance. Il doit être sculpté comme un dieu grec pour être parvenu à vous séduire.— Non, il n’est pas particulièrement beau à vrai dire.— Je ne vous crois pas.— Si, si je vous assure, s’emballa-t-elle, vous êtes bien plus excitant... heu je veux dire...— Ainsi je vous excite ?— Non ! Non ! protesta en rougissant la jeune femme, ma langue a fourché, ce n’est pas ce que j’ai voulu dire.— Il n’a pas lieu d’en avoir honte vous savez, moi aussi j’ai envie de vous.— Hé ! Je n’ai pas dit que j’avais envie de vous, mais que...— Que je vous excitais ! Cela revient au même non ?
La coiffeuse cherchait un moyen de ne pas répondre, heureusement elle venait de finir la coupe de son client.
— Votre coupe est faite, monsieur, vous convient-elle ?
Antoine sourit sans répondre, la jeune femme le débarrassa de sa tenue de protection des cheveux et il se leva. Il se tourna vers la coiffeuse qui paraissait désemparée et l’enlaça, il posa ses mains sur le bas de son dos et embrassa les lèvres de la jeune femme. Après un long baiser langoureux, Antoine se mit à genoux, il passa sa tête sous le tailleur de la jeune femme et embrassa sa culotte, il attrapa le bout de tissu avec les dents et le fit descendre le long des jambes de la coiffeuse. Il posa les mains sur ses fesses qu’il malaxa de plus belle tout en glissant sa langue entre les lèvres intimes de la jolie brune qui gémissait de plaisir. Tandis que la langue d’Antoine titillait son clitoris, elle défit les premiers boutons de son chemisier et se débarrassa de son soutien-gorge afin de pouvoir se caresser les seins. Elle faisait rouler ses tétons entre ses doigts tandis qu’il glissait sa langue entre ses lèvres intimes, récoltant sa cyprine.
Il enfonçait maintenant sa langue à l’intérieur de la chatte de la coiffeuse qui posa une main sur la nuque du professeur et l’appuya sur son sexe. Antoine qui caressait le cul de la coiffeuse introduit deux doigts dans son anus. Elle poussa un petit cri de surprise. Le professeur dévora le minou et doigta l’anus de la jeune femme pendant quelques minutes jusqu’à ce qu’elle jouisse. Ensuite Antoine se releva, il envoya valser son pantalon et son caleçon, dévoilant un sexe d’une vingtaine de centimètres. Antoine attrapa le tailleur de la jeune femme et le souleva jusqu’à ses hanches avant d’attraper la coiffeuse par les fesses, de la soulever du sol et d’enfoncer son pénis dans sa chatte, lui arrachant un cri de plaisir. Sa queue allait et venait dans l’étroit fourreau humide du vagin de la coiffeuse qui se contractait autour du pénis. Ses couilles venaient se heurter contre le bassin de la jeune femme, propulsée au 7ème ciel.
Antoine se pencha en avant pour passer sa langue sur les seins de son amante tandis que ses doigts s’enfonçaient dans la chair des fesses de la coiffeuse. La jeune femme ne boudait pas son plaisir et poussait des cris de jouissance tandis que la queue d’Antoine la perforait. Ce dernier sentit la jouissance monter, il accéléra les va-et-vient, faisant gémir la coiffeuse de plus belle avant d’éjaculer au fond de sa chatte.
Il déposa la jeune femme au sol qui en profita pour s’agenouiller devant Antoine et prendre sa queue dans sa main. Elle le branla vigoureusement quelques minutes avant de le prendre en bouche. Tandis que sa langue parcourait ardemment le gland du jeune homme et que ses lèvres pulpeuses pompaient sa tige, la queue d’Antoine durcit à nouveau. Revigoré, il prit la jeune femme par la tête en commençant à lui baiser la bouche, sa queue défonçait la gorge de la jeune femme qui bavait abondamment et ses couilles martelaient son menton. Quand il se fut bien défoulé, il ordonna à la coiffeuse de se mettre à quatre pattes, celle-ci obéit et Antoine posa son gland sur l’œillet de la jeune femme qui frémit en comprenant ce qui allait lui arriver. Le professeur la prit par les hanches et se mit à forcer sur l’anus de son amante qui gémit. Le gland de son pénis pénétra peu à peu le cul de la jeune femme, le dilatant. Une fois le gland à l’intérieur, Antoine fit rentrer le reste de sa queue.
La coiffeuse poussait des cris de douleur et d’excitation qui excitaient le jeune homme. Il sentit le sphincter de la jeune femme se contracter autour de sa tige. C’était si serré qu’au début Antoine ne parvint pas à faire des aller-retour dans l’anus de son amante. Mais au fur et à mesure que le plaisir prenait le pas sur la douleur dans les gémissements de cette dernière, le tunnel anal se desserrait quelque peu et Antoine put se mettre à l’enculer férocement et sans pitié. Les larmes gagnèrent les yeux de la jeune femme, ramonée par une énorme bite qui labourait son cul. Rapidement, Antoine se sentit proche de l’éjaculation, il attendit d’être au bord de la jouissance pour sortir sa queue de l’anus de son amante et lâcher de grosses rasades de sperme sur ses fesses, les arrosant de sa semence. Après quoi les deux amants se rhabillèrent, la coiffeuse donna son numéro au prof de philo qui voulut la payer pour la coupe.
— Non, c’est gratuit pour vous, refusa-t-elle, revenez quand vous voulez.— Je n’y manquerai pas, répondit-il.
Il la salua d’un signe de tête et sortit du salon de coiffure. Il était 11h30 quand il pénétra à nouveau dans son appartement, Antoine était ravi de cette matinée, mais il se fit la réflexion qu’il ne connaissait toujours pas le nom de cette femme.
Diffuse en direct !
Regarder son live