Christine et sa fille. Le lendemain matin…— Oh Emilie chérie, tu m’as dis qu’il nous présenterait bientôt sa famille ? J’espère que se sont des gens avec l’esprit ouvert, comme Patrick. Tu sais que je ne pense plus qu’à ça !-A quoi maman ?-Mais à sa bite bien sur, je suis encore fourbue de ce qu’il m’a fait subir hier matin mais je ne sais pas si je vais réussir à me contrôler quand il va rentrer dans cette pièce, je veux qu’il me remplisse dans tous les trous !!! — Oui, j’ai connu ça moi aussi maman. Mais tu vas t’y habituer et il faudra prendre sur toi pour qu’il ne devienne pas une junky de son sexe sinon tu ne tiendras jamais le coup et papa va vite s’apercevoir qu’il y a anguille sous roche. Et ne t’inquiètes pas pour sa famille, je ne t’ai pas encore tout dis.Il n’y a qu’une chose qu’il faut accepter avec lui, c’est de le partager. — Oui, il est avant ton futur époux et je ne peux pas être jalouse de toi, surtout avec le cadeau que tu m’as fait. - Je ne songeais pas à moi en te disant celà, avant de me connaître il avait déjà un petit harem à ses pieds, c’est sa sœur qui nous a présenté.-Oui, et alors ? Maintenant, il est à toi… Et à moi !-Comment je peux t’expliquer cela maman ? Je sais qu’il honore encore ces femmes, j’en ai été jalouse au début mais il n’a jamais voulu me le cacher…Tu sais que sa sœur Annie est ma colocataire, elle m’avait invité à passer les vacances chez eux. Enfin, je ne vais pas y aller par 4 chemins, un jour je l’ai ai surpris ensemble, elle aussi a cédé à Patrick. -Comment ça ? Mais c’est horrible… Sa propre sœur !...-Il m’a avoué qu’il a de gros besoins coté sexe, qu’il est très courtisé par les femmes et ne sait pas dire non. Mais pour moi, il acceptait que je ne sois plus que la seule qui pourrait se servir de son corps ! Tu t’es rendu compte que c’est une véritable bête sexuelle et j’ai vite réalisé que je ne pourrais pas assouvir seule ses pulsions et surtout ses besoins disproportionnés. Mais c’est là qu’il m’a révélé la suite, les autres femmes…...-Des petites pimbêches dévergondées !-Non, il y a d’abord la femme qui l’a dépucelé… Ainsi que sa fille… Mais la suite, je ne sais pas si tu vas l’accepter, tu parlais de connaître sa famille, eh bien… Sa mère ainsi que sa tante ont aussi chevauché sa queue infatigable… -Quoi ??? Il a baisé toutes les femmes de sa famille ? Mais comment acceptes-tu ça ?-Tu te souviens de ce que tu m’avouais tout à l’heure maman? S’il rentre à l’instant dans la pièce, tu vas lui sauter dessus, il fait cet effet à la plupart des femmes.
-Oui, cruel dilemme… Et il arrive à assurer avec tant de… « Femelles » ?-Pour le moment, pas une ne s’est jamais plainte, il assure grave, et je crois qu’il t’en a fait la démonstration hier. Je ne veux rien prédire mais tu vas t’en rendre compte quand Murielle et Xavier vont être là. Tu verras qu’avant la fin de leur séjour, elle se sera jetée dans ses filets ! Christine s’exclame :— Comment ça Tu laisserais Patrick baiser ta sœur? Mais c’est immorale…-Il n’y a pas de mais, Murielle est encore plus sexy que moi, et elle est si mal « baisée » par son mari… Et pour ce qui est de la morale, tu es un peu mal placé !-Bon, bon, effectivement… Dois concevoir Christine.Et elle se lance dans des activités ménagères, un air lui trotte dans la tête et elle le fredonne en boucle.En fin de soirée rentre Jacques, le père d’Emilie. Il est surpris de voir sa femme aussi guillerette. Sa fille lui saute au cou les yeux pleins d’amour, et lui présente Patrick— Salut papa, je te présente mon fiancé.— Bonjour jeune homme, je ne sais pas si vous y êtes pour quelque chose, mais il y a un je ne sais quoi de changé dans cette maison. Ma fille rayonne de beauté et ma femme à l’air de vous apprécier. Si vous avez le même effet sur mon autre fille, je serai aux anges ! — Je ferai tout mon possible pour vous être agréable, lui rétorque Patrick.Après le repas. Jacques passe au salon et allume la télé. Il n’a pas le dos tourné que Christine se colle à Patrick pour l’embrasser et lui mettre une main entre les cuisses. — Oh Patrick, si je ne me retenais pas, je me mettrais à genoux pour dévorer ta bite.Il caresse ses seins en les comprimant doucement. Et elle lui roule une galoche à donner la gaule à un sacristain.-Ce n’est pas prudent Christine, ton mari pourrait nous surprendre !
PATRICK Pendant la nuit, on se serait cru dans un lupanar, nos ébats étaient rythmés par les cris qui provenaient de la chambre des parents d’Emilie. Christine a l’air déchainée.— Oh oui ! Prend ma chatte ! Fais-moi jouir avec ta queue ! Donne-moi ton foutre... Ouiiiiiiiii...plus fort ! AAAAhhhhhh... Vas-y ! Enccoooree, putain ! Je jouiiiiissssss ! Que c’est boooonnnn ! Emilie me fais une confidence :C’est la première fois que je les entends faire l’amour avec autant d’intensité, sans retenue, Pour une fois maman prend son pied avec papa. Il doit se demander ce qui lui arrive ! Pendant cette nuit de débauche, Emilie est complètement déchaînée elle aussi et fait de la varappe sur mon nœud. J’ai peu dormi et suis réveillé aux aurores par Emilie profitant de mon pénis en pleine érection matinale pour me tailler une pipe et recueillir son premier tribut de la journée. Quand nous entrons dans la cuisine pour prendre notre petit-déjeuner, Emilie rayonnante, saute au cou de sa mère et l’embrasse sur la bouche pour bien lui faire comprendre ce qu’elle vient de faire. — Bonjour maman ! Sacrée nuit non ? Que penses-tu du parfum de mon dentifrice ?-Oh Emilie ! Tu exagères et me donne déjà de drôles d’idées. Heureusement que ton père et partit au bureau ! Et elle passe de la parole aux actes, elle vient m’embrasser et glisse sans vergogne sa main dans mon jogging. Comme j’ai la particularité de débander très lentement, elle trouve de quoi assouvir son envie et lui fait prendre l’air.Elle me repousse sur une chaise, ce met à califourchon sur moi relevant sa robe de chambre et guide ma queue en semi-érection qu’elle fait disparaître jusqu’aux couilles dans sa chatte déjà copieusement lubrifiée. La petite coquine n’a pas mis de petite culotte.-Bande, mon étalon, bande…Et elle commence une « monte » digne d’une cavalière chevronnée.-Ooouuuiii, Ahhh, je la sens grossir, y a vraiment pas à dire, mon mari est tout petit à coté de toi, quel chibre !!! — Qu’ai-je fais de toi Christine! Je ne suis pas qu’un sexe. J’ai réveillé l’eau qui dort ! - Arrête de te poser des questions et baise-nous toutes les deux si tu en es capable! Elle se pénètre le plus loin possible en lançant de petits cris.J’accélère mon va et vient m’agrippant des deux mans à ses seins.Elle se relève sur ses jambes pour s’enfoncer encore davantage à chaque pénétration. Elle pousse des râles de plus en plus forts. Je l’agrippe par les hanches et accélère encore le mouvement.Je me lève en prenant Christine à bras-le-corps, elle se tortille sur ma queue, ses bras autour de mon cou et enroule les jambes autour de mes hanches.Elle m’a tellement excité que je ne peux plus retenir mon sperme et gicle en elle.Mais elle n’en a pas fini avec moi, elle se met à genoux devant moi et nettoie le sperme qui suinte de ma teub pour ne pas en perdre une goutte puis se saisit de ma queue à pleines mains et me suce goulûment. Elle essaie comme sa fille de se l’enfoncer jusqu’au fond de la gorge lui faisant vite retrouver toute sa vigueur.Mes râles deviennent de plus en plus forts. Alors elle se relève fière du résultat obtenu en souriant :– Doucement, Patrick… Je te l’ai chauffé pour toi Emilie, il est à point…
Emilie glisse ma queue entre ses deux seins superbes, gonflés et durs pour une branlette espagnole. Je la laisse faire un moment le temps de récupérer des forces après le passage de belle-maman puis la force à s’étendre sans ménagement sur la table de la cuisine, lui remonte ses jambes et pose ses talons sur mes épaules, elle est déjà ouverte, prête à me recevoir. Je la pénètre sans difficulté et chaque fois que mes bourses viennent heurter sa chatte, elle pousse un gloussement qui m’excite encore davantage.Je la besogne consciencieusement comme un bon ouvrier et finalement un flot de sperme jaillit de mon sexe alors que mon râle de plaisir se mêle au sien.Nous sommes restés un long moment comme ça, l’un dans l’autre devant sa mère, puis nous sommes relevés. -La journée va être longue et tu vas faire aujourd’hui la connaissance de ma sœur, m’avertit Emilie, je compte sur toi pour lui faire honneur ! Qu’a-t-elle voulue dire par là ?..................... A suivre…
