LES AVENTURES SEXUELLES DEBRIDEES DE PATRICK CLAIRE, la fille de CLAUDE. 3 Claire se dépucelle toute seule. PATRICK. Je ne suis pas allé rejoindre Claire dans sa chambre, j’avoue que la journée d’hier m’avait épuisé et je veux être en pleine possession de mes moyens pour se qui risque de se passer aujourd’hui.Je retrouve Claude au salon et la rassure, je lui explique que j’ai pu calmer sa fille hier soir. D’ailleurs quelques minutes après, elle nous rejoint le sourire aux lèvres. — Oh maman, tu peux m’excuser pour les choses affreuses que je t’ai dites ?Lance-t- elle en courant vers sa mère qu’elle embrasse tendrement.— Je t’aime Maman et je remercie Patrick pour le bonheur qu’il te procure. J’y ai un peu « goûté » et je commence à comprendre, je n’ai pas le droit de te priver d’un tel amant.— Oh ma chérie, je suis tellement heureuse que tu ne sois plus en colère contre moi. Mais que veux-tu dire par (j’y ai goûté) ?
CLAIRE. — Eh bien, Patrick et moi avons parlé longuement et il m’a expliqué bien des choses. Puis j’ai vu son chibre et je dois dire qu’il m’attirait comme un aimant malgré ses dimensions! — J’ai réalisé que j’avais devant les yeux une verge exceptionnelle que peu de femmes ont l’occasion de voir dans toute leur vie et c’est alors qu’il m’a mise au défi la prendre en bouche.— Je ne me suis pas dégonflé et étonnée, j’ai réalisé que son énorme sexe arrive à tenir dans ma bouche et en plus que j’adore ça. — Le pied c’est quand sa grosse queue durcit encore plus au moment de jouir, si c’est encore possible, et envoie une dose énorme de semence au fond de ma gorge, je n’ai jamais vu ça, c’est dément, en plus son goût est légèrement épicé et vachement bon alors qu’avant je détestais. Je recrachais toujours après.
— Tu m’avais caché ça ! S’exclame Claude sidérée.— Maman ! Je ne suis quand même pas une oie blanche bien que je sois toujours vierge! Mais je n’ai fait que les sucer, rien d’autre. Je lui souris avant de rajouter: - Eh puis...enfin... j’espère que ce ne sera bientôt qu’un souvenir si tu acceptes que Patrick me dépucelle. — Ma chérie, tu te sens prête à devenir une femme je crois... non j’en suis certaine et Patrick sera plus qu’heureux de te déflorer, il te comblera avec sa queue d’étalon. Et je ne suis pas inquiète, dans la famille, on a des chattes qui adorent les gros calibres. — Oh maman, j’ai quand même un peu d’appréhension. T’as vu son monstre! Son diamètre! Pour le moment je préfère jouer les entremetteuses... Je veux voir Patrick saillir ma mère avec son énorme bélier, voir comment une chatte peut accepter une teub pareille. Je me tourne vers Patrick et lui explique :— Maman et moi on t’offre notre amour et nos corps, fais-en bon usage !Nous allons dans la chambre de ma mère et je l’encourage:-Allez Patrick, à toi de jouer ! En un rien de temps, il dénude ma mère puis se déshabille aussi, il s’occupe illico de lui téter ses jolis seins biens lourds. Elle est super excitée et lui demande immédiatement qu’il la pénètre mais en lui recommandant de garder de l’énergie pour moi.Mais je veux participer aussi, Patrick a poussé maman sur le lit et se penche pour lui lécher la chatte. Je me glisse entre eux et j’attrape la queue qui pend mollement entre ses cuisses pour la porter à mes lèvres.Pour la première fois, j’assiste à la métamorphose de ce tuyau flasque en une barre rigide dans ma bouche, je ne peux m’opposer à sa croissance qui, petit à petit, m’oblige à en abandonner une partie non négligeable mais ma main droite trouve à nouveau de quoi s’occuper.Patrick est décidé à respecter la demande de maman, il se retire de ma bouche et je suis au premier plan pour voir le gland joufflu se poser contre la vulve quémandeuse. Elle le supplie :-Baise-moi, remplis-moi mon poney d’amour, montre à ma fille de quoi est encore capable sa maman ! Doucement il enfonce sa matraque dans la chatte de ma mère de quelques centimètres, je vois le gland disparaître entre les lèvres charnues mais il ne va pas plus loin, se contentant de frotter son gland sur le clito qui se gorge de sang et devient hyper sensible. Maman se tord de plaisir dans tous les sens en geignant de plaisir. Il s’enfonce en elle et se met à la limer de plus en plus vite. Ses gémissements montent en volume, elle le supplie, l’engueule, l’encourage :— Oui comme ça, continuuueee, c’est trop booonnn !!!Il la fait hurler de longues minutes sous mes yeux me permettant comme une aumône de temps en temps de lui sucer les couilles ou de graisser sa teub avec ma bave.Elle hurle de plaisir. Il lui explose la chatte sous mes yeux. Je commente en direct :— Oui j’avoue, quel spectacle… Patrick Prends-la à fond, baise-là comme une salope de mère qui se tape un homme de 20 ans son cadet !En entendant ma supplique, il ressort sa queue de la chatte de maman et lui relève les jambes le plus haut qu’il peut. Il me demande de prendre son pal entre mes mains et de le guider à l’entrée de sa chatte, j’en profite pour m’amuser à le faire entrer et sortir mais Patrick, s’impatientant, donne un formidable coup de rein, propulsant la totalité de sa verge dans la grotte accueillante. -Ooohhhh maman... Il est entré en entier....Et ta chatte s’est adaptée tout de suite à la taille de son magnifique gros nœud. Tu es empalée littéralement sur son monstre de queue et je vois que ça te fait de l’effet ! J’essaie d’avoir le meilleur point de vue et assiste au premier orgasme de ma mère.— Oh Maman! Tu jouis devant moi... ouiiiii, que c’est beau... ohhhh... Merci Patrick, je t’aime et te remercie de m’offrir un tel spectacle... Maman est comme possédée par le diable car elle s’agite, remue dans tous les sens sur cet axe phénoménal qui l’excite et frotte sur son bouton d’amour dur comme un petit pénis.J’en prends plein les yeux et profite de ce merveilleux spectacle pour m’instruire en prévision de ce qui va suivre, il la prend dans des positions que je n’aurais jamais cru possible. Elle n’arrête pas de grogner, de râler, de jouir encore et encore. Je m’exclame: - Oh attention, tu vas lui exploser la chatte !Il me rétorque en riant :Ne t’inquiètes pas, elle adore ça !-Vas-y Patrick ! Défonce là.... Oooohhh mon Dieu! ... Elle mouille tellement que ton manche de pioche dégouline littéralement de cyprine! Il est couvert d’une mousse blanche ! Je croyais que les hommes faisaient ça en quelques minutes mais ne sais plus combien de temps ils ont baisés, ça n’en finissait plus. Patrick s’est retiré et a éjaculé 4 charges de sperme d’une puissance folle avant de replonger dans la fournaise accueillante pour continuer à décharger. Elle en avait partout, sur son ventre, ses seins et même dans ses cheveux, alors qu’elle aussi est en pleine jouissance après des orgasmes à répétition. Et c’est reparti pour un tour, elle se délecte de cette merveilleuse queue toujours dure qui continue à se vider. — Aaaahhhh... salaud, ça c’est de la bite ! OOOOh... ouiiiii, Patrick! Bordel de merde. Je m’éclate...vas y continue, inonde-moi, bourre la salope que je suis ! Sa chatte se contracte autour de cette colonne épaisse prise comme dans un étau. Il râle et décharge les dernières giclées de sperme pour éteindre l’incendie. Elle s’écroule et le repousse en disant :— Arrête ! J’ai la chatte en feu... C’est devenu trop sensible.Elle s’écroule, libérant la verge engluée de Patrick. Bon Dieu, ce n’est pas possible! Son énorme queue n’a pas perdu un centimètre. Je me jette sur sa bite encore dressée pour la nettoyer et goûter leurs jus mêlés.— Oh maman... J’adore le goût de cette pine, je peux reconnaître l’odeur de son sperme et ton jus d’amour !— Oh mon Dieu, Patrick, j’ai cru un moment que tu allais me faire mourir. Je n’en peux plus pour aujourd’hui. Grimace ma mère. Puis se retournant vers moi, elle me déclare comme une vérité de La Palice:— Si tu peux prendre en bouche sa grosse bite et bien tu peux te l’enfiler n’ importe où, tu verras ! Je félicite Patrick : -Putain de salaud qu’est ce qu’elle a pris! Il faut dire que tu as un sacré piston. T’es une bête de sexe. Mon Mr Pénis....
Patrick me déflore. Je clame à ma mère:— Maman, je veux passer à l’étape suivante avec Patrick, je crois que j’en ai assez vu et je veux recevoir sa putain de grosse queue dans ma chatte. Elle sourit à cette déclaration et Patrick ne perdant pas la nord commence à me dévêtir, il retire mon haut et dégrafe mon soutif me couvrant de baisers, il voit 2 belles mamelles bien fermes avec des tétons qui commencent à durcir. Ses baisers et ses mains me donnent la chair de poule et des frissons. Je n’arrive toujours pas à me faire à la vue de cet énorme tronc bien enracinée au centre de son corps qui m’attire comme un aimant.J’attrape au vol ses 22 cm de plaisir, maman elle aussi a mis une main sur sa bite, j’enfourne dans ma bouche affamée tout ce qu’elle peut engloutir bloquée par la main de ma mère.J’entoure sa teub de mes lèvres et commence une lente fellation tout en douceur.Nous nous relayons sur son sceptre et après 15 minutes endiablées sa teub explose et sa première salve frappe le fond de ma gorge avec tellement de force que sa queue est presque ressortie de ma bouche. Je la renfourne à fond et avale ses autres giclées de sperme.
Patrick rigole avant de s’exclamer en attrapant nos deux têtes;— Oh bordel de merde, quel délice ces deux bouches, c’est divin mais je ne peux plus me retenir. Bon Dieu ouiiiii....!Je reçois de copieuses giclées dans ma bouche et serrant la base de son nœud, passe son sexe à Claude qui, avale sa pine gonflée et prends aussi sa part de sperme dans sa gorge.— Claude... oh mon Dieu...toutes les deux vous allez me rendre complètement dingue mais… Euhhhh... les filles, je pensais que Claire voulait se faire dépuceler? Il faudrait quand même me laisser quelques munitions ! Ni une ni deux, je le pousse sur le lit pour un 69 et pompe son nœud avec passion et gourmandise pour qu’il soit à nouveau au top. Lui me lèche le minou. Je mouille beaucoup et il me dit que mon jus est un nectar. Je continue à le sucer, nos respirations s’accélèrent. Je suis de plus en plus humide, prête à l’accueillir. Claude le prévient :— Maintenant tu vas déflorer ma fille en douceur. Que ce soit un souvenir inoubliable pour elle ! Fais lui découvrir l’amour avec un grand A ! Il est couché sur le lit, je me mets à califourchon sur lui, son mât est couché sur son ventre, cachant le nombril.— Patrick je n’ai jamais cédé à un homme qui voulait me baiser. J’ai résisté à plus d’un, l’Amant de mes rêves c’est toi. Je te donne ma fleur mon Amour, mais c’est moi qui veux te donner ma virginité, je veux que tu deviennes mon HOMME ! Je me saisis de sa verge, écarte lentement mes cuisses et guide son sexe toujours en pleine forme vers ma grotte d’amour. Je le glisse le long de ma vulve jusqu’à arriver à l’entrée de mon vagin, approchant le bout de son gland gonflé de ma fente détrempée et commence à l’introduire dans ma chatte. Je me pénètre juste de son gland et commence à faire de petits vas et viens. Ces quelques centimètres qui s’insinuent le long de mes parois me font déjà inonder l’intérieur de mes cuisses. Maman ne peut s’empêcher d’empaumer la base de son pieu de crainte qu’il me déchire.Son sexe pénètre un peu ma vulve bien lubrifiée écartelant mes chairs mais je sens son gland buter contre mon hymen et je gémis ;— Oh... Patrick je sens ta grosse queue... c’est boooonnnn.... tu écartèles ma chatte, je sens ton pieu partout.Mais très vite j’ai envie de plus et des mots se sont échappés de ma bouche. — A la grâce de Dieu! Ma mère prend mes lèvres pour un baiser au moment ou je ressors sa bite au ras de mes grandes lèvres, je retiens ma respiration et saisissant fermement les épaules de Patrick je me poignarde d’un seul coup absorbant son énorme chibre et coinçant entre nous deux la main de maman.Cela explose dans mon ventre. La douleur est fulgurante et irradie dans tout mon corps. Mon cri est étouffé par la bouche de ma mère, solidement fixée à la mienne. -Oooh! S’écrit Patrick. Je ne m’attendais sûrement pas à ce que tu t’empales en force. Ma bite est tellement grosse que les filles préfèrent pour la première fois que je les pénètre par étapes pour que leurs chattes prennent la mesure de la dimension de mon mandrin !-Tu l’as fais d’un coup, mais comment te sens tu? Ma mère rompt notre baiser et ordonne à Patrick:— Je veux que tu lui fasses l’amour, soit son amant avec ta bite extraordinaire ! Fais-la monter aux rideaux !Sous la douleur je me suis éjectée de son membre tâché de mon sang et le maintien contre ma fente, n’osant plus bouger.-Ouaaaaaaaaah maman il est tellement gros, ça fait mal!!Non ma chérie, c’est normal, maintenant laisse-le faire, il va y aller doucement ...Patrick me prend par la taille et m’attire lentement.Ma fente s’écarte petit à petit et mon vagin avale doucement ce malabar de chair. Patrick s’exclame :-Putain qu’elle est serrée!!!Je lui murmure: — Doucement, doucement Patrick!!! Claude me rassure: -Elle est à moitié en toi, encore un petit effort ma grande !Avec beaucoup de douceur, il s’enfonce plus profondément dans mon intimité. La progression continue mais Patrick ressort de quelques cm son mandrin et replonge brusquement. J’hurle :-Nnooooooooon aiiiiiiiiiiie !!!— Ca y est je suis à fond, tu sens ma queue qui bute au fond de toi?— Mon dieu qu’elle bite, il me remplit entièrement maman.— Oui ma fille maintenant tu vas prendre un pied comme pas possible, aller Patrick, fais-la jouir!!Je tremble de tout mon corps sur sa formidable queue profondément ancrée en moi, je défaille et un gémissement s’échappe de mes lèvres. Pendant 2 minutes, je ne peux plus bouger. Enfin, j’ouvre les yeux et souris. — Tu es en moi. Ton vit exceptionnel distant mon vagin au maximum de ses possibilités. Oh mon Dieu, je me suis presque évanouie quand ton gland a déchiré mon hymen et est venu buter au plus profond de moi. Je l’embrasse tout en commençant à remuer des hanches. -Ooooooohh, c’est encore douloureux mais je sens bien ton poteau. C’est booooonnnn....Oh… Oooohhhh Patrick...Je t’aime, je veux que tu restes en moi, c’est si bon Patrick, huuuummm...Il se retire légèrement, la base de sa verge est inondée de cyprine et d’un peu de sang qui s’écoulent de ma chatte en feu. Je l’embrasse furieusement avant de me rasseoir sur son pénis et de marteler sauvagement ma chatte.Il me prend plus sauvagement. Ses coups sont rapides et profonds que je me mords les lèvres pour ne pas crier. Mais le plaisir est si fort que je hurle tout mon saoul.
— Oh putain, oh oui... oh non de Dieu! Maman c’est si bon. Patrick t’as une bite qui est faite pour donner du plaisir. Aaaahhhh... mon amour, tu distends mon conduit mais que c’est bon, bordel !— Ooohhh...merde, je vais jouir... mais oui, je mouuuiiille.... oh mon Dieu, ouuuiii, ouuuiii, ouuuiii !!! Je lui griffe la poitrine et veux me retirer quand il attrape mon cul et me plaque encore plus sur lui s’enfonçant fermement dans mon vagin affolé. Mais j’arrive à me retirer et envoie en l’air des jets ininterrompus de liquide à plus de 2 mètres inondant le corps de Patrick. Les yeux exorbités maman me regarde en s’exclamant; - Mon Dieu, ma fille est une femme fontaine!!! — OOOOOooooooohhh... mon dieu ce n’est pas croyable ! Qu’es ce qui m’arrive? J’ai l’impression que mon corps ne m’appartient plus. Je jouiiiis comme ça ne m’est encore jamais arrivée. Oooohhhh Patrick...Je t’aime, je veux que tu me prennes, c’est si bon, huuuummm... Et je m’empale à nouveau sur sa queue. Patrick me tourne sur le coté et m’annonce; -Claire, chérie, maintenant laisse-moi mener la danse! Il me prend et m’empale profondément. Je serre un peu les dents, mais ne peux retenir un cri de plaisir quand sa queue me pénètre. - Ouuuuiiii !!!!Il s’enfonce doucement, puis s’arrête, comme pour me laisser le temps d’apprécier. Patrick reprend le rythme, s’enfonçant, et se retirant. Il met une de mes jambes entre les siennes et passe l’autre à l’extérieur de sa jambe gauche. Nos corps forment deux fourches qui s’imbriquent l’une dans l’autre projetant son organe encore plus loin en moi. A chaque aller retour, je pousse des cris de plaisir. Son sexe frappant mon utérus violemment. Il s’installe ensuite derrière moi, allongé sur le côté, et me pénètre à nouveau un peu plus vite. Il peut ainsi agripper mes seins et jouer avec. Sous ses poussées dans les profondeurs de ma chatte complètement adaptée à son gros phallus je gémis sous ses poussées violentes au rythme de sa bite. — Encore, encore, je ne veux plus que ça s’arrête...Il me demande de me mettre a quatre pattes et pose contre ma chatte noyée son défonce-cul, me prend par la taille et s’enfonce lentement en moi... Ma chatte avale petit à petit le pal... Ooooooh putain que c’est gros. Enfoncé jusqu’a la garde il commence de lents va et vient, à chaque poussée le gland frappe le col de l’utérus.— Mon salaud tu me défonces la chatte, tu me fais encore jouir!Son rythme augmente, la vitesse et vive puis très lente. Il redouble ses coups de boutoirs et après une dizaine de minutes, se bloque et envoie au fond de mes entrailles des décharges puissantes de sperme brûlant. Oui mon chéri, donne-moi tout, défonce-moi!Et il reprend aussitôt le pilonnage de mon vagin, son gourdin toujours raide faisant jaillir à chaque poussée le sperme sous pression de ma moule.Je prends du plaisir et l’accompagne dans l’orgasme, le mandrin puissant me fore a me faire défaillir. Enfin après un bon moment je me cabre et explose dans un cri d’enfer et gicle comme une bonne salope .... Il recommence ses coups de bélier, laisse un moment sa bite complètement enfoncée en moi, puis, doucement, la retire pour s’arrêter juste au bord de ma chatte bouillonnante. Il suce un de mes proéminents tétons puis, le prenant entre ses dents, le mords légèrement. J’éclate :— Oh mon Dieu, je jouiiiisssssss Encoooore! Jouis avec moi Patrick, arrose-moi te ton jus et remplis-moi de ton foutre. Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii..... Il lui a fallu plus de 20 minutes avant d’envoyer de nouveau au fond de mes entrailles une décharge sans fin d’une puissante incroyable de sperme brûlant. Ses couilles explosent et libèrent son sperme dans ma chatte crachant un ultime flot de cyprine. Tremblant et gémissant tout les deux, ma chatte affamée broie sa bite dilatée par sa propre jouissance.Je sens petit à petit mon vagin se remplir de son foutre chaud. Je sais également que son sexe est en train de terminer son travail, je ne ressens plus aucun soubresaut ni flot de semence sortir de son énorme sexe encore dur. Lorsqu’il semble avoir terminé, je le repousse et éjecte son pieu de ma chatte. Je vois un flot de foutre énorme s’en échapper et couler sur mes cuisses. Mais ce n’est pas possible!... Il a déjà envoyé des quantités phénoménales 4 fois de suite et son sexe est toujours aussi vaillant et n’a pratiquement pas débandé! - MAMAN ! Oh mon Dieu, maman, je vais m’évanouir ! Mes jouissances solitaires ne m’ont jamais fait connaître l’intensité merveilleuse de que je viens de découvrir sur la bite de Patrick. -C’est merveilleux et si bon, oh maman, si bon ! Je me raidis brusquement et commence de nouveau à trembler avant de crier : - MAMAN ... -O-O-O-O-O-O-OH quel pied. Si j’avais su, il y a longtemps que j’aurais sauté le pas !Je gémis pendant que mon corps se calme petit à petit et je supplie Patrick. — Oh Patrick, s’il te plaît, laisse moi récupérer et comme je vois que tu es toujours dressé, baise ma mère et donne lui du plaisir. Fais la jouir aussi fort que tu l’as fait avec moi ! -Tes désirs sont des ordres! Et après quelques préliminaires, il encula ma mère..... A suivre : Au tour de Claire de connaître la sodomie…..
