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Les aventures sexuelles débridées de Patrick. Claude

Chapitre 1

Hétéro
LES AVENTURES SEXUELLES DÉBRIDÉES DE PATRICK.CLAUDE.Une inconnue me branle au ciné.1ère partie.

 Je me prénomme Patrick. J’ai 54 ans et je vis des aventures avec les femmes qui veulent bien de moi. Je fais 1m77 pour 80 kilos, yeux bleus tirant sur le vert, j’essaie d’entretenir mon corps pour plaire le plus longtemps aux femmes.A la demande de Léo et Stéphanie, un couple que j’ai connu dans un gîte naturiste, je vais vous narrer mes aventures sexuelles assez débridées et il faut donc que je commence depuis le début.
Ce jour là je fêtais mes 18 ans et je décidais d’aller voir un film porno au ciné,ce qui était courant en ces temps là. Il n’y avait pas Internet comme maintenant.
Tout le long de l’attente au guichet, une très belle femme n’a pas arrêté de me regarder, que me veut-elle? En entrant dans la salle, comme chaque fois que je vais au cinéma, je choisis une place tout au fond au dernier rang. Je n’aime pas avoir quelqu’un dans mon dos qui donne des coups de genoux dans mon fauteuil. La salle est pratiquement vide, dans la pénombre, un couple vient de rentrer et se dirige vers moi, la femme prenant le siège à coté de moi… Zut! La salle est pourtant assez grande!   Le film commence et au bout d’un moment je vois les 1er ébats des acteurs, je ne suis pas de bois et mon pantalon commence à se tendre. Plus le temps passe, regardant les acteurs en pleine copulation, plus ma queue se retrouve à l’étroit. Soudain la jambe de ma voisine vient me frôler et au bout d’un moment se frotte avec insistance sur la mienne. Qu’est qu’il lui prend? Mais alors que je cherche vainement qu’elle attitude opté, je sens soudain sa main se poser sur ma cuisse. Abasourdi par son audace, je tourne la tête dans sa direction, c’est la femme qui n’arrêtait pas de me mater tout à l’heure.
 Elle me fixe en me souriant gentiment, l’homme qui l’accompagne me regarde aussi. Stupéfait, le souffle court, je ne sais comment réagir. Doucement sa main commence à bouger et remonte vers mon entrejambe. Sa main s’enhardie et avance vers ma braguette, je ne respire pratiquement plus. Ses doigts fureteurs s’appuient sur mon sexe à travers mon pantalon et ne bougent plus, je n’en reviens pas de son audace. La pression de ses doigts qui palpent ma queue la fait gonfler encore plus dans mon slip.                                                                                                                                                          Mon érection atteint son apogée. Que faire? Repousser la main féminine qui me fait bander ? La laisser continuer ?Quelle sensation!... Bien calé dans mon siège, je laisse finalement l’initiative à ma voisine.

Je la regarde me sourire d’un air complice, elle approche sa bouche de mon oreille et me susurre: – Laisse-toi faire, je vais m’occuper du petit oiseau prisonnier qui ne demande qu’à prendre son vol ! Et sans attendre mon assentiment, elle descend la fermeture éclair, ouvrant entièrement ma braguette. Je frissonne, désir?... Peur?... Je ne sais plus. Je sens sa main se glisser lentement dans mon pantalon et s’appuyer sur ma verge gonflée dans mon slip. Elle relâche la pression et ses doigts repoussent mon slip avec difficulté pour se saisirent de ma teub toute dure, mon cœur bat la chamade.
Même dans mes fantasmes les plus fous, je n’aurais imaginé un tel scénario, me faire tripoter au ciné par une inconnue aussi belle !
Sans se soucier de son compagnon, elle referme ses doigts autour de ma verge turgescente, la relâche soudain mais revient aussitôt à la charge et me branle lentement, avec énormément de douceur. Elle extirpe ma teub à l’air libre et fait coulisser sa main avec une lenteur exaspérante à la limite du supportable tout le long de ma queue. Ma bite complètement dilatée est aussi dure qu’une pierre, je voudrais qu’elle me branle avec plus d’énergie.
Je suis une vraie boule de nerfs. Je lance mon bas-ventre en avant, pour lui faire comprendre mon désir. On dirait qu’elle a compris mon message, et elle accélère graduellement sa masturbation, sa main me branle alternant lenteur et vivacité. Les minutes passent vite et je sens que je ne vais plus tenir bien longtemps.Les couilles contractées par le plaisir arrivant à son apogée, je regarde mon sexe fièrement dressé dans sa main. Ses doigts autour de ma verge gonflée coulissent à un rythme effréné. Mon bas-ventre se crispe, je sens l’orgasme venir. Dans un réflexe que je ne peux contrôler, je lance mon bas-ventre au-devant de sa main bienfaitrice. Elle glisse à mon oreille :               –Tu aimes quand je te branle? Je ne sais que répondre mais anone de la tête.                                                                                                        Sa main autour de ma bite frémissante accélère encore, pressant le gland à chaque remontée, déclenchant aussitôt des soubresauts de plaisir. Je sens la jouissance monter dans mes couilles. Ma queue se raidit encore si c’est possible, prête à l’éjaculation. Dans une merveilleuse délivrance, mon sperme jaillit avec force par saccades sans fin de mon gland dilaté. Sous la violence de la jouissance, je manque d’hurler dans la salle.                                                                                                                                                         Ma voisine qui n’a pas arrêter de me regarder pendant tout le temps qu’elle m’a masturbé, comprend immédiatement à la crispation de mon visage ce qui se passe et dans un réflexe referme vivement sa main autour de ma verge d’où jaillissent dans la pénombre en jets puissants et ininterrompus mon sperme qui macule le siège devant moi et passe même par-dessus. De son autre main elle recueille comme elle peut une partie de ce précieux nectar à l’intérieur de sa paume. Je sens toujours la pression de sa main autour de ma queue qui ne veut pas débander.
Des paroles murmurées à mon oreille me tire de mon état second : – C’était bon ?... Tu as aimé ?... Quel merveilleux spectacle tu m’as offert, mieux qu’à l’écran !                                                                                                                                                       Reprenant alors mes esprits, je tourne mon visage et la regarde. Elle me sourit avec tendresse, retire délicatement sa main de ma bite et la porte à sa bouche. Là, d’une langue gourmande elle lèche longuement le creux de sa paume, recueillant le sperme qui s’y ’était déposé. Une fois la main entièrement nettoyée, elle prend mon poignet et le pose sur son bas-ventre, elle avait remonté sa robe fourreau, dénudant entièrement ses deux cuisses, sa chair est douce et satinée, elle n’a pas de sous-vêtements!                                                                                                                                                         Mon regard est obnubilé par la vision du pubis vierge de toute toison. Je sens sous mes doigts sa fente où règne une douce humidité. Elle me propose alors un deal que je ne peux refuser :                                                                                                                                                        – On sera mieux chez moi, me souffle-t-elle... Tu pourras me caresser à ton aise ! Que faire ? Aujourd’hui, j’ai 18 ans ! Je suis un homme. Mais surtout, j’en veux plus, elle m’a laissé sur ma faim. Je me reboutonne difficilement et sors de la salle. Partis avant moi, ils m’attendent dans le hall, la femme me sourit et nous quittons ensemble le cinéma.                                                                                    On fait une centaine de mètres ainsi tendrement réunis, lorsque la femme s’arrête devant la porte d’entrée d’un immeuble luxueux. Au fond de l’allée se trouve l’ascenseur dans lequel nous montons tous les trois. Alors que la cabine s’élève elle me demande:  – Comment t’appelles-tu ?  – Patrick, madame. – Tu peux m’appeler Claude. Tu me connais suffisamment intimement, tu ne crois pas ?... Mon mari c’est Pierre... – Et tu as quel âge Patrick ? –Dix huit ans madame... Claude Arrivé directement chez eux je découvre un logement très luxueux, le salon est immense avec un grand canapé.                                                                                                                                                         Claude m’invite à prendre place sur le profond canapé, tandis que son mari s’installe confortablement sur l’un des fauteuils lui faisant face. Son comportement me surprend et me perturbe. Mon désir, s’il est toujours aussi persistant à l’encontre de ma belle hôtesse, est freiné par la présence de cet homme taciturne.                                                         – Que veux-tu boire Patrick, me demande Claude ? Un jus de fruit ou un coca ?  – Un jus de fruit, s’il vous plait.  – Et toi mon chéri, un whisky, comme d’habitude, continue-t-elle pour son mari... Je vous amène ça.  Resté seul avec Pierre, je me trouve un peu niais. Soudain il me demande: – Comment trouves-tu ma femme?... Elle te plait ?... Tu n’as certainement jamais eu l’occasion d’être branlé ainsi par une aussi belle femme.– Heu, non. – Tu aimerais lui faire l’amour, n’est-ce pas ? Je ne sais quoi répondre à pareille question. J’aurais souhaité être ailleurs.                                                                             – Tu vas être comblé, continue Pierre. Ma femme adore se faire baiser par des jeunes comme toi !... Elle chasse dans les cinés le bon gibier. Je ne peux plus la satisfaire et comme elle a des besoins sexuels excessifs, j’accepte qu’elle prenne des jeunes amants quand elle en a besoin pour ne pas la perdre. Je suis sûr que tu vas aimer...                                                                                                                                                          De plus en plus mal à l’aise, je réfléchis au moyen de me sortir de ce guêpier, un couple de pervers?... Cependant, le retour de Claude, avec les deux verres remplis, stoppe les confidences de son mari. – De quoi parliez-vous, questionne-t-elle ? – De toi ma chérie, répond son époux en saisissant le verre qui lui était destiné. J’expliquais à notre jeune ami ce qu’il allait connaître... Claude lui tend son verre. – Tiens Patrick. N’écoute pas tout ce que dit mon mari... Je désire simplement que tu me fasses l’amour... Que nous partagions la même jouissance.
 Claude vient s’asseoir à côté de moi buvant mon jus de fruit et m’attire à elle, m’obligeant à déposer mon verre et m’embrasse à pleine bouche. Avant que je ne réalise, je me retrouve lèvres contre lèvres, sa langue agile et experte dans ma bouche. Claude a une façon diabolique d’agiter sa langue à l’intérieur de ma bouche mettant une telle exaltation dans son baiser, qu’il m’est impossible d’y répondre. Complètement enivré par sa science du baiser, je ne remarque pas immédiatement que Claude a entreprit de dégrafer mon pantalon.     – Donne-moi ta bite, murmure-t-elle en fourrageant dans mon slip. Malgré ma récente éjaculation, je sens ma verge palpiter doucement dans un début d’érection. Claude me dénude le bas-ventre, me malaxant la bite en demi-érection sous le tissu de mon slip.  – Mon Dieu, c’est bien ce que je pensais au ciné, tu es monté comme un âne! S’écrit Claude en écartant brusquement mon slip faisant jaillir mon sexe libéré du tissu ... Tu sais, d’habitude je ne ramène pas chez moi mes branlettes de cinéma, j’adore mettre en émoi tous ces petits branleurs. Mais quand j’ai découvert comme tu étais monté et que j’ai admiré tes performances éjaculatoires, j’ai été conquise. J’ai hâte de la sentir à l’intérieur de moi, continue-t-elle, en tirant sur le pantalon.                                                                                                                                                         Je jette un regard anxieux en direction de Pierre qui se rince l’œil, une main posée sur sa braguette. Mon pantalon au sol, elle m’aide à retirer mon slip qui se retrouve bientôt à ses pieds. Le bas du corps dénudé, le sexe brandit, je n’ose plus bouger, d’autant plus que mes hôtes sont eux entièrement vêtus. Saisissant ma verge tendue dans sa main, elle entreprend de la branler doucement : – Détends-toi, me murmure-t-elle d’une voix douce. Je ne veux que te procurer du plaisir...et ne t’en fais pas pour mon mari ça se passera juste entre toi et moi. Il ne fait que regarder !... C’est ainsi qu’il prend son plaisir                                                                                      Me sentant quelque peu rassuré, je laisse faire la main qui coulisse le long de ma verge maintenant en pleine érection. Je vire au rouge quand elle me demande:                                       – Tu veux que je te fasse une pipe ?                                                                             Elle n’attend pas ma réponse et s’agenouille entre mes jambes écartées, approche son visage de ma queue qu’elle maintient de ses deux mains et se met à aspirer mon gland dans sa bouche ouverte au maximum, quelle intense ivresse érotique, elle suce le bout de ma verge, frottant ses lèvres uniquement sur la couronne du gland. Ce massage terriblement voluptueux devient très vite insupportable, mon bas-ventre se contracte sous des accès de plaisir. De temps à autre, elle frappe de sa langue l’extrémité de mon gland accentuant l’exacerbation de mon bourgeon de chair.                                              Incapable de me contrôler je mets mes deux mains dans sa chevelure l’obligeant à enfourner pratiquement la totalité de ma bite dans sa bouche en extension maximum, en lui bloquant le visage contre mon pubis et je ne bouge plus, le temps que l’excitation retombe.                                                                             Contrainte de garder la totalité de ma longue queue dans sa bouche, le gland lui obstruant le palais, Claude salive abondamment sans pouvoir vraiment déglutir. Je sens ma verge comme enveloppée par un cocon étroit, chaud et moelleux. Grisé par cette nouvelle sensation, je relâche ma pression sur sa nuque. Elle en profite pour se rejeter vivement en arrière pour reprendre son souffle, crachant mon gros chibre qui lui obstruait la gorge.                                                                                                                                                         – Ouah !... Quel morceau, s’exclame-t-elle, les commissures des lèvres luisantes de salive... Tu as bien failli m’étouffer...Je n’ai jamais mis dans ma bouche un tel mandrin. Tu sais que tu es rudement bien monté, continue-t-elle, et tu es tellement gros que j’ai eu de la peine à te prendre en bouche, tu devras te méfier de ne pas te montrer trop exigeant avec les filles lorsque tu leur demanderas de te faire une pipe. Ne bouge pas, il faut que je mesure ce monstre!              Elle va prendre un mètre de couturière et revient s’agenouiller face à ma queue: -Voyons voir pour la longueur, 22cm, mon Dieu Pierre, elle fait 9 cm de plus que la tienne!.... S’exclame-t-elle, un sacré beau morceau ! Puis elle enroule le mètre autour de la hampe, Wouuaahhhh! C’est pas possible, elle fait 18 cm de tour, elle est énorme!!!! Mes doigts font à peine le tour de ton formidable engin! A ces mots, je la fixe étonné, je ne savais pas que j’étais ce qu’on appelle "un homme très bien membré".                                                                             La voix de Claude me tire soudainement de mes réflexions :  – Tu veux lécher ma chatte ?... Ça te dit ? Je rougis encore plus que tout à l’heure, elle me demande de réaliser un de mes rêves ! Elle me propose cette caresse buccale qui me fait tant fantasmer. Ma réponse est immédiate :  – Oh oui que je veux!  – Tu as déjà léché une chatte ? M’interroge-t-elle. Gêné, je lui avoue.  – Euh, non.  – C’est vrai ?... Je serai la première ? s’exclame Claude l’air ravi... Tu veux que je t’apprenne ?  – Euh, oui. – D’accord, mais d’abord, aide-moi à dégrafer ma robe... Je serai plus à l’aise pour ce que l’on a faire...                                                                                                                                                         Elle se relève, se retourne et me dit d’ouvrir sa robe. Terriblement ému, la bite toujours orgueilleusement dressée, je tire sur la petite languette, baissant la fermeture-éclair, découvrant sa peau nue barrée par la lanière dorsale du soutien-gorge, puis arrivant au niveau de sa croupe rebondie ça coince. Claude repousse les épaulettes le long de ses bras. La robe glisse lentement avant de se retrouver en tas à ses pieds.  Je contemple émerveillé l’affolante cambrure de reins et l’incroyable arrondie de la croupe de Claude. Ses fesses, séparées par une longue et profonde raie attirent irrésistiblement mon regard
– Il te plait mon cul?  Claude se mets à onduler des hanches d’une façon obscène, agitant ses fesses de droite à gauche qui se balancent à quelques centimètres de mes yeux attisant mon désir d’explorer l’ouverture qui s’y cache. Soudain elle s’installe sur le canapé, cuisses largement écartées.  – Viens, mon chéri ! murmure-t-elle d’une voix alanguie... Viens me brouter le minou !
Terriblement intimidé, je n’arrive pas à dégager mon regard de sa poitrine. Les deux seins, cerclés par les fines attaches de dentelles rouges, apparaissent dans leur plénitude. Légèrement hâlés, les deux globes de chair, ainsi mis en valeur par ce soutien-gorge spécial qui laisse voir des aréoles très larges et d’une couleur foncée, au centre desquelles les tétons se dressent fièrement.
 Le spectacle de ses globes mammaires plus que dénudés me laisse sans voix, complètement figé. – Ils te plaisent tant que ça mes nichons, s’exclame Claude d’une voix amusée !... Je suis sûre que tu n’en as jamais vu ! N’est-ce pas ?  -Heu non, pas de si près.  – Viens embrasser mon minou, m’ordonne Claude.  Obéissant, je m’agenouille devant ce merveilleux spectacle. De ces 2 mains elle saisit ses grandes lèvres et les écartent largement, dévoilant l’intérieur de sa chatte à ma vue. Je suis comme hypnotisé. Au bas de mon ventre, ma queue devient plus rigide sous le désir qui se fait de plus en plus insistant.                                                                             – Lèche-moi !  D’une main ferme dans mes cheveux, elle plaque mon visage contre sa vulve qu’elle maintient écartée de son autre main. Je me lance et mets ma langue dans les replis vulvaires d’où suinte une abondante rosée à la saveur étrangement épicée, je lèche sa longue fente, plonge ma langue le plus loin possible. Elle tressaute brusquement en laissant échapper une sorte de gémissement :  – Oh oui !... C’est bien mon chéri, enfonce bien ta langue dans mon con !... Huumm...
 Glissant alors mes mains sous ses fesses j’enfonce mes doigts dans les chairs de sa croupe agitée de secousses dues au plaisir naissant... Plus je bouge ma langue à l’intérieur de la chatte, plus celle-ci émet des écoulements de cyprine qui m’emplissent la bouche, que j’avale goulûment. La tête rejetée en arrière, Claude pousse des gémissements entrecoupés de râles de plaisir. Sa main droite qui quelques instants plus tôt agrippait ma nuque, est posée sur son ventre qu’elle griffe spasmodiquement, tandis que la gauche empoigne un sein qu’elle presse fiévreusement, son bas-ventre n’arrête pas de trembler...  – Oh oui, c’est bon... Je me régale !... Il est doué le gamin, affirme Claude à l’intention de son mari... Il va me faire jouir... Ooohhh...                                                                             M’abreuvant avec énormément de plaisir à la source vaginale, je sens Claude m’agripper les cheveux et me repousse loin de son sexe.  – C’est bien, mon chéri, me murmure-t-elle... Tu es véritablement doué pour ton âge... Tu m’as procuré énormément de plaisir... Tu as presque réussi à me faire jouir... Mais je vais te montrer quelque chose, regarde! Claude porte de nouveau ses deux mains à son sexe luisant pour se saisir des grandes lèvres de sa vulve, qu’elle écarte largement. – Tu vois, déclare-t-elle. Sous mon doigt se trouve mon clitoris ou mon bouton d’amour, comme tu veux. Tu sais ce que c’est ?  – Euh oui et non, j’en ai entendu parler mais je n’en ais jamais vu.  – C’est un endroit extrêmement sensible chez les femmes. C’est de là que partent certaines de nos terminaisons sexuelles, comme ton gland chez toi.                                                                             Je regarde de plus près. Sous le doigt de Claude, je vois une excroissance d’un rouge un peu plus vif que les chairs qui l’entourent.  – Caresse-le, me demande Claude. J’approche mon index du bourgeon de chair et le frotte doucement, presque timidement, étonné de la dureté de ce dernier que je sens grandir comme un petit pénis.  – Tu sens comme il est gros, m’interroge-t-elle ? -Caresse-le... Frotte-le avec ton doigt... Ouuuiii, comme ça, m’encourage t’elle, continue !... J’appuie alors un peu plus mon index sur le clito gonflé, déclenchant aussitôt un gémissement de la part de Claude:                                                                             – Oh oui, gémit doucement Claude. Tu me fais du bien... Hummm, c’est agréable... Oohh oui... C’est bien mon chéri, tu apprends vite....
Me penchant sur ce sexe féminin qui palpite au bout de mon index, je le remplace par ma langue, léchant son clitoris, qui sous mes attouchements semble encore augmenter de volume. Immédiatement, Claude tressaute brusquement en émettant un brusque râle de plaisir.                                                                             – Oh, Patriiiiick !... Que fais-tu ?... Oohh... Ahhh... Ahhh... Oh oui !... Ahhh... Oui continue comme ça !... Oh oui ! Aaahhh !...Je jooouuuiiissss!!!!!  Chaque effleurement de ma langue sur le bouton dardé déclenche un véritable sursaut de son bas-ventre qui m’oblige chaque fois à ressaisir le clitoris entre mes lèvres. Pour pouvoir poursuivre ma caresse sans continuellement rechercher l’étonnant petit bouton de chair, je la ceinture de mes bras, mes mains sur son postérieur. L’immobilisant en écartant le plus possible ses fesses. Elle ne peut plus se soustraire à ma langue.
Malgré son immobilité forcée, Claude n’arrête plus de gémir doucement, je m’acharne sur son bouton d’amour, le flagellant de ma langue, je la regarde se malaxant les seins à pleine main, les pressant fortement ou pinçant les bouts entre ses doigts.  – Oooouaahhh ! C’est trop bon ! S’écrie soudain Claude... Non, Patrick, arrête !... Je t’en prie !... Patrick, je n’en peux plus !... Ooouuaah !...                                                                             Comme prise de convulsions, elle s’agite soudain avec une telle intensité que je dois la serrer de toutes mes forces pour la maintenir sous ma langue.  – Oouaahhh... Oui ! Oh oui !.... Encore !... Ouuiii...Je repars encore!...  Je m’acharne sur son clitoris, le léchant avec plus d’ardeur. Le corps extraordinairement arqué, Claude hurle son plaisir. – Rroouuaaaahhh !... Aaaahhhhhh.... Soudain, comme un ressort brisé, elle s’immobilise, la respiration haletante, un sourire béat sur ses lèvres, le visage comme transfiguré, fixant le plafond d’un regard perdu. Ses seins gonflés par le plaisir portent des traces de griffures, tant ils ont été malaxés pendant tout le temps de la montée de sa jouissance.                                                                            Ramenant mon regard sur la vulve d’où émerge le clitoris tuméfié, je découvre qu’un liquide luisant s’écoule lentement de sa fente, telle une source souterraine jaillissant des profondeurs du sexe féminin. Je goûte à cette liqueur intime, lape d’une langue gourmande ce nectar aphrodisiaque qu’elle libère avec abondance. Elle ne réagit plus à mes lapements, je me gave du jus vaginal à la saveur acidulée. Reprenant conscience Claude pose une main sur ma tête et me tire en arrière par les cheveux.  – Arrête, murmure t’elle, d’une voix alanguie... A ton tour, viens me prendre !... Je veux sentir ta grosse bite me défoncer !... Viens me baiser !...                                                                             Toujours tiré par les cheveux, je me retrouve pratiquement couché sur son corps sensuel vautré sur le canapé, sa chatte en offrande par ses cuisses grandes ouvertes. Immédiatement, je sens une soudaine chaleur envelopper mon gland. Dans le mouvement, ma verge c’est naturellement positionné en face de sa chatte et s’enfonce dans la vulve béante. Elle me saisit aux hanches afin de m’attirer plus profondément en elle.  – Oh oui !... Baise-moi, grogne-t-elle !... Défonce-moi avec ta grosse queue !...Puis s’adressant à son mari, elle lui précise :  – Putain qu’il est gros! Il est monté comme un mulet ce gamin... Il me défonce le vagin! Je n’aurais jamais cru pouvoir accepter un engin pareil dans ma chatte! T’as vu son chibre, on dirait l’avant bras d’une jeune fille, sa bite est aussi grosse que mon poignet!– Et je suis sûr que ça te plait, ma salope ! S’écrit Pierre. Je veux voir son énorme bite te pénétrer. – Oh oui !– Alors profites-en. Va-y Patrick !... Bourre-là cette salope ! Elle aime les jeunes queues comme la tienne bien que c’est la première fois qu’elle est confrontée à un tel calibre.
La suite au prochain épisode.
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