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Les aventures sexuelles débridées de Patrick. Claude

Chapitre 2

Hétéro
LES AVENTURES SEXUELLES DEBRIDEES DE PATRICKUne inconnue me branle au ciné.2ème partie.

Mon Excitation est à son comble et j’accélère le va-et-vient dans son vagin remplit de ma bite. C’est une vraie fournaise autour de ma queue. Sous mes coups de boutoir qui lui labourent le vagin, Claude ne tarde pas à crier son plaisir m’encourageant à la pistonner dans un langage particulièrement cru. - Ouf, ça y est, ma chatte a pris la dimension de ton énorme queue, mon faune à moi.
Elle lance ses jambes de part et d’autre de mes hanches me ceinturant de ses cuisses, mettant ses bras autour de mon cou, nos sexes intimement emboités. – Oui !... Baise-moi à fond !... Défonce-moi !... Ooohhh... Oui... Oouuiiii !... Oh Patrick, ta bite est si dure, si grosse, si longue! Ohhh!  Son poids m’entraîne et je dois m’appuyer des deux mains au dossier du canapé. Je sens glisser le tapis sous mes pieds sur lequel repose tout le poids de nos deux corps enlacés, j’essaie de retrouver mon équilibre en me redressant dans un effort désespéré soulevant Claude enlacée comme une folle à moi, me retrouvant soudain debout. Fermement calé sur mes pieds, je m’empresse de glisser mes deux mains sous ses fesses afin de la maintenir, Claude s’accrochant désespérément à moi pour ne pas tomber, s’empale profondément sur ma verge dressée qui la perfore. -Oh mon Dieu, putain, t’as une bite de cheval, Patrick, tu me transperce, rue, bel étalon, essaie de me désarçonner!....
Solidement agrippée à moi, elle agite vivement ses hanches comme une championne de rodéo, tout en râlant de plaisir dans mon cou où elle a niché son visage.  – Oh oui !... C’est terrible, lance-t-elle à son mari. Je sens son gros bout jusqu’au fond de mon ventre, il perfore mon utérus, je suis complètement dilatée par son monstrueux chibre!...
 Pour mieux la tenir, je crochète mes doigts dans ses fesses charnues. Les doigts de ma main droite s’incrustent dans la profonde raie des fesses écartelée par la position. Je la fait monter et descendre sur mon engin en essayant qu’il ne quitte pas ce fourreau accueillant. Involontairement mon majeur frôle l’orifice qui se cache dans le profond sillon. Pris soudain d’un désir pervers, j’effleure la corolle de l’anus avant de tenter d’y introduire mon majeur. La rosace de l’anus abondamment lubrifiée par les sécrétions vaginales qui s’écoulent le long de la profonde raie me permet d’introduire mon doigt dans l’orifice anal. Celui-ci n’oppose pas la moindre résistance à cette pénétration, s’écartant sans difficulté aucune. Aussitôt Claude se cambre dangereusement en émettent une longue plainte, plantant ses ongles dans mes omoplates : – Ooohhh oui !... C’est trop bon !... Continue !... Patrick, Tu es un magnifique étalon et tu baises comme un dieu. Et quelle puissance ! Ta bite est incroyable, d’une grosseur à faire peur aux jeunes filles!  Puis à l’intention de son mari qui ne perd rien de la scène, elle l’informe :  – Il m’a fichu un doigt dans le cul !... Il va me faire jouir ce saligaud ... Hhhuumm !... Oh ouuiiii !...– Vas-y Patrick, m’encourage-t-il. Encule-là cette salope !... Elle adore ça ...

Affolée sexuellement par les remarques grivoises de son époux, Claude s’immobilise soudain et pousse un véritable hurlement. Profondément empalée sur mon dard elle jouit en émettant d’incompréhensibles borborygmes, soudain je ressens un étrange, mais délicieux resserrement du vagin autour de mon gland hypersensible. C’est comme si son sexe tout entier pressait ma verge pour en extraire son jus intime, comme si elle voulait me traire.
 Incapable de résister à cette voluptueuse sensation, je m’abandonne alors à la jouissance et lâche ma semence, emplissant copieusement le vagin dans lequel ma bite est enfoncée jusqu’à la garde. Du fait de la pression des muscles vaginaux autour de mon gland, chaque éjaculation me procure une jouissance extrême qui m’arrache des grognements de plaisir, grognements qui font écho aux feulements de Claude.
 Je n’arrête pas de jouir, ma queue n’en finissant plus de cracher sa liqueur séminale, ça ne m’était jamais arrivé lors de mes masturbations solitaires ces giclées qui n’en finissent plus. Claude non plus n’en revient pas des décharges copieuses qui lui emplissent le vagin, elle commente pour son mari :  -Putain !... Comment peut-t-il avoir une réserve de sperme aussi incroyable ? Il me remplit comme une outre !Je me retrouve soudain à court de munitions. Dans la fournaise du sexe féminin, ma verge cesse alors ses bordées, lâchant ses dernières salves. Le corps tétanisé, je demeure immobile toujours portant Claude, le cœur battant à cent à l’heure et la respiration saccadée. Après un instant ou on entendrait une mouche voler, aussi haletante que moi, Claude desserre l’emprise de ses cuisses autour de mes hanches pour reposer ses pieds à terre. Nous restons alors ainsi enlacés, liés encore l’un à l’autre par nos sexes intimement emboités, reprenant lentement nos esprits.                                                                                                                          Je sens ma volcanique partenaire se désunir de ma verge toujours aussi rigide. C’est l’exclamation de la femme à l’intention de son mari qui me ramène à la réalité.                 – Putain, qu’est-ce qu’il m’a mise... Regarde, ma chatte se vide tellement il m’a gavée, j’en ai plein les cuisses !... Ce n’est pas une bite qu’il a ce gamin, c’est une vraie lance à incendie !... Il m’a rempli la chatte de son sperme...Et regarde !... Il n’a pratiquement pas débandé!...   Elle se retourne et s’adresse à moi me caressant la verge qui se raffermit aussitôt entre ses doigts expérimentés:  – Ben mon cochon. Tu en avais une sacrée réserve !... C’est toujours comme ça quand tu éjacules ? Tes décharges sont toujours aussi abondantes ? Du beau travail de jeune mâle et j’apprécie que ta bite soit encore disponible et dure comme un roc! Je me mets à bégayer une réponse approximative m’excusant presque de mes exploits.  – Tu n’as jamais baisé de filles ?... – Euh, non... Enfin…! – Je suis la première, s’exclame Claude, un puceau, et quel diamant brut! -Maintenant que ton manche de pioche a dépucelé des endroits de mon minou en jachère, et vu que tu es toujours d’attaque, il n’y a plus qu’un seul trou ou ta bite n’est pas rentrée, si tu te sens d’attaque, tu vas m’enculer!
Je suis abasourdi de sa proposition, elle veut que je la sodomise!...
Elle se met à quatre pattes et me donne l’ordre de lui lécher le cul, ma langue caresse son petit trou. Tourbillonnant autour de la corolle de son anus.Je continue la préparation en glissant les doigts d’une main dans sa chatte humide grande ouverte pendant que de l’autre main un doigt bien baveux s’insinue dans son cul, puis 2, puis...
Je réussis à mettre 3 doigts dans sa corolle et les enfoncent le plus profondément à l’intérieur, je varie en passant ma langue autour de son cul. Elle crie de plaisir :— Aaaah...ouiiiiii, vas-y, fouille mon cul...ooohhh, merde, je sens que je vais... Je jouissss...Un énorme orgasme traverse son corps, provoqué par ma langue fouillant et léchant son cul, puis j’alterne, 4 doigts éperonnant sa chatte et 3 son petit trou.
Je me recule et prenant mon sexe en main le présente entre ses fesses trempées.La tête de mon gland poisseux de nos sécrétions intimes touche son petit trou, le moment est venu de pratiquer ma première sodomie. Je le fais glisser plusieurs fois dans la raie de ses fesses et le plonge dans sa chatte pour bien l’enduire de sa cyprine abondante.
— Prête Claude? Je lui demande.Elle serre les dents et essaye de détendre son sphincter au maximum.— Allez vas-y! Ohhh, bordel que tu es trop gros et dure! Mon cul n’a jamais connue un tel calibre, vas-y quand même en douceur car je suis plutôt serrée de ce coté là!— Claude, ton cul est si serré que mon gland arrive à peine à s’y engager et que ma bite plie sous l’effort de ma poussée.-Nonnnnn!... Je déguste, ton chibre est vraiment énorme, mais quel pied !!!
Elle pose une main sur la hampe et c’est elle qui guide mon gland. J’appuie de plus en plus fort sur sa rosette et instinctivement son cul se serre sur ce corps ovoïde dans l’intention de le refuser à l’intérieur de ses intestins. Elle doit faire un effort de volonté pour se détendre. Copieusement lubrifié par mes coups de langue, son anus accepte à peine l’intromission du gland volumineux. Elle s’abandonne sous la poussée un peu plus forte et son sphincter cède enfin. Elle respire profondément quand elle sent la grande tête épaisse glisser en elle.  - Ooooooooh ta bite est énorme ! Putain que t’es gros ! La douleur est à peine supportable. Je la sens passer mais elle rentre ! Incroyable ! Patrick ! Tu me l’as mise dans le cul ! Elle serre les dents quand les premiers cm de mon défonce-cul pénètrent entre ses fesses.
— Aaaaahhhhh.....ouuuuhhhh !.... Son petit trou du cul, bien que pouvant accueillir ma bite, est extrêmement serré autour de ma queue et son tunnel sombre masse toute la longueur de ma verge qui ne va pas résister longtemps à cette pression. Je l’interroge :— Je ne te fais pas mal ?  Je sens ma verge glisser lentement dans son cul, Elle crie mais sans attendre pousse ses fesses au devant de mon rostre, s’empalant progressivement d’elle-même sur ma queue qui s’introduit dans son étroit conduit. Je sens mon gland écarteler ses chairs au fur et à mesure de la progression de ma verge. Elle s’écrit commentant pour son mari:-Je déguste salement et j’ai l’impression que mon anus va se déchirer mais ça s’estompe lentement. Je constate que mon anus est capable d’accepter son monstrueux phallus, si dur et si imposant.
Lorsque la totalité de ma verge se trouve enfoncée au plus profond de ses entrailles, je m’immobilise afin qu’elle s’habitue au gourdin à l’intérieur de son rectum : - Claude..., Ça va ????— Ooooh...nonnnn... ouiiiii... mon amour! ...Vas-y, encule-moi, maintenant défonce-moi le cul, défoule-toi !Ma queue est enfoncée en totalité dans son anus... Elle se cambre et recule son bassin pour être possédée plus complètement.
Et elle commence à bouger son derrière, avançant doucement pour faire sortir mon bâton de chair puis reculant aussitôt pour se ré-empaler. Elle s’empale toute seule en prenant soin de ne pas la laisser s’échapper. Je retire ma bite de plusieurs cm et d’un seul coup la renfonce entièrement dans son cul ! Elle regarde Pierre et lui dit:-C’est comme un manche énorme qu’il enfonce dans mon anus. Mon trou du cul va éclater !Mais non ! Je reçois la totalité de sa grosse et longue bite dans mes boyaux et pire.... j’adore !— Aaaah...ouiiiii....baise....baise....mon cul... mon salaud... accélère ton rythme… Je commence vraiment à sentir ce que c’est que de se faire enculer par une bite hors norme. Il m’emboutit mon trou du cul, sur au moins 20 cm à chaque poussée.Je lui dis des mots que je n’aurais jamais cru dire à une femme :— Ooohhh, Oui Claude, prends ma grosse bite, salope ! Haaan ! T’as un putain de trou du cul hyper serré et t’es brûlante du fion!
Elle se pâme de plaisir. Sa jouissance arrive et je sens son anneau se contracter, je sens son cul se resserrer à plusieurs reprises, en cadence, avec des ondes de jouissance presque irréelles et elle tombe presque en syncope.  Mes doigts toujours dans sa chatte sont complètements inondés et soudain ça recommence, sa chatte ouvre les vannes faisant jaillir son jus d’amour sur le canapé.-Pierre, sa bite martèle mon cul si serré. Je peux sentir la tête de son gland cogner au fond de mes entrailles et j’ai encore un autre orgasme! Ouuuiiii !!!
Je passe soudain d’un trou à l’autre et inversement en une course de folie avec mon gros nœud avant de continuer inlassablement mon enculage. Après cinq minutes endiablée, elle commence à faiblir et son cul est en feu.-Ta bite est comme un énorme piston de machine. Putain que j’aime çà !!! Je continue à embrocher son cul, poussant ma queue à fond, puis me retire rapidement en arrière et l’introduisant brutalement de nouveau à fond, la tirant par les hanches.  Pour pouvoir résister à mes violentes poussées elle doit se tenir à deux mains au dossier du divan.
Elle me regarde et commente ma prestation. : -Ton endurance est incroyable! Les muscles de mon cul serrent ta queue et je m’attends à ce que tu exploses à l’intérieur de moi à tout moment, mais tu tiens le coup mon salaud !... Petit salopard, t’es une vraie machine à baiser ! Enfonce ta bite épaisse dans mon cul...ooohhh bordel ... Que j’aime ça, c’est bon...c’est si bonnnnnnnn...Quelques instants plus tard, je retire ma verge avec un énorme bruit de succion et lui ordonne : -Assieds ton cul sur ma bite! Je tombe sur le canapé et l’entraîne vers moi. Elle met ses cuisses de chaque coté de moi, attrape ma queue et la positionne à l’entré de son anus encore béant. J’attrape ses fesses et la fends en deux avec ma queue qui s’enfonce jusqu’à la garde dans son rectum. Elle rassemble les forces qui lui restent pour monter et descendre sur ma bite, ses chairs internes malmenées par mon pénis.

Récit de Claude:Il a ses mains autour de mes fesses et me contraint à monter et descendre lentement sur son phallus palpitant.Je me vois en salope nympho en train de se faire enculer par un jeune blanc-bec avec une bite géante.
— Donne-moi ton foutre chéri...lâche toute ta sauce dans mon cul...gicle dans mes entrailles que je sente ton jus brûlant... Allez jouis mon amour! J’écrase mes fesses contre ses cuisses dans un claquement ce qui le fait pénétrer encore un peu plus loin me donnant l’impression qu’il m’explose les entrailles.Il me broie les fesses en m’attirant contre lui pour me remplir complètement de son beau phallus. Je sens les vibrations et les contractions de sa queue dans mes intestins dilatés à l’extrême.
Quatre énormes jets de sperme giclent profondément à l’intérieur de mon rectum, avec une telle force qu’il remplit mes entrailles de son jus! Ma rosace se resserre sur sa merveilleuse bite.— Aahhhh... ouiiiii...je te sens bien....ouii... donne-moi tout....huuuummm que c’est bon... encore.... ouiiiii... continue !!!
Je peux sentir sa semence qui m’inonde et recouvre sa bite quand il soulève mon corps et qui coule même sur ses couilles qui continuent de se vider. Il gémit bruyamment quand brusquement je sors son chibre de mon cul. Il continue de cracher et m’inonde le dos de 2 jets d’une incroyable puissance envoyant son foutre jusque dans mes cheveux.Le bouchon ayant sauté, une incroyable quantité de sperme s’écoule lentement sur mes cuisses et coule sur le canapé.  Mon anus tremble encore, en feu et trempé par son jus, complètement dilaté, mais quelle baise !
— Oh mon Dieu...Tu as baisé mon cul comme un dieu ! C’était...c’était...unique, formidable, incroyable... j’aime ta bite géante, elle est intarissable... et je t’aime, toi, pour le plaisir et l’amour que tu me donnes !Je suis descendue de ses cuisses et au passage je frotte mes seins sur sa bite dégoulinante mais ... Ooohh... surprise, elle a à peine débandée !
Récit de Patrick.Claude me susurre à l’oreille :– Il va falloir que tu rentres maintenant, tes parents vont s’inquiéter... Comme je vais remettre mon slip, Claude m’en empêche :– Attends ! Tu ne peux retourner chez toi comme ça ! La bite toute sale!  Claude s’agenouille devant moi et saisit ma verge encore de bonne dimension entre deux doigts, et l’aspire entre ses lèvres pour la sucer consciencieusement et la nettoyer à grands coups de langue. Cependant à mesure que la sensuelle fellation se prolonge, je sens mon plaisir revenir au niveau de ma verge et de mes couilles. Ne pouvant demeurer plus longtemps sans réagir, je lance mon bas-ventre en avant, au-devant de cette affolante bouche qui m’a apportée tant de plaisir.
Ravi de cet intermède auquel je ne m’attendais pas, je laisse Claude œuvrer à sa guise, me contentant d’apprécier ce nouveau plaisir qu’elle m’offre.
Même si l’excitation première m’a abandonnée et si mon sexe n’a plus la rigidité du début, le va-et-vient des lèvres moelleuses et humides le long de ma verge me procure un certain plaisir. Mais au bout d’un moment, mon chibre reprend lentement sa raideur ferrugineuse et Claude me sentant de nouveau d’attaque n’arrête pas de me sucer et de me branler pendant une dizaine de minutes. Vu les 3 précédentes joutes sexuelles m’ayant vidées les burnes, il fallait bien ça pour m’amener de nouveau au Nirvana.
Comprenant aux mouvements saccadés et aux gémissements que je pousse, que j’approche de l’orgasme libérateur, Claude accélère alors sa voluptueuse fellation. Tout en suçant uniquement le gland incroyablement dilaté, elle branle d’une main habile la partie de la queue qui se trouve hors de sa bouche et malaxe mes bourses. Ces deux caresses simultanées m’amenant à l’extase finale. Sous ce soudain changement de rythme et de caresse de Claude, je sens que je ne vais pas pouvoir retenir ma jouissance plus longtemps et je crie dans un dernier sursaut...  -Je viens !... Aaarrhhh... Aaaahhhh....  Dans un grognement inhumain où se mêlent plaisir et crainte, en proie à une jouissance phénoménale je décharge à nouveau à longs jets dans la cavité buccale de ma suceuse, tandis que tout mon corps se tétanise de la nuque aux pieds.                                                                           Pressentant l’imminence de l’éjaculation, Claude a refermé ses lèvres autour de la collerette du gland, ne gardant en bouche que le bourgeon de chair, qu’elle flatte de la langue. Aussi lorsque le premier jet de sperme onctueux lui frappe le palais elle n’est pas surprise. Vivement elle bloque sa déglutition afin de garder en bouche cette semence tant désirée. Un second jet aussi copieux que le premier jaillit de mon gland soubresautant, et un troisième puis un quatrième. Le sperme plus fluide s’agglutine au fond de son gosier. Les jaillissements suivants perdent enfin de leur force s’écoulant mollement du gland assagi, ils engluent néanmoins sa langue. -Décidément tu as des réserves importantes ! Me bredouille-t-elle en faisant des efforts pour ne pas avaler immédiatement ce nectar qui lui emplit les joues.                                                                                                                                                       Après un temps qui me parait extrêmement court, ma sensuelle partenaire recrache mon gland et avale avec volupté mon nectar puis s’écrit:  -C’est pas possible, t’es un véritable étalon et tes couilles sont inépuisables, j’en avais plein la bouche! Tu n’es pas normal pour produire autant de sperme, y-a un truc bizarre chez toi!Elle me reprend en bouche pour soi-disant ne rien laisser perdre et me nettoyer à fond ma bite.  Le désir d’éprouver une nouvelle érection me submerge à nouveau, mais ces 3 éjaculations + celle du ciné m’ont complètement vidé et mes efforts restent désespérément vains, ma queue n’en peut plus. – Voilà, tu es propre, s’exclame-t-elle... Tu peux te rhabiller et vite rentrer chez toi.
Une fois rhabillé, Claude, toujours entièrement nue, me prend par le bras pour me raccompagner jusqu’à l’ascenseur privatif. Comme je pénètre dans la cabine, elle m’attire à elle, pose une main sur mon sexe commençant à le malaxer et collant ses lèvres aux miennes m’embrasse avec une telle passion que je sens une nouvelle érection poindre. A l’intérieur de ma bouche sa langue exécute un extraordinaire ballet, s’agitant en tous sens et avec une telle ardeur que le frémissement d’une nouvelle érection gonfle dans mon pantalon. La salive odorante de Claude m’emplit la bouche, me procurant un délicieux plaisir. Puis aussi soudainement qu’elle m’a violé la bouche, elle me repousse avec tendresse :– C’n’est pas vrai, tu bandes encore comme un taureau! Oh que c’est beau la jeunesse mais tu es un sacré phénomène, je le redis, il y a quelque chose de pas normal chez toi. Dommage, il est tard. Tu m’as énormément procuré de plaisir, murmure-t-elle. C’était merveilleux.                                                                                                                                                            Je sens qu’elle me glisse quelque chose dans la poche de mon pantalon.  – Tu peux revenir quand tu veux, je serais heureuse de sentir encore ta courageuse queue dans ma chatte. Je t’ai mis mon numéro de téléphone. Appelle avant de venir afin d’être sûr que je soi là...  Puis comme la porte de la cabine se ferme, Claude me retient :  – Tu es un tel étalon inépuisable que la prochaine fois j’inviterai deux copines qui aiment les grosses bites, elles ne seront pas déçues !... Et elle ajoute, me laissant perplexe :Et quand je pense qu’au ciné j’ai hésité entre toi et un autre, c’est le cas de le dire, j’ai eu la « main heureuse » !!!!

A suivre…. Claude et ses copines.
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