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Les aventures sexuelles de Margaux

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Margaux s’avancait vers le café où était fixé son rendez-vous. Toute excitée, elle se souvenait de son aventure d’il y a trois mois dans les toilettes. Elle revoyait également le visage de Marc, elle le voyait tous les jours, presque sans arrêt. Elle était dans un autre monde depuis trois mois. Sa mère commençait parfois à se demander ce qu’elle avait, puis elle se disait que c’etait normal. Après tout, je l’ai toujours trouvé bizarre, se disait-elle de temps en temps. Enfin, la jeune fille entra dans le café, et son visage se transforma quand elle aperçut Marc. Toute joyeuse, elle se dirigea vers la table où il était assis. « - Bonjour Marc ! Je suis tellement contente de vous revoir. L’autre soir, vous m’avez... » Et elle termina sa phrase en soupirant gaiement. Encore plus direct que la première fois, Marc s’adressa à Margaux, sans même lui dire bonjour.
— Viens chez moi, je vais t’enseigner les bases pour être ma soumise. Je sais que tu vas aimer ça, aussi voici mes premiers ordres. Tu devras m’appeler monsieur en toutes circonstances, et tu seras toujours là dès que je t’appellerai. Ta vie sera limitée à présent à m’obeir sans aucune contestation.— Oui monsieur. Je vous suis.
Arrivés chez Marc, le jeune homme dit à Margaux :
— Margaux, tu n’es qu’une petite chienne, tu n’as pas le droit de marcher debout dans ma demeure. Tu ne te déplaceras qu’à quatre pattes.— Mais je...— On ne discute pas ! Tu vas devoir être punie ma belle, j’espère bien que ça te servira de leçon pour la suite...
Aussitôt il enleva sa ceinture, déchira le débardeur de Margaux, qu’elle avait si minutieusement choisi afin de plaire à Marc, et donna un premier coup sur ses seins. Elle cria et tomba à genoux. Elle allait ouvrir la bouche quand elle prit un second coup sur la poitrine. Elle se mit a quatre pattes, de grosses larmes dégoulinaient déjà sur ses joues roses. Marc retira la jupe de sa soumise, et baissa rapidement le string qu’elle avait pris le soin de mettre. Un troisième coup retentit, et claqua les fesses de Margaux en laissant une trace rouge.
« - Ne t’avise plus de contester un seul de mes ordres, tu es ma soumise, et je suis ton seul maître. »
Sur ce, il se retira et monta les escaliers de sa grande maison. Margaux observa alors où elle se trouvait, les yeux embués de larmes. La maison de Marc devait être immense. Les peintures sur les murs et le mobilier ancien montraient la richesse du propriétaire. Mais après tout, qu’est-ce qu’elle en avait à faire ? Elle était en train de consacrer sa vie à un jeune homme, beau, séduisant. Et de la consacrer à tel point qu’elle devrait souffrir pour lui. Plus elle pensait à lui, plus elle avait peur. Mais en même temps, son sourire charmeur, son corps musclé, sa voix enjôleuse lui inspiraient confiance. Et elle ne savait pourquoi, elle avait envie de se donner totalement à lui. Elle allait souffrir pour lui, elle allait se négliger pour lui offrir tout le plaisir qu’il attendait. Marc redescendit alors les escaliers, tenant une corde dans ses mains.
« - Suis-moi, salope, on va dans la cave. Mais reste bien à quatre pattes. Tu n’es pas digne de faire autrement. »
Voilà Marc qui s’excite, il m’insulte à présent, se dit Margaux. Mais ces mots crus ne firent que l’exciter davantage, et elle alla se caresser le vagin tout en descendant laborieusement les marches en direction de la cave. Une fois en bas, Marc attacha Margaux au mur de sa cave, debout, les bras et les jambes en croix. Marc attrapa alors la jeune fille à la gorge, et lui dit doucement :« - Maintenant, tu vas découvrir ce que tu subiras chaque soir, à partir d’aujourd’hui. Tu vas adorer. »
Margaux n’osait pas regarder Marc dans les yeux. De honte, elle baissait les siens de façon à observer ses pieds.
« - Répond-moi quand je t’adresse la parole, salope !— Oui monsieur, je vais adorer. »
Aussitôt le jeune homme donna quelques claques sur chacune des joues de Margaux, et prit de nouveau sa ceinture. Il retourna sa soumise de façon à mettre ses fesses en avant, et donna une série de coups, arranchant des cris de douleur et de plaisir à la jeune esclave.Enfin il s’arrêta, et posa sa ceinture. Il se baissa pour ouvrir le cul de Margaux et cracha dans son anus, avant d’étaler sa salive. Ensuite il saisit un plug anal pour l’enfoncer brutalement dans le cul de Margaux. Elle hurla se douleur, surtout qu’elle n’avait jamais eu l’occasion d’agrandir ce petit trou, encore jamais percé.Étrangement, elle aimait ça. Elle se sentait totalement abandonnée à son maître, elle allait jouir de façon formidable, et c’etait l’important. Alors Marc fit en sorte d’agenouiller Margaux pour que sa bouche soit au niveau de sa bite.
« - Ouvre ma braguette avec tes dents, puis essaye de retirer mon calecon. Ensuite suce ce qui va en sortir. »
Margaux parvint à obéir à son maître, non sans difficultés, et effectua une splendide fellation à Marc. Celui-ci agrippait les cheveux de Margaux et dirigeait ses mouvements de tête. Souvent il essayait d’introduire entièrement ses 20 centimètres dans la bouche de sa soumise et se retirait au moment où elle avait l’air de ne plus respirer. Finalement il éjacula sur son visage en lui tirant les cheveux. Alors, sans un mot, il remit son pantalon, et se dirigea vers la porte, laissant Margaux insatisfaite. « - Je vais devoir te laisser là cette nuit, je suis fatigué. J’espère que tu pourras t’endormir malgré la position et la douleur. Toutefois cette douleur a intérêt à passer vite, j’espère que tu vas t’habituer... Quelque chose de bien plus gros t’attend... »Il sortit alors, laissant la pauvre jeune fille dans le noir complet, attachée, le cul en feu, le visage rongé par les larmes mêlées de sperme.Mais des larmes de plaisir, de satisfaction. Des sentiments que la douleur et la honte ne font qu’augmenter.
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