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Les aventures de Soumis Sexslave

Chapitre 2

La première punition

SM / Fétichisme
Le temps semblait s’être figé. Thomas essayait d’imaginer ce que Sandra prévoyait pour le reste. Il avait déjà quelques fois vu des films dans lesquels des femmes se faisaient soumettre mais il ne s’était jamais imaginé à leur place. Il se rappela qu’il trouvait souvent cruel ce qu’elle subissait mais ne pouvait s’empêcher de regarder. Elles subissaient des multiples punitions et tortures, mais à la fin elles semblaient heureuses.
Et maintenant il était là, attaché dans un débarras à attendre que Sandra vienne lui administrer la punition qu’elle avait décrété. Lui qui pensait qu’il allait passer la soirée à s’ennuyer en expliquant un cours se trouvait dans cette position. Jusque-là il avait du mal à réaliser ce qui lui arrivait et pourquoi il avait accepté et de surcroît attendait la suite. Il s’attendait à être traité comme ces soumises qu’il commençait à comprendre. Tout ce qu’il espérait était que Sandra lui apprenne de nouvelles sensations.
Le temps passait et les membres de Thomas commençaient à devenir douloureux. Il attendit au loin le bruit des talons de Sandra. Elle ne semblait pas se presser et Thomas guettait l’entrée avec impatience.
Sandra apparut avec un sac en cuir dans les mains. Sur le sac, Thomas distingua les lettres M et S entrelacées. Il se dit que cela devait être les initiales de Maitresse Sandra. Elle le laissa sur une petite table pas très loin de Thomas.
— Alors voici l’heure de ta punition. Es-tu prêt?— Oui Maîtresse.— Pourquoi tu mérites d’être punis?— Je ne sais pas Maîtresse.— Mauvaise réponse. Tu mérites d’être punis par ce que tu as jouit sans mon autorisation. Pour ton erreur je vais prolonger un peu ta punition. Juste un petit détail...
Sandra enleva son string. Depuis le temps il était trempé par sa mouille. Elle dévoila un pubis parfaitement épilé. Elle avait des lèvres charnues suintantes de cyprine. Elle s’assura de récupérer le maximum de mouille sur son string et le porta à la bouche de Thomas.
— Je devrais te mettre un bâillon, mais je ne voudrais pas te priver de Safeword. Donc cela te servira de bâillon, surtout que tu as intérêt à apprécier son goût. Ouvre bien la bouche.
Thomas ouvrit grand la bouche. Sandra le fit descendre pour pouvoir accéder à sa bouche. Il put alors reposer ses jambes pendant un instant. Sandra lui mit son string dans la bouche en s’assurant que sa langue serait bien en contact avec sa mouille. Thomas apprécia le goût légèrement salé et parfumé qui lui remplissait maintenant la bouche. Dès que Sandra eut fini de lui insérer le bâillon, elle le remonta et ses pieds touchaient de nouveau à peine le sol.
Elle s’approcha de son sac et y retira un paddle noir en cuire. Elle se mit derrière Thomas. Il compris alors qu’elle souhaitait lui administrer une fessée comme dans les films qu’il avait vu. Cela lui rappela ses années d’enfance et sa nounou. Un frisson lui parcourut le corps et son sexe semi-mou se redressa. Il s’attendait maintenant à recevoir son premier coup de soumis et il fût fortement surpris quand il reçu d’abord une caresse de cet objet de cuir sur les fesses. Sandra lui caressait les deux fesses avec le paddle. Thomas commença à s’habituer au contact de l’objet quand tout à coup il reçu le premier coup. La douleur lui irradia la fesse gauche. Par surprise il faillit pousser un cri mais le bâillon l’étouffait.
Sandra reprit ses caresses et s’attardait sur la fesse qu’elle venait de frapper. Puis elle donna un coup sur la seconde fesse. Thomas, étant plus préparé, acquiesça celle-ci sans trop se tortiller.
Sandra continua d’alterner caresses et fessées, chaque fois en réduisant le temps des caresses et en augmentant l’intensité des coups. Ses fesses devenaient rouges et la douleur laissait place à une sensation de plaisir.

Quand la couleur de ses fesses atteignit la nuance désiré par Sandra, elle cessa ses coups et fit redescendre Thomas. Ce repos fût de courte durée car elle s’eloigna juste pour chercher des pinces en bois, comme ceux qui sont utilisés pour le linge.
— Normalement je devrais te mettre des vraies pinces à seins, mais pour l’instant ceux-ci feront l’affaire. Je doute fort que tu sois prêt pour plus. Tu les garderas aussi longtemps que tu le peux.
Sandra retira le bâillon de Thomas et plaça une pinces sur chaque tétons. Thomas fit de son mieux pour ne pas laisser échapper de cri. Sandra le remonta de nouveau s’assit sur une chaise qu’elle mit en face de son soumis. Entre ses mains était déposé un fouet, comme ceux utilisés dans les films que Thomas avait vus. Son regard intimidait Thomas. Il lui procurait une sensation de honte, mais il semblait apprécier. Il essaya de baisser les yeux. Sandra lui donna un coup de fouet et l’obligea à la regarder. La douleur au niveau des tétons montait en cresando et au d’un moment Thomas laissa échapper un râle.
— Veux-tu que je t’enlève tes pinces.— Oui Maîtresse. Je ne tiens plus.
Sandra claqua de nouveau son fouet mais cette fois ci sur les tétons de Thomas et fit tomber les pinces. Thomas laissa échapper un cri de douleur, non pas à cause du coup de fouet sur sa peau mais à cause du sang qui retournait dans ces tétons.
— Très bien Salope, observons un peu ces fesses. Très jolie couleur. Dommage que cela contraste avec le reste du corps. Je vais arranger ça.
Thomas reçut un nouveau coup de fouet qui lui parcourut le dos jusqu’au fesses.
— Compte tes coups Soumis. Je vais te donner dix coups. — Un... — J’ai pas entendu. Plus fort— Un...
Au fur et à mesure que les coups tombaient sur les cuisses, le dos et les fesses de Thomas, il les comptait à haute voix tout en laissant échapper des cris.
— Je ne me rappelle pas que tu aies prononcé six et sept. Aller, pour être sûr une autre série de dix coups. Surtout que tu n’as pas atteint la couleur que j’espérais.
Thomas endurant une autre séance de dix coups. Il avait des larmes aux yeux mais s’efforçait de bien compter.
— Très bien Salope. Cela t’apprendra à jouir sans mon autorisation. J’espère que tu as retenu la leçon.— Oui Maîtresse Sandra.— D’accord, on s’occupera de la suite de ta formation tout à l’heure. Es-tu fatigué?— Un peu Maîtresse Sandra.— D’accord je vais te permettre de te reposer.
Sandra le fit descendre et détacha ses membres. À peine au sol elle lui ordonna de se mettre à quatre pattes. Elle lui accrochat une chaîne à son collier de chien et le tirra vers elle. Thomas compris et il la suivit à quatre pattes comme l’animal qu’il était devenu. Sandra lui mit le sac en cuir entre les dents.
— Tâches de ne pas l’abîmer. Il contient encore quelques jouets que tu découvriras bientôt.
Thomas ressemblait ainsi à un gentil chien qui aide sa maîtresse à porter son sac. Sandra le conduisit vers un coin du débarras où se trouvait une cage assez longue mais basse. On ne pouvait s’y déplacer qu’à quatre pattes. Au sol était posé une couverture et une gamelle pour chien contenant de l’eau.
— Pose le sac là et va te reposer. Si tu souhaite te désaltérer, tu as de l’eau dans ta gamelle. Je reviens bientôt.
Elle ferma la cage et s’éloigna. Thomas voulut prendre la gamelle entre ses mains.
— C’est pas ainsi que boivent les chiennes, entendit il derrière son dos. Sandra devait le voir. Peut-être elle avait installé une caméra? La seule chose qui préoccupait Thomas à cet instant était de boire. Il essaya de laper comme le ferait un chien. C’était humiliant mais il semblait apprécier. Pourquoi toutes ses humiliations l’excite?Que voulait dire Sandra pour le reste de sa formation? Tant de questions qu’il se posait quand il essayait de se reposer recroquevillé sur la couverture. Au bout d’un moment il commença à somnoler, lui faisant perdre la notion du temps.
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