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Les aventures de Stéphane

Chapitre 2

Gay
Les aventures de Stéphane Tome 2: Cauchemar ou fantasme?
Chapitre 1
Je marchais, dans cette rafraîchissante nuit d’octobre, dans cette allée, près de chez moi.Mes pensées, allant toutes vers cette nuit où je fus pris par tous ces chiens, où je fus, pour ma première fois, dépucelé par des mâles en chaleurs. Pas les mâles auxquels j’avais pensé, au départ, certes.
Ces souvenirs, vieux de deux mois, hantaient chacune de mes pensées. Ces souvenirs de ce dogue allemand fougueux, me prenant avec passion. Je n’arrêtais pas, depuis ce jour, de me masturber en repensant à cette fameuse nuit. Et ce soir-là, je marchais pour en repenser chaque détails, le long de ce chemin en bordure de forêt. J’y pensais tellement que j’avais traversé tout ce chemin le long d’un champ en pleine nuit, pour me retrouver dans le village voisin.
Il était bien éclairé, mais à quoi bon, il n’y avait absolument personne. J’étais seul, perdu dans mes seules pensées au milieu des rues que je ne connaissaient pas. Pas pour bien longtemps, étant donné qu’un bruit se fit entendre derrière moi. Sûrement des bruits de pas. Je me retournai discrètement pour ne pas attirer l’attention de celui qui suivait chacun de mes pas. C’était un homme, ayant pratiquement ma taille.
Je n’avais pu distinguer son visage dans cette pénombre. Il continuait de me suivre, jusqu’à un croisement dans une petite ruelle que je pris pour lui échapper. Et comme un parfait idiot, je me retrouvai au fond d’une impasse, entourée de mur et de grillages. Je me retournai pour rebrousser chemin, mais il était trop tard. Il se tenait là, devant moi, à l’entrée de cette ruelle sombre, me bloquant le passage. Je reculai doucement, sans un mot, tout en plongeant mon regard dans le sien, effrayé à chacun de ses pas qu’il faisait dans ma direction.J’étais maintenant acculé contre le mur du fond. Il s’arrêta devant moi, à quelques mètres, me reluquant de la tête aux pieds. Il s’avança, à nouveau, pour se retrouver maintenant au plus proche de moi. Je pouvais entendre sa respiration, mais son visage restait caché dans la pénombre de sa capuche. Il était en jogging, chaussures de sport et sweat, les mains dans les poches et m’observait avec attention.
J’étais figé par la situation et ne sachant quoi faire, je lui dis, d’une voix cassée :
— « Qu’est ce que vous voulez... ? »
Il répondu d’un ton autoritaire :
— « Vide tes poches, j’veut ton fric..., magne toi ! »— « Mais, j’ai rien du tout, j’ai pas d’argent ! »— « Tu t’fous de ma gueule ? Tu te payes des fringues "classe" et ta pas de blé ? »— « Nan, je vous assure, j’ai rien du tout ! »
Sur mes mots, il marmonna de petites injures, en s’énervant sur place.Il se replaça, face à moi, se mit à me regarder à nouveau de bas en haut, en me disant :
— « Alors, file moi tes fringues, si tu veux pas finir la tête dans le caniveau ! »— « Non s’il vous plaît, faites pas ça ! Comment je vais rentrer chez moi ? »— « Soit, tu m’donnes tes fringues ! Soit, j’te casse la tête et je les prends moi-même, à toi de choisir ! »
Sur ces paroles, je n’avais d’autre choix que de me soumettre. Je commençai par retirer ma veste qu’il m’arracha des mains quand je la lui tendis. Il la posa sur un container à coté de lui et me refixa du regard, comme pour me dire de continuer.
Je retirai le reste de mes vêtements et à la vue de son jogging, je ne devais pas le laisser insensible. Une fois en sous vêtement, il se mit à me contempler, en pressant, d’une de ces mains, la bosse dans son jogging. Il faut dire que mon corps était sacrément bien fait, mais pas dans le sens viril. J’étais galbé, taillé dans un corps aux courbes sensuelles, féminines des plus aguicheuses pour la gente masculine. Une peau blanche rosée, totalement imberbe, des pieds et des jambes fines, un cul bien développé, rebondi. Un corps ni trop musclé ni gras, ni maigre, juste ce qu’il fallait. Des bras et des mains douces aussi fines que mes jambes. Et un visage câlin au yeux, d’un noisette clair avec de petits reflets verts. Une coupe brossée, de cheveux blond foncé et une bouche pulpeuse à souhait.
Avec un corps pareil, je m’amusais souvent à me photographier dans des positions sensuelles pour aguicher les hommes "bi" et homos sur les forums internet. Certains pensaient que j’étais une femme qui leur faisait un canular, d’autres, en voyant, sur certains clichés, mon sexe en érection, n’en croyaient pas leur yeux et inondaient ma boite mail de messages de rendez vous et de plans cul sans lendemain. J’adorais être désiré par tous ces hommes, c’était un fantasme d’exciter et de satisfaire tous ces mâles et au vu de mon agresseur et de mon effet sur lui, sa continuait dans ce sens.
Il s’arrêta un moment de fixer mon corps et me dit d’un ton plus posé :
— « Enlève tout, même ton slip ! »
Je ne discutai plus et retirai mon slip sous son regard avide. En rougissant, il me le prit des mains, comme le reste et put m’admirer à nouveau, le sexe en semi-érection, me croisant les bras sur mon torse pour me protéger de la petite brise fraîche et de ma nudité comme une petite pucelle effarouchée.
— « La vache, si je m’attendais à ça ! Si t’avait pas une queue, j’aurais pu te prendre pour une gonzesse ! T’est sacrément bien gaulé, ma parole ! T’as quel âge ? »— « J’ai 17ans... ! »— « Et tu t’appelles ? »— « Stéphane... ! »

Chapitre 2

— « Bien, bien, bien..., étant donné que tu ne m’a pas donné ce que je voulais, va falloir que tu payes ! Tes vêtements ne me suffisent pas ! »— « J’ai rien d’autre, je vous le jure, j’ai plus rien, vous m’avez tout pris ! » Lui dis-je, sur un ton implorant.— « Au contraire, moi j’crois que t’as autre chose pour moi... ! »
Sous ces mots, il s’approcha de moi, colla son sexe bandé contre ma cuisse, en me chuchotant sur un ton menaçant :
— « Si tu gueules, t’est mort ! c’est clair ? »— « J’dirais rien, je vous le jure ! »
Il passa sa main dans mon slip et me massait les couilles en respirant mon odeur, mon parfum, à pleine narine.il passa son visage dans mon cou, me posant de petits baisers délicats, en posant sa deuxième main sur une de mes fesses. Cette position me fit bander comme un âne. Je ressentais un plaisir honteux, incontrôlable, au toucher des mains de cet inconnu. Il prit, à pleine main, une de mes fesses galbées et la pétrissait à pleine main, tout en effleurant, de son index, mon petit trou. Il déposait de tendres baisers sur ma joue, douce et rose et continuait à se branler de son autre main. Il me murmurait de petites indélicatesses à mon oreille, à propos de mon physique, avant de me dire :
— « Allez ma belle, je vais pas tout faire ! Mais-toi à genoux ! »
Je m’exécutai et me mis à genoux, lentement, devant lui, devant son jogging devenu serré.
— « J’ai pas besoin de te faire un dessin ma belle ! Déballe ton cadeau ! »
Je sortis, de mes deux mains, son gros sexe, mesurant au moins une vingtaine de centimètres, assez large et dur comme du bois. À ma grande surprise, elle était propre, sans poil et sentait bon le bain-douche. De mes mains inexpérimentées, je le branlais et portai à ma bouche, son gros gland enflé et violacé. Il se mit à gémir sous mes coups de langues et de mes lèvres pulpeuses. Je faisais de lents va et vient le long de sa verge, en calant bien son gland contre mon palais. Seule, ma bouche dirigeait et s’occupait de son dard à présent. Mes mains s’attelaient, quant à elle, à masser ses couilles bien pleines.
— « Putain... Ahhh..., arrête ! Tu vas me faire gicler ! »
Je m’arrêtai et reculai mon visage de son sexe en le regardant.
— « T’as failli me faire venir ! La vache, t’as dû faire ça, souvent, pour sucer de cette manière ! »
Je ne dis rien, légèrement rougi de honte, je baissai la tête. Je n’osais pas lui dire que je m’étais déjà exercé sur des verges en silicone dans mon lit. J’essuyai mes lèvres de sa semence qui avait légèrement perlé du bout de son gland. Il me fixait, sa queue béante, chaude, dressée devant mon visage. Il me plaça, sans que je ne m’y oppose, pour la suite à venir, le ventre et le visage face au sol, le cul en l’air. Je tremblais de peur de ce qui allait m’attendre. Recevoir, dans mon cul, cette queue d’un parfait inconnu, en position du missionnaire en pleine rue...N’importe qui, passant par là, pouvait nous voir et assister au spectacle.
Je me mis à sursauter quand je sentis sa langue contre mon cul. Il me donna de petits coups de langue frénétiques sur mon petit trou, en palpant vigoureusement, de ses 2 mains, mes fesses qui rebondissaient à souhait, comme une actrice porno siliconée. Il me bouffait littéralement le cul, ce qui me faisait bander d’avantage. Il finit par se relever, plaça son gland à l’entrée de mon cul et se pencha à mon oreille.
— « T’inquiète pas ma belle, ça va te plaire ! Une beauté comme toi, ne peut que aimer à donner du plaisir ! »
Il enfonça lentement sa pine en moi, centimètre par centimètre. Je voulais gémir, mais il plaça sa main devant ma bouche pour étouffer mes plaintes. Une fois enfoncée au maximum, il commença à me culbuter en cadence, en m’arrachant, à chaque passage, un petit gémissement. Je pleurais sous ses profonds et intenses coups de butoir qu’il m’infligeait. Je me crispais sur le béton devenu chaud. Mes mains et mes pieds se recroquevillaient, tandis que des bruits de succions se faisaient entendre de mon cul. Il me martelait, rapidement, en pinçant mes tétons, donnant de petit coups de langues sur mes joues, murmurant des insanités à mon égard. "Salope, petite garce..." ! J’avais le droit à toutes les injures imaginables.
Il se retira violemment de mon orifice et me plaça frénétiquement sur le dos. Il plaça, de force, dans ma bouche, un bout de tissu, en me disant qu’il était dommage que ce ne soit pas une queue. Il prit une mes douces et frêles cuisses dans un de ses bras et recommença à me marteler le cul. Il caressait ma cuisse sur tout sa longueur, en déposant des baisers langoureux sur mes tétons et mon torse. Une de mes mains se plaça à l’entrée de mon cul, comme pour sentir ce chibre me pénétrait et la deuxième, agrippait le dos de mon violeur. Il m’embrassait, contre mon gré, palpant, de ses lèvres, les miennes, insinuant sa langue dans ma bouche. Il léchait chacune de mes lèvres pulpeuses en m’enculant toujours aussi intensément. Mon sexe dur et tendu claquait contre mon ventre et éjaculait sans même que je ne le touche.
Il se retira enfin de mon anus et à ma grande surprise, quand il présenta sa queue à mon visage, il retira une capote violette de sa pine. Au moins je me réconfortais à l’idée qu’on s’était protégé. Il poussa de petits râles en se plaçant à genoux, devant moi. Sa pine dans ma bouche, il se contractait et giclait par saccades. Le liquide salé inondait ma bouche, dégoulinait sur mes lèvres. J’avalais ce que je pouvais de ce liquide chaud, sans menace de sa part, de ma propre volonté. Il termina en essuyant sa pine sur mon visage, sur mes lèvres et déposa un tendre baiser sur ma joue en me disant :
— « Il ne s’est rien passé ! N’oublie pas ça ! Et..., merci ma belle, si ça ta plu, repasse me voir ! »
Sur ces derniers mots, il partit avec mes vêtements, me laissant là, allongé, en pleine nuit, le cul en feu et la bouche maculée de sperme. Je me relevai avec difficulté, tenant à peine sur mes jambes. Je sortis de cette impasse et le voyais au loin, mes vêtements dans ses bras, me faire un au revoir. Je pressai le pas, en titubant, pour rejoindre ma maison à travers le chemin de forêt. N’ayant plus de force, ma vision devenait trouble, je m’enfonçai à travers la forêt dense, pour m’écrouler dans les feuilles d’un trou, le cul douloureux, le goût de la semence dans ma bouche. Je m’endormis là, paisiblement, rassasié. Cet inconnu ne le savait pas, mais il avait réalisé un de mes plus grands fantasmes.
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