A dix heure, on sonne à la porte. C’est Hervé.-Bonjour, dit-il, çà va, Sylvie a été sage.-Bonjour, répond Francine. Elle a été très sage. Elle est couchée avec Guy. Elle a pris des coups de queues toute la nuit. Vous l’auriez entendu crier de plaisir. Elle aime le sexe. Je crois qu’ils ont remis çà.Hervé reste cloué sur place. Le ciel lui tombe sur la tête.Sa femme qui baise avec son directeur.-Elle a fait çà? Dit Hervé, mon dieu, elle m’a trompé.-Faut pas lui en vouloir, le console Francine.Elle vous aime vous savez. Elle a voulu se faire plaisir.-Je lui en veut pas, répond Hervé. Tant mieux pour elle si elle en a profité. Mai quand même.Sylvie sort de la chambre vêtue d’un peignoir qui lui arrive à mi-cuisse. Guy l’a suit en caleçon.-Mon chéri, dit Sylvie, çà me fait plaisir de te voir. Vite, embrasse moi. Hum, que je t’aime.-Tu as l’air fatiguée, fait remarqué Hervé, tes yeux sont tout cernés.-Si tu savais, salive Sylvie. Je me le suis fait mettre toute la nuit. Tu as un directeur du tonnerre. Si tu le voyais au lit. Oh la la. Mais je te raconterai tout çà mon amour. Bon, je vais prendre une douche.-Moi aussi, dit Francine. Nos hommes doivent avoir des tas de choses à se dire. Puis on pourra se gouiner, murmure-t- elle à l’oreille de Sylvie.Une fois seul Guy et Hervé font le point sur le travail, puis la conversation s’oriente sur la relation entre Guy, et Sylvie.-C’est un accident, dit Guy. On avait bu, et on s’est laissé emporter par l’alcool. Mais vôtre femme en voulait.je n’ai pas pu résister. Comme elle est belle. C’est un super coup au lit. Vous devez pas assez la satisfaire.-Vous l’avez rendue heureuse?, Elle le mérite, avoue Hervé.C’est vrai que je suis pas très doué sexuellement.La discussion est interrompue par les cris de plaisirs.-Comme tu me gouines, salope, dit Sylvie, tu joue avec mon bouton là, ha...ha.., oui..oui.-Régale toi, petite lesbienne, répond Francine. tu sens comme je te tiens par le clitoris. Vas- y, joui.-Que c’est bon, soupire Sylvie. Tu crois que Guy voudras me baiser encore? Tu lui demanderas? S’il te plait.Au bout d’une heure, les deux femmes apparaissent, toute maquillées, un sourire éclairant leur visage, ravies.Hervé ne reconnait plus sa femme.
Les couples s’habillent pour aller faire un tour en bord de mer. Sylvie prend le bras de son mari, et lui raconte sa nuit.-Quel amant, mon chéri. Jamais mon corps n’a connu çà. Il est increvable. Une queue énorme. Il m’a fait jouir six ou sept fois. Et les pipes que je lui ai taillées.-Tu envisage la séparation? Demande Hervé.-Pas du tout, mon amour, tu reste l’homme de ma vie. Je t’aime trop. Mais, es-tu prêt a accepté quelques petites concessions. Que je passe la nuit avec lui une fois par semaine. Demande Sylvie.-Et si je refuse, reprend Hervé.-J’arrête là nôtre relation, répond Sylvie, et je rentre avec toi. Je veux pas te perdre.-Moi non plus je veux pas te perdre, dit Hervé. Mais je veux pas te sentir malheureuse. Si çà se résume à une fois par semaine, j’accepte.Sylvie saute au cou de son mati, et l’embrasse farouchement.-Tu es un amour, poursuit-elle. Je vais bien m’occuper de toi en rentrant.-Et pourquoi pas ce soir? demande Hervé.-Non, pas ce soir, répond Sylvie, j’ai promis a Guy de m’offrir à lui cette nuit.Le soir, après le repas, les couples s’installent sur le canapé. Sylvie tient la main de Guy. Il est minuit.Elle se penche sur lui, et lui murmure à l’oreille. Guy fait un signe de la tête. Ils se lèvent tout les deux.-Bonne nuit vous deux, dit Sylvie.Guy la prend par la taille, et l’entraine vers la chambre.Francine et Hervé se regardent.-Vous voulez voir vôtre femme en train de se faire donner?Demande Francine. Vous pouvez l’entendre aussi.-A bon, répond Hervé. Au point ou j’en suis, je crois que je peux tout supporter. J’aimerai bien la voir se faire prendre par un autre homme, l’entendre crier.-Laissons les se mettre en place, ajoute Francine.Ils s’installent dans le réduit. Francine met tout en route.Le spectacle est hallucinant. D’une beauté érotique à coupé le souffle.Hervé est stupéfait.Guy est couché sur le dos. Sylvie est empalée sur sa queue, le corps cambré en arrière, seins tendus.-Regarde mes bouts comme ils sont gros, gémit Sylvie.Caresse les s’il te plait.Guy saisit les bouts, et les fait rouler entre ses doigts, accélérant les gémissements de sa maitresse.-Oh mon dieu, dit-elle. Un bon coup de queue le soir, l’amour toute la nuit, et un bon coup de queue le matin.C’est pas beau çà.-C’est moi qui te rend vicieuse comme çà? Demande Guy.-Bien sur, répond-elle, en plus tu m’as fais découvrir comment me servir de mon corps. Entend comme tu me fais crier. Salaud, ha...ha...hou..oui..je joui, ouiii.Guy l’a fait basculer, la positionne à genoux, les fesses bien ouvertes.-Je vais te prendre en levrette. Tu aimes çà, hein? Dit-il.-C’est ma position favorite, Ajoute Sylvie. Mais il en a d’autre.Francine tend une main vers l’entre jambe d’Hervé.-Oh la, mais c’est bien raide, remarque-t-elle. Il faut la calmer. De voir vôtre femme se faire niquer vous excite.-Regardez comme elle est belle, dit Hervé, comme elle se régale. Occupez vous de moi, s’il vous plait.-Je sais que vous aimez les branlettes. Alors, allons-y.Francine passe derrière Hervé, lui quitte son bermuda.Elle joue avec le prépuce, lui tirant dessus. Les testicules aussi sont mises à mal. Une vrai sadique. Hervé gémit.-Allez, dit Francine, maintenant, tu vas gémir de plaisir.Elle le décalotte doucement, et fait des va et viens sur le gland avec la peau, puis prend la bite à pleine main et lui tape une queue.Hervé ne tient plus. De voir sa femme se prendre par son directeur, le fait éjaculé en cinq minutes.-Ha, crie-t-il, je crache, voyez ce que vous m’avez fait, et là, qu’est-ce-que vous me faites. aie..aie.Francine gratte le méat du bout d’un ongle. Puis elle appuie sa tête sur les épaules d’Hervé. Pendant qu’elle le branlait elle avait glisser l’autre main entre ses jambes pour se doigter.De l’autre côté du miroir, les deux amants sont toujours en action. La prise en levrette les a fait jouir ensemble.-Mai, tu m’encule maintenant, soupire Sylvie. Oh mon amour quelle nuit je suis en train de passer, vas-y, nique moi fort. J’aurai du demander à mon mari de venir voir comme tu t’amusais avec sa femme. D’abord, à partir d’aujourd’hui je veux être ta pute, ta soumise, tu veux bien?-Non, répond Guy, je n’est pas le droit de faire çà.Sylvie va se le faire mettre jusqu’au milieux de la matinée.Hervé et Francine ont fait l’amour une paire de fois.Comparé à Guy et Sylvie, c’est dérisoire.Dans l’après midi, Hervé et Sylvie s’apprêtent à partir.Sylvie, les larmes aux yeux, embrasse Guy amoureusement sur la bouche. Elle en fait de même avec Francine. -J’ai mis un dvd de tes ébats amoureux dans ton sac. Un jour de cafard, tu pourras les visionner toute seule.-A, mais je veux que mon mari les voit aussi, il prendrades leçons de la part de son directeur.Les deux hommes se serrent la main. Sylvie s’avance de Guy.-A bientôt mon amour. J’espère que serai pas enceinte.
