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Les aventures de Thérèse

Chapitre 7

SM / Fétichisme
DEBUT DE L’ACTE 7Au petit matin je me réveillais dans une position plus qu’inconfortable. En fait, pendant mon sommeil, mes tourmenteurs m’avaient arrimée, pliée en deux, nue, sur une grosse bille de bois. Des bracelets fixés sur mes chevilles et mes poignets étaient reliés au sol par des anneaux et maintenaient mes jambes et mes bras écartés au maximum. Pour parachever le travail ma tête était maintenue à l’horizontale par un tabouret qui relevait mon menton. Vue de haut, je ressemblais à une tortue…Dans cette position, mon sexe et mon anus étaient entièrement disponibles d’autant qu’un évidement avait été pratiqué dans le billot de bois pour libérer l’accès complet à mon sexe.Au bout d’une longue attente, car je ne savais pas à quelle épreuve j’allais être soumise, une porte s’ouvrit et j’entendis une voix dire : Allez Brutus c’est ton heure ! puis un glissement, et soudainement mon cul fut léché par une langue râpeuse,… Horreur ! Brutus était un chien et je compris alors que j’allais franchir une autre étape de ma déchéance, la zoophilie, à laquelle j’avais échappée jusqu’à présent.La voix s’adressait alors directement à moi : A partir d’ujourd’hui vous allez faire connaissance avec de nouveaux amants merveilleux qui vont distendre votre bouche, votre sexe et votre anus. Avec eux pas de risque de vous retrouver enceinte – un ricanement ponctuât ces propos !Des amants ??? Que voulait-il dire ? J’allais être violée par plusieurs animaux ? Pendant ce temps de réflexion Brutus continuait son travail en me léchant. Mon cul et mon sexe étaient couverts de bave, et j’oubliais vite mes craintes car, horreur de la situation, je commençais à jouir sous les assauts linguaux de l’animal. C’est alors que je me rendis compte que Brutus ne serait pas le seul partenaire canin que j’aurai à subir puisqu’un homme, que je reconnus comme étant Jean, mon maître, dirigea vers ma tête un doberman dont le sexe était déjà sorti de son fourreau, – il avait probablement été excité au préalable, – et s’aidant de sa main il m’ordonnait de l’avaler et de le sucer… Pour manifester mon refus de cet acte ignoble, je fermais la bouche mais, mal m’en pris, car je reçu immédiatement une volée de coups de fouet sur mon dos. Je compris alors qu’il ne me restait qu’une issue pour échapper à cet atroce châtiment, avaler la queue énorme du doberman qui confondant ma bouche avec le sexe d’une des ses congénères commençait à s’enfoncer au fond de ma gorge manquant de m’étouffer à chacun de ses assauts.Je vis le nœoeud commencer à se former à la racine de son sexe et je pris soudainement peur de mourir étouffée si le doberman le faisait entrer dans ma bouche en accentuant sa poussée. Maître Jean en prit conscience et, tirant brutalement sur la laisse du chien, il fit en sorte que son sexe fut retiré de ma bouche. Le chien frustré fut conduit alors près de Brutus qui continuait à me lécher. La force du doberman étant plus importante que celle de Brutus, celui-ci fut repoussé. Le doberman prit sa place pour me lécher mais, compte tenu de sa frustration et de l’excitation que déversait mon sexe, il ne mit pas longtemps à monter sur moi comme si j’étais sa chienne. La position dans laquelle j’étais attachée lui facilitait le travail, son sexe cherchait la bonne entrée et je poussais un soupir de soulagement quand je sentis que c’était ma chatte qu’il avait choisi.…Sa pénétration fut brutale et, cette fois, se fut un cri de douleur qui sortit du plus profond de moi-même. Comment moi, Thérèse, j’avais pu en arriver là par amour pour mon mari ? A cet instant j’étais incapable de pouvoir donner une réponse. Le chien avait entamé de longs va-et-vient dans mon sexe en ahanant dans mon dos. J’étais défoncée par son énorme queue dont je sentais la pointe envahir ma matrice, la jouissance vînt alors une première fois alors que le nœoeud de sa bite n’était pas encore entré. Mon amant canin était infatigable et, trouvant un intérêt certain à me monter ainsi, une ultime poussée fit pénétrer l’énorme boule qui terminait son sexe m’arrachant une fois encore un hurlement au passage de celle-ci. Puis son sperme se vida en moi, chaud, en jets interminables, calmant ma douleur et me faisant jouir au-delà du réel. …Je jouissais, oui je jouissais et voulais que cela ne s’arrête pas.… J’étais devenue une chienne moi aussi. Quelque temps après – un quart d’heure peut-être – j’entendis un « plop » et le sexe du doberman sortit de moi. Je crus que c’était fini mais c’était sans compter sur la frustration de Brutus qui, voyant l’espace libéré, vint lui aussi me chevaucher et choisit ma voie étroite pour satisfaire ses pulsions. Il me défonça le cul, fit pénétrer son nœud, me fit crier, me fit jouir, me fit crier de nouveau en se retirant puis il lécha l’anus pour le nettoyer.Puis l’opération se renouvela avec le doberman dans mon cul et Brutus dans ma chatounette. Ces chiens étaient infatigables. J’étais percluse de douleurs, je n’en pouvais plus.Je fus alors détachée de la bille de bois - je réalisais alors que je me trouvais dans l’écurie que j’avais vu lors de mon arrivée – mais pour être installée immédiatement sur un pan incliné posé sur des roulettes rembourré de cuir, sur le dos, la tête en bas, le cul au bord de la partie haute de près de 50 cm, les jambes écartées au maximum et fixées au bas de cet appareil par des cordes. Mon sexe était entièrement libre d’accès.Qu’allais-je encore subir ???Une jeune fille, nue elle aussi, vint alors entre mes cuisses. Elle tenait dans ses mains un pot de lubrifiant et commençait à masser ma chatte avec le contenu de celui-ci. Ses mains, douces, me faisaient un bien énorme après les violences que j’avais subies. Elle en profitait pour me titiller le clitoris et m’arracher des gémissements de bonheur. Plusieurs de ses doigts pénétraient mon vagin et tentaient de le distendre. Plus le temps passait plus elle en faisait pénétrer jusqu’au moment extrême où ses deux mains disparurent au fond de mon sexe.« Elle est prête désormais vous pouvez commencer !» Surprise, c’était la voix de mon mari. Avait-il assisté à l’épisode canin ? Je me gardais de lui poser la question sous peine d’être punie sévèrement.Je sentis le pan incliné s’ébranler et je découvris avec horreur que l’on venait de me pousser sous le ventre d’un cheval !Je hurlais : Non je vous en prie ! Pas ça ! Tais toi répondit mon mari, apprécie le cadeau que je te fais par amour pour toi et que tu apprécieras par amour pour moi. La jeune fille, qui était revenue, commençait alors à branler le cheval, puis lui elle lui léchait le bout et, dès qu’il fut prêt, elle prît son gland et lui fit toucher les lèvres de ma vulve. Une fois bloqué sur ma chatte, le cheval sentit son extrémité pénétrant ma muqueuse et sa bite s’enfonçait régulièrement dans ma chatte distendue.J’entendis la voix de Maître Jean commentant l’opération à mon mari : « Là le cheval lui en met entre 30 à 35 centimètres. Il ne pourra aller plus loin car l’équipement sur lequel elle est ficelée ne le permettra pas. C’est une sécurité. Sous les assauts chevalins, une fois l’horreur passée, je me mis à jouir de nouveau. J’étais devenue folle, folle de plaisir, folle de cette bite énorme qui me défonçait. Cette folie je l’exprimais dans mes paroles : Oh oui baise moi ! Oh comme c’est bon ! Comme si le cheval comprenait ce que je lui disais, il redoublait d’ardeur donnant encore plusieurs coups de son mandrin, puis lâchant un hennissement prolongé, son sexe glissa de lui même hors de mon vagin. Il s’en suivit une cascade de foutre qui s’écoulait entre mes cuisses.Terrassée par l’orgasme, après plusieurs convulsions, j’expulsais à chaque fois une quantité de foutre de mon ventre.J’étais anéantie par tous ces coïts bestiaux, je ne bougeais plus…FIN DE L’ACTE 7
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