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Les aventures d’une femme frivole - 1

Chapitre 1

Zoophilie
À l’origine, je pensais écrire une histoire courte, comme une plaisanterie. Et puis, petit à petit, le sujet s’est étoffé tout seul. Alors, j’ai raconté l’histoire du point de vue de la femme, de celui du chien, les pensées du barman et les émois des secouristes.
1) Le récit de la femme : Une femme très séduisante, dans la trentaine, entre dans un bar, tôt le matin, se hisse sur un tabouret, et commande deux alcools forts.
Elle avale le premier d’un trait : "Pour la Honte". Puis l’instant suivant, le second : "Pour la Gloire."
L’établissement vient d’ouvrir, elle est la seule cliente, naturellement le barman s’approche pour s’intéresser à la personne. Il est le patron du bar, il a pas mal d’expérience, cette femme ne ressemble pas aux putes bon marché qui viennent parfois traîner ici, en fin de nuit. Celle-ci a l’air... différente !
Elle a de longs cheveux bruns. Une robe rouge très courte, et très décolletée. Une poitrine ronde, et de belles jambes. Dans cette position, de l’autre côté du bar, impossible de la décrire mieux que ça. Elle est vêtue sexy, mais simplement, pas extravagante ou pétasse. Mais qu’est-ce qu’elle fait si tôt, toute seule, dans son bar ?
Comme elle garde le visage baissé sur son verre, le barman peut la dévisager avidement, et il entend qu’elle marmonne quelque chose avant de vider son godet. La musique d’ambiance, pourtant en sourdine, couvre ses paroles.
Elle commande deux autres coups. Il reste à proximité. Elle boit le premier. "Pour la Honte". Puis le second. "Pour la Gloire"...
Elle voudrait commander deux autres shots, mais d’un geste de la main, le barman l’arrête. Il est tout près d’elle maintenant, elle est penchée en avant, les coudes en appui sur le bar, et son décolleté ne dissimule en rien ses atours.
Elle ne porte pas de soutien-gorge, ses seins sont magnifiques, et le vallon qui les sépare fait saliver le barman. Une pulsion échauffe son sang, ses yeux brûlent de désir, il estime que cette vertueuse personne mérite toute son attention.
— Madame, je ne voudrais pas vous paraître indiscret en me mêlant de ce qui ne me regarde pas, mais je vous vois boire ces verres à une telle vitesse que j’ai un peu peur pour vous. Je n’aimerais pas que vous soyez malade, ou que vous ayez des ennuis à cause de mon insouciance.
Elle lui sourit, mais ce sourire n’est pas très amical. Elle pense qu’elle peut boire beaucoup plus. Mais le bar est vide à cette heure matinale, elle a envie de parler, de se confier, alors elle fait un effort pour être sociable.
Il a noté son changement d’attitude, engage la conversation, se présente en indiquant qu’il est le propriétaire de l’établissement, qu’il vient juste d’ouvrir, qu’à cette heure matinale, il n’y a pas foule, mais que le bar ne va pas tarder à se remplir.
— C’est à vous ?

Elle jette un coup d’œil circulaire. "C’est sympa !"
— Oui, madame. Mais c’est un gros investissement.
Mais une question lui brûle les lèvres : "Qu’est-ce que c’est, cette histoire de Honte et de Gloire ?"
Les verres se remplissent et se vident à un rythme plus paisible, mais dans son état alcoolisé et désinhibé, elle commence à raconter des histoires intimes qu’elle ne divulguerait certainement pas à jeun, surtout à un inconnu.
— Bon, voilà, révèle-t-elle. "Chez moi, j’aime être nue. Surtout pour faire mon ménage." Elle s’arrête pour entretenir son effet et étudier les réactions du barman. Elle perçoit l’intérêt dans son regard.— Voulez-vous entendre mon histoire ?— Oh oui, madame, allez-y, continuez ! dit-il, enthousiaste, en lui versant deux autres verres.— Donc, j’aime faire mon ménage toute nue. Hier, dans la journée, quand je me suis mise à quatre pattes pour attraper mes produits sous mon évier, Max, mon dogue allemand a commencé à vouloir me taquiner. D’abord, il est venu me renifler. J’ai senti sa truffe contre mes fesses, j’ai regardé par-dessus mon épaule, et je lui ai crié dessus.— J’ai continué à m’affairer sous l’évier et brusquement, j’ai senti sa langue râpeuse entre mes... Vous voyez ce que je veux dire ! Ce qui m’a choqué, c’est que j’ai trouvé cela agréable. Il me faisait du bien, alors je ne l’ai pas chassé immédiatement, comme j’aurais dû le faire. J’ai pensé que je pouvais attendre un petit moment, le laisser me faire du bien, avant de réagir. Mais je n’ai pas repris la maîtrise de mes émotions...
Elle a descendu deux autres shots, et le barman a rempli les verres, en lui conseillant de boire plus lentement. Il ne s’inquiétait pas pour sa santé, il voulait juste connaître la suite de l’histoire, et il craignait qu’elle ne s’effondre avant la fin.
Elle l’a juste remercié d’un hochement de la tête, et elle a continué son histoire.
— Il était en train de me lécher, du ventre jusqu’aux reins, des myriades de petites décharges électriques me traversaient le corps, et j’ai juste... eh bien, j’ai juste cambré mes reins pour m’offrir à la caresse de cette langue maléfique. J’ai rejeté toute morale, j’ai fermé les yeux, posé mon front sur le sol, poussé mes fesses vers lui, et je suis entrée dans un pays merveilleux, le pays de mes fantasmes.— Je peux comprendre cela, a déclaré le barman, en essayant de visualiser la scène.— Bon, ce n’est pas une excuse, mais je suis en jachère depuis presque un an. Mon mari m’a quitté pour aller vivre avec un autre homme. D’après mes amis, maintenant, c’est lui qui fait la femme. Vous comprenez mon désarroi...
Elle a vidé son verre cul sec, avant de poursuivre : "Avant que je me décide à chasser mon chien, il m’a grimpé dessus. Peut-être ma position, peut-être mon odeur, mais il a dû penser que j’étais consentante. J’ai senti son sexe dur heurter mes fesses. J’étais persuadée qu’il ne parviendrait pas à trouver mon orifice, mais j’ai décidé de mettre fin à ce jeu pervers."
— Et puis, j’ai eu peur qu’il se trompe de trou. J’ai essayé de fuir, mais il a enserré mes flancs entre ses pattes avant, et m’a maintenue en place. J’ai réalisé à ce moment-là, la puissance et le poids de ce chien, et que cela ne serait pas facile de me débarrasser de lui.— En luttant pour me libérer, moi oscillant des hanches, lui se cramponnant à moi, nous avons commis l’irréparable. J’ai senti... j’ai senti son pénis glisser entre mes... mes lèvres, et il s’est partiellement logé dans mon vagin.
Elle s’arrêta, avala une autre gorgée, et son regard devint vitreux.
— Oui, madame, continuez, je vous écoute.
Il commençait à comprendre d’où venaient la Honte et la Gloire, mais il avait peur qu’elle ne soit pas en état de terminer son histoire.
— Hé bien, il a réalisé qu’il était au bon endroit, et il a enfoncé son... son truc ! Je n’avais jamais rien ressenti de tel auparavant, il est entré si brutalement ! C’est un très gros chien, je veux dire... grand et gros... partout !— Ce doit être la honte, a déclaré le barman, les yeux écarquillés, essayant de visualiser cette femme magnifique en train de se faire saillir par un gros chien, et toutes ces choses qui vont avec...— Non ça, c’était la Gloire, a-t-elle répondu. Ses yeux plissés semblaient revivre la scène. Un frisson indiqua qu’elle ressentait les émotions qui l’avaient assaillie. "Il est très grand, il est allé très profond, beaucoup plus que... Et puis très gros, très épais, il me remplissait si totalement, m’étirait..." Son regard brillait à ce souvenir.

Elle but une autre gorgée, le regard dans le vide, avant de continuer, mais son élocution devenait pâteuse. Le barman a eu peur qu’elle ne puisse pas poursuivre, alors il lui a offert un café.
— Peut-être devrais-je m’expliquer un peu mieux. Je n’ai connu qu’un homme dans ma vie. Mon mari. Il m’a conduite vierge à l’autel. Et ce n’était pas un étalon. Je le sais parce que j’ai discuté de ses performances avec mes amies, et justement, ses performances... Enfin, bon, tout ça, c’est du passé !— Ça fait longtemps qu’on ne m’a pas pénétrée, j’étais très excitée, et la vigueur de ce chien... J’ai été satisfaite, très satisfaite, plusieurs fois...
Le barman n’en croyait pas ses oreilles, qu’elle accepte de se confier ainsi, à un inconnu... Peut-être même justement, parce que c’était un inconnu... Et il voulait l’encourager à continuer : "Le chien vous a fait jouir ? Mince, c’est super !"
Elle le dévisagea, méfiante, évalua qu’il ne se moquait pas d’elle, et décida de continuer.
— Et en plus, pendant que j’exultais, mes spasmes me faisaient m’agiter sous lui, alors le chien a cessé de pomper, et m’a juste maintenue en place. Mais sa bite n’arrêtait pas de lancer de petits jets de sperme en moi, tout le temps. Il semblait qu’il pouvait jouir éternellement. Je pouvais le sentir gicler et palpiter en moi, ce qui ajoutait à mon émoi.— Hum, éructa le barman, essayant de se racler la gorge nouée par l’émotion. Il essayait de paraître sympathique, mais l’excitation de sa voix commençait à le trahir : "Je peux comprendre la Gloire, mais qu’en est-il de la Honte ?"

La femme rougit en baissant la tête. "Pendant que je pantelais sous lui, un truc énorme a sauté en moi. J’ai regardé entre mes jambes, la base de sa bite avait gonflé et cette grosseur était entrée en moi. J’étais déformée au-delà de toute raison, et j’étais maintenue prisonnière, attachée et enfermée par sa mâle ascendance."
— Le problème est survenu quand il a voulu s’échapper. Il est descendu de moi, s’est tourné, et il a voulu s’en aller. Mais nous étions verrouillés par son nœud. Il m’a traînée derrière lui. C’était horriblement douloureux, j’avais l’impression qu’il allait me retourner la vulve à l’extérieur. Alors, j’ai cessé de résister, et je l’ai suivi en rampant en marche arrière.
Le barman bandait en écoutant son récit. Dans sa jeunesse, en vacances à la ferme, il avait vu des chiens s’accoupler. Il savait que le mâle, une fois qu’il avait fait son affaire, se désintéressait de la femelle et cherchait à s’éloigner, entraînant bien souvent la femelle gémissante derrière lui.
— La Honte, c’est quand il m’a traînée dehors, dans la cour, devant ma maison. Un attroupement s’est rapidement formé. Des hommes, qui se rinçaient l’œil, mais aussi des femmes, qui m’insultaient. Je gigotais en gémissant, essayant de me libérer, sans comprendre pourquoi les lèvres de ma chatte s’accrochaient aussi fermement au nœud du chien.— Je n’avais rien pour me couvrir, je ne trouvais pas le moyen de me libérer du nœud du chien, les gens ricanaient en se moquant de la salope qui s’accouple avec un chien en pleine rue, sans comprendre que j’essayais juste de me dégager de son emprise.
Elle secoua la tête avec tristesse, dégoûtée par le manque d’aide et de charité de ses congénères, et but son verre d’un trait.

La suite était inévitable. Ils ne pouvaient pas se libérer tant que le chien restait avec son nœud gonflé. Mais le nœud, gorgé de sang, était emprisonné dans la chatte de la femme, et ne pouvait pas se vider, et dégonfler. Et la chatte de la femme, terrorisée par l’environnement, se contractait fermement autour du sexe qui était enfoui en elle.
De plus, le chien, en tirant vigoureusement pour se libérer, augmentait l’angoisse de la femme, à qui la douleur faisait redouter des séquelles graves. Il fallait attendre que la nature fasse son œuvre, peut-être un seau d’eau froide sur le dos du chien, plus probablement une couverture pour dissimuler et réchauffer la femme. En tous les cas, l’attroupement et les quolibets des mégères n’aidaient pas.
Mais le spectacle d’une femme nue, prisonnière d’un chien bien membré, en pleine rue, attirait du monde.
Elle avait tout bu et ne semblait pas vouloir continuer son histoire. Le barman a rempli les verres. "Offert par la maison, madame. Maintenant, dites-moi, comment vous êtes-vous libérée ?"
Elle prit le temps de mouiller sa bouche avec une gorgée d’alcool en regardant le visage du barman. Elle était totalement désinhibée maintenant, et ses mots, quoiqu’un peu déformés par l’alcool, coulaient à flots.
— C’était de pire en pire. Les gens s’agglutinaient et se pressaient autour de moi. Ils scrutaient mon intimité avec des commentaires désobligeants. Ils m’insultaient, certaines femmes me crachaient dessus, et essayaient de me frapper avec leurs sacs à main. Là, j’étais complètement désemparée et je ne luttais plus, totalement sous l’emprise du chien.— Quelqu’un a dû appeler les secours, et une ambulance est arrivée. À moins qu’ils passaient par là. Deux hommes en sont descendus. Au début, ils se sont contentés de regarder. Les gens continuaient de ricaner. Puis un gars a dit qu’il savait quoi faire pour calmer le chien, et il l’a aspergé avec un seau d’eau.— Le chien a eu peur. Il a commencé à me traîner plus fort en essayant de s’échapper. Les gens trouvaient ça drôle de me voir me tortiller en hurlant de douleur. Mon chien m’a traînée sur l’herbe, jusque dans la cour arrière. J’étais contente d’échapper à la foule.— Certains pervers ont essayé de nous suivre, mais les infirmiers les ont empêchés. Peu importe, soit son nœud s’est dégonflé, soit ma chatte s’est élargie, parce que j’ai été libérée du chien. J’ai ressenti une délivrance, comme lors d’un accouchement, et puis j’étais épuisée.
Le barman bandait comme un âne, et ses yeux écarquillés dévisageaient la jeune femme.
— Je suis restée par terre, recroquevillée en chien de fusil, assaillie d’émotions diverses. La honte, la douleur, la peur d’être blessée dans mes chairs, mais aussi un assouvissement, une béatitude, et de la reconnaissance pour ce mâle qui m’avait révélé le plaisir. Parce que jusqu’alors, j’étais frustrée. Je n’ai jamais été aussi contente d’avoir un sexe qui se retire de moi, et en même temps, j’aurais aimé qu’il puisse durer éternellement.— Ensuite, mon chien s’est assis à côté de moi pour se lécher la bite. Je l’ai regardé. Il était si gros et si rouge. Il faut voir ça, je ne pouvais pas le croire. Il était si énorme, qu’il ait pu mettre tout ça en moi. Je frissonnais de fierté. Si nous avions été seuls, à ce moment-là, je crois que je l’aurais sucé !
Elle soupira et regarda le barman dans les yeux : "Il restait dur, et raide. Pas comme un homme qui redevient flasque tout de suite. J’avais envie de lui faire plaisir, de lui montrer ma reconnaissance. Sa bite, c’était vraiment un truc à voir !"
Lorsque le barman a demandé : "Dites m’en plus" en hochant la tête, elle a continué : "Sur sa bite ?" Le barman acquiesça.
— Sa bite est légèrement conique, pas pointue, car la face avant est plate. Ce n’est pas arrondi comme pour un homme, et il n’a pas de gland. Il y a juste un petit tuyau, très court, là où le sperme jaillit. D’ailleurs un liquide clair continuait de sourdre pendant qu’il se léchait.
Le barman insistait : "Son nœud ?" Mais elle ne pouvait pas répondre, le nœud s’était résorbé. Elle restait songeuse, comme anesthésiée, revivant la scène. Le barman avait cessé de remplir les verres, car sa tête commençait à dodeliner.
— Madame ? Terminez votre histoire, s’il vous plaît, je voudrais entendre la suite. Étiez-vous toujours allongée ?
Elle secoua négativement la tête : "Non, je regardais mon chien se lécher la bite et la présence des secouristes m’ennuyait. Alors, je me suis agenouillée, le nez au ras du sol, en leur demandant d’examiner ma blessure. Je pensais qu’en leur demandant de s’occuper de ma chatte, ils me laisseraient m’occuper de mon chien."
— Mais ils m’ont jeté une couverture sur le dos et m’ont aidée à rentrer chez moi. J’étais dans un tel état de choc que je n’avais pas pensé à me couvrir. Ils m’ont aidée à m’allonger sur le canapé pour m’examiner. L’examen a été long et minutieux. Ils m’ont fait replier les jambes et écarter les cuisses pour bien voir.— Je n’avais plus aucune pudeur. Ils me touchaient, mais je ne ressentais rien, sauf quand ils ont mis leurs doigts à l’intérieur...
Le barman a demandé : "Ils avaient des gants ?" - "Non, je ne crois pas..."
Le barman a insisté : "C’était des médecins ?" - "Non, sûrement pas, juste des infirmiers..."
— Je n’y pensais pas à ce moment-là, mais ces hommes se sont bien amusés avec ma chatte. En même temps, il faut les comprendre. Ils devaient penser que j’étais juste une salope qui se donne du plaisir avec son chien. Et moi, j’étais trop perturbée pour réagir. Je ne comprenais pas comment un truc aussi volumineux avait pu entrer en moi.— J’étais en pleine extase, je ne me suis aperçue de rien, j’ai réalisé quand le nœud était en moi, mais je ne l’ai pas senti entrer. Je suppose qu’il a dû enfler en moi, car le chien n’aurait jamais pu pousser ça en moi. Je me demandais quelle taille cela avait, combien de temps cela aurait pu durer, si j’avais été blessée, tout ça...— Et je me fichais complètement de ce que ces gars trafiquaient entre mes jambes. La seule chose qui m’importait, c’était mon chien, qui était resté dehors. J’ai eu peur pour lui, j’ai réclamé mon chien, ils l’ont fait entrer. Le chien s’était calmé, son pénis était rentré dans son fourreau, il est allé se coucher sur son tapis.— Madame, expliqua le barman. "Les chiens ont un os à l’intérieur de leur pénis. C’est juste dans la tige, ce n’est pas relié au reste de leur corps, afin qu’il garde une certaine souplesse. C’est pourquoi il peut s’agiter librement, par exemple quand il le lèche. Cet os aide le mâle à être suffisamment rigide pour pénétrer la femelle. Ensuite, le pénis enfle à l’intérieur de la vulve, et c’est à ce moment-là que le nœud se forme, pour verrouiller l’ensemble. C’est pour être sûr d’inséminer la femelle."— Merci de m’avoir expliqué comment fonctionne le pénis d’un chien. Je ne le savais pas. Vous devez avoir raison, car le pénis de mon chien crachait son sperme après qu’il m’ait emprisonnée, je pouvais le sentir palpiter et gicler en moi. Il avait arrêté de pomper dans ma chatte, et se contentait de me maintenir en place.— Quand j’ai vu ce gros nœud rouge jaillir hors de moi, je savais très bien qu’il ne pouvait pas être là depuis le début. Il n’y avait aucun moyen que cela ait pu entrer en moi, ni aille aussi loin sans me déchirer.
Elle avait l’air triste. Elle savait que les hommes détestent quand les femmes pensent que leur pénis est trop petit. Maintenant, elle s’inquiétait d’avoir un vagin trop grand.
Le barman se sentait en confiance maintenant, et il estimait qu’il pouvait parler franchement à cette femme qui lui avait révélé tant de choses personnelles sur elle-même : "On dirait que vous avez reçu la baise de votre vie, madame, comme certains se plaisent à le dire."
Elle rougit violemment au lieu de répondre, et lui montra ses genoux : "Mes genoux, mes coudes, sont écorchés. Mes hanches sont pleines de bleus, et toutes égratignées. Et je ne vous parle pas de ma chatte, c’est une horreur ! Mais je ne vais pas me plaindre, j’ai fait un merveilleux voyage, et j’ai découvert des sensations inconnues !"
— Mais les infirmiers insistaient. Ils voulaient vérifier les dommages internes. Je leur montrais mes écorchures, et ils ne voulaient pas s’y intéresser. Seul ce qui se passait entre mes cuisses les passionnait. Alors, allongée sur le divan, j’ai relevé un peu plus mes jambes, j’ai écarté un peu plus mes cuisses, et je les ai laissés tripoter ma chatte.— Ils m’ont fait un peu peur, je dois bien l’admettre. Ils insistaient tellement. Je me souvenais de cette bite, quand elle a jailli hors de moi, de sa taille extravagante, et de sa couleur rouge sang. Et si tout ce sang, c’était le mien ?
Le barman l’interrompit : "Ils vous ont examinée ? Entièrement, ou juste...?”
Elle soupira : "Tout. Je sais ce que vous pensez, oui, même les seins et l’anus. Ils m’ont tous les deux longuement auscultée, autant avec les doigts qu’avec les yeux. Partout."
— Ils disaient que j’étais rouge, et que j’avais les chairs à vif. Qu’ils devaient m’examiner de près pour voir si j’avais des plaies vaginales. Avec leurs doigts, ils écartaient mes lèvres vaginales. Ils me touchaient, me palpaient, même le clitoris. Moi, j’étais dans un état second. J’avais eu mon compte d’émotions et de sensations. Mais je pouvais sentir leurs doigts aller et venir, m’envelopper, me pénétrer...— Alors l’un d’eux a dit que, bien que je sois toute rouge et gonflée, l’extérieur n’était pas déchiré. Ensuite, il a ajouté qu’il devait m’examiner à l’intérieur.
Le barman voulait des précisions : "Puisque ce n’était pas des toubibs, est-ce que ça vous faisait du bien, quand il palpait votre intimité ?"
De nouveau, elle plissa les yeux en regardant le barman, pour savoir s’il se moquait d’elle ou pas.
— Non, enfin je veux dire oui, ça me procurait des émotions. Je veux dire, vous savez, j’étais toute nue, étalée devant ces deux jeunes hommes. L’un avait ses mains sur mes seins, l’autre avait ses doigts dans ma chatte, et je voyais bien les bosses de leurs pantalons.— C’était embarrassant, mais j’étais plus inquiète à ce moment-là des dommages qu’aurait pu subir mon vagin. Il a écarté mes lèvres, et ses doigts m’ont pénétrée. J’ai soupiré et j’ai écarté un peu plus mes cuisses pour lui faciliter l’accès. C’était la première fois depuis des mois qu’un homme me touchait intimement.— Ils ont tous les deux regardé à l’intérieur à l’aide d’une lampe de poche. Ils ont dit que même si j’étais rouge à l’intérieur, ils ne voyaient pas de déchirure. De toute façon, comme ils avaient mis leurs doigts dedans, ils ne pouvaient pas voir grand-chose.— J’ai demandé si je n’avais pas de saignement. Ils ont répondu que ce n’était pas évident à partir d’un examen superficiel, et qu’ils devaient faire des vérifications supplémentaires. Cela ajoutait à ma confusion, j’étais allongée nue, les jambes grandes ouvertes, pendant que des gars me tripotaient l’intérieur de ma chatte.— Vous n’avez pas protesté, madame ? Vous les avez laissés faire ?
Elle réfléchit un instant : "Qu’aurais-je pu faire ? Et puis, leur examen n’était pas si désagréable."
— Alors les deux hommes ont utilisé leurs doigts pour vous ouvrir et ont jeté un coup d’œil ?— Oui, bien sûr, les deux hommes. Ils prenaient leur temps. Et moi, je commençais à respirer fort.— Puis, un des gars a ajouté quelque chose. Si vous étiez à quatre pattes quand le chien vous a saillie, il pouvait s’enfoncer plus profondément en vous, dans cette position. Nous ne pouvons pas voir aussi loin si vous restez sur le dos. Il serait préférable de vous placer dans la même position que vous étiez avec le chien. Nous pourrons jeter un coup d’œil. Vous pourriez avoir des dommages plus loin.
Le barman hocha la tête d’un air entendu. Il savait ce qui allait arriver.
— Je me suis installée à quatre pattes sur le canapé, et j’ai posé mon visage sur l’assise, les fesses bien haut en l’air. Je me suis détournée d’eux. Je ne voulais pas savoir ce qu’ils trafiquaient. Un des deux gars a palpé les égratignures sur les côtés de ma cage thoracique.— Ils ont examiné mes égratignures, et ils ont dit qu’elles n’étaient pas très profondes, et qu’ils pouvaient mettre un peu de baume pour accélérer la cicatrisation. Ils voulaient prendre des photos, au cas où, pour l’assurance, ou en cas de réclamations ultérieures.— Ils ont sorti leurs téléphones, et ils m’ont mitraillée sous toutes les coutures.— Est-ce qu’ils ont pris votre visage, sur les photos ?— Non, impossible. J’ai gardé mon visage enfoui dans les coussins pendant qu’ils prenaient leurs photos.
Le barman soupira en pensant à ce que les deux gars allaient faire des photos. Ouais, elle était bien naïve.
— Ensuite, ils m’ont ouverte avec leurs doigts et pris des photos de mon vagin. Ils ont mis beaucoup de temps. Ils utilisaient la lampe de leurs portables, et ils examinaient chaque photo. Ils ont dit qu’ils voyaient plus profondément de cette façon, et que tout avait l’air très bien. Un peu rouge, un peu contusionné, mais rien n’était déchiré.
Le barman voulait la réconforter :"Je suis content qu’il n’y ait pas de dommages, après ce que vous avez enduré."
— Ils ont dit qu’ils ne voyaient pas bien parce que j’avais encore beaucoup de sperme à l’intérieur, et que ça continuait de couler à l’extérieur. Comme ils me touchaient, mes propres sécrétions s’ajoutaient au sperme du chien. L’un des gars a pris une serviette pour m’essuyer et l’a posée sur le canapé pour ne pas le tacher.
Le barman acquiesça : "Vous n’aviez pas eu le temps d’aller aux toilettes, et le sperme de chien est très liquide."
Elle secoua la tête et continua : "Je les ai laissés faire tout cela parce que je craignais d’avoir été blessée. Ensuite, ils ont voulu faire des tests. Un gars ouvrait ma chatte avec ses deux mains et la laissait se refermer. Il a parlé d’élasticité et voulait s’assurer qu’il n’y avait pas de dommages profonds. Il voulait être sûr que je serai encore capable de me serrer autour du pénis de mon mari."
— Il a dit cela, qu’il s’inquiétait de savoir si votre chatte serait encore capable de serrer la bite de votre mari ?— Oui. Je suppose qu’il avait vu mon alliance. Il l’a fait plusieurs fois, pinçant avec ses doigts pour tirer mes lèvres bien ouvertes, puis les laissant se refermer. Je dois bien admettre que j’ai lâché quelques gémissements, parce que ça tirait aussi sur mon clitoris, et que ce n’était pas désagréable.— Ensuite, l’autre infirmier a dit qu’il fallait aussi vérifier les petites lèvres, pas que les grandes, parce qu’elles sont importantes pour obtenir un ajustement parfait.— Merde, madame ! s’exclama le barman. "Ces deux gars étaient vraiment très intimes avec vous !"

Elle soupira : "Je suppose que oui, ils étaient vraiment intimes. Il n’a pu utiliser que le bout de ses doigts pour saisir mes petites lèvres. Puis il a commencé à les tester en tirant dessus pour les ouvrir, et les laisser se refermer. Bon, j’étais en état de choc, le nez dans les coussins, les fesses à l’air, ces deux types me tripotaient la chatte, je commençais à avoir chaud, et j’étais passablement énervée, si vous voyez ce que je veux dire !"
— Vous vous souvenez de tout ça, madame ? Tout ce qu’ils disaient en bricolant votre chatte ?
Elle n’a pas répondu. Elle a fermé les yeux, elle a dodeliné de la tête, et puis sa tête s’est baissée vers le bar, comme si elle allait s’endormir.
— Madame ?
Le barman l’a secouée, il voulait absolument connaître la fin de son aventure avant que les premiers clients n’arrivent.

Elle a avalé son dernier godet cul sec. Cela lui a donné un coup de fouet. "Ensuite, il a dit qu’il devait effectuer des tests d’étanchéité. Il a mis deux doigts ensemble, ou peut-être trois, et les a enfoncés dans mon vagin."
— Heureusement, j’étais mouillée. Ils me tripotaient depuis si longtemps. Mais j’ai gémi quand même parce que c’était un peu douloureux, mes chairs étaient sensibles à cause du chien, mais en même temps, ça me faisait du bien.— Il a dit qu’il pensait que j’étais assez serrée, et l’autre gars a voulu essayer aussi. Il a poussé ses doigts en moi, et les a fait entrer et sortir deux ou trois fois.
Elle s’est arrêtée, comme si elle se souvenait : "C’était plus que deux ou trois fois en fait. Cela a duré plus longtemps parce que j’avais presque atteint mon point culminant."
Le barman lui a souri : "Alors, votre chatte est bien serrée..."
— Oh oui, j’espère bien, parce que mon mari n’est pas très...
Elle s’arrêta pour penser : "Oh, cela n’a plus d’importance, maintenant que nous sommes séparés, et je ne pense pas qu’il reviendra."

Elle avait des difficultés à rassembler ses souvenirs et sa conversation était assez décousue, mais le barman voulait la garder éveillée, parce qu’une fois endormie, plus d’histoire, et lorsqu’elle se réveillera, elle ne voudra plus rien ajouter.
Le barman pensait qu’elle était suffisamment désinhibée pour parler de la taille du pénis de son mari, et de la façon dont il s’en servait.
— Vous avez dit que votre mari n’est pas gâté par la nature, au niveau du pénis. Comparé au chien, ou peut-être à d’autres hommes que vous avez pu connaître ?
Elle le dévisagea, mais avec toutes ces boissons en elle, elle ne le voyait plus très clairement : "Pourquoi voulez-vous savoir cela ? Parce que le chien m’a agrandie ? Mais c’est élastique ! Mon mari ? Non, il n’est pas bien grand."
Songeuse, elle recommençait à méditer : "Mon mari, c’est comme un enfant, comme mon majeur. Mais ce n’est pas la taille qui compte, c’est la manière de s’en servir. Mon mari n’était pas très actif. D’ailleurs, dans son nouveau couple, il est passif. C’est un ami commun qui m’a raconté cela. Il fait la femme, maintenant. Curieux, non ? Je veux dire, changer de sexualité, à presque 40 ans..."
De nouveau, ses paupières devenaient lourdes : "Madame ? Dites-m’en plus sur ce que faisaient ces gars pendant que vous étiez en position de levrette."
— Hum ? Oh oui. Pendant que l’un d’eux avait ses doigts en moi l’autre, ou peut-être le même, est allé pincer mon clitoris et ça m’a fait sursauter un peu. Il m’ouvrait la chatte d’une main, et l’autre main frottait mon clitoris, ce qui m’a fait gémir, alors je me suis cambrée pour pousser ma chatte vers lui, m’ouvrant à ses caresses. Le deuxième gars a rigolé en disant que je répondais bien aux sollicitations clitoridiennes et vaginales.
Le barman était sidéré par les anecdotes et les explications de la jeune femme : "À aucun moment, vous avez réalisé que ces hommes ne cherchaient pas des blessures internes ou externes, mais qu’ils profitaient de vous pour leur seul amusement ?"
Elle était trop saoule pour le regarder en face, mais elle a émis un gloussement : "Oui, mais à ce moment-là, j’étais émoustillée par leurs attouchements. Ils continuaient... Ils n’arrêtaient pas de me caresser... Je ne sais même pas si c’est le même gars qui avait ses doigts en moi et qui me caressait le clitoris, mais j’ai émis une plainte bruyante en atteignant mon point culminant."
— Vous avez eu un orgasme devant ces deux hommes ?— Oh, oui. J’ai joui, bruyamment, et ça les a fait rire. L’un d’eux a dit : regarde sa chatte et son anus, comme ils se contractent. Et l’autre a répondu : je la sens jouir autour de mes doigts !— J’étais trop excitée pour me préoccuper de la décence, à ce moment-là. J’avais le visage enfoui dans les coussins, et je me laissais tripoter. Quand j’ai eu fini de jouir, le gars a lentement retiré ses doigts, et sa caresse m’a fait frissonner. Ils riaient tous les deux en disant que j’étais toujours une fille normale, après la baise du chien.— À ce moment-là, j’étais tellement gênée que je ne pouvais pas regarder les deux hommes, alors je suis restée en position de levrette, et j’ai gardé le visage enfoui dans les coussins. L’un d’eux, profitant de ma docilité, je ne sais pas lequel, a mis son pénis en moi.
Le barman était incrédule : "Il vous a baisée ?"
Elle secoua négativement la tête : "Non, il ne m’a pas baisée, il m’a juste pénétrée un instant, comme pour me sentir, me tester, je pense, et puis il est ressorti."
— Il vous a pénétrée, juste un peu, ou entièrement, puis il est ressorti ?— Oui, il est entré entièrement en moi, il est resté là un instant, s’appuyant fermement contre moi, puis il s’est retiré. Ensuite, c’est l’autre gars qui a fait la même chose.— L’autre mec aussi, il vous a fourré sa bite ? Jusqu’au fond ? Longtemps ?— Il a fait comme le premier. Mettre sa bite dedans, s’appuyer contre moi, tenir un instant, ressortir. C’est tout !— Avez-vous connu d’autres hommes, à part votre mari ?
Elle regarda dans les yeux du barman. "Comment pouvez-vous insinuer que... ?"
Il lui a souri : "En une seule journée, vous avez accueilli trois bites différentes. Un chien et deux hommes. Plus celle de votre mari, vous devez pouvoir comparer... La plus grosse, le chien ?La plus petite, le mari ? Et après... ?"
— Je vous l’ai déjà dit, la taille n’est pas l’élément déterminant, n’est-ce pas ? D’abord, il faut que la personne me fasse rêver, me fasse fantasmer ! Et puis, il faut que ça me fasse du bien. Bien sûr, tous les sexes sont différents. Mais je peux être plus satisfaite avec un plus petit sexe.— Par exemple, hier. Celui qui est passé en premier était nettement plus gros que l’autre. Mais j’ai mieux apprécié le second. Pourquoi ? Moins brutal, moins intrusif, plus doux... Est-ce que je sais ?
Il s’arrêta et prit une inspiration : "Et avez-vous joui avec l’un ou l’autre ?"
— Jouir ? En quelques secondes ? Non, je n’ai pas eu le temps. Mais j’ai apprécié le second.— Et puis, ils riaient tous les deux en me pénétrant. C’était comme un jeu, une bonne blague. Ce n’était pas lourd, pas stressant, juste une plaisanterie érotique. Ensuite, ils ont examiné les griffures sur mes flancs.
Elle regarda le barman : "Vous voulez voir ?" D’un geste brusque, elle a ouvert sa robe.
Les yeux du barman s’écarquillèrent à la vue de son sein bombé entièrement exposé :
— Toujours rouge ?
S’inquiéta-t-elle. "Oui madame. Toujours rouge."
— Les égratignures n’étaient pas très graves, mais les deux gars m’ont badigeonné de baume. Trop, même sur mes seins, là où il n’y avait pas de griffures.— Vous étiez encore en position de levrette pendant qu’ils vous tartinaient de baume ?— Ouais. Ils ont mis de la pommade sur mes seins pendant qu’ils pendaient sous moi. Mes mamelons sont devenus si durs et si sensibles, quand ils les ont massés. Ils ne faisaient pas qu’étaler la pommade. Ils ont pressé mes seins en les manipulant, et ils ont tiré sur mes tétons en les pinçant.— C’était tellement agréable, toutes ces sollicitations, que j’ai ouvert les yeux. J’ai sorti mon visage des coussins pour les regarder. J’ai vu leurs pantalons gonflés de désir. L’un d’eux a frotté son renflement pendant qu’il me tripotait les nichons. J’ai pensé qu’il allait ressortir sa bite de son pantalon.— J’étais prête. Je les désirais. Je n’ai jamais eu deux hommes en moi. J’avais peur et j’en avais envie. Le gars s’est penché. J’ai pensé qu’il allait passer à l’acte. Mais son talkie-walkie, à sa ceinture, s’est mis à l’appeler. Une intervention urgente. Ils sont partis en me disant de me reposer, et qu’ils reviendraient prendre de mes nouvelles d’ici deux ou trois jours.— Est-ce que vous les auriez laissés vous baiser ?
Elle a soupiré en haussant les épaules. Son regard fuyait : "Je suis fatiguée, maintenant."
Le barman a souri, pensant qu’elle n’était pas farouche, et qu’il allait sûrement la baiser. Le barman lui a offert un dernier verre, mais il la voulait sobre, qu’elle puisse apprécier sa bite qu’il pensait de belle taille.
Alors il lui a proposé : "Madame, j’ai une alcôve, là derrière, avec un petit lit. Je l’utilise quand je suis trop fatigué pour rentrer chez moi, ou lorsque j’ai un client que je ne peux pas laisser repartir dans son état."
Il préférait qu’elle dégrise un peu avant de la baiser, plutôt que de profiter de son état d’ébriété. Elle était toujours penchée sur le comptoir, et sa tête était maintenant entre ses mains. Il regardait son décolleté, et ses nichons libres de toute entrave, quand elle leva soudain les yeux vers lui. Il leva rapidement la tête pour la regarder dans les yeux.
Son regard parcourait le barman, comme si elle le découvrait, et elle remarqua le renflement de son pantalon. Une pensée soudaine la traversa : "Pourquoi lui ai-je raconté mon histoire ? Cet homme doit penser que je ne suis qu’une salope."
Craignant qu’il puisse en faire des gorges chaudes et raconter l’histoire à tout le monde, elle a décidé de changer l’ordre des choses : "Est-ce que mon histoire vous a excité ?"
— Oui madame, c’est très certainement l’histoire la plus bandante que je n’ai jamais entendue.— Est-ce que ça vous inspire ? Elle baissa les yeux sur son renflement en s’assurant qu’il la voit : "Est-ce que ça vous donne envie de me baiser ?"— Ah oui, madame, certainement oui. Si vous ne souhaitez pas rentrer chez vous, de crainte d’affronter le voisinage, vous pouvez passer la nuit chez moi après la fermeture. Reposez-vous là derrière pour le moment. Ensuite nous aviserons.— Eh bien, j’ai pensé que vous vouliez profiter de mon ivresse lorsque vous m’avez offert l’hospitalité. Je suis une romancière et j’écris des histoires érotiques. J’ai inventé toute cette histoire. J’avais un doute. Je me demandais si c’était plausible qu’un homme accepte de baiser une femme après qu’elle se soit fait saillir par un chien. Je me demandais si les hommes n’avaient aucune morale, aucune dignité. Maintenant, je sais...
Il sourit à sa tentative de brouiller les pistes : "Bien essayé, madame, mais rappelez-vous, vous m’avez montré vos blessures."
— Alors... Alors tu veux toujours me baiser, même après un chien, et ces deux gars qui ont mis leurs bites en moi ?— Madame. Je ne veux pas te baiser, je veux te faire l’amour, et aussi longtemps qu’il te plaira. Et au cas où tu te poserais la question, j’ai une bite suffisamment grosse pour te faire oublier celle de ton chien et des deux gars.
Elle essaya de se lever et faillit tomber, alors qu’il contournait le bar pour la secourir : "Où est ce lit ?"
— Par ici, madame. Voilà, madame, les toilettes sont ici. Ce sont mes toilettes personnelles, les clients n’utilisent pas celles-là. Le lit est ici, avec un oreiller et une couverture. Je vous prie de m’excuser, je dois vous laisser, j’ai affaire au bar. Ne vous endormez pas sur les toilettes. Mettez-vous au lit avant.— Merci.
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