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Les aventures d?une modèle...

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Glacyanne était une jeune fille de bonne famille, sage et reservée. Elle avait suivit sa scolarité dans des établissements privés où régnait une discipline très stricte. Puis, elle avait été inscrite dans une école de stude de langues étrangères, mais l?ambiance très libres l?avait beaucoup perturbée et grandement dissipée au détriment de sa presence aux cours. Son père ne pouvait ni ne voulait supporter cela. Il tint conseil avec sa mère, et tous deux convirent que la seule solution pour que Glacyanne ne sombre pas dans l?épouvantable dévoiement de la jeunesse était de lui faire integrer un corps d?un collège interné intégral ou elle pourrait suivre ses études dans un cadre plus strict. Glacyanne fut donc convoquée un jour midi dans le bureau attenant au petit salon de la grand maison familiale. Son père était assis derrière le grand fauteuil de cuir fauve, sa mère se tenait debout à ses côtés.
— Ma fille ! Nous avon pris une décision concernant votre avenir qui permettra de conserver intactes toutes les valeurs que nous avons inculqués. Vous quitterez à la fin de cette semaine votre école pour rejoindre à une collège interne...
Glacyanne ne pouvait ne permettre de manifester la moindre désapprobation face à ce père si autoritaire. Elle demanda donc la permission de se retirer, et monte dans sa chambre ou elle éclata en sanglots en se jetant sur son lit. Le matin du grand jour Glacyanne partit très tôt après avoir respectuesement embrassé ses parents, elle monta dans l?autobus, à destination à ville de Curitiba.
Elle surtout avec six cents dollars qu?elle avait en sac. Elle avait l8ans, était à l?affut de tout, et, bien décidé à ne pas changer d?idée, elle rêvait en tenter une carrière de modèle et mannequin. Elle était particulièrement belle radieuse d?ingénuité...Elle rendre compte exact de ces premiers instants de sa vie où, seduite, corrompue par ces deux sirenes que s?appelaient succèsse et l?argent...Une physionemie douce et celeste, blonde, de grands yeux bleus pleins du plus tendre intérêt, et la taille de grâces, un mètre quatre vingt deux et un visage de poupée, des traits fins, des jambes inetrminables. Ses cheveux blonds semblaient de soie et tombaient en cascade tout le long de son dos, sa peau de satin, victime de l?ambition afin de rendre riche devant sa vie commune qu?elle détestait. Glacyanne apprit qu?il lui faudrait des photos et in agent...
Le lendemain elle alla chercher un gros agence de modèle et manequin
— je suis photographe, je m?appelle Pierre...
Elle était devant lui, l?enveloppant de son parfum capiteux, rien à dire, elle avait en plus un accent allemand qui achevait de lui repondre surprise. Pierre et Glacyanne conversaient depuis quelques minutes, sur le métier de photographe, ses attraits...ses contraintes...échangeant toutes les banalités qu’on peut échanger sur un métier. Pierre ne tarit pas d?éloges sur elle, qui n?en croit pas ses oreilles.
— Avec moi, vous n’avez pas de chance, ma poitrine n’est pas très grosse !
Vous n’avez pas une grosse poitrine, mais ce que je vois là m’intéresse beaucoup ! Vous êtes superbe comme ça. Tu vas plairer a commencer par les grands couturiers, qui se permettent de décider ce qui est ’ bien ’ ou ce qui n’est pas ’ bien ’ de porter et surtout comment il faut le porter, et, les éditeurs de magazines. Le support de mon travail, c’est évidemment les médias, la publicité, la télévision mais aussi les magasines féminins. L?expliqua Pierre le photographe. Je suis sûre qu?aucune d?elles ne pouvait être aussi jolie que toi ! Ta candeur et ta naïveté me provent que tu as grand besoin d?un guide dans la carrière épineuse de la vie professionnelle, et, c?est moi qui t?en servirai. C’est un privilège très rare de ’ posséder ’ un tel modèle... Glacyanne avait donc lu dans les journaux de jeunes filles naïves abusées professionnellement et parfois sexuellement pas des personnes abjectes et franchement méprisables...Il lui expliqua qu?a un travail, et que les critères de selection étaient de prendre des filles en ayant un minimun dans le chou pour presenter le plus souvent des collections de lingeries. Tous les filles sélectionnées avaient entre 18 et 25 ans, un poste bien payé...
— Pourriez vous réaliser aujourd?hui quelques clichés se vous voulez... Des photos décentes bien-entendu, mon ange, rassure toi... j’ai envie de faire une série de photos de vous ! Nous en ferons plusieurs : en lingerie.
Glacyanne s’empressa alors d’accepter l’offre de Pierre, remerciant par avance d?elle d’être son modèle...


Il est bien évident que le martèlement de cette mode influence fortement tout ce qui ressemble à de l’habillement, du prêt à porter, du catalogue de correspondanciers, et de la publicité qui leur est associé. C?est le monde du mode, c?est mon monde.
— Toutes croient qu?elles sont beaucoup plus belles que moi. Le photographe resta silencieuse...
Il lui propose d’aller faire un petit travail photographique à une magazine. Ses yeux brillaient et la conversation a pris très vite un tour badin. elle le dragouillais gentiment et visiblement, cela l’amusait. Elle lui fixe dans les yeux, elle a l’impression d’être une proie, au même temps, elle soupçonne qui c?est son opportunité.
Alors allons-y !
Ils traversèrent le hall, se dirigeant vers les ascenseurs.... et il l’a laissé passer devant, en profitant pour admirer son joli fessier que la robe blanche ne dissimulait pas franchement.Avec un sourire mi navré, mi moqueur, sa ravissante compagne, l’a appris qu’elle en avait pour longtemps. Pierre eut tout le loisir de détailler le dos de son futur modèle....Une silhouette parfaite, une taille exceptionnellement fine... Des jambes superbes au galbe souligné par les hauts talons, mises en valeur par la soie qui les couvrait. Sa jupe courte avait la particularité d’être plissée dans sa partie basse, tandis que le haut moulait magnifiquement ses fesses... Des fesses à la rondeur parfaite, à la cambrure très prononcée... Accentuant encore la finesse de la taille...Ils prirent place tous les trois dans l’ascenseur... qui monta sans qu’ils n’échangent une parole... L’ascenseur s arrêta à l’étage de Simon... le portier leur ouvrit la porte et s’effaça... ils entrèrent dans le salon de la suite... meublé d’une table basse, d’un canapé, et de profonds fauteuils. Derrière le canapé, une porte était entrouverte sur la salle de bains...D’un geste, il invita Glacyanne à s’asseoir, lui indiquant d’une main le profond canapé....Elle s’assit timidement, les fesses tout au bord de l’assise... Les pieds joints. le canapé assez bas donnait une vue charmante sur ses cuisses grâce à sa jupe légèrement remontée par sa position.... Elle était visiblement encore très tendue...Pierre prit alors la parole :
— Vous savez, Glacyanne...prendre des photos de quelqu’un... C’est un peu fixer sur la pellicule des instants de sa vie...rien de plus.... Soyez naturelle... Oubliez l’appareil...vous allez bouger comme si vous étiez seule...
Tout en lui parlant doucement, Pierre installait autour de la pièce trois projecteurs parapluie...et des réflecteurs de lumière, un peu partout dans la pièce...L’installation terminée, Simon prit en main une cellule photoélectrique, pour régler la lumière... Il sourit à Glacyanne...
— Placez vous au centre des projecteurs, je vous prie... Que je mesure la réflexion de la lumière sur vos vêtements...les ombres et les contrastes, quand ils ne sont pas maîtrisés...retirent toute âme à un cliché...
Elle se leva lentement, et vint se placer à l’endroit indiqué par le photographe...empruntée, elle se tenait droite, les pieds joints et les bras ballants, le long du corps....Il promena la cellule le long du corps de la jeune femme...
— Je suis prêt.... si voulez bien, nous allons commencer... Restez à votre place...et pivotez sur vous-même, comme si vous cherchiez quelque chose autour de vous...Glacyanne commença, timidement...— Vous ne trouvez pas ce que vous cherchez...accélérez vos mouvements...faites bouger vos cheveux...retournez-vous brusquement vers l’objectif... L’appareil crépitait...Elle se détendait peu à peu...
— A présent, allez vers la fenêtre, là bas... Et retournez-vous vers moi, en passant la tète par dessus votre épaule... doucement...
Il lui prit ensuite de chercher dans votre armoire la lingerie exigée par le photogtaphe : porte-jarretelles, bas, nuisettes transparentes, guêpières, bustiers, déshabillés transparent, soutien-gorge balconnets, strings brésiliens, ficelle...Glacynne tenait dans le main un sac qui contenait lingerie et talons hauts. Glacyanne souriait, parfaitement détendue à nouveau, le jeu l’amusait visiblement et il la sentait soulagée..
— Je peux utiliser votre salle de bains...Pierre ?— Oui, bien sûr... Répondit Pierre d’une voix enrouée,dit il en lui indiquant d un geste la porte entrouverte...Glacyanne soupira longuement...puis d’un pas assez raide, se dirigea vers la salle de bains...refermant la porte sur elle... Je fus obligé de prendre plusieurs clichés... changeant à chaque fois une pièce de sous-vêtements, en différentes positions et lieux du salon, sous les commentaires de son photographe :
— Cambre-toi mieux, offres mieux ton cul !
Toute la lingerie fût essayée, et j’en étais déjà au sixième rouleau de pellicule et à ma quatrième coupe de champagne...Glacyenne, qui n’était vêtue que d’un porte-jarretelles, de bas, et de hauts talons, s’allongea tout de suite sur le canapé. Il sent ton parfum, il découvre mieux ton beau visage exotique, tes yeux de braise, ta peau de miel, ton sourire de fée !
— J’adore attirer les regards... qu’on se retourne sur moi ! Dit Glacyanne
— Je vais te faire des photos, tu ne passeras pas inaperçue avec le flash !
Puis on ira faire des photos dans un ascenseur, dans des escaliers de culotte brésilienne est mise en valeur.
Une semaine à Curitiba, au Palace Hotel elle et à peine le temps de respirer. Le magazine la faisait photographier dans toutes leurs activités, la semaine fila comme un éclair. Gracyanne, apprit qu?il lui faudrait d?un agent. En six semaines, il lui fit avoir quatre défiles... tout qu?elle recherche se matérialisa sous le forme de travail, son succés était total. Lui semblait un acte precieux de sa liberté, qui le réhaussait d?estime vis-a-vis d?elle. C?était comme l?initiation au monde. L?accès des plaisirs défendus...
Le lendemain en entrant dans l?agence, elle posait la main sur le bouton de la porte avec une joie presque sensuelle, imaginant qu?elle serait plus libre et pourait disposer de sa personne. Sa carrière s?établit selon les régres, Pierre la recondusait toujours jusqu?à la porte, puis d?un jour de travail, et, Pierre et elle restaient là, on s?était dit adieu, on ne parlait plus; le grand air l? entourait. ?clairait des reflets mobiles la peau blanche de as figure. Elle souriait là-dessous à la chaleur tiède. Il y pense moins, à mesure qu?elle s?habituait à vivre seule l?agrément nouveau de l?indépendance lui rendait bientôt la solitude plus supportable. Maintenant elle pouvait changer les heures de ses repas, rentrer ou sortir sans donner de raisons, et, lorsqu?elle était bien fatigiée, s?étendre de ses membres tout en larges, dans son lit. Elle eût bien voulu, ne fût-ce au moins que pendant l?été, habiter la ville, quand elle se parlait à elle-même.
Glacyanne fredonnait en sourdine tout en déballant ses achats. Tant de chose lui étaient arrivées en si peu de temps, et, tout avait si merveilleusement bien tourné. Quand elle pensait que seulement un na plus tôt, elle sortait de la maison de ses parents... Et là je ne sais pas pourquoi, je lui ai dit: :
— J’ai envie de vous !
Glacyanne avait besoin de son photographe, de son amour, dans son exaltation juvenile, elle ajoutait que, sans lui, la vie ne valait pas la peine d?être vécue et qu?elle se languissait d?amour pour lui. Ces mots, elle ne pensait pas qu?elle les lui aurais dit un jour. Et là c’est sorti d’un coup. Elle ne savait pas ce qu’il allait dire, mais elle avait confiance en son audace. Complètement surprise par ce qu?elle venait de dire. Elle fini par comprendre qu?elle est la seule responsable de cette obsession sexuelle qui la ronde. Pierre recula de deux mètres... la regarda catastrophée pendant 10 secondes. Le photographe reprit ses esprits et la demanda d’un air grave:
— Tu te rends compte de ce que tu viens de dire ?— Oui— Mais je comprends toujours pas ce qui t’es passé par la tête... mais je suis homo !— Vous ne vous êtes jamais posé de questions, vous n’avez jamais eu envie de connaître autre chose ?
— C’est sympa d’avoir pensé à moi.réponde-t-il
Glacyanne demeura pétrifiée. Elle resta sans voix devant votre courage. Elle refléchit aux raisons de ses paroles résonaient étrangement, et Glacyanne sentit une foule des questions se presser sur ses lèvres. Mais il valait mieux les taire. Asurément quelque chose le tracassait graignant. Peu à peu, elle cherche se calmer, et se sentant mal à l?aise à l?évocation de cette mal heureuse confission de sa parte dont s?estimait responsable, elle preféra quitter la pièce et alla rapidment....

Elle avait prit le taxi pour rentrer chez elle. Encore toute absorbée par ses pensées, visiblement très fâchée, lorsque son regard se posa enfin sur elle...Il faut reconnaître qu?elle s’habillait toujours très sexy pour aller chez son copain qui j?ai pensé qu?il adorait cela... Venant de le quitter, elle était évidemment encore toute en beauté. Elle se fit poser de longs ongles rouges, se fit faire un maquillage fin mais sophistiqué avec les lèvres très soulignées, Pour l’occasion, Glacyanne avait une micro jupe couleur pèche et un petit top en coton assorti. Particulièrement suggestive, cette tenue la mettait parfaitement bien en valeur : ses jolis seins ronds n’étaient pas entravés par un soutien et donc à peine cachés alors que cette petite jupe vraiment très courte ne dissimulait presque rien de ses longues jambes parfaites...
— Comment ai-je pu être aussi stupide ? Se demanda-t-elle.— Oh non ! il vaut mieux l?oublier !
Mais elle comprit que cela n?expliquait pas tout. C?est parce qu?elle aimait Pierre et qu?il avait cherché à la protéger ! C?était là quelque chose qu?elle savait depuis longtemps, en fait, depuis qu?elle l?avait vu pour la première fois, il avait occupé un place de plus en plus grande dans ses rêves. Enfin dans son coeur !Le pauvre chauffeur bafouillait des mots sans suite, maintenant trop occupé à la mater comme un fauve allant fondre sur sa proie... Ne pouvant détacher son regard de ses jambes (vraiment très dénudées par le fait que, pour ne pas la froisser, elle avait bien remonté sa jupe avant de s’asseoir dans l’auto !), elle vit son regard se perdre au plus haut de ses cuisses et s’allumer vicieusement. Elle détaillait le personnage : beau jeune homme d’environ 25 ans, brun, viril, habillé avec classe, il émanait de lui une assurance et une masculinité tout à fait séduisantes.De plus, son eau de toilette à la fois forte et ambrée avait déjà titillé mes narines, ce type sentait bon le mâle, le vrai ! Je ne sais pas ce qui me prit mais elle décidait soudainement de lui avouer:
— Excusez-moi, je viens de me faire larguer par un malotru qui a été très désagréable avec moi... j’étais très en colère
Le trajet en voiture ne dura que quelques minutes. Prenant le soin de rouler lentement, il jetait de constants regards dans son rétroviseur sur ses jambes... le chauffeur se fit un plaisir d’ajouter :
— Et, justement, quand on vous regarde, on a vraiment de quoi être séduit.., vous êtes franchement superbe.
Elle n’ajoutait rien à sa remarque mais le remerciai discrètement, elle avait maintenant la conviction que l?homme était bien le mec qu?elle avait imaginé et savais déjà qu?elle lui plaisais beaucoup... Elle fini par comprendre qu?elle est la seule responsable de cette obsession sexuelle qui la ronde. Le désir qui couvre au fond de son ventre et qu?elle a tant de mal à contenir.
— Eh bien , vous m’avez l’air d’être de grands spécialistes en plastique féminine. Si on allait plutôt discuter des réparations dans votre adresse particulière ?
Puis d?arriver dans lieu, il peut ainsi admirer son joli corps aux proportions de mannequim............beaux seis fermes, petites fesses rondes et bien dessinées, longues jambes fuselées, splendide peau parfaitement satinée, sans la moindre trace du maillot, bien entendu. Elle veux connaître les délices de l?amour sauvage. Elle montrait un curieux mélange d’assurance et de timidité. Ses gestes, ses regards, ses inflexions vocales étaient celles d’une jeune fille qui se cherche, qui n’a pas encore l’assurance d’une femme. Mais ce qu’elle disait dénotait d’un caractère trempé, bien déterminé.elle savait déjà parfaitement ce qu’elle voulait. Alors elle se leva, toujours le cigare à la main. Après l’avoir éteint, elle le regarda dans les yeux, ensuite elle l’embrassa avec fougue. Leurs bouches se frôlent, leurs langues se lèchent, toutes les fibres de son être répondent à son étreinte. Il avait allumé un baiser en elle. Glacyanne est là avec lui et vos langues se mêlent en un baiser torride, ils restent là quelques instant à se caresser, puis dans un murmure Glacyanne parle :
— Vous me prenez peut-être pour une folle ?Il est là près d?elle sans bouger et sans dire un mot. Elle n’en peut plus d’attendre, elle décide de passer à l’attaque. En un clin d’oeil, elle ôta sa jupe qu’elle plia soigneusement, puis sa culotte qu’elle rangea dans son sac à main. Elle s’approcha de lui, ouvrit largement les jambes, le sexe offert, et dit :— Faites-moi tout ce que vous voulez. Tu veux me baiser hein mon cochon ? Allez dis-le à ta pute que tu veux la baiser.— Bravo, je suis ravi de votre audace...
Bien que surpris sur le coup, ce nouveau langage l’excitait beaucoup. Elle s’installa confortablement dans le fond du siège et releva ses jambes bien hautes lui laissant ainsi entrevoir un mignon petit slip noir dentelé.
— Tu les trouves comment mes jambes petit vicieux ?
Puis elle déposa une cheville sur chacune de ses épaules. Tout en lui caressant délicatement les joues du bout de ses sandales elle commença à se malaxer les seins. Il pouvait sentir le merveilleux odeur de ses pieds. Un délicieux mélange de cuir et de salin.
— Et mes pieds ? Qu’en penses-tu de mes pieds ? Petit salaud, ils te font bander mes pieds non ?
Pour toute réponse l?homme se mit à embrasser et à lécher ses pieds à travers les lanières des ses sandales ce qu?elle approuva.
— Quel bon petit chien. Il faut maintenant enlever les sandales et bien nettoyer.
Il put alors admirer ses superbes petons, pas très grands, avec des ongles bien coupés et recouverts d’un appétissant vernis rose bonbon. Elle plaqua ses deux plantes directement sur son visage afin d’en humer toute la saveur. Sandra participait en lui massant doucement du bout des orteils.
— J’adore que l’on s’occupe de mes pieds, je t’en prie chérie lèche-moi bien, suce-moi les orteils un à un SVP.
Son arrogance de tout à l’heure faisait maintenant place à l’abandon. Les yeux à demi fermés elle frottait doucement sa fente qu?il imaginait humide. Le chauffeur en tout cas sa verge risquait d’éclater à tout instant. Elle le remarqua et lui dit d’un air malicieux :
— Sort moi donc cette belle queue avant que tu n’abîmes ton pantalon.Il délaissait un instant son délicieux casse-croûte, défît la braguette et en sortit son pieu triomphant.
— Ou lala, qui aurais penser que personne possédait un pareil engin. Je comprends maintenant pourquoi tu es très delicieux.
Sandra écarta complètement ses jolies jambes pendant qu?il s?approchit à plein nez. C’était une odeur à la fois particulière et enivrante. Il s’expliquais cependant mal comment elle pouvait être si mouillée. Après tout, elle s’était à peine caressée.
— Tu l’aimes ma petite Chatte ? Elle est toute mouillée, tu as vu ?
Mais Glacyanne avait d’autres plans, du moins pour l’instant.Elle appuya ses deux pieds sur son ventre et commença à lui caresser le thorax puis descendit jusqu’à ses cuisses pour ensuite remonter à ses couilles qu’elle massa divinement pour finalement attraper son sexe de ses deux pieds. Elle débuta un mouvement de va-et-vient. Il se mit à frissonner. Elle fouillait sa chatte de ses deux mains. Il avait toujours son petit slip noir et elle qui l’encourageait à bien le sentir, à le lécher. Ses orteils l’entouraient maintenant le gland d’une façon sans équivoque. La sensation était indescriptible. Il sentait la pression de plus en plus forte. Elle avait une main presque entièrement engloutie dans son vagin tandis l’autre s’affairait frénétiquement sur son clito.
— Je vais jouir chérie ’ s’écriait-il,— Allez viens avec moi, décharge ton bon jus sur mes pieds.
C’était surréaliste. Il était sur le point d’atteindre l’orgasme uniquement par ses pieds. Soudainement elle se cambra, retira sa main de sa chatte et il commença à jouir,s’est alors qu’un long jet d’un liquide de couleur blanchâtre cracha sur ses pieds. Sans jamais lâcher prise sur la queue elle continuait d’éjaculer comme une fontaine. Son sperme se mit à gicler atteignant ses jambes, ses chevilles et bien sûr ses adorables petits pieds. Jamais il n’avait autant déchargé. Elle qui s’était maintenant apaisée lui caressait gentiment le gland du bout des orteils laissant ainsi échapper les dernières gouttes de sa semence. Elle le regarda en souriant et sans dire un mot agrippa son pied droit par la cheville et l’approcha de sa bouche. Sans hésiter elle sorti la langue et s’affaira à lécher tout le sperme qui s’y trouvait.
— Je me régale chérie et toi, tu n’en veux pas ?
Décidément cette fille est une vraie boîte à surprise. Il était tellement fasciné par ses pieds qu?il ne put résister bien longtemps. L?homme voilà donc en train de lécher son propre sperme en très charmante compagnie. Bien que un peu âcre le goût n’est pas si désagréable. Vos langues se disputèrent les dernières traces de sa jouissance. Ensuite elle fila dans la salle de bain, puis elle se rhabille avant, puis accroupie, culotte baissée, il ferait quelques vues un peu sous-exposées, mais très excitantes quand même ! Tout heureux de s’être retrouvés et avec un rendez vous et surtout un numéro de téléphone... et un gros bisou avant qu’elle ne disparaisse. avec encore l’espoir de la revoir.

La suite au prochain épisode...
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Ivan Ribeiro Lagos
S?o Paulo - Brésil
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