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Les aventures d?une modèle...

Chapitre 2

Divers
Julien connut Glacyanne quand il a necessité d?une femme de sortir avec lui. D?immédiate il a aimé d?elle. Il eut Glayanne dans la première semaine de rencontres . Il était un grand mec qui gaspillait son temps à flirter avec une troupe de femmes qui n?ont pas un brin de cervelle ! Son premier regard l’a ensorcelé, lorsque de sa voix sensuelle il l’a dit ? à bientôt j’espère ! ? avec un regard malicieux qui en disait long sur ses pensées.

Durante de longues heures, la nuit précédente, Glacyanne avait réfléchi à sa situation, et elle s?était dit qu?elle allait jouer un rôle, comme une actrice sur scène. Il fallait, qu?elle se mettre dans la peau de son personnage, a quoi lui servirait de continuer à penser qu?elle était une jeune femme professionnelle de la mode, dédiée, intelligente si elle est à mourir de désirs par le chauffeur de taxi qui se dévoilait à toute l?heure que la souhait. Glacyanne n?en avait pris aucun au sérieux, sachant parfaitement de ses obligations comme modèle photographique de Pierre.
Elle s?était brusquement aperçue qu?elle ne comptait plus pour lui ! Elle était une jeune femme, tout simplement, comme beaucoup d’autres femmes, avec ses bonheurs et ses joies, ses malheurs et ses peines, et sur ce seconde chapitre, elle croit avoir endurée, tout au long de sa vie et dès sa plus tendre enfance, beaucoup plus de drames affectifs et sentimentaux que la plupart des autres femmes. En compensation, peut être, La nature l’a dotée d’un optimisme et d’une sensibilité exacerbés, qui l’ont toujours permis de positiver et de profiter des moments privilégiés avec beaucoup d’intensité. Il fallait que Glacyanne le retienne à tout prix !’ Qu’il reste avec moi !’ Elle ne savait pas encore vraiment ce qui pouvait se passer entre tous le deux ce jour là, ni ce qu?elle voulait réellement de lui, mais il ne devait pas partir, à aucun prix, ça, elle le savait ! Cela ne serait certainement pas bien compliqué, de le faire rester car, manifestement, il en avait autant envie qu?elle. Les choses allaient beaucoup plus vite qu?elle ne l’avait imaginé !
Le lendemain dans son bureau, Pierre parle avec Glacyanne froidement :
— Je pense qu?on va vous faire un bout d?essai— Bom Dieu de merde ! Comment pouvait-il reste si calme ?Glacyanne s?exclama
— Waouh ! Waouh ! Waouh !
Jubilante, elle lui prit la taille, et il se dépêtra de son étreite et fila se réfugier derrière le bureau. Alarmé par son débordement, il lui servit un laïus, disant qu?un bout d?essai m?était jamais qu?un bout d?essai, qu?il en ferait à d?autres mannequins et qu?il ne fallait pas trop se monter la tête à propos d?une chose qui pouvait très bien se solder par une déception.
— Quand ?— D?ici une semaine ou deux...
Peut-être aurait-elle souhaite faire à quelqu?un la confiance de toutes ces choses. Mais comment dire un insaisissable malaire, qui change d?aspect comme les nuées, qui tourbilonne comme le vent ? Les mots lui manquaient donc l?occasion, la h?rdiesse. Mais l?anxiété d?un etat nouveau, ou peut-être l?irritation causée par la présence de cet homme, avait suffi à lui faire croi qu?elle possedait enfin cette passion merveilleuse qui jusqu?alors, elle pouvait s?imaginer à present que se calme où elle vivait fût le bonheur qu?elle avait rêve...
******
Ils étaient ce soir là des femmes et des hommes de tous âges et de tous physiques sans le moindre complexe, la société des riches semblait une exception dans le monde, un hasard particulier où elle se prise, tandis qu?au-delà s?étendait à perte de vue, la tolerance qui régne au lieu est inimeginable en tout autre lieu. Les photogtaphes et gens spécialisées en modes au premier rang. Glacyanne fit sa toilette et elle allait participer à un défile de mode intime, ou mode érotique d?un gros magazine. Elle déposa ses cheveux d?après les recommandations du coiffeur. Le coeur de Glacyanne lui battit un peu lorsque le couturier la tenant par le bout des doigts.
Elle vint se mettre en ligne et attendit le coup d?archet pour partir, mais bientôt l?emotion disparut; Effectivement, le spectacle est annoncé au micro. L?ambient se remplit quelques minutes plus tard le show commence. L?air du défile était lourd; les lampes pâlissaient, dans le salon lambrisé de mirois, autour de tables ovales couvertes d?un tapis de velours à crépines d?or, mystères, des angoisses dissimulées sous des sourires, les mannequins commenca le défile, se balançant ses hanches au rythme de la musique, elle glissait en avant, avec des mouvements légèrs sur la piste, les personnes presentes étaient rarement vu plastique aussi parfaite.
En plus Glacyanne arborait un large sourire montait les lèvres à certaines délicatesses de ses pas... et profitait à chaque passage devant les photographes, et, le public aplaudit les modèles à tout rompre en réclamant un rappel...Les yeux humides d?émotion Glacyanne et ses collègues défilant une derrière fois avant de saluer l?assistance. Elles sont magnifiques. Quelques hommes de vingt-cinq à quarente ans, disséminés parmi au bout de la piste et à l?entrée des portes, se distinguaient de la foule par un air de famile, qu?elles que fussent leurs différences d?âge, de toilette ou de figure. Quelle surprise pour Pierre donc de voir s?approcher de glacyanne de tout l?heure qui d?un string à pailletes et de cuissardes en latex, qu?elle va bientôt faire un show coquin. Elle était là sur la piste qui ondule sur le même rythme.
Alors, temps plus tard elle sort du lieu et sur le trotoir, elle aspira le vent humide qui lui rafraîchissait les paupières, et elle faisait des efforts pour se tenir éveillée, afin de prolonger l?illusion de cette vie luxueuse. La nuit était noire, quelques gouttes de pluie tombaient, alors elle écoute :
— Glacyanne ! Glacyanne !
Un type se penche à la fenêtre de son taxi... c?est Julien, le chauffeur de taxi qu?elle reconnu immédiatement. Julien romantique et beau jeune homme qui lui donne d’un coup ses vingt-trois ans sans compter, sans savoir. Puis, il a évoqué cet ange de beauté qu?il avait croisé sur le chemin...Elle se contenta d?un grand sourire, quelques secondes, elle étaie assise à côté de lui dans la voiture. Julien avait un grand sourire aussi. Il paraissait si gentil. Il y avait une luer presque inquietante dans ses yeux noirs. Ils riaient tous les deux...pendant le trajet, Glacyanne, pense à tout ce qui s?est passé depuis l?avant veille. Julien aperçoit une cuisse d?elle, en grande partie denudée, sa jupe étant remontée haut.
— Ah ! Il faut que je vous explique, je suis modele et mannequin, j’ai du mal à travailler, j’ai tendance à me disperser, et puis, je suis souvent dérangée.ça dépend de mon humeur, de mon inspiration.
— Alors tu m’excites !
— Et c’est quoi qui t’excite ?

— C’est un tout, ta personnalité, mais ça aussi ! C’est que c’est justement le genre de relation que je recherchais, une fille sympa, très belle, qu?il ne verrait que de temps en temps, quand l’envie s’en ferait sentir et qu’elle en serait d’accord.

— C’est dingue ! Tu t’es fait prendre par un inconnu comme ça ? Ca m’excite, et alors ?— Quelle cochonne tu es, je bande de t’écouter !
Alors évidemment ici tout le monde la connaît, comble sa solitude, d’abord chastement, puis finira par coucher avec un inconnu. Ce fut une révélation. Généralement en milieu de semaine ses besoins érotiques augmentaient, pour se permettre d’attendre, elle jouait tout seule. Au début elle s’amusais simplement à la tête pleine de pensées érotiques, elle se laissais aller, mouiller sa culotte. Mais très vite cela ne fut plus suffisant. ’ il m’en fallait plus ’. Elle accepta très vite de l?accompagner dans un hotel de sa connaisance. Parvenu à l?hotel ils arrivent devant l?ascenser, en attendant les yeux de Julien la regardait de haut en bas. Des longues de cheveux blondes platines, bien coiffés, qui arrivent au milieu de son dos. Elle porte une jupe à mi-hauteur qui lui fait une descente de reins magnifique. Elle porte des talons auguilles qui lui font des jambes fabuleuses. Elle se retourne pour lui demander l?heure et il lui répond qu?il est bientôt 16.00, ses yeux bleus foncés, elle a les sourcils épilés avec soin, des lèvres pulpeuses, elle n?est pas très maquillée, elle n?en a d?ailleurs pas besoin.
L?ascenseur arrive et par politesse, il la laisse entrer la première et la suit, le regard sur ses jambes splendides. L?ascenseur demarre, il a vraiment envie d?elle. Ca arrive souvent de se dire comme il voudrait ètre ummobilisé dans un endroit comme ça avec cette déesse... Il decide de se lancer et il l?embrasse, ce baiser devient très langoureux. Elle en a profité pour caresser la bosse qu’elle a trouvée sous son pantalon, ce qui l’a excité encore plus. Après quelques instants de ces attouchements, il comprend qu?elle a autant envie que lui, sa langue se fait des merveilles dans sa bouche tandis que la main de glacyanne est en train de le masturber. Julien la léchai très doucement dans le cou.
— N’aie pas peur...— Non... (à peine un murmure.)— Tu es comme un dieu...
— ... que son désir va réchauffer. Ne laisse pas la peur l’envahir. La peur lui ôterait la vie. La peur tue le désir...
— Oui...

?chappant à son étreinte, et se laissa tomber à genoux.Il écartait largement les jambes. Il a déjà une main dans la poche et il caresse doucement son sexe dur et tendu à l’extrême.
— Ben voyons !
Elle a beaucoup d’esprit et répond de façon amusante.

— Ben qu’est ce que tu proposes ?— Lèche moi ! Dit-il.
Elle descend tout doucement en faisant des baisers par arriver en bas. Elle a déjà sortie son sexe et les suce avec un certain talent. Les lèvres charnues de Miss Glacyanne, couvertes d’un rouge à lèvres entouraient sa virilité, tandis que la langue suprêmement habile de la jeune modèle jouait avec son gland, faisant naître des étincelles de plaisir au creux de ses reins. Et ça voir bander un mec, elle adorait. Toutes les femmes aiment voir un homme bander pour elle, mais Glacyanne elle, ça l’hypnotise. Elle ne peut plus détacher ses yeux de l’érection quand on lui présente. Elle aspire ses couilles, puis remets as queue très dure dans as bouche très profond, en le regardant comme poir lui demander c?est bom ?
Après quelques va et vient, il la prévient qu?il va venir... il est au paradis et il la contemple déglutissant sa semence. L?ascenseur s?arrêta à l?étage et rapidement Julien ouvrit la porte, puis ils entrèrent dans la chambre.... Elle confondait dans son désir, les sensualités du luxe avec les joies du coeur, l?élégance des habitudes et les délicatesses du sentiment.À suivre...
Ici, S?o Paulo - Brésil, n?hésitez pas à me donner votre avis en toute franchise, sur irl70@hotmail.com, Merci
Ivan Ribeiro Lagos
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