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Les aveux de Loulou

Chapitre 2

Travesti / Trans
Les aveux de Loulou (2)
Les aveux de Loulou, c’est une histoire vraie. Loulou est un ami qui, un jour, a eu besoin de tout me raconter pour passer à autre chose. Il m’a autorisé à écrire ce récit enregistré sur magnétophone de poche et je sais qu’il le lira sur ce site. Salut loulou !
La suite :
Le soir, je me suis couché presque sans manger et je me suis endormi d’un profond sommeil. J’avais pris soin de ranger mes nouveaux trésors.
La semaine qui a suivi mon passage initiatique chez Ti-Jo a été chargée. Beaucoup de devoirs à faire, mon grand-père souffrant, des entrainements durs car une compétition approchait et je n’ai même pas eu le loisir de me masturber car notre entraineur nous disait de ne pas avoir de relations sexuelles avant une compétition pour garder l’influx.
Je suis rentrée à la maison le dimanche soir avec la coupe du vainqueur de la compétition de Kendo et ce soir-là, perclus de douleurs, j’ai juste bu un litre de lait avant de sombrer dans un sommeil de brute.
Le lundi a passé vite car c’était une journée chargée au Lycée.
Le mardi, par contre, je sortais vers 16h et ma grand-mère m’a demandé, alors que je rangeais ma mobylette au garage, de passer voir Ti-Jo, lequel avait besoin de moi pour faire un peu de ménage chez lui.
J’ai hésité et elle l’a remarqué. « Je sais, c’est vraiment pas marrant pour toi, mais vas-y. Après tout c’est notre voisin et puis, il n’est pas méchant, cet homme là. »
Je ne pouvais quand même pas lui avouer les raisons de ma réticence.
En fait, je savais que si j’allais là-bas, j’allais de nouveau succomber à la tentation de me travestir et de me laisser traiter comme une vraie petite femme par ce vieux type impotent et lubrique.
Vis-à-vis de ma grand-mère, je n’avais pas le choix, sauf à tout avouer, ce qui était impossible. « Bon, D’accord, je vais y aller. Juste le temps de me rafraîchir un peu et j’y vais. Je serai de retour pour le dîner. »
Ma grand-mère m’a fait la bise et m’a remercié. « T’es vraiment un bon gars ! » a-t-elle ajouté.

Je suis monté dans ma chambre, me suis lavé un peu et changé avant d’aller chez Ti-Jo. Sa maison était dans une impasse qui donnait dans la rue où se trouvait la cour ouvrière où habitaient mes grands-parents et 5 autres familles. Des collègues de travail de mon grand-père ou des retraités de la SNCF, comme lui.
L’impasse où se trouve la petite maison de Ti-Jo est un boyau étroit. On accédait à sa maison par le chemin de terre en slalomant entre les flaques et les merdes de chien.
J’ai frappé au carreau. Il m’a vu à travers le rideau. « Entre Loulou, c’est ouvert, mon grand ! »
J’ai ouvert la porte. Il faisait bon chez lui et il avait préparé un café. « Ferme au verrou ! On sera tranquille, comme ça » Les volets étaient déjà à demi tirés.
« Tiens, et puis ferme les volets. De toute façon, il n’y a plus de soleil, à cette heure ! »
J’ai fermé les volets puis je suis venu m’asseoir à table, face à lui.
« C’est gentil d’être venu. J’ai pas pu faire le ménage en bas depuis deux jours et l’aide-ménagère est malade, alors je compte sur toi. Je te donnerai un petit billet pour ta peine. Il faut juste passer un coup d’aspirateur, un coup de toile, laver le peu de vaisselle qu’il y a et nettoyer la cabine de douche et le toilette. Tu vois, c’est pas grand-chose. Ca te dérange pas, au moins ? »
Il avait posé sa main sur la mienne. « Non, monsieur Jo, ça ne me dérange pas du tout. Je le fais bien à la maison, alors ! Je vais faire ça tout de suite, si vous voulez, j’en ai pas pour bien longtemps. Mettez-vous dans le fauteuil pendant ce temps-là, si vous voulez.» Il s’est levé et je l’ai aidé à s’installer dans son fauteuil et j’ai mis ses cannes à portée de sa main puis j’ai commencé le travail. Cela m’a pris une petite heure. J’avais chaud car quand je fais quelque chose, je le fais à fond. Je transpirais un peu.
Il s’en est aperçu. « Loulou, va là-haut et rafraîchis toi un peu dans le petit cabinet de toilette, sinon tu vas prendre mal. Au fait, sur le lit, il y a des trucs. Si ça te dit de les essayer, surtout n’hésite pas ! »
J’ai piqué un fard et baissé le regard avant de monter sans dire mot. Il m’a souri mais j’ai détourné les yeux. Il n’osait pas me demander franchement de le faire et s’en remettait à moi.
En haut, je suis allé dans le petit cabinet de toilette pour me passer un coup de gant et me recoiffer et sur la petite étagère, j’ai vu un tube de rouge à lèvres, un paire de boucles d’oreille et un collier fantaisie, une petite trousse à maquillage avec du fard à paupières, un petit flacon de parfum et un crayon pour les yeux.
Cette vision de rêve a, de nouveau, déclenché en moi un frisson d’excitation et d’envie. Je mourrais d’envie, il n’y a pas d’autres mots, de me travestir avec les vêtements et sous-vêtements étalés sur le lit et que j’avais vainement tenté de ne pas voir et en plus, j’avais là l’occasion unique d’oser, enfin, un maquillage complet.
Ti-Jo a appelé : « Ca va, Mon Loulou ? Tu as vu les habits et le reste ? Ca te plaît ou pas ? T’auras le temps de les essayer? »
Il me relançait et de mon côté, je savais déjà que j’allais craquer. J’ai avalé ma salive avant de répondre: « Oui monsieur Jo, je les ai vu. Ils sont jolis. Vous voulez que je les essaye et que je descende pour vous monter ce que ça fait ? »
Je frissonnais d’excitation. « Oui, c’est ça. Si ça te dit, bien sûr ! »
Il s’est tu et moi, j’ai retiré mes vêtements puis j’ai commencé à m’habiller en femme. Un ensemble noir, des bas noirs fumés à coutures, le porte-jarretelle, le tailleur noir : jupe courte, corsage blanc en fin tissu doux comme de la soie, la veste noire, les chaussures à talons aiguilles.
Pour porter la perruque brune mise à ma disposition, j’ai dû attacher mes cheveux puis j’ai mis les boucles d’oreille à clips et passé le collier fantaisie autour de mon cou.
Restait le plus difficile pour moi, le maquillage. Je n’avais jamais fait ça mais je ne me suis pas mal débrouillé. Un peu de fard à paupières, un trait de crayon sur le bord des cils, du rouge à lèvres et quand j’ai levé les yeux pour me regarder dans le miroir, j’étais transformé et ne me reconnaissait plus vraiment.
Devant moi, il y avait je joli visage ovale d’une très belle jeune femme qui me souriait.
J’ai enfilé la paire de longs gants noirs luisants et très doux puis, lentement, j’ai descendu l’escalier et suis arrivé dans la pièce où Ti-Jo attendait.Il était toujours assis dans son fauteuil.
Je me suis mis dans l’encadrement de la porte qui donne sur l’escalier et la main posée sur la hanche, un peu comme un mannequin, je l’ai regardé. Je souriais. Je me savais belle. Je voulais qu’il le voit, en profite et me le dise.
Bizarrement, le fait d’être maquillé me libérait, comme si je n’étais plus moi mais une autre personne et ma gêne s’était comme évanouie.
Il était silencieux, rouge comme une pivoine, la bouche entrouverte.
Il a sifflé et a dit » Nom d’un chien ! Putain, t’es rien belle ! Ben dis donc, mon Loulou ! Sûrement la plus belle gonzesse que j’ai jamais vue ! Je ne mens pas, je te jure ! » Je rougissais de plaisir sous ces compliments.
« Tourne-toi un peu ! » J’ai lentement tourné sur place, pour me monter à lui, montrer ma belle tenue.
Il en sifflait d’admiration. « Putain ! C’est pas possible ! Tu es une vraie femme, habillé comme ça. Ca te va rudement bien. Retire la veste, pour voir. »
J’ai retiré la veste et d’un geste sûr, l’ai jeté sur mon épaule, comme l’aurait fait un mannequin. Il a de nouveau sifflé d’admiration.J’ai pris des poses, tourné, retourné afin qu’il voit bien comme j’étais belle. En fait, je prenais un indescriptible plaisir à faire ça, à me sentir femme ; une femme admirée et désirée, ça, je n’en doutais pas.
Il m’a demandé de venir vers lui et avait tendu le bras. Je lui ai donné ma main. Il était assis dans son fauteuil. Il m’a attiré jusqu’à ce que je vienne m’asseoir sur ses genoux. « Alors, mon Loulou, ça te plaît ? »
« Oui, monsieur Jo, c’est très joli et je trouve que ça me va bien, ces vêtements de femme. »
Son bras était passé autour de ma taille et sa main gauche s’était naturellement posée sur mon genou. Il a ajouté : « Et puis, tu sais les bas, c’est comme de la soie. Tu as vu, ils sont super doux. »
Ses doigts ont commencé à parcourir le soyeux de mon bas, du genou jusqu’à l’ourlet de la jupe qui descendait à mi-cuisses.« Qu’est ce que c’est doux, mon Loulou! Tiens, touche un peu, tu vas me dire ! »
J’ai retiré mon gant et du bout du doigt, j’ai touché le voile de mon bas. Ce geste et les siens me faisaient frissonner et j’avais la chair de poule.
« Alors ? Qu’est ce que t’en penses ? »
« Vous avez raison, c’est très doux ! J’aime ça ! »
Sa main est remontée et est venue déboutonner mon corsage. Je l’ai laissée faire.
Du bout des doigts Ti-Jo a touché la dentelle du soutien-gorge noir et recherché, à travers le tissu, mes tétons érigés, pour les agacer à petits coups d’ongles.J’ai gémi.
De l’autre main, il avait sorti le tissu du corsage de la jupe et avait fait glisser la petite fermeture éclair. Ma jupe serrée le gênait. « Retire la jupe ! »
Je me suis levé et j’ai fait tomber la jupe étroite en me tortillant puis je suis revenu sur ses genoux.
J’étais désormais à sa disposition et il avait bien senti que je n’attendais plus que ses attouchements. Je voulais qu’il me refasse comme l’autre fois, qu’il me fasse encore jouir.
A cet instant là, j’étais prêt à tout, à le laisser faire ce qu’il voulait.
« Ca te plaît, ma petite Louloute ? »
Il avait féminisée mon surnom. Pourquoi pas, après tout ?
« Oui, monsieur Jo ! » Sa main gauche était venue se poser plus haut sur ma cuisse et s’est glissée dans le sillon. J’ai écarté un peu mes jambes et sa main s’est enfoncée un peu plus.
« Ecarte un peu plus pour ma main, ma jolie Louloute ! Allez, fais plaisir à Ti-Jo ! Voilà, comme ça ! Faut être gentille avec Ti-Jo ! Tu verras, il va t’acheter des beaux habits, des beaux dessous, du maquillage, du parfum, des bijoux et tu auras même droit à un peu d’argent de poche. Ca te dit ma jolie Louloute ? Tu veux bien être gentille avec Ti-Jo, lui faire plaisir, ma petite chérie ? »
J’ai hoché la tête. Il m’avait appelé « ma petite chérie ».
J’avais la gorge nouée. Sa main s’était enfoncée dans le sillon, entre mes cuisses et j’ai encore ouvert mes jambes pour aider à cette intrusion délicieuse.
« C’est bien, ma petite Louloute. Tu es gentille ; Ti-Jo est content. Dis, tu veux bien lui faire un petit bisou à Ti-Jo? »
Sa main droite s’était posée sur ma nuque et attirait ma tête vers lui. Je me suis penché et j’ai posé mes lèvres sur sa joue râpeuse. Il en a rigolé. « Un vrai petit bisou, ma Louloute ; un vrai, un sur la bouche, pour faire plaisir à Ti-Jo ! T’en as pas envie ?»
J’ai rougi encore plus. Je ne savais pas si j’en avais envie ou pas mais quand sa main a attiré ma nuque, mes lèvres se sont posées sur les siennes. C’était la première fois que je faisais ça.
Je sentais sa langue qui appuyait à l’entrée de ma bouche mais je maintenais mes lèvres fermées. J’avais peur, en fait.Au bout de quelques instants et comme il insistait, j’ai fini par ouvrir un peu ma bouche et sa langue s’y est engouffrée puis je l’ai laissé faire.
Sa main avant atteint mon sexe et le caressait doucement à travers la dentelle de la petite culotte échancrée que je portais. Elle a finalement écarté le tissu et extirpé mon sexe encore un peu flasque pour le tripoter du bout des doigts.
Il savait comment faire. Il avait décalotté le gland et le lissait doucement. C’était incroyablement bon. J’étais à lui maintenant, et il m’a embrassé autant qu’il a voulu tandis qu’il me branlait, me caressait la tige, les couilles.
Il a relevé la tête. « Ca te plaît, ma petite Louloute chérie ? Dis le à Ti-Jo ! »
« Oui, monsieur Jo, ça me plaît ! » J’étais encore intimidé.
« Tu veux bien faire plaisir à Ti-Jo ? »
J’ai hoché la tête. « On va aller sur le lit. Tu vas retirer ton corsage et la petite culotte et après tu feras comme je te dis, d’accord ? Faut que tu apprennes un peu comment faire, pas vrai ? On fait comme ça, ça te va ?»
De nouveau, j’ai hoché la tête. Il m’a embrassé à nouveau. Je me suis laissé faire et ma langue répondait maintenant à la sienne, malgré son haleine de gros fumeur.
Il a interrompu ce baiser. « Allez ! On va sur le lit. Aide-moi ! »
Je me suis levé et l’ai aidé à aller sur le lit. Il s’est complètement allongé, la tête sur l’oreiller et de mon côté j’ai retiré le corsage et la petite culotte avant de venir à quatre pattes vers lui.
Il m’appelait, main tendue : « Viens me faire un bisou, ma Louloute chérie ! »
Je suis venu poser mes lèvres sur sa bouche tandis que sa main droite s’occupait délicieusement bien de ma queue.
De l’autre main, il a pris ma main droite et l’a posée sur sa braguette déjà bien gonflée. Je ne savais pas trop quoi faire, alors j’ai massé ce paquet à travers le tissu.
Il a doucement repoussé ma main et a interrompu le baiser. J’ai vu qu’il ouvrait sa braguette, déboutonnait son pantalon et essayait de la baisser. Je l’ai aidé à faire ça.
Il portait un slip à l’ancienne et son sexe tendait le tissu. « Baisse le slip, ma Louloute ! Je suis serré et ça fait mal ! »
J’ai attrapé, le haut de son slip pour le faire glisser sur les hanches et l’aider à le retirer ; J’évitais de trop regarder ses jambes artificielles recouvertes d’espèce de chaussettes en coton gris.
Son sexe était bien dressé et palpitait au rythme des battements du sang. Lui branlait doucement ma queue et je devais me retenir pour ne pas gémir.
« Ca te plaît, hein ma petite chérie ? Si ça te plaît, touche la queue à Ti-Jo ! Vas-y fais plaisir à Ti-Jo ! »
Il a pris ma main et l’a posée sur sa queue douce et chaude. Je voyais son gros ventre poilu, ses grosses cuisses, bien écartées et ses couilles velues qui reposaient sur la couverture.
Ma main a enserré délicatement sa tige et d’instinct, j’ai commencé à faire des va et vient du gland jusqu’à la base de ce pénis, bien plus long et plus épais que le mien. « C’est bon, ma Loute, hein, ça te plaît ? Dis le que ça te plaît de faire ça à Ti-Jo ? » J’ai hoché la tête.
« Tu veux bien lui faire un petit bisou à la queue de Ti-Jo ? Dis, tu veux bien lui faire ça ? »
Je ne pouvais pas répondre à cause de ma gorge serrée par l’émotion, mais je me suis penché vers lui et ma bouche bien rouge s’est posée sur le gland odorant pour un petit bisou léger.
J’ai relevé la tête, j’ai bien décalotté le gland et de nouveau ma bouche s’est posé sur cette sphère violette pour un petit baiser un peu plus appuyé.
Il ne disait plus rien, mais m’a fait déplacer pour pouvoir sucer ma bite.
J’ai adoré ça, autant que la première fois. Sous l’excitation et le plaisir que je ressentais alors, ma bouche s’est un peu ouverte et ma langue est venue lécher le gros gland qui lui était offert.
Ti-Jo se laissait faire. Il me laissait faire et je crois bien que ce gros malin me laissait découvrir sa queue à mon rythme. Ma bouche s’est ouverte encore un peu et le gland est entré juste ce qu’il faut pour se poser sur ma langue. Je l’ai sucé et aspiré un petit moment pendant que lui me faisait du bien avec sa langue.
Il faisait ça super bien. Je le sais, maintenant, si je le compare à d’autres. Il devait être un pro, un homo caché. Pas facile d’être un homo dans le monde du port en ce temps-là !
Son index était venu caresser la raie de mes fesses. Il a trouvé rapidement mon petit trou, d’autant plus facilement que j’avais bien écarté mes jambes et creusé mes reins.
J’ai senti le bout de son doigt se poser dessus et jouer avec. C’était sacrément délicieux, ce truc là.
J’ai encore creusé le dos et il a compris qu’il pouvait me pénétrer sans problème.
Souvent, la nuit je me faisais ça soit avec un ou deux doigts, soit avec un objet quelconque et c’était très bon, mais là, c’était encore bien meilleur. Il m’a pénétré d’un doigt pendant que je le suçais.
D’instinct, j’avais compris comment faire pour m’occuper de sa queue. Je la suçais comme on dit et faisais cela de mon mieux, en m’appliquant, lentement et bien à fond.
J’allais jouir lorsqu’il a joui, lui aussi. J’ai tenté de retirer ma bouche, mais je ne l’ai pas fait suffisamment à temps et du sperme a giclé sur ma langue.
Ensuite d’autres jets dont venus sur ma joue, ma bouche et mon nez. Lui avait gardé mon sexe dans sa bouche et cela me faisait presque mal à force de plaisir. Je me suis effondré à côté de lui.
Nous étions têtes bêches et ma joue reposait sur sa grosse cuisse. Il suçotait toujours mon gland et parfois un spasme de plaisir me secouait les jambes et les reins.
Il nous a fallu un peu de temps pour émerger de cette torpeur érotique. Ensuite, je suis monté pour me laver, me démaquiller et me changer, à regret. D’en, bas, il m’a dit de garder les sous-vêtements et de les porter lorsque je reviendrai chez lui.
Lorsque je sus descendu, il était toujours nu sur son lit, le sexe encore humide de sperme. « Dis ma petite Loute, on se revoit jeudi, ok ? Tiens prend ce paquet et lis ce bouquin porno, ça te donnera sûrement des idées pour jeudi ! »J’ai hoché la tête avant de partir sans un mot avec ce paquet surprise. Oui, j’allais revenir le jeudi. Je le savais déjà. J’aimais trop venir ici.( à suivre )
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