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Les bachelières

Chapitre 6

Avec plusieurs hommes
SamediCe matin, nous sommes tous réunis autour de la table pour le petit-déjeuner. Personne n’aborde le sujet de ce qu’il a fait hier soir et, donc, moi non plus. Ça semble naturel à chacun de baiser avec tout le monde et la conversation glisse plutôt sur nos révisions.
— Alors, les filles, vous êtes prêtes pour le bac ? Les épreuves commencent bien lundi ?— Oui, oui, papa, il nous reste deux ou trois choses à peaufiner et nous serons fines prêtes. On va d’ailleurs vous flanquer à la porte aujourd’hui pour ne pas être distraites. Vous n’avez qu’à aller vous promener, il fait beau !
Nous restons donc seules toute la journée à repasser les derniers détails et sans penser à la bagatelle. Après-demain, c’est le grand jour et pas question de le louper. En fin de journée, les parents de Morgane rentrent de leur promenade. Comme ils sont allés au resto, ils n’ont plus faim mais Camille nous concocte un excellent dîner qui nous change des pizzas et hamburgers de ces derniers jours.A la fin du repas, Vincent décrète :
— Bientôt, ce sera la rentrée pour tout le monde et il faut être en forme. Donc, au lit !
On se fait la bise et chacun regagne ses quartiers. C’est ma dernière nuit ici car demain je rentre chez ma mère. Je me mets au lit en repensant à toutes les découvertes que j’ai faites en une semaine et ça me donne chaud. J’ôte donc mon léger vêtement de nuit et, inévitablement, mes pensées couplées à ma nudité me mènent tout droit à me caresser. Et je me lance dans une agréable partie de masturbation.Je sens que je ne vais pas tarder à venir quand un léger bruit tout proche attire mon attention. Comme je n’ai pas coupé la lumière, je regarde autour de moi et je vois la poignée de la porte qui tourne tout doucement. Et, lorsque celle-ci s’ouvre complètement, c’est Vincent, entièrement nu et bandant à moitié, qui m’apparaît. Sa queue pend encore entre ses jambes mais je peux déjà me rendre compte que c’est un fameux morceau ! Il s’avance, un doigt sur les lèvres pour me faire signe d’être silencieuse puis referme derrière lui. Il a vraiment l’apparence d’une statue grecque, grand, les quatre membres très musclés, un torse glabre avec des tablettes de chocolat bien marquées, même son pubis est rasé mettant bien en évidence son sexe et ses testicules.
— Bonsoir Mélanie. J’espère que je ne te choque pas en venant ainsi sans y être invité mais, entre ta beauté irrésistible et ce que m’ont raconté ma femme et mes enfants, je n’ai pas pu résister à l’envie de goûter, moi aussi, à ton corps.— Ne t’inquiète pas Vincent, plus rien ne me choque depuis que je suis arrivée ici ! Et pour tout te dire, ça me plaît. Tu es le dernier membre de ta famille avec qui je n’ai pas encore fait l’amour mais je crois que ça ne va plus tarder.
Rassuré et même encouragé par mes paroles, il s’approche et se couche à côté de moi. Il pose ses mains sur mes seins et commence à les caresser. Puis, ses lèvres rencontrent les miennes et nous échangeons un baiser torride. Il prend une de mes mains et la guide vers son sexe que j’empoigne immédiatement.A ce contact, son membre se gonfle rapidement et prend des proportions incroyables. Je comprends mieux maintenant pourquoi Camille arrive à s’enfiler son énorme gode d’un seul coup ! Vu qu’elle baise depuis plus de vingt ans avec ce phénomène, elle a de l’entraînement !Son érection est maintenant totale et je constate qu’elle a pratiquement les mêmes dimensions que le joujou de Camille. Comme j’ai déjà été pénétrée deux fois par celui-ci, je me dis que ça ne devrait pas poser de problème, pourvu qu’il n’y aille pas trop fort.Mais Vincent n’a pas l’intention de brusquer les événements. Il pose sa main sur mon poignet et le pousse de haut en bas, m’indiquant clairement ce qu’il attend. Je commence donc à le masturber doucement.
De son côté, tout en continuant à m’embrasser, il explore tout mon corps avec ses mains. Lorsque sa main droite arrive à mon pubis, il écarte les petites lèvres et rentre deux doigts dans mon vagin afin de les mouiller avec ma cyprine qui coule déjà. Il ressort ses doigts bien lubrifiés et les pose sur mon clitoris qu’il se met à masser.
Sa bouche est maintenant sur mes seins qu’il tète comme un bébé. Mes mamelons sont durs et sensibles et chaque coup de langue me fait trembler. Ses doigts pénètrent dans mon vagin puis en ressortent, excitant à chaque passage mon clitoris gonflé comme un fruit mûr.Au moment où sa bouche remplace ses doigts, mon premier orgasme éclate et je me surprends à éjaculer une grande quantité de liquide, exactement comme Camille hier. Moi aussi donc je suis capable de me transformer en femme fontaine ! Encore une nouvelle découverte.Mais Vincent n’en a cure. Il doit être habitué à cette réaction grâce à sa femme et ça a même l’air de lui plaire. Ça doit flatter son ego de mâle d’arriver à faire jouir une femelle de la sorte !Mais, bien sûr, ce premier orgasme ne lui suffit pas, surtout que ce n’était pas le sien. Il remonte donc le long de mon corps, se positionne à hauteur de ma tête et présente son gland turgescent devant mes lèvres. J’empoigne son membre des deux mains et j’engouffre sa queue dans ma bouche, du moins ce que j’arrive à faire entrer.Je lui malaxe les couilles et je le pompe avec ardeur tant et si bien que je crains tout à coup qu’il n’éjacule dans ma bouche.
— Arrête ! Tu vas me faire jouir et c’est beaucoup trop tôt. Je veux venir dans ton ventre.
Sans dire un seul mot, j’écarte tout grand mes jambes en guise de réponse. Il approche son sexe de l’entrée du mien, je le prends en main et l’attire vers moi. Conscient de ses dimensions hors normes, il me pénètre avec beaucoup de douceur, attentif à ne pas me faire mal et s’enfonce jusqu’au fond de mon ventre, là où mon utérus l’arrête. Je ne suis même pas sûre que toute sa longueur soit entrée mais moi je suis entièrement remplie.Il entreprend alors des mouvements de va-et-vient, sortant chaque fois presque toute sa queue pour mieux la replonger dans ma chatte. Je couine de plaisir à sentir cette énorme colonne de chair brûlante explorer les moindres recoins de mon intimité. Il me prend par les fesses pour mieux m’attirer vers lui et je noue mes jambes autour de ses reins pour l’empêcher de sortir.Après quelques minutes, je suis cependant obligée de le lâcher car je fatigue et il en profite pour s’échapper. Je le sens alors poser son gland sur mon anus et commencer à pousser.
— Non Vincent, je t’en prie, pas par là ! Je suis encore vierge du cul et, même si ça me tente, je crois que pour une première fois, tu es trop gros. Même Camille m’a dit qu’elle n’y arrivait pas avec toi.— Hélas, c’est vrai. Et tu as raison, je ne voudrais pas que tu aies une mauvaise première expérience qui te ferait renoncer à cette pratique. Car il te manquerait alors un grand côté jouissif dans ton expérience sexuelle.
Là-dessus, il se couche sur le dos, son gourdin brandi vers le haut et me prend par la taille.
— Viens sur moi et prends l’initiative. Enfonce-toi jusqu’où tu veux et choisis le rythme auquel tu veux baiser.
Je me mets donc à califourchon au-dessus de ses hanches, face à lui, et m’empale d’un coup sur sa trique. Puis, à mon tour, j’entame la danse de l’amour. Il m’attire vers lui et m’embrasse tout en me pelotant les nichons.Nous baisons maintenant à la recherche de notre plaisir lorsque, tout doucement la porte s’ouvre à nouveau. C’est Pascal !
— Oh pardon, je ne savais pas que tu étais là, papa. Je viens de rentrer du boulot et j’avais une envie folle de baiser encore une fois avec Mélanie avant qu’elle ne retourne chez sa mère. Mais je vois que la place est déjà prise, je vais vous laisser.— Pas du tout, Pascal, entre. Mélanie vient de me dire qu’elle serait bien tentée par une première expérience anale mais que j’étais trop gros pour elle. Exactement comme ta mère ! Et puisque je sais que Camille se rattrape avec toi, fais-lui ce plaisir, encule-la pour sa première fois.— C’est vrai, Mélanie, tu en as envie ? Tu ne m’en as pourtant jamais parlé.— Oui Pascal, j’en ai envie. J’ai tellement découvert en huit jours que je m’en voudrais de ne pas être allée jusqu’au bout de mes fantasmes. Alors, vas-y, encule-moi, mais fais quand même attention ! Et toi, Vincent, reste bien où tu es, je veux sentir vos deux queues à la fois.
Pascal, qui s’est déshabillé entre-temps, bande déjà comme un taureau à l’idée de ce qu’il va déguster : le cul vierge d’une petite métisse de 18 ans ! Il commence par introduire son index dans mon anus, ce qui ne pose pas de problème. Puis, il se met à tourner et à entrer et sortir. Au fur et à mesure que mon sphincter se détend, il accélère son mouvement et introduit un deuxième doigt. Lorsqu’il juge que le passage est suffisamment élargi, il prend mon flacon d’huile solaire qui traîne sur la table de nuit, s’en enduit la queue et la présente contre mon petit œillet. Vincent, pour me détendre, me caresse tendrement les seins et maintient un lent va-et-vient dans mon ventre. Lorsque Pascal entreprend sa première poussée, Vincent s’immobilise. Je gémis un petit peu car, même si j’en meurs d’envie, la défloraison anale est aussi sensible que la défloraison vaginale. Mais Pascal est un gentleman. Il est attentif à toutes mes réactions et continue sa pénétration sans me brusquer. Je suis la première surprise lorsque je sens ses couilles frapper contre mes fesses. Il est complètement rentré !Le père et le fils se mettent alors à bouger en accordant leurs mouvements ce qui me fait penser que Camille a déjà dû se trouver à ma place maintes fois !
Cette découverte supplémentaire, la pénétration anale et la double pénétration en même temps, me gave de sensations nouvelles. Je sens que je ne vais plus tarder à jouir mais je ne sais pas comment je vais jouir. Et tout à coup, ça vient. Je ressens comme un triple orgasme, vaginal, clitoridien et anal. Je suis agitée par des soubresauts incontrôlables qui achèvent la résistance de mes deux amants. Ils éjaculent leur semence tout au fond de mon ventre et de mon cul et se vident jusqu’à la dernière goutte.Puis nous nous affalons pêle-mêle sur le lit, comme morts. Je crois m’être transportée dans un autre monde car j’entends des applaudissements ! Mais non, je ne rêve pas. En fait, ce sont Camille et Morgane, nues et chacune avec son gode enfoncé dans la chatte, appuyées dans l’encoignure de la porte, qui approuvent ma performance. Elles ont assisté au spectacle sans que je m’en rende compte et en ont profité pour se branler.
— Bienvenue au club, ma chérie, tu fais maintenant partie de la famille !
DimancheAujourd’hui, c’est mon dernier jour chez Morgane. Après ce qui s’est passé la nuit dernière, tout le monde en profite pour faire la grasse matinée et récupérer, ce qui est bien nécessaire. En effet, la fête ne s’est pas arrêtée là. Personne n’ayant plus de secret pour personne, c’est une vraie nuit de débauche que j’ai connue, tout le monde baisant avec tout le monde jusqu’aux premières lueurs de l’aube.Puis, anéantis de plaisir, nous avons tous dormi jusqu’en début d’après-midi.A mon réveil, je réalise que, dès demain, les choses sérieuses commencent. Je prépare donc mon sac pour quitter cette maison où j’ai appris tant de choses.
Paradoxalement, toutes ces découvertes sensuelles ne m’ont pas distrait de mon travail. Elles m’ont, au contraire, procuré des plages de détentes qui me donnaient du tonus pour m’amener à réaliser mon objectif : réussir les épreuves du bac puis profiter des vacances ... et de ma nouvelle expérience !Mais ça, c’est une autre histoire ... que je vous raconterai plus tard.
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