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Les Backrooms de l’Apolis

Chapitre 2

Souillé

Gay
Il est 1H55, couvert de sperme d’un inconnu, le q débordant de crachat, en sueur à quatre pattes au fond de la backroom principale de l’Apolis. Je ne dois pas être beau à voir, quoique, de toute façon, on s’en fout, la vue ne fait pas partie des sens à utiliser dans ces moments-là. Mais ça, je vous l’ai déjà dit non ?
Le mec en face se fait toujours troncher, putain qu’est-ce qu’il a de la chance lui ! Elle a l’air pas trop mal la bite qu’il prend en plus. Je décide de m’approcher de l’homme qui le pénètre en aventurant une main sur son torse. Il repousse ma main, sèchement. Bon tant pis, c’est le jeu, les règles, on doit les accepter : on te pousse, c’est non. Ça parfois, il y en a qui ont du mal à comprendre.
J’allais pour me retourner quand le mec reprend ma main avec vigueur pour me la plaquer sur ses couilles. Finalement, il y a moyen. Je ne dois pas être trop à son goût, mais il doit avoir très faim.
Je caresse ses couilles quelques minutes, elles frappent le cul du mec, c’est humide, il mouille tellement du cul et à mon avis, il a dû être bien préparé avant. Je commence à n’en plus pouvoir, lâche les couilles et viens me mettre à côté du passif à quatre pattes. On est côte à côte prêts à se faire défoncer, la seule différence est que le mien est vide.
Plus pour très longtemps, car je sens la main de l’actif commencer à chercher mon trou. Il l’a trouvé. Elle se retire, j’entends un crachat et là ; sans prévenir, le mec m’enfonce trois doigts dans le cul. Ça fait mal, j’essaye de me retirer, mais le mec me retient avec son autre main.J’ai supé mal, il me défonce le q avec ses doigts, je serre les dents, j’essaye de lui dire d’arrêter quand sans prévenir, un autre mec me plaque la tête au sol avec ses chaussures. Le logo imprimé des Nike Air est la seule partie que je voie du mec.
Je sens en fait que je vais passer un sale quart d’heure. Le mec continue à me triturer le q, j’entends les deux mecs qui me retiennent, échanger deux trois mots, puis la chaussure se retire de ma gueule. Je reprends un peu mon souffle et soulève ma face collante de restant de liquide et de crasse de ce sol pourri de backroom. Quelques secondes de répit et là, je la sens, directe, cette queue rentre dans mon cul, d’un coup. Sec.
Par rapport aux trois doigts, c’était pas grand-chose, et surtout bien lubrifié. Une bite moyenne, mais qui me satisfait pour le moment, j’en avais besoin. Le mec ne fait pas dans la dentelle, il me prend par les hanches et me baise comme un animal.Je sens ses couilles frapper mon cul à chaque passage, je sens ses mains se crisper, le mec veut juste se vider rapidement. Puis sans prévenir, j’entends deux râles et je sens le jus couler dans mon cul. Une, deux puis trois giclées chaudes envahissent mon corps et me remplissent. Il m’a fécondé, rempli comme un vulgaire objet, il se lève et disparaît à. A jamais dans la pénombre.
Il est 2H15 et j’ai eu ma première dose.
Je vais pour me relever quand je vois deux mecs se branler au-dessus de moi. Deux personnes plutôt âgées, bedonnantes. Sur le moment, je n’ai pas trop envie de les sucer, j’attends donc juste la bouche ouverte pour récupérer le jus. Je ne vais pas en perdre une goutte, je suis en transe, dans cette ambiance chaude, de râle et de sueur. Un des deux crache rapidement et le jus coule directement sur mon visage et ma bouche, il est épais, chaud et plutôt amer. L’autre essaye encore de se vider pendant quelques secondes, puis part ailleurs, frustré. Moi aussi.
J’en veux encore plus. La nuit vient de commencer, mon trou est loin d’être rempli dans cet océan de bites et de foutre. Je sens me transformer, tel un animal sauvage pris d’une rage incontrôlable, insatiable.
Il est temps pour moi de me relever pour quitter la pièce principale, trop impersonnelle et peu propice aux rencontres intimes. Ce putain de passif à côté de moi se fait encore défoncer, il doit être hors du temps. Je le laisse à son jeu.
Je me dirige vers l’entrée du labyrinthe, 4 couloirs sans lumières agrémentées de recoin, de trous, de slings avec un passage au centre du parcours suffisamment étroit pour que deux corps qui le traversent soient obligés de se toucher.Dans ce labyrinthe, on avance à l’aveugle avec les mains, les paumes sont tes yeux, où ton q et ta bouche sont prêts à rencontrer n’importe quel mec qui veut se vider.
Il fait une chaleur à en crever, une odeur âcre de sueur, de foutre et de bière renversée. On entend des râles, des claquements de couilles sur le cul, des étouffements et quelques discussions à voix basse. On est bien loin du son et lumière de la piste de danse, mais à choisir, je préfère largement le spectacle qui se joue ici.
Je commence à avancer dans le couloir, touche les murs pour me repérer. Je prends un peu de temps pour essayer de m’habituer à l’obscurité ambiante, pour tout du moins essayer de deviner les contours des mecs que je vais croiser. J’avance, puis au premier détour, ma main rencontre la peau chaude d’un mec. On s’observe deux trois secondes, je n’arrive pas vraiment à distinguer.
N’arrivant pas à deviner son intention, je retire rapidement ma main et m’engage pour continuer mon chemin. J’avance de deux pas et je sens une main se coller fermement sur mon cul. Mon pantalon est à moitié remonté, il retombe légèrement sur mes hanches. Il est légèrement trempé de ma sueur et de la première dose de foutre que j’ai reçue il y a quelques minutes.
Je m’arrête, surpris par le geste. Non, pas surpris, mais intrigué. Je vais pour continuer quand une main me prend par l’épaule, me fait retourner et exerce une pression directement pour que je m’agenouille à son niveau. Le pantalon est dégrafé et la bite sortie. Une odeur rance de sueur et de pisse s’ échappe, mais le mec ne me laisse pas le choix. Il exerce une pression sur ma nuque. Il veut bander, il a besoin de se vider et il a trouvé son jouet.
Il est 2h30 à l’Apolis, et je viens de rencontrer Antoine.
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