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Les belles années avec Maman

Chapitre 1

Inceste
Tout commence l’année de mes 19 ans, nous habitons dans un petit village dans le sud de la France, mes parents 42 pour mon père et 39 ans pour ma mère, mon frère 17 ans, ma sœur 14, et moi-même. Au mois de septembre, mon frère est parti à 2 bonnes heures de route, pour un CAP en alternance, ma sœur, elle est au collège dans la grande ville la plus proche à 30 minutes de voiture, mais en internat, et quant à moi depuis quelques mois, je travaille dans la restauration à 20 kilomètres de la maison, il m’arrive de ne pas rentrer pendant ma coupure l’après-midi par manque de temps. Mon père travaille dans l’automobile et enchaîne les heures supplémentaires ainsi que les petits extras au noir pour laisser le soin à ma mère de rester à la maison à s’occuper de nous et entretenir le foyer.
Mais voilà, depuis la rentrée, ma petite maman se sent bien seule toute la journée dans cette grande maison, et cela lui donne le cafard. Je passe donc mes jours de repos avec elle, on va se promener, faire les courses, manger au restaurant, histoire de lui remonter un peu le moral.C’est d’ailleurs après l’une de nos sorties au restaurant que tout a dérapé. Il est quatorze heures quand nous rentrons du restaurant, un peu pompette pour avoir pour une fois un peu forcé sur le vin, maman avait envie de décompresser.
— Tu veux un café mon grand ?— Oui merci maman.
Elle arrive au salon avec 2 cafés et 2 digestifs servis d’office. Nous devisons de tout et de rien, côte à côte dans le canapé.
— Alors le boulot, pas trop dur ? — Une fois qu’on est dedans, ça va maman. Et toi seule à la maison ?— C’est vrai qu’en semaine, quand tu ne rentres pas l’après-midi, je trouve la journée interminable.— Surtout que je ne rentre jamais avant minuit, c’est vrai que cela ne doit pas être facile pour toi ma pauvre maman.
Disant cela, je me rapproche d’elle pour lui passer le bras autour des épaules et la réconforter un peu.
— Sinon niveau sentimental, tu as une petite amie ? me demande-t-elle.— Hélas non, avec le boulot, je n’ai pas trop le temps ni l’envie de sortir.
Je ne suis pas adepte des boîtes de nuit et plutôt casanier, je préfère rester à la maison, je suis d’un naturel timide et réservé, qui plus, bien que plus puceau depuis quelque temps grâce à une ancienne voisine de mon âge pas des plus mignonnes, mais pas des plus farouches non plus, on s’est amusé tous les deux quelques fois.
— Dommage, un beau et grand jeune homme comme toi.
Ce faisant, elle pose délicatement sa main sur ma jambe et commence lentement à la caresser, ce que je laisse faire, n’y voyant là qu’un geste de tendresse d’une mère à son fils.
— Ton père me délaisse un peu en ce moment, il a son caractère, mais je l’aime, il se démène pour que l’on ne manque rien, j’aimerais juste des fois qu’il s’occupe un peu plus de moi.
Disant cela, elle accentue sa caresse et remonte de plus en plus vers mon entrejambe qui commence à gonfler malgré moi, je suis un peu dans le brouillard entre notre conversation, sa caresse et les effets de l’alcool. Je m’enhardis sans trop réfléchir à descendre ma main de son épaule vers son sein gauche que je commence à palper délicatement de peur de sa réaction, mais maman se laisse faire et vient lover sa tête contre mon épaule.
— Ce n’est pas bien mon grand ce qu’on fait, mais c’est tellement bon.
Je prends cela pour une invitation et pose mon autre main sur son genou que sa robe dévoile et commence moi aussi à lui caresser la cuisse en remontant progressivement vers son entrejambe. Aucun de nous ne parle, elle a fermé les yeux et profite de l’instant présent. Son souffle semble s’accélérer légèrement. Je passe ma main sous sa robe et remonte inlassablement vers sa culotte sans trouver de résistance de la part de maman. Jusqu’où cela allait-il nous mener ? Ni maman ni moi nous le savons, mais nous profitons du moment. Elle écarte même les cuisses, j’arrive à l’élastique de sa culotte, je sens le tissu humide, maman mouille, je commence délicatement à lui masser les lèvres et le clitoris par-dessus l’étoffe, de son côté, sa main caresse maintenant franchement la bosse qui déforme mon jean.
— Fais du bien à Maman mon grand.
Je la bascule en arrière dans le canapé, lui écarte délicatement les jambes en remontant sa robe, ne souhaitant pas la brusquer de peur qu’elle se ravise et lui écarte sa culotte avant de m’enivrer de ses effluves intimes. Sa chatte est lisse et douce avec un petit triangle bien entretenu au-dessus m’indiquant clairement la zone à travailler. Je commence par lui lécher les grandes lèvres en lapant son jus puis m’attaque à son clitoris qui commence à gonfler et sortir de sa cachette. Elle se met doucement à gémir de plaisir en se massant les seins.
— Ahhh... Que c’est bon ! Continue mon grand, ça fait tellement longtemps, oui lèche bien comme ça. Lèche-moi bien la chatte, branle-moi avec tes doigts pendant que tu me bouffes le clito.
Je suis quelque peu surpris par son langage et la situation tout de même, mais j’obtempère de bon cœur. Et lui fourre deux doigts bien salivés dans cet antre qui m’a mis au monde. Son jus d’amour est délicieux et a l’air de bien prendre son pied. Pieds qu’elle a d’ailleurs débarrassés de ses escarpins pour mettre ses jambes sur mes épaules en m’enserrant la tête de ses cuisses pour que je redouble de vigueur dans le traitement que je lui administre tout en se massant les seins d’une main et m’agrippant les cheveux de l’autre. Son bassin ondule de plus en plus, et ses gémissements de plaisir s’accentuent.
— Putain c’est bon, oui, t’arrête pas, je viens, je viens..... Ahhhh... Oui putain je jouis...
Tout son corps vibre de ce qu’il semble être un putain d’orgasme et se tend en avant en me pressant la tête à deux mains contre sa chatte puis retombe la tête en arrière, les jambes tremblantes, le souffle court et le visage rouge et en sueur d’une telle montée de plaisir.

A suivre
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