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Les belles années avec Maman

Chapitre 2

Inceste
Maman se redresse et redescend doucement de son petit nuage, je suis toujours en ses jambes à genoux, le jean prêt à exploser de la trique monstrueuse qui habite mon caleçon.
— Ça fait du bien merci mon chéri, à mon tour maintenant, montre-moi ce que cache cette braguette.
Je marque un temps d’arrêt, mais me relève machinalement, sans même réfléchir à ce qui est en train de se passer et m’approche de ma petite maman en déboutonnant mon pantalon, elle écarte mes mains, baisse mon jean et caresse la bosse de mon caleçon.
— Hum, maman va s’occuper de son grand garçon. Voyons voir ce beau paquet.
Sur ce, elle baisse mon sous-vêtement et libère ma bite fièrement dressée au garde-à-vous. Sans être monstrueusement membré, j’arbore une belle bite de 18 centimètres de long assez épaisse. Elle l’empoigne avec douceur, la décalotte et dépose quelques bisous du bout des lèvres sur le gland.
— Beau morceau mon chéri, plus grosse que celle de ton père je dirais, mais aussi longue. Maman va te faire du bien.
Et elle commence à me sucer le gland en me massant les bourses, quelle sensation agréable. Elle gobe la moitié de ma bite et attaque un lent va-et-vient en jouant avec sa langue tout en se massant le clito de l’autre main en gémissant doucement... Gémissements vite rejoints par les miens tant sa pipe est exquise. Je m’aventure à lui poser la main sur la tête pour imprimer une cadence plus soutenue sans opposition de sa part.
— C’est trop bon, maman, continue. Oui, vas-y, suce-moi bien.
5 minutes de ce traitement et je vais exploser, mais c’est elle qui arrête tout d’un coup une divine fellation en me regardant dans les yeux.
— Ne bouge pas mon chéri.
Elle se lève du canapé, défait la fermeture de sa robe et l’enlève, la voilà simplement vêtue d’un soutien-gorge en dentelle très mignon. Elle se retourne, se met à genoux sur le canapé en se penchant en avant langoureusement.
— Viens me la mettre, j’ai trop envie d’une grosse bite dans la chatte, mais lèche-moi encore un peu mon amour, elle est très grosse.
Comment refuser pareille invitation, je lui écarte les fesses et reprends mon cunnilingus de tout à l’heure en m’attardant aussi par moments sur sa rosette, qui n’a pas l’air vierge, mais qui semble lui procurer d’agréables frissons.

— Petit coquin, allez, viens me la mettre, je n’en peux plus d’attendre.
Je me déshabille prestement pour être plus à l’aise et m’approche de ma mère, la bite en main tendue à son maximum et commence à la frotter contre ses grandes lèvres et son clito, histoire de faire durer un peu plus le plaisir. Et je commence doucement à m’introduire en elle, la sensation est divine, cette douce chaleur qui entoure mon sexe, l’étrangeté de la situation mêlée à l’interdit de l’acte. Plus rien ne compte à ce moment que nos deux corps en fusion harmonieuse, j’entame un lent va-et-vient tout en lui ôtant son soutien-gorge pour lui malaxer ses si beaux seins pendant que je la culbute. Maman est aux anges et moi aussi.
— Putain, c’est bon, une bonne bite, vas-y plus fort mon amour, prends-moi bien. Lâche-toi mon grand, baise-moi bien.
Je redouble de vigueur dans mon pilonnage et commence à transpirer de plaisir, sa chatte est trop bonne, je coulisse sous le son de ses gémissements, elle recule d’elle-même pour bien s’empaler sur ma bite. On n’entend plus que le claquement de mon bassin sur son cul et nos râles de plaisir, c’est intense et tellement bon.
— Continue mon chéri, ça vient, oui, c’est bon, vas-y, oui... ahhhhh, oui !!
Sa jouissance entraîne la mienne et je me déverse dans sa chatte dont les spasmes de jouissance drainent la moindre goutte de ma semence dans son antre si doux. Nous sommes tous les deux en sueur, et rouge, je me retire d’elle délicatement et m’assois dans le canapé. Elle se retourne et se pose à mes côtés, tout essoufflée, mais rayonnante de plaisir après ses 2 orgasmes.
— C’était merveilleux, merci, mon chéri. Et maintenant que je sais que j’ai une belle bite à disposition à la maison, je pense qu’on va en profiter tous les deux plus souvent.
Son regard coquin et sa façon de se mordre les lèvres me promettent un avenir des plus sympathiques.
— J’ai adoré maman, si tu veux qu’on recommence, c’est quand tu veux. Ta chatte est trop bonne.— Cochon va. Allez zou à la douche, ça pue le sexe ici, faut aérer, et ton jus me coule entre les jambes.
Se disant, elle se lève, ouvre la fenêtre et prend la direction de la salle de bain. Je la regarde passer devant moi, tellement belle toute nue, bien qu’à presque 40 ans, ma mère reste une belle femme, malgré 3 grossesses et quelques complications de santé l’empêchant d’être très sportive, sa poitrine volumineuse et son bon petit cul encore ferme sont très excitants. Elle s’arrête dans l’encadrement de la porte du salon, se retourne gracieusement vers moi et me fait un clin d’œil assorti d’un sourire qui en dit long.
— Et bien mon grand, zou, à la douche.
Je me lève, me dirige vers ma mère, elle me prend par la main et m’entraîne vers la salle de bain. Je bénis intérieurement ce week-end pénible passé il y a quelques mois avec mon père quand on a refait la salle de bain, viré la baignoire et installé une douche à l’Italienne très spacieuse. Nous rentrons tous deux nus dans la salle de bain, maman entre la première dans la douche pour allumer l’eau et je la suis. Pendant qu’elle passe sous le jet d’eau, elle me tend un gant et le gel douche.
— Frotte-moi le dos s’il te plaît mon chéri.
Ce faisant, elle se lave les cheveux puis le reste du corps, je commence par ses épaules puis descends le long de son dos non sans lui déposer un tendre baiser dans le cou en descendant toujours plus bas vers son fessier, devant la situation, mon sang se rue de nouveau vers ma verge et je retrouve vite une belle gaule. Gaule que ma mère ne manque pas de remarquer en venant se coller contre moi, pressant ma bite dans son sillon fessier.
— Hum, vigoureux dis donc, et prêt pour un deuxième round à ce que je voie mon chéri. J’aime ça.
Je lâche très vite le gant de toilette pour l’enlacer par derrière en plaquant un peu plus ma bite entre ses fesses et en plongeant une main vers son sexe. Puis je la penche doucement et m’agenouille derrière elle pour me trouver à hauteur de sa rosette que je commence à travailler au corps à grand coup de langue.
— Bouge pas maman, je vais aussi m’occuper de ton petit œillet, comme ça, tu en auras pris dans tous les trous aujourd’hui.— Comment tu parles à ta mère cochon ? Ta bite est très grosse, va dans ma table de nuit, au fond du tiroir, il y a un gode et un lubrifiant, va falloir me travailler d’abord.
Gagné, je vais en prime enculer ma mère, quelle journée et quel pied, ça va être serré, que du bonheur. Je ne savais ma mère si cochonne. Je sors rapidement de la salle de bain en essayant de ne pas me casser la figure sur le carrelage, déboule dans la chambre parentale ruisselant d’eau, on nettoiera plus tard, ouvre le tiroir et tout au fond découvre 2 godes de taille modeste et un flacon de lubrifiant. Je retourne dans la salle de bain et quelle ne fut ma surprise de découvrir ma mère toujours penchée en avant, les jambes écartées, une main sur le mur à se maintenir, et la seconde en train de se branler. Décidément.
— Commence par me goder un peu pour m’assouplir le rond. Ton père n’est pas si gros, ça ne va pas être facile. — Je ne veux pas te faire mal maman. Si tu veux, y a pas de soucis.— Je te veux dans mon cul mon salaud, tu m’as allumée en me léchant la rondelle, mais prépare-moi bien et vas-y doucement.— OK maman chérie.
Je me remets en position à genoux derrière ma mère, et repends le travail à grands coups de langue, m’appliquer à bien lui saliver la rondelle puis à la pénétrer du bout de ma langue, ma queue me fait mal à force de bander dur à l’idée de l’enculer. Je prends un gode, le tartine de gel ainsi que son trou et commence doucement à la pénétrer.
— Han. Doucement mon chéri, ça fait longtemps, prends ton temps.
Je pénètre doucement son fondement en lui doigtant le minou, histoire d’apaiser la douleur. Douleur qui s’estompe assez vite sous mon traitement à entendre ma mère gémir. Au bout de 5 minutes de godage délicat, maman me regarde et me dit :
— Vas-y c’est bon, tartine bien ta bite de gel et rentre doucement mon chéri.— Surtout si tu as mal, tu me le dis maman.— Vas-y en douceur.
Je m’enduis la bite de gel, en remets une tartine sur son cul et approche mon gland de sa rosette palpitante, elle m’aide en se cambrant davantage et en écartant ses fesses des deux mains, cette fois la tête posée contre le mur de la douche. Je pousse un peu, son anneau cède et mon gland est comme aspiré, puis se retrouve enserré dans cet étroit fourreau, c’est tellement agréable.
— Hou. Doucement, avance doucement, ça va, mais tu es très gros mon chéri.
Je lui laisse le temps de s’habituer à mon chibre et c’est d’elle-même qu’elle recule vers moi pour que je la pénètre plus profondément.
— Putain maman, c’est serré, mais qu’est-ce que c’est bon, je ne te fais pas mal ?— Non, ça va, mais vas-y doucement.
Progressivement, je rentre la moitié de ma bite dans son cul. Elle se crispe par moments, mais ne dit rien, l’eau continue de ruisseler sur nos corps, la scène est incroyable, un fils qui encule sa mère sous la douche, j’ai l’impression que ma bite augmente encore de volume à cette idée. J’enfonce encore quelques centimètres et vois ma bite disparaître dans son cul, c’est énorme, heureusement que je viens de jouir, sinon j’aurais déjà envoyé la sauce là. Je la pénètre centimètre par centimètre, mon bassin est presque collé à son cul quand je sens sa main sur mes couilles.
— Viens tout au fond, c’est bon mon amour, qu’elle est bonne ta bite dans mon cul, ahhhhh. Tu n’as pas honte d’enculer ta mère sous la douche, petit vicieux.— C’est trop bon maman, c’est serré, j’adore.
Je me colle à elle, je suis à fond dans son cul, je commence un lent va-et-vient pour ne pas la blesser, mais je me rends compte qu’elle aime ça, elle ondule de plaisir et sa main se contracte sur mes couilles.
— Oh, oui encule-moi bien mon chéri, c’est trop bon, donne-moi le gode, que je me remplisse la chatte en même temps, oh, ouais, je vais m’évanouir tellement c’est bon, putain, c’est énorme.— Attends maman, on va changer de place, je m’allonge et viens t’enculer sur moi.— Tout ce que tu veux mon beau.
Je coupe la douche, m’allonge, et maman vient se caler, dos à moi, et s’empale le cul sur ma bite et se remet le gode dans la chatte.
— Oh, oui c’est bon, deux bites en même temps, quel pied, ohh, je viens, je viens.
En très peu de temps, maman a un nouvel orgasme et m’entraîne avec elle, me vidant dans ses entrailles.
— Oh putain maman, c’est bon.— Oui mon chéri, oh vide-toi en moi, quelle bite putain, quelle bite.
Nous nous relevons, et sans un mot, échangeons un baiser passionné où nos langues s’entremêlent dans une danse endiablée dans un câlin très serré. Je rallume l’eau de la douche. Un moment merveilleux encore, suivi d’une douche plus classique avant que chacun retourne à ses occupations avant qu’on remette ça tous les deux.
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