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Les biens-faits d'une cure

Chapitre unique

Avec plusieurs femmes
Je suis inscrit pour une période de quatre jours dans un centre de remise en forme et bien-être. 
La veille au soir, je fais un repas avec des collègues de travail et des amis. J’ai droit à certaines réflexions :
La cure c’est pour les malades, Tu bois de la flotte toute la journée et le soir un potage,On va te rouler dans la boue et te rincer avec une lance incendie.
Mais tout cela ne m’empêche pas d’y aller.
Jour 1. J’entre dans le bâtiment principal. De grandes baies vitrées tout autour de l’accueil central.
— Bonjour et bienvenue, dit la jeune femme assise derrière un comptoir.
Ma position debout me permet d’avoir une vue plongeante sur son décolleté. La veste blanche serrée sur sa poitrine comprimée laisse voir la naissance de la raie entre ses seins. Elle se lève en affichant un large sourire. Son corps un peu rond contraste avec son visage fin au nez retroussé.
— En quoi puis-je vous aider ? demande Natacha inscrit sur un badge épinglé à sa veste.
— Bonjour, je suis monsieur B., j’ai une réservation pour quatre jours.
— Une réservation ? demande-t-elle en riant, ou une cure ! ajoute-t-elle en cherchant un dossier sur le bureau.
— Oui...une cure.
Elle lit les informations me concernant, les activités et soins prévus durant mon séjour tout en jouant avec une mèche de cheveux bruns derrière son oreille.
— Bien Monsieur B., pour commencer vous allez déposer vos affaires dans la chambre numéro 124, premier étage au fond à droite en passant par ce couloir, m’indique-t-elle en pointant son doigt boudiné, surmonté d’un faux ongle, vers la droite. Ensuite vous revenez ici.
Tout le rez-de-chaussée est vitré, de petites pancartes sur les murs orientent les curistes vers les différentes salles pour les soins, les piscines, les massages. 
Á mon retour, Natacha discute avec un homme en blouse blanche.
— Monsieur B., voici le docteur D. qui va vous suivre pendant votre cure, dit-elle avant de s’assoir derrière le comptoir. Si vous avez des questions ou des demandes faîtes le 12401 sur le téléphone dans votre chambre.
— Bonjour monsieur, dit le docteur D. accompagné d’un signe de tête.
— Bonne cure ! ajoute la réceptionniste avec un large sourire et un clin d’œil.
Le docteur m’explique le déroulement de la cure, le suivi et le bilan en fin de séjour pour chaque participant.
Á 10h05, j’entre dans le bureau de la nutritionniste, Marie.
Femme rousse, aux cheveux courts et au corps élancé. Elle consulte mon dossier. Elle est assise au fond de son fauteuil, la jupe fendue sur le côté laisse apparaître un bas noir transparent.
— Le petit-déjeuner est servis à partir de 6h45 dans la chambre, dit-elle d’une voix douce mais ferme. Le déjeuner à 12h15 dans la salle commune et le dîner à 19h.
Elle m’explique qu’il est hors de question d’apporter de la nourriture venant de l’extérieur dans les chambres. Si je souhaite manger à l’extérieur je dois prévenir 24h à l’avance.
— Et vous verrez que vous sortirez d’ici en meilleure forme. Maintenant déshabillez-vous !
Je suis surpris par sa demande.
— Ne craignez rien ! ajoute-t-elle se tenant en appui contre le bureau, je dois vous ausculter au début de la cure pour avoir une base de données. Nous le ferons tous les matins à 8h00 jusqu’à votre départ.
Je m’exécute. Assis sur la table d’examen elle écoute mon cœur, me demande de tousser. Le contact entre ma peau et le bout froid de son appareil me fait sursauter. Elle teste ensuite les réflexes des genoux. Sa main libre est si haute sur ma cuisse qu’elle peut toucher ma bite si elle tend les doigts. La peau rugueuse de ses mains est l’opposé de celle de son cou qui semble douce. 
Mon regard se pose sur sa grosse poitrine sous la blouse. Il y a un bouton de défait laissant voir le haut de ses seins. Je peux sentir son parfum de fleurs m’envahir les narines.
Elle me demande d’aller contre le mur. Marie se hisse sur la pointe des pieds pour lire ma taille et pose une main sur mon épaule. Je sens un contact entre mon bras et sa poitrine. 
Elle retourne à son bureau. Sa démarche est rapide, le dos droit, les épaules en arrière faisant encore plus ressortir sa poitrine. Une fois à genoux, elle pousse une balance devant mes pieds. Je ne peux m’empêcher de voir sa cuisse dans l’échancrure de sa jupe. Elle relève la tête en s’attardant quelques secondes sur ma taille puis se relève. Nos visages ne sont qu’à trois centimètres l’un de l’autre.
— Ce n’est pas raisonnable ! dit-elle en passant sa langue sur ses lèvres.
— Qu’est-ce qui n’est pas raisonnable ? dis-je en posant une main sur sa hanche.
Je sens sa peau chaude à travers sa blouse.
— De se laisser aller avec le premier jeune homme venu dès le premier jour ! répond-elle en fermant les yeux et se mordant la lèvre.
Ma main glisse sur ses fesses. Elle ouvre ses yeux couleurs noisettes et me défie du regard. Ses doigts passent sous l’élastique de mon caleçon et attrapent ma bite. Je fais pareils en passant par l’ouverture de sa jupe sur le côté. Je sens le bas sur sa cuisse, j’avance encore et je touche direct une touffe de poils entre les cuisses. Elle ne porte pas de culotte. Sa main caresse ma bite maintenant hors du caleçon. On se caresse, on se branle en même temps. Mes doigts glissent dans sa fente humide et baveuse. Les siens tournent autour du gland, caressent les couilles. D’une main experte elle me fait jouir en quelques minutes.
— Le rendez-vous est terminé, vous pouvez vous rhabiller et sortir. A bientôt...et soyez sage ! me lance-t-elle avec un clin d’œil avant de s’assoir derrière son bureau.
11h40. Je sors de son bureau. 
Sans réaliser ce qui vient de se passer, j’avance dans les couloirs vitrés. J’ouvre des portes pour voir ce qu’il y a derrière. Des vélos d’appartement, des tapis de marche et autres équipements pour faire de l’activité physique.
Je vais dans ma chambre. Je me prépare pour aller prendre le repas dans la salle commune.
13h. De retour dans la chambre je m’allonge. J’attrape un livre et je patiente jusqu’à 13h45. Je me prépare et sort. J’avance vers la piscine, vêtu d’un peignoir bleu. Je n’ai pas de maillot de bain alors je suis un caleçon. 
Quand j’ouvre la double porte battante, je reçois un courant d’air chaud au visage. Il y a déjà des personnes dans un bassin relié à un autre puis encore à un autre comme des vases communicants. Toutes portent un bonnet de bain bleu ou blanc ou vert. Je constate que je suis le plus jeune, la moyenne d’âge est de 75 ans. 
Je comprends ce que veut dire Marie : se laisser aller avec le premier jeune venu. Je souris.
— Monsieur B. ? demande un homme en short et tee-shirt au bord de la piscine.
Je confirme d’un signe de tête. Il m’invite à le rejoindre. Après 2 heures de mouvements dans et hors la piscine, il nous annonce la fin de l’activité.
Quand je sors, j’ai les doigts de pieds fripés car trop restés dans l’eau chlorée. Je m’allonge sur une chaise longue et je m’endors.
— Á peine arrivé et déjà fatigué ! dit une voix de femme.
— Hein....Quoi ! dis-je en me redressant.
Après quelques instants, je réalise où je suis. Une femme est assise à mes pieds sur la chaise longue.
— Vous êtes du groupe bleu, ajoute-t-elle en pointant mon bonnet de bain.
J’écoute son explication sur la différence des couleurs des bonnets puis je pars dans ma chambre. Une fois à l’intérieur, je jette le peignoir sur le lit. J’ouvre quand on frappe à la porte. Après une seconde de surprise, Natasha me demande si tout va bien.
— Oui ça va merci, répondis-je.
Elle m’examine de la tête aux pieds en s’attardant sur ma taille, le caleçon mouillé plaqué sur mes fesses. Un regard dans le couloir et elle rentre dans la chambre, fermant la porte derrière elle. Elle me plaque contre le mur et se colle à moi.
— J’en ai assez de voir tous ces...vieux dégarnis, bedonnants, ajoute-t-elle en me caressant, frottant sa poitrine contre la mienne.
Le haut de son crâne passe sous mon menton. Je sens ses lèvres sur mon torse, puis sa langue sur un téton. Tout son corps se frotte contre le mien. Elle glisse une de mes jambes entre les siennes. Nos regards se croisent. 
Sans un mot je lui prends la tête entre les mains et l’embrasse à pleine bouche. Nos langues se mêlent comme dans un duel. J’empoigne ses fesses que je pétris comme de la pâte, je claque fort. Elle pousse quelques cris. Je ferme le verrou de la porte.
Je la plaque face contre la porte. La poitrine écrasée, je passe mes pieds entre les siens et les écarte. Je frotte mon pubis contre le bas de son dos. Elle cambre les reins, je plie les genoux pour coincer ma bite encore molle contre ses fesses. 
Elle dégrafe sa blouse, elle ne porte pas de soutien-gorge. Ses tétons durs glissent contre la porte. Elle souffle rapidement. Elle gémit quand je glisse une main sous son pantalon. Je ne rencontre aucun sous-vêtement, aucun poil sur sa chatte. Je sens sous mes doigts ses lèvres épaisses. Elle frappe du poing contre la porte lorsque j’enfonce deux doigts dans sa fente. 
Je lui mords l’oreille. Je fais pression sur son corps, je l’écrase. Je quitte mon caleçon et frotte ma bite maintenant dure contre ses fesses, entre ses cuisses. Sa respiration est rapide. Elle ondule du bassin contre mes doigts dans sa chatte de plus en plus humide et ma bite contre ses fesses.
Je la tourne dos à la porte. Une fois nue, j’attrape ses poignets pour les tenir au-dessus de sa tête. Je me frotte à elle, nos tétons se touchent, ma bite frotte contre son ventre qu’elle regarde en passant sa langue sur ses lèvres. Elle se laisse glisser à genoux. Elle plaque ses mains sur mes fesses et m’attire vers elle. 
Je la regarde, bouche ouverte, langue tirée qu’elle pose sur mon gland décalotté. La caresse est douce, chaude. J’enfonce ma bite au fond de sa gorge. Je vois ses joues gonflées. Elle essaie de la faire entrer toute entière. 
Elle salive beaucoup. Je sors ma bite, frappe ses joues puis m’enfonce à nouveau. Je prends sa tête entre mes mains et force encore un peu. Je sens que je suis au fond de sa gorge. Encore un petit coup de rein et je suis tout entier dans sa bouche. Je l’entends déglutir pour une gorge profonde, de la bave coule sur son menton, sur ses seins. J’utilise sa bouche comme une chatte dégoulinante. Sa tête frappe contre la porte avec un rythme régulier, plusieurs fois de suite.
— Monsieur B...tout va bien ? résonne une voix de l’autre côté de la porte. Les coups reprennent. Puis silence.
Je m’arrête. Une enveloppe est glissée sous la porte. Natasha se relève. Elle continue de se frotter à moi, tenant dans ses mains ma bite couverte de salive. 
Je l’embrasse. Je l’attrape sous les bras puis la soulève. Toujours plaquée dos au mur, elle m’encercle avec ses jambes puis je la laisse descendre sur ma bite qui s’enfonce comme dans sa bouche quelques secondes auparavant.
— C’est bboooonnn, gémit-elle.
J’accélère le rythme. La pénétration devient plus rapide, plus déchaînée. Nos bouches se collent, mes hanches cognent contre sa taille. Mes couilles frappent contre ses fesses.
— Ooohh ouiiiii j’en veux encore, crie-t-elle en enfonçant ses ongles dans mon épaule.
Je la porte jusqu’au lit. Je reste debout entre ses cuisses. Ses seins glissent sur les côtés de son torse, les tétons dressés au milieu de petites auréoles. Je m’enfonce en elle avec encore plus de force pour la pénétrer encore plus loin. Les lèvres épaisses de son sexe font comme ventouse sur ma bite. Quand mon pubis frotte contre le sien, je vois son clito dur qu’elle masse, branle.
— Vas-y...encore plus fort, dit-elle en écartant les cuisses presque en grand écart.
Je m’enfonce encore plus vite et plus fort. Ma bite sort parfois de sa fente pour s’enfoncer à nouveau. Elle crie, elle râle. Nos corps sont en sueur.
Je monte accroupi sur le lit, remontant les cuisses de Natasha contre sa poitrine. Je la baise. Je glisse en elle en venant frapper mes couilles contre ses fesses. Ma bite est couverte de son jus, elle mouille beaucoup. Après plusieurs minutes de baise intense, son visage se crispe. Sa respiration s’arrête, elle ouvre la bouche en manque d’air, puis d’un coup corps se crispe, se met à trembler. Les muscles de sa chatte serrent ma bite.
— OOooohhhh oouuuiiiiiiii ! crie-t-elle en me serrant avec force contre elle.
Je me laisse tomber sur le lit.
Après un rapide baiser, elle se rhabille et sort.
— Á bientôt, me dit-elle avant de fermer la porte.
Je ramasse l’enveloppe contenant une feuille avec le programme de mon séjour. Une note manuscrite en bas de page : Appelez-moi si besoin. 104. Nutritionniste M.
Jour 2.7h15, on frappe à la porte. Je me lève pour aller ouvrir.
— Bonjour Monsieur B., je suis Samantha, j’apporte le petit-déjeuner, dit-elle en passant devant moi.
Elle porte un pantalon bleu ciel, une veste blanche manche courte à boutons, des sabots en plastique. Sa tête est couverte par une charlotte. 
Une fois le plateau posé, elle s’apprête à sortir quand elle me voit debout en caleçon près de la porte. Un petit sourire fend son visage fin aux grands yeux noirs.
— Vous êtes content de me voir ?...ou alors...! ajoute-t-elle en posant son regard sur ma taille.
Je baisse les yeux et je vois mon caleçon tendu par mon sexe en érection. Je suis gêné alors j’attrape ce que je trouve à portée de main pour me cacher. Elle s’avance vers moi d’un pas lent, pose un doigt sur sa bouche et lèche ses lèvres.
— Ne soyez pas gêné, dit-elle, j’en ai vu d’autre. Je connais un moyen pour remédier à ce petit problème.
Sur ces mots elle ferme la porte de la chambre. Elle me pousse dans la salle de bain jusqu’aux toilettes. D’une main elle tire sur l’élastique du caleçon et sort ma bite qu’elle caresse doucement. Elle se place dans mon dos, pose l’autre main sur ma hanche.
— C’est l’érection du matin due à la vessie pleine qui appuie sur la base du sexe.
Elle passe une main sur mon ventre, puis sur mon pubis et exerce quelques pressions.
— Il suffit de vous laisser aller, d’uriner et ça va passer.
Quelques secondes plus tard, je sens l’urine venir et se déverser dans les toilettes. Une fois terminé, sa main descend et attrape mon sexe en formant un cercle à la base.
— Maintenant il faut le secouer un peu pour faire tomber la dernière goutte, ajoute-t-elle en passant la tête sur le côté.
Mon sexe tressaute entre ses doigts agiles. Le résultat n’est pas celui que je veux. Avec cette caresse, ma bite gonfle, durci. Samantha regarde en faisant un « O » avec sa bouche pour exprimer sa surprise. Elle serre un peu plus ses doigts sur ma bite maintenant tendue.
— Quel moyen avez-vous pour remédier à ce petit problème ? dis-je en pointant un doigt sur ma bite au gland décalotté.
La réponse ne se fait pas attendre. Elle m’assoit sur la cuvette des toilettes, se met à genoux entre mes cuisses. Elle branle ma bite doucement en tirant pour bien décalotté le gland. Je vois sa langue lécher ses babines. 
Elle s’avance et pose sa bouche sur ma bite. C’est chaud, doux. Sa langue tourne sur le gland, ses lèvres se resserrent sur le bout avant de glisser vers mon pubis. Elle m’avale autant qu’elle peut. Je sens le gland buter au fond de sa gorge. Elle me suce de plus en plus fort et vite. Elle salive beaucoup. 
De temps en temps je l’entends déglutir et souffler fort. Je tends le bras pour caresser ses fesses, pour les claquer. Á ce contact elle lâche un cri. De l’autre main, j’appuie sur sa tête pour m’enfoncer plus loin encore dans sa bouche. Son nez frotte maintenant contre mes poils pubiens. 
Après plusieurs minutes de fellation rapide et profonde je prends sa tête par le menton et appuis le bout de ma bite couvert de salive sur sa bouche ouverte. Mes couilles se contractent et j’éjacule sur ses lèvres, sa langue. Quelques gouttes coulent sur sa joue. Elle me fixe et avale.
— Voilà un des moyens que je peux vous proposer, dit-elle en sortant de la salle de bain.
8h45. Je suis dans la salle pour les activités physiques. Je commence par faire du tapis de marche. Ensuite du vélo, rameur. 
Á midi je n’en peux plus, je suis épuisé. Je transpire depuis ce matin. J’ai mal aux jambes et au dos. Je me dirige vers la salle commune pour le repas.
14h10. Je suis assis en peignoir dans une petite salle d’attente aux murs verts avec d’autres personnes. Une porte s’ouvre.
— Monsieur B. ?
— Bonjour, oui, dis-je en me levant.
— Bonjour, je suis Ingrid, je vais m’occuper de vous.
Je la suis dans le couloir. Ses hanches larges et rondes ondulent devant mes yeux à chacun de ses pas.
— Quittez votre peignoir et allongez-vous sur la table, dit-elle en ouvrant une porte.
Je la regarde qui s’active dans la pièce. Malgré sa forte corpulence, elle se déplace avec rapidité, ses gestes sont précis. Après quelques minutes elle s’approche en tenant un récipient remplis d’une substance verte.
— Que je vous explique ce que je vais faire, dit-elle en souriant. Ses yeux d’un bleu très clairs sont hypnotisants.
Tout en m’expliquant le processus du soin, elle enduit mes jambes d’argile. C’est tiède et un peu visqueux. Elle en applique partout en faisant des cercles avec ses mains gantées. Une fois tout le corps couvert, elle pose une protection sur mes yeux.
— C’est pour éviter que ça ne coule dans les yeux, explique-t-elle, ne bougez surtout pas...à tout à l’heure.
Je suis complètement couvert d’argile. Je ressens beaucoup de chaleur sous la couche de boue. Mon corps chauffe. Après trente minutes j’entends le bruit d’une porte qui s’ouvre puis se referme. 
Je pense à ce qu’a dit une amie la veille de mon départ :On va te rouler dans la boue et te rincer avec une lance d’incendie. 
Je souris, je sens l’argile qui craque autour de ma bouche, pareils si je bouge un peu le bras.
— Est-ce que ça va ? dit une voix de femme.
J’articule oui doucement. 
On me retire la protection sur les yeux. Les rideaux devant les vitres sont tirés, il fait sombre dans la pièce. J’ouvre les yeux. Je vois le buste nu d’Ingrid au-dessus de ma tête. Ses gros seins tombent sur son ventre rond. Les petites auréoles entourent des gros tétons sur lesquels sont posées des pinces. Un collier autour du cou relié avec une chaîne aux pinces des tétons. Elle ne bouge pas, le regard fixé devant elle.
— Vas-y maintenant ! dit la voix d’une autre femme entendue auparavant. Je reconnais celle de la nutritionniste qui apparait dans mon champ de vision au bord de la table. Elle porte une blouse blanche.
Ingrid commence à retirer l’argile séchée avec ses mains gantées. La chaîne bouge à chacun de ses mouvements tirant un peu sur les tétons. Parfois elle se penche trop et ses seins écrasent ma tête. Je vois un peu d’argile au milieu de sa poitrine.
— Arrête ! ordonne Marie quand Ingrid se relève.
Une main prend la chaine et la place entre mes dents.
— Continue maintenant...et toi tu serres les dents ! ajoute-t-elle à mon intention.
Le résultat est prévisible. Quand Ingrid se relève, la chaine tire sur les pinces accrochées aux tétons. Puis se relâche quand elle se penche et recommence. Jusqu’au moment où Ingrid se relève d’un coup sec, aidé par Marie. Les pinces tirent sur les tétons et lâchent d’un coup la prise. Ingrid pousse un gémissement, je ne sais pas si c’est de douleur ou de plaisir.
Après avoir retiré un maximum d’argile, la nutritionniste me demande de me lever. Ingrid passe un gant humide sur mon torse debout devant moi. Marie regarde la scène assise nue sur une chaise. 
L’eau tiède coule sur mon torse, mon ventre, mon caleçon trempé et couvert d’argile. Je les regarde tour à tour. Ingrid est complètement nue devant moi, les pinces à nouveau posées sur ses tétons. Elle retire ses gants. Elle reste debout face à moi, entre mes cuisses écartées, les mains dans le dos. Marie se lève. 
Je ne sais pas quoi faire. Elle s’avance dans notre direction. Une claque sèche sur les grosses fesses d’Ingrid qui s’agenouille sans rien dire. Elle pose l’arrière de la tête d’Ingrid contre son intimité poilue. Elle se déhanche contre le crâne de sa collègue. Elle tire sur la chaine. Ingrid place alors ses mains derrière son dos et penche la tête. 
Marie me pousse contre la table de massage derrière moi. Elle pose ses mains sur la table où je suis maintenant assis. Penchée sur moi, elle vient frotter son entrecuisse sur le visage d’Ingrid. Elle ondule du bassin, elle cambre les reins.
— Enlève ton caleçon, dit-elle entre deux gémissements.
Ma bite apparait humide, quelques traces d’argile. Je sens la langue de Marie sur le gland, puis ses lèvres autour, avant d’enfoncer ma bite dans sa bouche. En serrant les lèvres, elle décalotte le gland. Je vois ma bite disparaître entièrement dans sa bouche en une seule fois. Elle fait une gorge profonde direct. Je peux aussi sentir son nez contre mon pubis. Le bout de sa langue lécher mes couilles. Elle salive beaucoup, déglutit. 
Les mouvements de son bassin deviennent plus rapides, plus saccadés sur le visage d’Ingrid. Je pose une main sur sa tête mais d’un geste du bras Marie la retire. Son corps bouge, ondule, avance et recule. La bouche sur ma bite et sa fente sur le visage d’Ingrid. 
Elle contrôle les pénétrations et la vitesse. 
Après quelques minutes elle se relève, le menton couvert de salive. Elle écarte un peu plus les cuisses, pose une main sur le crâne d’Ingrid et se frotte plus vite et plus fort. Ses gros seins se balancent comme des cloches sous son buste. 
Pendant le cunnilingus son visage se crispe, elle retombe sur la table prenant ma bite encore couverte de salive dans sa bouche. Elle me suce rapidement, l’enfonçant si profond que son front bute contre mon pubis. Elle écrase et frotte son bassin avec force sur le visage couvert de mouille d’Ingrid. Je les entends gémir presque à l’unisson. 
Ses jambes commencent à trembler, elle appuie ses avant-bras sur la table enfonçant ainsi ma bite encore plus loin dans sa gorge. Je pose une main sous son menton et l’autre à l’arrière de son crâne. Elle déglutit très fort, de la bave coule sur mes couilles. 
J’accélère le rythme et la cadence. Parfois je vois ma bite toute dehors couverte de bave et j’appuie d’un coup pour lui baiser la bouche. 
Plusieurs minutes de ce traitement et je sens mon jus monter dans ma bite. Lorsque j’explose en plusieurs jets au fond de sa gorge, elle donne des coups de reins violents et expulse des jets qui inondent le buste et le visage d’Ingrid. 
Je sens contre ma main la gorge de Marie qui avale mon sperme. Puis elle se laisse glisser à genoux sur le sol. 
Ingrid reste un moment assise avant de se lever. Elle me prend la main et m’emmène sous la douche. Á notre retour, Marie n’est plus là. 
Je retourne dans ma chambre. Je rencontre Natasha dans les couloirs.
— N’oubliez pas votre séance au sauna ! dit-elle en s’éloignant.
17h15. Je me dirige vers le sauna, un cube de bois de trois mètres de côtés environ posé près de la piscine couverte. J’entre. Un banc en bois fait tout le tour. Un homme est assis dans un coin. Un hublot rond perce la porte.
— Bonsoir, me dit-il d’une voix grave.
— Bonsoir, répondis-je.
Je me détends et ferme les yeux. La vapeur remplit la pièce, je distingue l’homme assis en face de moi. Il commence à me parler, me demande pourquoi je suis là, qu’est-ce que je fais dans la vie. Je lui réponds par politesse.
— Et vous avez vu Natasha ? me demande-t-il encore. Un sacré bout de femme...hein ?
— Oui c’est vrai, une femme énergique.
— J’aime quand elle me masse, quand elle arrive à...et il continue à me raconter les petits plaisirs qu’ils sont eu ensembles.
On toque sur le hublot. Ingrid nous regarde, fait un signe de la main avec le pouce vers le haut. Je réponds oui par un mouvement de la tête. Puis elle disparaît.
— Aahh Ingrid ! continue-t-il, elle aussi une belle femme. J’adore ses rondeurs, ses formes surtout quand elle...
Je vois la serviette sur sa taille quelques secondes plus tôt glisser à ses pieds. Il pose une main sur son sexe qu’il masse, qu’il écrase. Il décalotte le gland. Je vois grossir son sexe rapidement. 
Tout en discutant, il se masturbe doucement. Je ne peux détacher mon regard de cette bite dure, épaisse et longue qui se dresse entre ses cuisses. Je pense avoir une grosse bite mais là c’est encore plus gros. Le gland rouge vif est de la taille d’une grosse prune. Je vois sa main qui coulisse sur cette queue monstre. Il couvre et découvre le gland à chaque mouvement.
— Elles aussi ne peuvent pas s’empêcher de la regarder, me dit-il. Elles craquent et finissent par y goûter.
Je reste dans mon coin sans bouger. Il pose ses mains sur sa bite, le gland dépasse encore de plusieurs centimètres et se branle des deux mains avec force. 
Il se penche en avant et je le vois poser les lèvres sur le bout de sa queue. Il suce son gland en continuant de se branler. C’est impossible jusqu’à ce que je le vois. Quelques secondes plus tard il tend les jambes, ses mains le branlent encore plus vite. Il éjacule sur son ventre, ses cuisses. Il relâche sa bite qui tombe sur son ventre. 
Je sors sans bruit, sans un mot.
19h. Je prends le repas dans la salle commune. Le personnel de salle s’active, comme une danse autour des tables. Je regagne ma chambre quand je termine. Je prends un livre, je regarde la télévision...rien d’intéressant. 
Je sors de ma chambre. Je me déplace dans les couloirs du centre désert à cette heure tardive, bientôt 23h30. Je vais m’allonger sur une chaise longue derrière la baie vitrée de la piscine. Je regarde les étoiles à travers la vitre. Personne, pas un bruit jusqu’à ce que j’entende une voix derrière moi.
— Alors...nuit blanche ?
Je vois deux silhouettes s’avancer vers moi pour enfin découvrir le visage fin de Samantha.
— Oui, dis-je.
— C’est le veilleur de nuit, ajoute-t-elle en pointant l’homme du doigt. Nous faisons le tour comme chaque soir.
L’homme poursuit sa marche dans le couloir. Samantha s’approche de moi. Elle porte un pantalon sombre, un teeshirt clair serré.
— Si vous n’arrivez pas à dormir attendez-moi...j’ai un moyen de vous occuper ! finit-elle par dire.
Vingt minutes plus tard Samantha me rejoint devant la baie vitrée. 
Elle me regarde semblant réfléchir. Elle me prend par le bras et m’entraîne vers le sauna. Elle s’arrête contre une table. Elle se jette sur moi, m’embrasse, ses mains courent sur mon torse, mon dos, sur mon visage.
— Je n’en peux plus, dit-elle entre deux baisers. Depuis l’autre matin je ne pense qu’à toi...qu’à ta bite !
Je réponds à ses avances de la même manière. J’enlève son teeshirt sous lequel ses petits seins apparaissent sans soutien-gorge. Je l’assois sur la table et fais glisser son pantalon. 
Elle est nue. Je l’embrasse et l’allonge sur la table. 
Nos bouches se collent, nos langues se mêlent. Ma langue lèche son cou, puis ses seins aux tétons durs. 
Je descends encore sur son ventre. J’attrape ses chevilles que je remonte, j’écarte ses jambes. Sa fente sans poil se dessine sous les lueurs de la lune. Je plonge la tête entre ses cuisses et suce son bouton, lèche sa fente humide. Ma langue s’enfonce en elle.
— Ouuiii, gémit-elle en appuyant ma tête contre sa chatte.
Elle tire encore plus ses genoux contre sa poitrine pour bien s’ouvrir et me permettre d’entrer plus profond en elle. Sa chatte s’ouvre, mon nez frotte contre son clito. Du bout des doigts elle ouvre, écarte les lèvres de sa chatte pour que j’enfonce ma langue plus loin en elle. 
Je tends les bras pour caresser ses seins, titiller les tétons entre mes doigts. J’ouvre les yeux et je vois une tête penchée sur Samantha. 
Le visage de Marie apparaît. Elle me sourit puis se redresse. Samantha tend les bras au-dessus de sa tête pour attirer sa collègue qui ne tarde pas à retirer ses vêtements. Marie monte à genoux sur la table et s’assoit sur le visage de Samantha qui pose ses mains sur les fesses. Le menton frotte contre les poils. 
Elle remue du bassin sur le visage, le frotte d’avant en arrière. Marie tire sur les tétons de sa partenaire, attrape les chevilles. Elle passe les jambes sous ses bras et se couche en position 69. Nos bouches sont proches, on s’embrasse puis nos langues jouent sur le bouton, dans la fente dégoulinante de Samantha.

— J’en veux encoooooore, gémit-elle.
Pour la faire taire, Marie s’assoit avec force sur le visage entre ses cuisses. Les mouvements du bassin s’enchaînent rapidement. Le menton se couvre de jus intime. 
Elle m’attire vers elle. Le pantalon et le caleçon sur les chevilles, Marie se penche et me suce. Elle maintient toujours les jambes coincées sous ses bras et dirige ma bite contre la chatte humide de Samantha. Le contact est chaud. Mon gland glisse sur la fente, cogne contre le bouton avant de disparaître en elle. 
Marie m’attrape par les hanches et imprime le mouvement à mon bassin. J’entends Samantha gémir, souffler. Ma bite sort et la pénètre rapidement, mes couilles frappent son petit cul. Marie en profite pour sucer et lécher le bouton dur et gonflé sous sa langue, mais aussi pour glisser deux doigts dans l’anneau brun. 
Cette pénétration est le point final pour Samantha. Son corps se crispe, elle empoigne les fesses de Marie en plantant ses ongles dans la chair tendre. Un liquide blanc recouvre ma bite qui continue de la baiser. 
Je m’accroche à ses hanches pour la maintenir en place tant l’orgasme la secoue. Les muscles de sa chatte se contractent sur ma bite. Quand je suis sur le point d’éjaculer, je me retire. Marie me prend en bouche et j’explose. 
Du sperme coule sur son menton, sur la fente dégoulinante de cyprine de Samantha. Je m’écroule dans un fauteuil. Marie descend de la table et s’en va en silence. Samantha vient s’assoir sur mes genoux pendant quelques minutes avant de partir.
Jour 3. 7h30. Je suis réveillé par la porte de ma chambre qui s’ouvre puis se ferme.
— Petit-déjeuner ! dit une femme en ouvrant les rideaux.
Samantha me regarde encore couché.
— Allez debout, une bonne journée est une journée qui commence tôt, ajoute-t-elle en me secouant par l’épaule et soulevant la couverture.
Je ne supporte pas d’être brusqué le matin au réveil.
— Qu’est-ce qui vous prend ce matin ? dis-je en me levant d’un bond, il n’y a pas le feu !
Sous l’effet de surprise elle fait un pas en arrière, bute sur la table à roulette et renverse une tasse. Quelques secondes passent pendant lesquelles personne ne bouge, pas un mot.
— Excusez-moi ! dit-elle enfin.
Son regard passe de mon visage à mon caleçon. Je regarde à mon tour. J’ai une érection. Elle fait demi-tour, je la suis et avant qu’elle ne sorte je claque la porte devant elle. Samantha reste face contre cette porte sans bouger, la main toujours sur la poignée.
— Est-ce que vous avez un nouveau remède pour ce petit souci ? dis-je en m’appuyant contre elle.
Ma bite tendue effleure ses fesses, se glisse entre ses cuisses. Je pose mes deux mains au-dessus d’elle sur la porte, je bouge mon bassin contre son cul. Elle passe les mains dans son dos, me caresse le sexe à travers le caleçon. Elle se tourne vers moi, pose un baiser sur mes lèvres. 
Puis soudain elle m’attrape les couilles et serre très fort, vraiment fort. Je me plie sous la douleur. J’essaie de crier mais aucun son ne sort.
— Oui j’ai un nouveau remède...mais pas ce matin ! dit-elle à mon oreille sur un ton menaçant qui n’attend pas de réponse.
Je reste assis par terre en me tenant les couilles. Samantha sort.
9h. Je suis dans la piscine pour faire de l’aqua gym.
Je regarde les autres participants. J’ai l’air idiot avec mon bonnet de bain en train de faire le papillon dans l’eau. Je pense à nouveau à ce qui s’est passé ce matin.
— Allez monsieur B., un peu d’énergie, me lance le responsable de l’activité.
Sans finir l’exercice je sors de la piscine. Je passe le reste de la matinée à faire du vélo, du rameur. Je croise Samantha dans les couloirs, pas un mot, juste un regard. Natasha m’informe du programme de mon après-midi : sauna, massage.
Après la séance au sauna j’attends dans un petit couloir. Samantha ouvre la porte.
— Je suis désolé de...
— N’en parlons plus ! dit-elle avant que je ne finisse ma phrase. Vous êtes un patient et nos relations s’arrêtent là. Elle s’écarte pour me laisser entrer.
— Ok ! répondis-je simplement.
J’entre dans la pièce remplie de vapeur, une odeur de fruits flotte dans l’air. Il fait chaud.
— John va s’occuper de vous ! ajoute-t-elle en sortant.
Je m’allonge sur le dos sur la table. Il commence le massage. Les muscles sont massés, les bras et jambes étirés. Puis je me tourne. Au bout d’une heure je sens tous mes muscles chauds. Il me couvre d’une couverture de la tête aux pieds.
— Vous pouvez rester là un moment avant de sortir, dit-il.
J’entends le bruit d’une porte puis le silence. Je me sens bien, mon corps est calme. Je compte encore jusqu’à dix...J’ouvre les yeux.
Jour 4. 7h30. On frappe. La porte s’ouvre sur un homme.
— Bonjour monsieur, dit-il en posant le plateau du petit-déjeuner.
— Bonjour merci.
Puis il sort. Je termine le petit-déjeuner et je sors.
Je me rends dans le bureau de Marie. Elle porte toujours sa blouse blanche. Elle reste professionnelle
— Comment s’est passée votre cure ? demande-t-elle.
— Euh...Bien merci, dis-je.

— D’accord.

Elle sort un dossier, fait le bilan.
— Je vais vous examiner une dernière fois, dit-elle en se dirigeant vers la table d’examen.
Une fois l’examen terminé, elle s’approche de moi pour se coller à mon bras.
— J’espère que vous avez apprécié les séances...parce que maintenant c’est à moi d’en profiter !
Sans attendre de réponse de ma part, elle retire sa blouse sous laquelle elle est nue, seulement vêtue des bas noirs. Sa poitrine lourde reste ferme. Elle se frotte contre moi. Ses doigts me pétrissent les fesses, tirent sur mes tétons. Ses mains me caressent, me giflent. Je ne me laisse pas faire et je lui rends ses gifles. Elle gémit comme si elle apprécie ce contact rude, sauvage.
— Oouuiii, dit-elle, continuuuee.
Je la pousse contre la table pour lui donner la fessée. Elle remue son cul qui rebondit après chaque claque. Elle tend ses fesses, cambre les reins. Après la dernière claque je glisse mes doigts le long de la raie de son cul jusque sur sa fente humide. Mes doigts se couvrent de son jus tellement elle est excitée par cette fessée.
— Je veux que tu me baises, ajoute-t-elle en écartant les cuisses.
Je frappe ma bite sur son cul, glisse le bout le long de sa fente jusque sur l’anneau plissé entre ses fesses. Une petite pression sur cet orifice puis je pose le gland à l’entrée de son intimité avant de pousser d’un coup jusqu’au fond.
— Aaahhhh, gémit-elle lorsque mon pubis frappe sur ses fesses.
Je sors et m’enfonce à nouveau avec encore plus de force. Elle ouvre la bouche sans qu’un son ne sorte. Je la baise comme elle me l’a demandé. 
Je la retourne, j’attrape ses chevilles et remonte ses jambes sur sa poitrine. Je vois sa fente ouverte, dégoulinante de mouille sous une épaisse toison rousse aux poils collés. 
Elle se suce les tétons. Je frappe sa chatte, son bouton gonflé avec ma bite. Elle rejette la tête en arrière. C’est le moment pour moi de la pénétrer jusqu’à la garde. Je ferme les yeux pour apprécier et sentir pleinement les lèvres de son sexe se fermer sur ma bite. 
Quand je les ouvre je vois Samantha nue debout contre la table d’examen. Une jambe sur le sol, l’autre pliée avec le genou sur la table. La bouche de Marie contre son sexe. Elle me regarde, sourit et me lance un baiser. Elle tient les seins de Marie à pleine main, tirant parfois sur les tétons ou les giflant. 
Samantha s’écrase sur la bouche, sur la langue qui la pénètre. J’accélère le rythme de mes coups de reins.
— J’en veux plus encooooorre, crie Marie en se redressant et m’attrapant par les hanches. Vas-y plus foooortt.
Elle m’allonge sur la table et s’empale sur ma bite couverte de son jus. Elle remue son bassin, elle me chevauche avec force et même violence. Ses seins rebondissent comme des ballons. Elle se penche sur moi et pose ses mains au-dessus de ma tête. 
Je vois Samantha debout derrière elle. Autour de sa taille un énorme gode ceinture tant pour la longueur que pour le diamètre. Elle s’accroupit. Marie ne bouge plus. Elle me prend les mains qu’elle plaque sur ses fesses pour les écarter. Elle souffle fort, son visage crispé fait une grimace lorsque je sens le gode pénétrer son anus et frotter contre ma bite dans l’autre orifice. Je ne vois pas de combien il est entré mais le contact avec ma bite se fait sur toute la longueur. Marie se dresse sur ses bras, rejette la tête en arrière avant de crier.
On commence à bouger chacun dans un trou, en simultané d’abord puis en alternance. Le bruit quand le gode sort de l’anus et entre à nouveau est comme un pet lâché par Marie. Les yeux révulsés, le visage crispé et la bouche ouverte, son corps tremble de plus en plus vite et fort. 
Elle se cramponne à la table et hurle lorsqu’un violent orgasme l’emporte. Elle tombe sur mon torse en haletant, en gémissant. 
Samantha retire le gode et descend de la table. Elle caresse doucement la tête de Marie. Je m’assois dans un fauteuil. Je regarde ses deux femmes s’embrasser, se caresser.
14h20. Je m’arête à la réception du centre. 
Natasha est à son poste comme d’habitude. Je lui souhaite une bonne continuation dans son travail. Elle me tend mon dossier. Devant la porte d’entrée je vois Samantha. Elle me tend une enveloppe et s’en va.
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