Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 36 J'aime
  • 2 Commentaires

Les blondes et les blacks

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Les blondes et les blacksTout d’abord, par rapport à la charte du site, les dates sont modifiées, mais l’histoire est en partie réelle.Cela se passe en 1999, grande ville dans le sud de la France, dans ma vaste demeure où je loue des chambres pour les étudiantes uniquement. C’est le mois d’août et les demandes sont chères, mais une amie black me demande de retenir deux chambres et me paye d’avance, elle m’explique que c’est pour deux Sénégalaises de sa famille qui vont étudier en France pour plusieurs années. Deux jours plus tard, je vais les chercher à la gare avec un carton et leur nom de famille écrit dessus, je n’attends pas longtemps avant de voir 3 plantureuses noires souriantes s’approcher de moi, une mère, Fatou, qui me présente ses deux filles jumelles, Aïda et Alima. Toutes pensent trouver une vieille chambre ou une pièce poussiéreuse, avec des commodités aléatoires, voire inexistantes un état insalubre, Fatou accompagne ses filles pour se rendre compte de là où vont vivre ses deux filles pendant toute la durée de leurs études.
C’est au premier étage que j’ai construit de vastes chambres, comportant toute une douche, des w.c., un coin cuisine, avec four micro-ondes, frigo et télé, un bureau, un lit et une table avec ses 4 chaises, pour un loyer moitié prix par apport au marché actuel à cette époque.
La découverte de ses chambres avec vue sur le parc les enchante, rien à voir avec ce qu’elles imaginaient, l’affaire est vite conclue. Je leur propose de visiter le plein pied, mon antre personnel, nous avons beaucoup parlé, et alors qu’il se fait tard et malgré le temps des vacances, les filles montent se coucher, essayer le lit leur semble une absolue nécessité, nous sommes seuls Fatou et moi maintenant, une femme superbe de 38 ans, sa peau couleur ébène, se cheveux noirs frisés mi longs, des dents d’une blancheur éclatante, un sourire permanent, et un rire franc et sonore. Je la désire à cet instant et ma queue le montre, la tension de la toile de mon futal ne laisse aucun doute, je bande très fort, elle me demande si c’est elle qui me fait cet effet, ses yeux magnifiques dans les miens.
Un peu honteux, je lui fais signe que oui, mais que je ne peux pas contrôler ces émotions, et pour toute réponse, elle libère le diable de sa prison de toile, hébétée par la taille de mon sexe monstrueux, elle me dit qu’elle a pensé un certain temps, que seuls les Africains peuvent avoir une grosse trompe, mais je viens de lui prouver le contraire, des blancs aussi peuvent être bien membrés.
Elle s’agenouille et me suce, après quelques coups de langue sur le bout du gland, elle ouvre grand la bouche et enfourne une bonne longueur de mon sexe, sentir cette langue habile chaude et humide, incroyablement douce virevoltée, qui me suce dans tous les sens, aspire, et titille mon méat ont raison de moi rapidement, et une salve de sperme lui inonde la bouche, et la cochonne avale tout, c’est la première fois qu’elle suce un blanc, et elle aime ce jus moins sauvage que celui des hommes de sa race, elle va aimer la nuit qu’elle va passer avec un Français ‘’ c’est bien connu, nous les Gaulois, nous sommes les champions de l’amour depuis toujours ‘’.
Quelle est la stupeur des filles qui, le lendemain, nous trouvent sur le lit, endormis, enlacés, repus, leur mère, qui visiblement avait fait l’amour dans les bras d’un homme, elles ont toujours cru que leur mère ne faisait plus l’amour depuis son divorce il y a 15 ans, c’est vrai, et là, ça arrive enfin, et exotisme garanti, elle vient de baiser et même de faire l’amour toute la nuit avec un blanc, ce qui est un honneur en soi.
Voir cette grosse bite blanche rentrer en elle l’excite au plus haut point, et elle jouit vite en grande quantité sur mon ventre, trempe les draps, je lape aussi son jus de vulve, que je trouve très bon, je ne connais pas ce goût si particulier des femmes Africaines...
Rapidement, les yeux des filles regardent l’imposante masse sexuelle qui est en berne après avoir tellement joui, mais aussi le corps de leur mère barbouillé de sperme surtout sur le visage et dans les cheveux, sur ses beaux seins fermes aussi, j’aime aussi sucer ses boucliers aux pointes roses, quoi que l’ont dise ou pense, les amours interraciaux sont des expériences indescriptibles, avec des Africaines comme avec des Eurasiennes.
Aïda et Alima suivent Fatou et nous faisons l’amour tous les trois, et pour la première fois, les filles couchent aussi entre elles et avec leur mère, les trois femmes découvrent l’amour lesbien, un fantasme pour Aïda qui se réalise, un rêve improbable pour Alima et une fiction qui traverse parfois les pensées de Fatou. Les vacances finies, Fatou retourne au Sénégal et me fait promettre de m’occuper des filles et sexuellement, aussi, elles en ont besoin pour se détendre après une dure journée, nous voyons Fatou 1 ou 2 fois par an, et chaque fois, nous faisons l’amour à 4, jusqu’à l’arrivée 5 ans plut tard d’une nouvelle locataire, une étudiante blanche et blonde de 19 ans, Line, qui rejoint notre groupe sexuel, et elle aussi avec sa mère de 39 ans qui passe parfois la voir et qui au passage vient jouer à la chienne avec moi.
Pour baiser avec 5 femmes en même temps, j’invite mon cousin, lui aussi est bien outillé, je gère, une, deux trois putes en même temps, mais plus, c’est difficile de les remplir toutes et de les repaître de sexe. Aïda et Alima deviennent mes maîtresses à qui je donne 2 enfants chacune, et Line est devenue ma femme avec là aussi 2 enfants, et bien que non mariés, notre vie à quatre est un long fleuve tranquille, toutes mes chéries ont une bonne situation, comme moi qui suis rentier, nous vivons ensemble dans la grande masure et continuons à louer aux étudiantes et parfois, nous trouvons encore une bonne salope gouine.
Cela s’explique en partie, toutes mes locataires ont accès à la piscine où nous pouvons évoluer nus et faire l’amour sans aucune honte devant les autres, si une locataire réfute notre comportement, je ne l’oblige pas à y participer, elle est libre de rester ou pas, mais en général, quand elles voient le gros serpent en mode bande, elles veulent essayer une bonne défonce du con et du cul, la bouche pleine de bon jus, et dans le comble de l’excitation, suis la tentation de l’amour lesbien sans limites.
Diffuse en direct !
Regarder son live