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Les carnets intimes d'Eloïse

Chapitre 2

L'apprentissage

Hétéro
Samedi matin, je me réveille lentement. Je sens immédiatement une main d’homme sur mon épaule. En quelques secondes, mes souvenirs de la soirée de la veille reviennent. Je me retourne discrètement pour observer Antoine qui dort fermement. Doucement, je lui effleure l’épaule et le visage. Mes doigts le réveillent lentement et son premier regard sur moi est accompagné d’un sourire. Il se rapproche de moi, m’embrasse puis me touche de plus en plus sensuellement. Il a envie de faire l’amour et cela tombe bien, car moi aussi. On se déshabille rapidement chacun de son côté avant de se rejoindre nus, sous la couette. Antoine est allongé et commence à caresser mes seins, puis à les lécher. Sa langue s’enroule autour de chacun de mes tétons dressés d’envie. En même temps, l’une de mes mains s’aventure sur son sexe. Je saisis son pieu de chair et je le masturbe en douceur. Sentant son sexe durcir au maximum, je prends l’initiative de passer sous les draps pour lui faire une fellation.
Ma langue vient laper son gland gonflé et mes lèvres enserrent vite l’objet de ma convoitise. Je le suce du mieux que je peux. Il a l’air de mieux apprécier mon traitement et il en profite pour passer ses mains dans ma longue chevelure.
Soudainement, il m’attrape une jambe et soulève le drap. Je ne comprends pas immédiatement ce qu’il souhaite faire. Jusqu’à ce qu’il se glisse sous ma jambe et entre mes cuisses, de telle façon que je me retrouve à califourchon sur lui. Je goûte avec délice et gourmandise à ce premier 69. Le fait de procurer ainsi du plaisir et d’en recevoir en même temps est extraordinaire. Je ne tarde pas à atteindre l’orgasme sous les coups de sa langue exploratrice et l’action de ses doigts habiles. Mais, lui, de son côté n’a pas encore relâché son jus d’amour. Dès qu’il s’aperçoit que j’ai joui, il s’enlève et vient me faire l’amour en missionnaire. Je savoure toujours ce beau sexe qui me pénètre complètement. Antoine fait durer le plaisir et me fait longuement l’amour. Il a ensuite l’idée de relever mes jambes pour poser mes chevilles sur ses épaules. Cette position est beaucoup plus intense pour moi.
Il me semble que son sexe est encore plus gros et ses aller-retour sur une plus grande longueur. Il envahit totalement mon vagin trempé de mouille. Sa queue coulisse en moi avec force et profondeur. Ses mouvements me font rapidement pousser des petits cris qui le motivent à accélérer le rythme. C’est littéralement en me défonçant de la sorte que lui et moi atteignons à nouveau l’orgasme.
Nous reprenons ensuite nos habitudes journalières et la journée suit normalement son cours. Nous sommes cependant plus proches et nous avons quelques gestes tendres l’un envers l’autre. Le temps de la sieste est propice à un nouveau câlin sur le canapé et nous remettons le couvert le soir dans mon lit. En 24 heures, j’ai tout simplement fait l’amour plus de fois que durant tout le reste de ma vie !
Le dimanche matin, le réveil est toujours aussi coquin et agréable. Au cours du repas de midi, Antoine a envie d’échanger avec moi et de faire le point sur les dernières 48 heures. Il commence par m’annoncer qu’il a vraiment adoré les bons moments qu’on a partagés et souligne qu’il est sûr que j’ai adoré aussi. Je lui confirme. Mais il me dit en même temps qu’il a peur que je m’emballe et que je tombe amoureuse de lui. Il me rappelle les liens du sang que nous avons et il ne veut pas partir dans une relation trop compliquée et/ou faire sa vie avec sa cousine. Il pense donc qu’il faut arrêter cette relation ou tout du moins la modifier. Je m’exprime ensuite pour lui dire qu’il a raison sur le fait qu’il ne faut pas qu’on se projette trop loin. Par contre, je ne comprends pas trop sa volonté de modifier notre relation, je lui demande des éclaircissements. Il m’annonce alors qu’il veut bien continuer notre relation, mais uniquement sur le plan sexuel.
Il souhaite que l’on soit des « fuckfriends » à l’image de la philosophie canadienne, mais il souhaite aussi qu’on ait le droit d’avoir une vie sentimentale personnelle. Je valide cette proposition même si je ne vois pas trop où cela peut me mener. Je lui demande donc à nouveau des explications.
Il précise alors les choses en m’expliquant qu’il souhaite me former, que je devienne une vraie femme : sensuelle et coquine. Cela passera forcément par des relations sexuelles avec lui, mais pas uniquement. La seule obligation de ce jeu est que je lui fasse pleinement confiance et que je lui obéisse. Je l’interroge longuement pour avoir des détails. J’en obtiens peu, mais accepte ce jeu qui éveille ma curiosité. Je comprends aussi que c’est mon unique façon d’avoir le droit de coucher avec lui. Il est ravi de ma réponse et me demande :
— Super, quand est-ce qu’on commence ? — Ben maintenant si tu veux. (On est à l’heure habituelle de notre sieste coquine) — OK. Alors, tu vas aller dans ta chambre et choisir les fringues les plus sexy que tu as. Puis tu iras dans la salle de bains pour te changer. Tu prendras le temps de t’épiler la chatte, je la veux totalement lisse. Et pour finir, tu viendras me voir très maquillée, parfumée et avec des bijoux !
Décontenancée par ses propos, je mets quelques instants à réaliser et à comprendre le nouveau jeu. Je m’attendais à faire l’amour avec lui dans les 5 minutes et là, il me demande de passer une heure sans pouvoir le toucher ou le voir.Je me ressaisis un petit peu et file dans ma chambre pour choisir mes vêtements. Sexy et moi, cela fait deux et je ne sais vraiment pas quoi porter. Dans mon tiroir à culottes, je prends un string noir sans couture et donc sans dentelle et pas tellement sexy, mais c’est le seul que j’ai.
Je choisis ensuite de mettre un pantalon noir qui est moulant au niveau de mes fesses. Avec, je porterai mes bottines plates noires, cela changera de mes Converses. En haut, je décide de mettre un débardeur blanc un petit peu transparent et avec une légère dentelle sur le haut. Je décide aussi de ne pas mettre de soutien-gorge, n’en ayant aucun en dentelle ou sexy. Je prends un gilet noir fin pour avoir un peu plus chaud.
Dans la salle de bains, je me déshabille et commence à m’épiler comme demandé. Je suis un peu vexée du fait que mes poils pubiens l’aient dérangé les premières fois, mais qu’il ne m’en ait pas parlé. Je ne sais pas vraiment comment épiler cette zone assez délicate. Je pense que je n’utilise pas la bonne technique. Mais après quelques minutes de souffrance, je vois mon pubis tout lisse pour la première fois de ma vie d’adulte. Je ne suis d’ailleurs pas très à l’aise avec cela et je me rhabille donc rapidement.
Comme demandé, je me maquille en mettant du fond de teint ; un rouge à lèvres rose ; du fard à paupières rose ; du mascara et du blush. Je me parfume avec le seul parfum que j’ai : un peu fruité et plutôt ado d’ailleurs. Je mets les quelques bijoux que j’ai. En me regardant dans le miroir, je me vois belle et prête pour sortir, mais nous sommes bien dimanche à 14h45.
Je vais rejoindre Antoine qui est installé sur la table en train de réviser. Il me regarde de la tête aux pieds :
— Tu es bien maquillée. Mais tu n’as rien de plus sexy ? –
Ben non.
— Tu n’as pas de robe ou de jupe ? — Non, j’en porte jamais. — Eh bien, je vais avoir du boulot avec toi ! Fais voir ce que tu portes en dessous ? Tu n’as pas mis de soutien-gorge ? — Non, j’avais rien de sexy et je me suis dit que ce serait plus sexy sans du coup. — C’est pas faux. C’est mignon tes petits tétons qui pointent sous ce fin tissu. Et en bas ?

Je défais mon pantalon et le baisse légèrement en montrant mes fesses. Il m’observe et lève les yeux au ciel avant de commenter :
— Pareil, tu n’as pas plus sexy ? C’est un string tout simple ça.— C’est déjà le seul que j’ai. — OK, on va changer tout cela alors. Je te laisse tranquille cet après-midi, il faut que je bosse.

Je me retrouve donc maquillée et tout apprêtée pour ne rien faire. Je décide d’aller bosser mes cours en attendant la soirée. Après le repas, Antoine me fait venir auprès de lui alors qu’il s’installe dans le canapé. Il me dit alors :
— Ce soir, je vais te donner ta première leçon : tu vas commencer par me faire un long strip-tease.
Je lui fais de gros yeux d’étonnement sachant que je suis une piètre danseuse. Lui ne bouge pas et je commence donc par enlever mon gilet, mes bottines, mes chaussettes. Je me retourne et, dos à lui, j’enlève le plus langoureusement possible mon débardeur. Je l’envoie sur lui avant de me retourner en mettant mes bras sur mes seins avant de les découvrir lascivement. Je continue de danser, je déboutonne mon pantalon, puis je me retourne pour le baisser doucement, lui faisant ainsi découvrir mes fesses. Je le fais glisser ensuite le long de mes jambes de manière bien moins sensuelle. Puis, je joue un peu en faisant semblant de baisser mon string. Je finis malgré tout par le faire tomber sur mes chevilles. Puis je me tourne et reviens lui faire face alors que son regard se porte uniquement sur mon pubis pour vérifier si j’ai bien obéi à sa consigne.
— Superbe ! Ta petite chatte est bien plus jolie comme ça ! Et bravo pour le strip-tease, c’était très réussi. — Merci, réponds-je, rassurée.— Maintenant, tu vas t’amuser avec ma bite. Je vais t’apprendre à bien branler et sucer.
Il se déshabille rapidement, s’assied confortablement au fond du canapé, pousse la table basse et écarte les jambes pour que je vienne m’agenouiller devant lui. Son sexe est à moitié en érection grâce au spectacle que je viens de lui offrir. Lentement, j’effleure avec mes doigts ce membre qui réagit de quelques soubresauts et se durcit rapidement. Il n’est pas encore au maximum de sa bandaison. Je le caresse doucement en attendant qu’il me guide. Ce qu’il ne tarde pas à faire :
— Allez, tu t‘appliques bien, tes deux mains doivent te servir, sois bien coquine.
Je ne réponds pas, je sais qu’il préfère que je me taise, mais je fais ce qu’il demande : d’une main, je le masturbe doucement, faisant monter et descendre mes doigts tout le long de sa queue tendue tandis que de l’autre main, je démarre un petit massage de ses couilles. Visiblement, il apprécie parce que je sens vibrer légèrement ses jambes sur la peau de mon bras nu.
— Oui comme ça, c’est bien. Tu vas être une vraie pro, je te le garantis ! Approche ta langue maintenant, viens goûter à ma bite et encore une fois, prends le temps de bien faire les choses.
Je m’exécute docilement et avance ma bouche de l’appétissante friandise masculine. Je connais déjà le goût de son sexe, mais cette fois, je vais m’en occuper en gourmet et prendre le temps de savourer. L’odeur est puissante, mais pas dérangeante, je tire la langue et viens la déposer sur son méat. Je donne quelques caresses appliquées du bout de ma langue. Je tiens fermement sa bite dans ma main et je continue à malaxer ses bourses. Ma douce langue s’enroule autour de son gland comme une écharpe de soie viendrait entourer le cou d’un homme. A la différence que mon étoffe vivante n’a pas pour fonction de le réchauffer, c’est inutile, il est déjà brûlant. Mes lèvres se font plus pressantes, je dépose quelques baisers suaves puis enfin mes lèvres viennent enserrer le bout turgescent de son pieu de chair fièrement dressé pour moi et grâce à moi.
— Ooooh oui, ta bouche est bien chaude, tu m’as bien léché et maintenant tu vas bien me sucer comme la belle petite chienne que tu es en train de devenir. Tu aimes être ma chienne hein ?
En prononçant ses derniers mots, il est venu poser sa main dans ma chevelure et exercer une pression, pour le moment léger, sur ma tête afin de m’encourager à faire glisser sa bite plus profondément dans ma bouche. Pour lui indiquer que je suis disposée à être « sa petite chienne »et à lui obéir, je le regarde dans les yeux et je fais coulisser sa queue entre mes lèvres. Je descends aussi bas que possible puis je remonte. Je commence alors une série de va-et-vient sensuels tout en le masturbant. Je sens que je fais ce qu’il faut parce que sa main serre mes cheveux un peu plus fort. Je me décide à prendre l’initiative d’utiliser ma langue en même temps que je le suce. Je m’en sers comme d’un coussin sur lequel son gland vient se frotter. Cette fois encore, j’ai réussi ma manœuvre, il tressaille et ne peut retenir un gémissement explicite :
— Haaa, oui, c’est trop bon quand tu fais ça ma petite chienne, j’adore ! Tu es en train de devenir une sacrée suceuse toi ! Continue, c’est trop bon !! Et tu vas me prendre en bouche jusqu’au bout cette fois ! De temps en temps, reviens me lécher et jouer avec ta langue un peu partout.
Toujours à l’écoute de ses désirs (qui sont des ordres) je m’exécute. Je retire son membre d’amour de ma bouche pour aller agacer son gland avec ma langue ; lécher son manche sur toute la longueur ; je viens même laper ses couilles et les suçoter. Puis je reprends ma fellation. Il me tient toujours par les cheveux. Parfois, il imprime lui-même le rythme de ma fellation et parfois il me laisse gérer. Cela dure ainsi pendant un moment. Je m’active de mon mieux sur son sexe si bon et si dur avec ma bouche en même temps que je continue à le gâter également avec mes mains. Soudain, je sens qu’il accélère la cadence et que son souffle se fait plus saccadé. Je le suce comme une affamée appréhendant le final explosif. Il ne tarde d’ailleurs pas à venir. Je sens les cuisses de mon cousin se contracter, sa queue gonfler en moi, ses mains s’agripper à ma chevelure. Et alors qu’il tente de se retenir difficilement de gémir, il libère enfin sa semence dans ma bouche gourmande.
Les premiers jets de son miel d’amour viennent se poser sur ma langue puis au fond de mon palais. Je ne suis pas habituée et son éjaculation est abondante ; du sperme s’échappe de ma bouche pour venir s’étaler sur mon menton, dans mon cou et sur ma poitrine. Il finit par me tirer les cheveux en arrière pour libérer sa queue de ma bouche. Nous nous regardons et il me dit :
— C’était vraiment pas mal du tout. Je sens que nous allons souvent refaire ce petit jeu ma chienne de cousine. Ne te relève pas tout de suite ! Viens d’abord bien nettoyer ma queue avant que je la remballe.
Fière des compliments que j’ai reçus, je m’avance de nouveau vers son sexe qui a commencé à ramollir un peu et je le reprends en bouche pour ne laisser aucune trace visible se son plaisir. Comme il me l’a bien expliqué de jour-là, cet exercice deviendra un rituel. C’est très souvent qu’il me demandera par la suite de lui pratiquer de longues et profondes fellations, sur le canapé comme aujourd’hui ou dans le lit. Chaque fois, il jouira dans ma bouche de plus en plus experte et chaque fois je devrais nettoyer son sexe après qu’il ait joui.
En attendant, je vais prendre une bonne douche, que je pense avoir bien méritée ! Cette douche me fait reprendre mes esprits et un sentiment de honte monte en moi. Comment ai-je osé faire un strip-tease à un homme qui n’était encore que mon cousin il y a quelques semaines et surtout comment ai-je pu le sucer de la sorte ? Dans mon lit, alors que j’essaye de m’endormir, résonnent encore en moi les insultes et les ordres qu’il m’a donnés. Ce soir, Antoine m’a malmenée et utilisée pour son plaisir, mais je dois bien l’avouer : j’ai adoré ça !
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