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Les charmes indiscrets de la bourgeoisie

Chapitre 1

Au feu les pompiers !

Hétéro
« La principale difficulté avec les femmes honnêtes n’est pas de les séduire, c’est de les amener dans un endroit clos. Leur vertu est faite de portes entrouvertes.» Jean Giraudoux
Ha je suis bien embêtée, mon véhicule automobile, un vénérable modèle C4de la firme Renault, vient de s’arrêter inopinément sur le bord de la route. Impossible de redémarrer ce fichu engin !Je regrette que mon jaloux d’époux ait licencié le chauffeur. J’ai bien envie de le vendre au prix de la ferraille ! Cela ferait tant de peine à mamie, dont c’était la voiture durant son enfance, que je me retiens. Brave mamie, trop tôt disparue, si sage et catholique. Je ne vais pas pouvoir la redémarrer avec la manivelle, il va falloir faire de l’auto-stop comme disent les jeunes gens. En espérant me faire prendre.
J’ai eu de la chance, à peine dix minutes et voilà un charmant jeune homme qui s’arrête.
— Bonjour madame vous êtes en panne ?— A mon grand dam, oui jeune homme, mon véhicule ne démarre plus. J’en suis fort marrie, comme vous l’imaginez. Auriez-vous l’obligeance de me déposer chez un artisan mécanicien ? Mon appareil de téléphone mobile est, hélas, en panne de batterie.— Bien sûr ! Montez !
Galamment, il m’ouvre la portière de son véhicule. Il est aussi brun que je suis blonde mais nous avons les mêmes yeux vert clair. Et bien ce pompier est comestible, des bras musclés, des pectoraux saillants, une barbe de trois jours orne son visage à la mâchoire carrée, et cet uniforme de pompier atteste d’une autorité naturelle. Nous partons, laissant ma pauvre guimbarde sur le bord de la route.
— Comment vous prénommez-vous ?— Etienne, et vous ?— Her Héloïse. Vous êtes pompier ?— Oui, je suis sapeur-pompier volontaire, encore un an et je pourrais m’engager professionnellement. Et vous, vous faites quoi comme boulot ?— Je ne travaille pas, j’ai déjà assez de travail avec mes filles et la gestion de la vie sociale de mon époux.— Ha ok, enfin ça doit être cool aussi.— Vous avez toujours voulu être pompier ?— Ouais, depuis le collège, il y a cinq ans.— Je sais que cela peut paraitre outrancier, mais vous avez quel âge ?— J’ai vingt ans depuis deux mois.
Grand Dieu, il a donc la moitié de mon âge !
— Et vous ?— Heu…— Laissez-moi deviner, trente ans ?— Vous me vieillissez, j’ai vingt-neuf ans ! Je lui affirme.— Ho pardon.— Ce n’est pas grave, vous êtes pardonné.
Nous devisons de choses et d’autres, mais sa belle voix grave me fait un effet séducteur, je regarde ses mains et je les imagine sur mon corps, je regarde la sueur perler sur son front. L’odeur de son parfum m’enivre.
En vingt-deux ans de mariage, moi Duchesse Hermione de P. j’ai toujours été fidèle à mon mari. Mais cette fois, ma petite culotte subit un déluge biblique. Enrobe portefeuille DVF, je prétexte la chaleur, j’accentue le décolleté, et au final j’ouvre entièrement ma robe, dévoilant ma lingerie de dentelle blanche complétée par un porte-jarretelles et des bas de la même couleur. Son regard a du mal à rester sur la route, je propose une pause, il bifurque sur un petit chemin de terre, stoppe le moteur et là, je suis quelque peu directe :
— Vous ne voudriez pas me sauter, s’il vous plait ?— C’est-à-dire ?— Il faut que vous me baisiez, dans les plus brefs délais.— Mais enfin, voyons, madame, qu’est-ce qui vous prend ?— Bon, arrête de discuter inutilement, tu vois bien que j’ai la chatte en feu ! Faut vraiment me baiser tout de suite !— Vous êtes sûre que c’est ce que vous voulez ?— Mais défonce-moi la chatte ! Tu es une couille molle ou quoi ?— Couille molle ? Attends, tu vas voir si je suis une couille molle !
Il commence par pétrir mes seins alors que mon soutien-gorge se fait la malle en douce. Puis nous échangeons des baisers fiévreux, violents. Je suis presque nue, vêtue seulement de ma culotte trempée comme une soupe électorale et de mes bas de soie blancs. Mon corps brûle, les pointes de mes seins sont douloureuses, elles ne demandent qu’à être mordues, violentées, meurtries. Ensuite, il m’entraine hors de la voiture, et il me renverse sur le capot du moteur.
— Ha tu veux que je te baise salope ? Et bien je vais te baiser comme une chienne !— Ho oui, baise ta pute, défonce-moi la chatte !
Ses mots m’excitent davantage, je ne suis qu’une putain, une fille de mauvaise vie. J’halète. Je suis en chaleur. J’ai envie de son concombre bien profond en moi. D’un coup de rein, il s’enfonce en moi, son membre turgescent comble entièrement mon petit minou douillet, humide et parfumé.
— Tu as la chatte la plus étroite que j’ai connue, ho putain, t’es trop bonne !
Il me pistonne longuement à un rythme d’enfer, je jouis follement et pas qu’une seule fois.
— C’est pas fini salope, ouvre la bouche !
Il me présente son pic dressé devant mon visage, je l’embouche. Je goute mon odeur, et il jouit d’abord dans ma bouche, puis il étalesa crème sur mon visage, tandis que je reste agenouillée, pantelante. Sa lance d’incendie perd sa vigueur après avoir éteint le feu qui couvait entre mes cuisses et il l’essuie dans mes cheveux.
Nous reprenons la route. Je ne me suis jamais sentie aussi salope et aussi bien. C’est comme si une digue venait de se briser. Nous roulons en silence mais c’est celui qui succède l’acte, quand on se sent assez proches pour ne rien dire. Quelques minutes plus tard, nous arrivons devant un garage auto. Je le remercie, vérifie l’état de mon maquillage dans son rétroviseur et je sors de la voiture d’un pas assuré.
Le garage est situé à coté d’une station service de carburant. Je ne vois personne. Je furète un peu, et je tombe sur l’artisan mécanicien, penché sur le capot d’une voiture. Il est torse nu, sa peau hâlée est trempée de sueur.
— Monsieur ?
Il se retourne, j’ai une vision de ses abdominaux parfaits, de son visage à la mâchoire carrée, de ses pectoraux appétissants.
– Madame ?
Ce mot me crève le cœur.
— Ma voiture est en panne, sur la route plus loin, vous pourriez la dépanner ?— Heu c’est que je suis tout seul là, et j’ai une réparation urgente. Je peux la ramener ici mais ça sera tout.
Je m’adosse à son établi et commence à déboutonner ma robe :
— Il n’y a vraiment rien que je puisse faire pour vous convaincre ?
Ce mécanicien sera-t-il à la hauteur du pompier ? Lequel a été meilleur amant que mon chauffeur, ou que l’employé des postes ou que le jardinier ou que… enfin brisons-là, je ne vais pas faire toute la liste, nous y serons encore à Pâques ! Mon mari a tellement de chances d’avoir une épouse aussi fidèle.
« Alléché, mal léché, accolé, tout collé, reste alangui, je me sens étourdie, toute alourdie, mais d’un très grand appétit » Guesh Patti
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