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Les chemins de l’amour

Chapitre 2

Suite et fin

Inceste
Je n’arrive toujours pas à le croire. Une parole entraînant une autre, je viens de baiser comme une chienne avec mon fils. Mon si doux Jan, la prunelle de mes yeux, la chair de ma chair. Et je sais que nous n’arrêterons plus. Je ne veux pas arrêter.
Pendant qu’il est allé au buffet de l’hôtel nous rapporter le dîner, tout se bouscule dans ma tête. J’ai finalement commis l’inceste. Pas avec la personne qui a été mon fantasme incestueux initial, mais avec mon fils. Mais maintenant, tout est possible. Je ne sais pas si j’ai encore de l’attirance pour mon père, je ne le vois que très rarement et la rancune développée depuis des années et leur abandon quand j’étais enceinte est encore présente. Mais si un jour j’ai envie de franchir le pas, je n’aurais aucune hésitation.
Mais a présent, je veux me concentrer sur le seul homme de ma vie. La seule bite incestueuse qui vient de me posséder et qui m’a remplie de foutre il y a quelques minutes. La bite de mon fils. Elle est magnifique, elle est puissante, il est tout puissant avec moi et c’est grâce à elle. Elle m’a rendue folle, joyeuse ... elle m’a transformée en orgasme sur pattes. Et je n’en veux aucune autre, ni maintenant ni pour les prochaines décennies. Une partie de jambes en l’air comme celle-ci une fois par décennies me comblerait. Mais je n’ai pas à m’en inquiéter.
Oh que non ! La fougue de Jan ne prendra pas fin si rapidement. Je le possède maintenant. Et il ne me laissera plus jamais en jachère. Par amour, par compassion, par pitié ... Je n’en ai cure. Pour le moment, c’est par désir, passion et amour. On verra après.
Il n’a pas toujours été un homme à une seule femme. L’exclusivité le préoccupait. Et je crois que ça vient de mes conseils. Je le poussais souvent à voir plusieurs filles, à ne pas s’attacher à une seule pour ne pas gâcher sa jeunesse et à “profiter d’autant de chattes que possible” (ceux sont mes mots exacts quand il avait 18 ans). Alors, je ne voudrais pas d’exclusivité avec moi. Je le laisserai faire ce qu’il veut, avec qui il veut. Je bombarderai avec les mêmes consignes que depuis toujours : se protéger des maladies et des bébés impromptus. Baiser, oui ! Se gâcher la vie, non ! Par contre, moi je ne veux aucune autre bite.
C’est décidé. Tout est clair dans ma tête. Je fais ce que je veux de Jan. Et j’arriverai à avoir ce que je veux, pour son bien et le mien, tant qu’il le veut, bien sûr.
Je finissais de prendre une douche éclair. Je ne veux pas qu’il me lèche avec son sperme dans ma chatte. Et je ne veux pas rater une occasion de me faire lécher par un si excellent maestro. Enrobée dans la robe de bain, je sortis de la salle d’eau au même moment que Jan rentrait dans la chambre. Et il me dit :
— “Désolé, maman chérie ! Il n’y avait plus de mayonnaise, celle que tu as adorée au déjeuner. Je n’ai pas voulu te faire attendre plus longtemps sans savoir s’ils allaient en apporter ou pas.” fit-il avec une mine déconfite.— “T’inquiète mon chou. Est-ce que tu bandes pour ta maman ? Car si oui, c’est ta mayonnaise dont je veux me régaler comme sauce pour manger ta queue.” Ma repartie ne semble pas avoir pris une ride, et je me surpris moi-même avec cette réplique.— “Elle est toute à toi. Je ne pourrais plus jamais débander quand tu es comme ça, chatte devenant chienne.” me répondit-il en faisant descendre son short et son caleçon, certainement pour mieux contrôler la grosse érection qu’il a gardée depuis sa douche.
Je me suis agenouillée devant lui. Ma tête au niveau de son pubis. Il commença à me pousser vers le lit et voulait s’asseoir ou se mettre plus confortable sur le lit pour lui et certainement plus pour moi. Je le repoussai dans la direction opposée et le cala entre la porte et moi. Dans sa grande tendresse, et grâce à son long bras, il réussit à attraper un coussin sur le fauteuil à côté et le posa devant mes genoux pour me mettre à l’aise surtout sur le sol dur et froid de la chambre d’hôtel.
J’avais déjà sa queue en bouche et ses couilles entre mes doigts. Je le pompais du mieux que je pouvais et j’y allais fort. J’aspirais à queue, souffler dans son méat, titiller ce dernier avec la langue et essayer de le prendre au plus profond de ma gorge. Il gémissait et quelques gros sons rauques d’un mâle en rûte et en souffrance s’échappaient de sa bouche qu’il couvrait de ses deux mains pour étouffer ses bruits si près de la porte des voisins et marcheurs.
Avec un de ses gémissements qui ressemblait à “Jeanne”, mais n’en était certainement pas (plutôt un J’aime bien étouffé), je me suis rappelé d’une histoire qu’il m’avait racontée avec sa Jeanne. Comment il avait pris l’habitude de lui baiser la bouche et de se forcer sur elle, en lui attrapant la tête ou les cheveux et en imposant un rythme parfois assez violent. Chose qu’il adorait, que Jeanne a eu du mal à accepter, mais a dû s’y résigner vu comment il lui obéissait sur tous les autres points. Il avait aussi souvent évoqué baiser la bouche ou la tête de ses conquêtes sans rentrer dans les détails.
Je voulus essayer et surtout lui faire plaisir. Cette fellation allait durer une éternité. Il avait déjà bien éjaculé et son endurance la deuxième ou troisième fois était phénoménale d’après ses dires. Je savais qu’il n’oserait pas le faire avec moi sans me demander ou me préparer. Mais je désirais sentir sa puissance. Alors je pris un de ses bras et le forcer à descendre. Il se laissa faire et quand sa main était à portée de la mienne, je l’ai serrée et je l’ai déposée sur l’arrière de ma tête. Je la serrais de nouveau et avec toutes mes forces, je me poussais la tête en avant de son pubis et de son gourdin dans ma bouche. J’ai commencé à étouffer, mais j’essayais de tenir le plus longtemps pour lui montrer ce que je voulais et à quoi j’étais prête.

Intelligent comme il est, il n’avait pas besoin de plus d’explications. Douce maman ou pas, il y avait une femme à genoux avec son sexe dans sa bouche qui lui demandait de lui baiser la bouche, de lui défoncer la gorge et de lui faire une gorge profonde. Il descendit son autre main et attrapa ma queue-de-cheval avec. L’autre se positionna sur le haut de mon crâne. Et là, j’ai ressenti la puissance de mon fils. Il m’a presque démonté la mâchoire avec son premier coup de boutoir. Mais je me laissais faire. Il avait de l’expérience et j’étais prête à être blessée si ça me procurait du plaisir et lui aussi. Il imprégna une cadence crescendo qui se fit infernale vers la fin et m’indiqua :
— Ma petite maman ! Ahhh ... ! Ma pute ! Ouvre bien la mâchoire, éloigne tes dents, tu ne veux pas blesser ton bâton d’amour qui te défonce la bouche. Serre juste les lèvres. Si tu as envie de vomir, fais-le, mais je ne retirerai de ta gorge que quand je me serai déversé en entier dans ton œsophage ...

Je pleurais. J’avais mal. J’étais en sueur. J’étouffais. Avoir envie de vomir était un euphémisme. Mais des ondes de plaisir me traversaient. J’ai joui quand il a atteint son rythme infernal et commença de nouveau à convulser. Ça a dû l’exciter encore plus, car à ce moment précis, il commença à se répandre au fond de ma gorge. Ou plutôt vraiment dans mon œsophage.
Mon orgasme foudroyant me réclama de pouvoir respirer et mon fils avec son orgasme m’étouffait. Et ceci décupla mon orgasme. Tout ce dont je me rappelle, c’était cette intensification immense de mon orgasme, les dernières gouttes de sperme dans ma gorge et mes convulsions saccadées. L’instant d’après, j’étais sur le lit. Jan me raconta que je me suis mise à convulser encore plus fort, à gémir très fort et je m’écroulai sur le sol. JE convulsai ainsi pendant plus d’une minute et je disais des grossièretés qu’il ne voulait pas répéter, tellement elles étaient cochonnes et indignes d’une mère certes incestueuse et chienne, mais si douce et romantique. J’étais dans les vapes quelques minutes, mais a priori, je respirais aussi normalement qu’une femme ayant eu un si gros orgasme (c’est-à-dire je respirais vraiment fort et rapidement).
Il ne s’est pas inquiété plus que ça, puisque Monsieur a déjà provoqué quelques orgasmes comme celui-ci à ses conquêtes, mais jamais aussi rapidement, sans trop d’effort et juste avec une fellation.
Je ne sais pas si je devais être fière ou contente, mais ça allait promettre de baises intenses.
Ma voix était enrouée. J’avais du mal à parler, mais j’ai voulu le rassurer et partager mon diagnostic de tout à l’heure.
— Mon fils ! Je t’adore et j’adore tout ce qui vient de toi. Si tu peux me faire faire ça, alors tu as ma bénédiction de me saillir, de profiter de mon corps sans aucune limite, sans aucune contrainte. Ne te retiens pas. J’accepterai tout ! Et je veux que tu saches que je suis à présent à toi. Tu seras mon seul homme, mais je ne dois pas être ta seule chatte. Profite d’autant de chattes que tu peux, et tu trouveras toujours la chatte de ta mère ouverte pour t’accueillir, comme tous mes autres trous. Ça ne changera jamais. Mais promets-moi de garder un peu d’amour pour moi comme tu dois me promettre de trouver une gentille épouse un de ces jours et de me faire de petits-enfants.— Je te promets tout. Je ne perdrai aucune occasion de remplir ta chatte ni de m’occuper de tes autres trous. Oui, je sais que je ne dois pas me restreindre à toi, ou à une seule femme, pour le moment. Je t’aime d’un amour infini et je ne te décevrai pas. Et si je trouve la femme de mes rêves, elle devra me partager avec toi, dans tous les cas. Coucheries incestueuses ou pas. Tu es ma mère, la femme qui compte le plus pour moi.

Je n’ai rien trouvé à répondre à ça. J’ai commencé à pleurer, des larmes de joies. Jan aussi.
Nous avons dévoré notre dîner et sans nous rendre compte, nous nous sommes assoupis. La journée a été vraiment mouvementée. Le bruit de la TV ou celui du couloir nous a réveillés en même temps. Il était 23h. Jan était encore nu et bandait. Cette vue me rendit si heureuse. Je le caressais en retirant ma robe de bain.
— Mon chéri, tu as pris deux de mes trous, mais je t’ai promis les trois. Il est encore 23h, donc je voudrais que mes trois trous soient défoncés aujourd’hui par toi. Tu en es cap ?— Tu en es sûre ? Ce n’est pas trop en une seule journée après ce qui s’est passé ? Tu l’as déjà fait avant ?— Non, je le veux ! J’en ai besoin. Possède-moi aujourd’hui comme s’il n’y avait pas de lendemain. Que peut-il arriver ? Que je tombe dans les pommes ? C’est déjà fait. hahaha ... Eh oui, ta mère s’est déjà fait enculer, quand elle était jeune, par un autre gamin boutonneux qui n’était pas très doué ni bien monté. Je n’en garde aucun souvenir. Donc ça va être une repremière fois et il n’y a personne sur terre avec qui je serai prête à le refaire à part toi.— Tu vas avoir mal ! Ça va te brûler ! Il me faudra te préparer longtemps ! Et je n’ai ni vaseline ni lubrifiant.— Arrête de me traiter comme une princesse. Au lit, je suis ta chienne et ta pute tout autant que ta mère. Du lubrifiant, j’en ai plein dans la chatte. Est-ce que tu ménageais la doyenne de la fac quand tu l’enculais ?— Comment tu sais que je l’encule ? Je ne t’ai jamais raconté ça !— Mon chéri, une maman sait tout. Surtout une femme comme moi qui est dans la même situation de jachère que ta prof, en face d’un jeune homme comme toi et de sa bite.— D’accord ! Avec elle, je m’y enfonce et c’est tout. Aucune lubrification ou préparation, à part sa cyprine sur ma queue parce que j’étais dans sa chatte quelques secondes avant. Mais elle, elle a beaucoup d’expérience. Elle ne m’a jamais raconté les détails, mais j’avais compris que dans sa jeunesse, pour rester vierge, mais profiter de certains mâles de son entourage, mais je crois plutôt de sa famille proche, elle se faisait enculer tout le temps. Son anus est bien dilaté même après des années sans travail.— Tu feras pareil qu’avec elle. Tu déchireras mon anus s’il le faut. Mais avant minuit, je veux que tu m’aies enculée et que tu m’aies déversé ton jus de couilles dans mon sphincter.— Maman, tu m’as vidé tellement de fois, je ne suis pas sûr de pouvoir éjaculer rapidement. Ça risque d’être long et douloureux, pour nous deux.— Tu ne veux pas m’enculer ? Ou tu ne veux pas m’enculer dans la douleur ?— Bien sûr que je t’enculerai. Je ne veux juste pas te faire mal, juste pour tenir un deadline.

Quand tu es sorti de mon ventre, tu n’y avais pas pensé ! Ton accouchement a été douloureux. Mais j’ai adoré. Tu n’étais quelques centimètres de diamètre, mais des dizaines. Alors, tu ne vas pas faire ta chochotte pour la petite douleur de dilater mon anus ou de ton pénis bien serré dans mon fondement. Encule-moi dans la douleur et si on a mal tous les deux, alors c’est encore mieux. On sera en phase."Il ne se fit pas prier deux fois. Il m’allongea sur le ventre et m’assura que comme ça, j’aurais moins mal à la longue, qu’à quatre pattes, vu que ça va durer longtemps.
Et ça durera presque 45 minutes. Cette première sodomie avec mon fils est mémorable par le peu de souvenirs de détails dont j’en garde. Tout ce dont je me rappelle clairement, c’est Jan qui s’enfonce dans ma chatte et y reste deux minutes, pour bien tromper son biscuit et l’imprégner de ma mouille qui est abondante après notre discussion (et toute la journée). Je me rappelle ensuite des premières fois où il a placé son gland sur mon petit trou et les chatouilles que ça me faisait. Ça s‘est vite transformé en douleur aux premières poussées. Mon anneau résistait et Jan tentait de le forcer. Il s’imprégnait de nouveau de ma cyprine et retentait.
C’est quand la moitié de son gland a réussi à pénétrer en moi que la fatigue s’est emparée de lui et ses bras l’ont lâché. Ainsi, sans soutien, il tomba sur moi et s’enfonça d’un seul coup en moi. Mes souvenirs s’arrêtent à la première seconde de mon hurlement étouffé dans l’oreiller. Jan me raconta la suite. Il me raconta que ce hurlement dura des minutes. Le choc et sa peur le réveillèrent pour de bon. Il resta fiché en moi jusqu’à ce que mon anus s’adapte et que la pression sur son pénis se réduise.
Il a voulu tenir sa promesse, et petit à petit commencer à faire des va-et-vient. Bien que j’étais inconsciente ou peut-être dans un état dissociatif, je gémissais, je lui disais en continu “encule ta maman” et je lâchais des râles. Vers la fin, juste avant qu’il n’atteigne son orgasme, il me raconta comment mon anus n’exerçait presque plus de pression sur son pénis. Il m’avait complètement ouverte et la sodomie était devenue géniale. C’est cette idée qu’il m’est ouvert et rendu disponible pour la sodomie, d’avoir donc pris ma pseudo-virginité anale qui l’a fait avoir son orgasme. Un orgasme puissant même s’il n’y avait presque pas de sperme. Pour vérifier ce dire, je touchais mon anus. Il était béant. Et il en coulait un truc collant, poisseux ...
Oui, mon fils m’a bien enculée et a tenu sa promesse. Mon cul me faisait un mal de chien, mais j’étais aux anges. Je ne suis pas prête pour une nouvelle sodomie avant quelques jours, mais juste quelques jours.
Je sautais sur mon fils et l’embrassa pendant de longues minutes, à en perdre haleine.
Il n’était pas si tard que ça, il n’était que 9h. Mon fils me demanda :
— Alors qu’elle est le programme maman ?— " Bon, c’est simple. Le programme du reste des vacances est le suivant : matin réveil à 8h, douche ensemble pour 10 minutes. 69 jusqu’à l’orgasme mutuel. Petit-déjeuner. Plage et déjeuner. A 13h, sieste érotique et pornographique pour nous faire découvrir nos limites. 16h plage ou sortie en ville, balade, dîner romantique. 20h journal télévisé et 20h05 nuit de baise avec mon fils dans ma chatte et parfois dans mon cul. Dodo dans les bras de maman et dans sa chatte à minuit. Qu’en penses-tu ?— Wow ! Tu es la meilleure des mères. Tu sais toujours faire les meilleurs programmes pour faire plaisir à ton fils. Et le détail du programme me plaît. Juste une seule question.— Oui mon chéri adoré ?— Est-ce que le programme s’arrête avec les vacances à l’hôtel ?— Je retourne au travail après, je ne vais pas être tout le temps avec toi. Mais samedi dimanche on fera comme ça. Et les autres jours, eh ben, tu feras de moi ce que tu veux pour me rattraper. Ça te va comme réponse ?— Oui maman ! Parfait.
"
On mit le programme en exécution malgré le retard. Nous prenions une douche rapide, et nous nous mîmes en 69. L’érotisme de la discussion nous a fait venir en moins de 10 minutes.
Nous sortîmes de notre chambre au même moment que plusieurs voisins. Ils nous ont tous regardé d’œil étrange, voire méchant et plein de jugement, sauf une mère de famille qui m’a fait un clin d’œil. Je soufflai à oreille de Jan :
— " Je suis sûr que nous ne sommes pas le premier couple qu’ils entendent forniquer à haute voix et sans retenue. Mais ils ont tous certainement bien entendu tes “maman” et mes “mon fils” durant nos ébats. Il n’y a rien de mal. Certains sont jaloux, d’autres vont nous juger ... Mais pourquoi s‘en faire. On s’en fout et rien n’a changé. Le monde ne s’est pas écroulé à cause de leur regard ou de leur jugement. Nous sommes dans un monde libre et ce que je sais, c’est que nous nous aimons et nous sommes bien ensemble. On vient juste de rajouter le côté sexuel. On se fait plaisir ensemble, et l’un l’autre. Rien n’est plus merveilleux entre une mère et son fils que d’être si heureux ... !
"
C’est ainsi que depuis des mois, je vis ce bonheur incommensurable avec mon fils. Il est reparti dans son école d’ingénieur depuis 4 mois. Les souvenirs de nos ébats me comblent. Mais mon fils ne m’oublie pas. Chaque jour, nos visions tournent au live cam érotique et coquin. Si ce n’est pas une masturbation commune, c’est ses histoires de cul avec sa doyenne ou ses jeunes collègues et camarades. Quand il arrive à ramener une fille dans sa chambre, il arrive parfois à enregistrer une vidéo de leurs ébats quand c’est possible. Ne le comprenez pas de travers. Mon fils n’est pas un obsédé. Il n’a pas un harem et ne couche pas avec 10 femmes par jour. Il ramène une fille ou deux par semaine, souvent les mêmes. Et sa doyenne le séduit a prendre soin d’elle sexuellement une à deux fois par semaine. Les filles sont au courant des vidéos, il ne précise pas que la vidéo est juste pour sa mère.
Une seule chose me préoccupe. Il a fait plusieurs fois le lapsus avec sa doyenne en l’appelant maman. Elle a bien compris que quelque chose s’est passé entre mon fils et moi, car son comportement sexuel avec elle s’est amélioré de manière très notable et les yeux de Jan reflétaient ce tabou. Il a dû lui avouer que nous sommes devenus amants. Sa doyenne, qui s’appelle Jeanne aussi, en est heureuse, car elle ne se sent plus seule. Elle a aussi avoué qu’elle avait pratiqué l’inceste avec son père et son frère après la mort de sa mère quand elle était jeune, mais ils ne veulent plus. Et elle hésitait depuis des années à replonger dans l’inceste, mais cette fois avec son fils unique qui la désire aussi en secret. Notre histoire l’a convaincu de franchir le pas. Elle nous a réservé deux chambres communicantes pour deux semaines dans le même hôtel que nos dernières vacances. Elle veut avoir deux bites pour elle et les partager avec moi. Celle de son fils et celle de mon fils.
Et pourquoi pas se faire plaisir entre mères ...
C’est ce qu’elle m’a écrit dans une longue lettre que mon fils m’a envoyée par email. Ça m’excite et m’angoisse de partager cet inceste. Mais je suis partante ...
FIN
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