C’est l’été, Patrick et Emilie, adeptes du naturisme, prennent le soleil au bord de leur piscine. Ils sont nus, ils ne craignent pas d’être vus par les voisins, car ils ont mis des protections contre les regards indiscrets et profitent du beau temps sur leurs chaises longues. Le bruit d’un plongeon les fait tourner la tête, c’est Rose, aussi nue qu’eux qui s’ébat dans la piscine. Le regard de Patrick se prolonge en admirant le dos et les fesses de sa fille qui fait des longueurs de bassin. Elle change de nage et passe du crawl à la nage sur le dos. Patrick ne peut empêcher que sa verge gonfle à la vision de ces seins qui émergent de l’eau et d’une vision furtive du sexe de sa fille à chaque battement de ses jambes, de ces poils collés qui dévoilent un pubis bombé. Emilie, amusée, voit bien l’effet que leur fille a sur son mari dont le pénis se redresse de plus en plus.Il possède des attributs enviables, mais celui-là en particulier est toujours applaudi par les femmes. Elle le nargue, amusée: — Nous ne te satisfaisons pas assez que maintenant tu fantasmes, même sur tes propres enfants ? Lui reproche-t-elle en constatant le résultat de l’émoi de son mari. (Lire ; les aventures sexuelles débridées de Patrick) Les mots d’Emilie sont comme un électrochoc pour Patrick qui se retourne vers sa femme pour lui répondre. — Euhhh- Si... mais tu ne peux pas me reprocher de réagir en voyant la beauté qu’elle est devenue. Tu ne peux que constater comme elle est bandante. Si ce n’était pas ma fille... — Tu n’as pas honte ! Couvre-toi !
Patrick attrape une serviette pour cacher sa verge qui a pris des proportions faramineuses. Rose n’est pas dupe de ce qui se passe au bord de la piscine. Elle est habituée depuis sa tendre enfance à voir les corps dénudés de ses parents, et ce n’est pas la première fois qu’elle surprend son père en pleine érection.
Patrick ne compte même plus toutes ses conquêtes, la dernière étant l’épouse d’un de ses enfants adultères (Salope de belle-fille). Il a déjà péché avec sa mère, sa tante et sa propre sœur-, Mais sa fille ? Quelle serait la réaction de sa femme et de Rose s’il leur avouait l’attirance de plus en plus forte pour sa fille ainée ?Emilie aussi commence à se poser des questions, elle sait la soif insatiable de son mari pour le sexe et se rappelle aussi que Rose lui a déjà posé des questions embarrassantes sur Patrick. Ce n’est un secret pour personne, même pour ses enfants, bien qu’ils n’en ont jamais parlé que Patrick est un véritable étalon, jamais rassasié. Mais que se passera-t-il si Rose succombe à ses charmes ? Est-elle encore une innocente jeune fille ? Si elle savait ce que pense en ce moment même sa fille... Rose est toujours vierge. Bien qu’elle ne coure pas après les garçons, elle n’ignore rien de la sexualité, se contentant de se faire plaisir dans son lit en regardant ses trouvailles : un calendrier où elle voit son père chaque mois avec une fille différente dans des postures très explicites (le coach de l’équipe de natation). Mais son plus précieux trésor est une copie qu’elle a faite d’une cassette porno où l’acteur principal est son propre père avec des personnes qu’elle ne connaît pas (Aventure dans un gîte naturiste: 13 et 14). Elle connaît pourtant toutes les maîtresses de son père (enfin, elle le suppose) et a vécu son enfance avec de nombreux demi-frères et sœurs qu’elle adore d’ailleurs. Tout a débuté un soir dans sa chambre, vêtue uniquement d’un long tee-shirt de son père qu’elle lui a chipé, pour réviser ses futurs examens. Pendant ce temps, Patrick flirte gentiment avec Emilie, l’embrassant dans le cou pendant que d’une main agile, il déboutonne son corsage. Emilie répond à sa demande, et en un rien de temps, ils se retrouvent nus.Patrick la prend dans ses bras et la porte dans leur chambre, la dépose sur le lit en lui écartant les cuisses et pose la bouche sur un abricot rouge de désir, s’efforçant de l’amener au plaisir en alternant les pénétrations de ses doigts ou de sa langue. — Arrrgg !Ouuuiii ! Nooonnn ! Encore Mmmhhh ! Les suppliques de sa femme ne font que l’encourager et il s’applique comme un ouvrier consciencieux de son travail, n’interrompant que lorsqu’un orgasme secoue le corps tendu de sa femme, heureux de l’avoir encore une fois menée à la jouissance. — A mon tour ! s’exclame-t-elle une fois qu’elle a repris ses esprits. C’est à elle, cette fois, de s’agenouiller entre les cuisses de son mari où se dresse un membre tout raide dont elle s’empare avec avidité. Patrick gémit doucement sous les attaques de la bouche d’Emilie, de sa langue qui titille un gland à la peau hyper-sensible. Ils ne se sont pas rendu compte de la présence de Rose derrière la porte qu’ils ont oublié de fermer. Elle voulait leur poser une question sur son exposé, mais les gémissements venant de la chambre l’ont stoppée juste derrière le battant de la porte entrouverte. Elle a une vue plongeante sur ses parents. Son père a les yeux fermés et la bouche ouverte, ses deux mains sont posées dans les cheveux de sa mère, accompagnant les mouvements de la tête qui s’approche et s’éloigne de son bas-ventre. Rose sourit, sa mère est en pleine « pipe ». Elle se doutait bien qu’Emilie devait pratiquer un tel exercice, mais de là à voir sa mère en direct, c’est autre chose... Elle voudrait se retirer en silence, mais n’arrive pas à détacher ses yeux du sexe de son père, comme hypnotisée. Il y a un monde entre surprendre son pénis en érection et là, de le voir disparaître et réapparaître entre les lèvres de sa mère ! Elle est si prise par ses pensées qu’elle s’appuie un peu trop fort sur le battant de la porte qui s’ouvre un peu plus en grinçant sur ses gonds. Tétanisée, elle voit ses parents tourner la tête et la découvrir. Mais la réaction de sa mère est tout autre de ce à quoi elle s’attendait : — Ah, c’est toi Rose. On peut t’aider ? Un peu gêné, Patrick tente de cacher sa verge dressée luisante de la salive de sa mère, mais Emilie ne réagit même pas, comme si leur fille les avait surpris en train de faire la vaisselle. Rose n’a jamais vu son père avec une telle trique. — Tu as perdu ta langue, ma fille ? Elle remarque enfin la direction du regard de sa fille. Ne me dis pas que c’est la première fois que tu le vois ton père dans un tel état ? Viens, approche-toi, le mal est fait, autant que tu en tires des enseignements. Alors ! Que penses-tu de sa bite, pas mal, hein ?— Je ne l’ai jamais vue si grosse... Et de si près ! Balbutie Rose en tirant sur son tee-shirt au niveau de son pubis comme si elle craignait que ses parents ne le découvrent pour la première fois. — Ne crains rien ma fille, même un tel engin entre en nous sans difficulté, et je ne peux que te souhaiter de rencontrer un jour un partenaire’aussi bien monté !
Rose est un peu choquée par les paroles de sa mère, mais ne peut s’empêcher de fixer la verge de son père. Son regard change, de celui de petite fille effrayée à celui d’une femelle en chaleur devant cet objet de désir, le véritable « symbole » de la virilité masculine. Emilie sait ce qui va se passer, impuissante à empêcher ce qui se dessine. Autant canaliser leurs désirs sous son contrôle. — Tu veux la toucher, lâche-t-elle à sa fille ? Patrick est surpris de la proposition de son épouse. Bien sûr, il crève d’envie que sa fille réponde positivement à sa demande, mais émet une timide objection. — Euh ! Qu’est-ce que tu racontes, t’es folle ?— Ecoute Patrick, je sais comment ça va se terminer, et je préfère que ça ne se fasse pas dans mon dos. Il est temps pour Rose qu’elle affronte la réalité, et je sais que tu seras un bon professeur pour elle. Approche Rose, et prends en main sa teub ! La jeune fille s’avance timidement, ne réalisant même pas l’incongruité de l’injonction de sa mère, une expression gourmande sur son visage. Arrivée à proximité de la tige vivante, elle tend la main, mais hésite à saisir la hampe tendue en pensant : comment un tel gourdin peut rentrer dans le corps d’une femme ? Ça doit être horrible ! A suivre...