Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 106 J'aime
  • 2 Commentaires

Les chiens ne font pas des chats.

Chapitre 2

Patrick doit partager sa bite entre sa femme et sa fille

Inceste
Les chiens ne font pas des chats.2
Patrick doit se partager entre sa femme et sa fille.

La jeune fille s’avance timidement, ne réalisant même pas l’incongruité de l’injonction de sa mère, une expression gourmande sur son visage. Arrivée à proximité de la tige vivante, elle tend la main, mais hésite à saisir la hampe tendue en pensant : comment une telle grosseur peut rentrer dans le corps d’une femme ? Ça doit être horrible !
Suite.Les mots de sa mère la ramènent à la réalité. Ses doigts frôlent le sexe de son père qui a perdu un peu de sa fierté. Elle retire prestement sa main comme si elle avait touché un fer porté au rouge.
— De quoi as-tu peur ? Elle ne va pas te mordre ! L’encourage sa mère.
Bien que Patrick soit impatient que Rose saisisse sa verge, il trouve que sa femme y va un peu fort. Quelle idée elle a aussi de pousser leur fille à prendre en main sa bite qui elle, en frétille d’avance, il sait que son cerveau vient de se déplacer au niveau de son bas-ventre, anticipant déjà le plaisir qu’il éprouvera quand la main de Rose se refermera sur son gourdin. La réaction est immédiate dès que les doigts de Rose frôlent sa verge, il rebande comme un bouc en rut... Et sa femme, qui telle une maquerelle qui forme une petite nouvelle, enfonce le clou :
— Oui ! N’aie pas peur de la serrer, descends jusqu’aux bourses et remonte jusqu’au gland, lààà...
Serre encore plus pour décalotter son gland -oui- comme ça. Tu n’en verras pas souvent d’aussi belle.Rose réalise seulement qu’elle est en train de faire ce qui l’a tant fait mouiller en visionnant la cassette, redécouvrant les gestes tant de fois vus, tant de fois rêvés. Emilie continue de prodiguer ses conseils.
— Prends ton temps, ton père est très résistant et tu ne le feras pas cracher si vite.
Patrick vit un fantasme: se faire masturber par sa fille, quel pied ! La petite main de Rose n’arrive pas à faire le tour de cette racine épaisse, mais elle s’applique à faire coulisser ses doigts tout au long de cette formidable hampe. Sa mère vient même de temps en temps lui donner « un coup de main », c’est le cas de le dire...
— Oui ! Continue comme ça, change de rythme. Lààà. Emilie voit bien que son époux est au bord de l’explosion - Plus vite, supplie-t-il – Non ! Ne l’écoute pas, le coupe sa mère. Laisse-le redescendre dans les tours, laisse le récupérer. Bien, maintenant recommence tout en douceur.
Rose suit scrupuleusement les recommandations de sa mère qui lui dit que plus elle repoussera la jouissance de son père, plus celle-ci sera forte et abondante. Une grimace de plaisir déforme les traits de Patrick qui s’est retenu le plus longtemps possible, mais ne peut plus se retenir.
— Aaarrgghhh ! Je... Je jouuuiiisss !

Rose sait à quoi s’attendre avec son père, la vidéo, toujours la vidéo. Elle tient fermement cette chose vivante qui gonfle encore sous la pression du sperme qui jaillit en longs filaments blanchâtres dont le premier s’écrase sur son t-shirt.
— Plus vite ! Hurle sa mère. Branle-le plus vite !
A chaque fois que sa main s’écrase sur les bourses pleines, un nouveau jet s’échappe du méat, toujours plus fort, toujours plus puissant, arrivant même à lui maculer le visage et lui engluer les cheveux. Rose libère enfin la verge tarie qui n’est plus aussi ferme, mais à garder des dimensions plus qu’acceptables. Rose essuie son visage de la semence collante, ses doigts glissent et approchent de ses lèvres. Elle hésite...
— Goûte ma fille ! Dis-toi que si tu existes, tu le dois en partie à cette crème spéciale, et ce n’est pas si mauvais que ça.
Rose a un air dégoûté, mais en bonne élève, suit les conseils de sa mère. Son père a la présence d’esprit de lui demander quel était le but de sa visite.
— Euh Je ne sais plus.
Patrick lui demande alors ce qu’elle a pensé de cet interlude bien agréable pour lui et apprécie la réponse franche de Rose.
— J’ai adoré toucher ta verge, c’est une émotion inconnue pour moi, la sentir vibrer dans ma main...
Sans même s’en rendre compte, une de ses mains a repris la verge paternelle pendant que l’autre a relevé son tee-shirt et, de son index, elle explore sa fente tout humide de la rosée qui l’a envahie pendant qu’elle branlait la queue de son père. Son doigt bute contre l’hymen encore intact. Sa pensée vagabonde, rêvant avec appréhension à l’instant où entrera en elle une queue aussi grosse que celle de son père ! Saura-t-elle fièrement supporter la douleur ?
Patrick s’est rendu compte du manège de sa fille, complètement absorbée par sa caresse intime, dont maintenant le doigt débusque le clitoris, une vigueur nouvelle pulse le sang dans les corps caverneux qui raidissent son pénis.Emilie lit l’envie dans leurs yeux, dans leur bas-ventre. Que faire ? Néanmoins pour la première fois, l’éventualité de’l’inceste qui se précise lui parait de plus en plus réelle. Il ne la forcera pas. Non ! Mais elle voit bien que sa fille crève d’envie de le faire.
— Que comptes-tu faire, Patrick ? Dépuceler notre fille ! ? — Euuuhhh Non. Je sais plus.
Mais son désir est revenu. Sa verge gonflée dont s’est emparée sa fille lui fait mal.
— Chaque chose en son temps. Ma fille, avant d’en arriver là, tu vas déjà commencer par lui faire une fellation, je te montre.
Emile se penche sur le sexe qu’elle fait disparaître entre ses lèvres. Après quelques allers-retours, elle libère le membre au summum de sa dilatation et s’adresse à sa fille.
— Prend ma place, Rose, lààà, doucement ma fille, la tempère-t-elle.
Rose branle cette grosse bite à deux mains et décide enfin d’en approcher son visage pour la regarder de plus près. Le gland est énorme et elle le renifle pour prendre plein les narines les odeurs de sperme de cette bite excitée. Elle sort sa langue douce et lèche cette peau si fine comme s’il s’agissait d’une boule de glace au parfum délicieux. Elle ne parvient pas à ouvrir assez la bouche.
— Maman, je n’y arrive pas.— Mais si Rose. Ouvre grand ta bouche comme si tu bâillais.
Rose écarte ses mâchoires au maximum et gobe le gland qui franchit le passage. Les mâchoires complètement écartelées par ses dimensions, elle enfonce le chibre épais dans sa gorge. Mais Patrick a une réaction de recul et pousse un cri.
— Attention ma chérie, tes dents viennent de râper son nœud, fais gaffe, c’est fragile ces bêtes-là !
Avec précaution, Rose pompe son père qui remercie d’un regard sa femme pour ses conseils. Rose s’active sur la verge. Maintenant, Patrick a posé les mains sur sa tête, la forçant un peu. Arrivée au trois quarts du chemin le long de la hampe, Rose résiste à la pression de ses mains, car elle ne peut avaler un centimètre de plus.Le gland touche ses amygdales et elle a des haut-le-cœur. Patrick relâche son étreinte et Rose commence à le sucer avec passion. Ses mâchoires risquent de se disloquer à plusieurs reprises.Patrick la force à s’allonger à côté d’elle, tête-bêche, et relève le tee-shirt pour lui bouffer la chatte. Rose a une bouffée de chaleur qui déclenche une coulée de mouille très abondante que son père boit à la source. Des doigts investissent ses lèvres intimes. Ceux de son père ? De sa mère ou bien les deux ?Personne ne dit mot, on ne perçoit plus que des gémissements étouffés. De longues minutes s’écoulent avant que Patrick s’exclame :
— Aaah ! Tu vas encore me faire jouir, Rose !
La jeune fille n’a pas le temps de sortir la queue qui encombre sa bouche. Les premiers jets de sperme s’écrasent au fond de sa gorge, la faisant tousser sous la dose, elle éjecte alors cette lance pour évacuer ce qui lui encombre les bronches et reçoit les éjaculations suivantes qui crépissent sa figure de crachats blanchâtres. Rose grimace après avoir dégluti.
— C’est si désagréable que ça, Rose ? — Euuuhhh Non. Mais ça a quand même un goût bizarre.
Emilie lui tend une serviette pour que sa fille se nettoie le visage couvert de foutre, mais Rose, comme électrocutée, cambre son corps et hurle comme une damnée sous les assauts buccaux de son père, elle se tord de plaisir, car tour à tour, son clitoris et son point G sont visités par une langue experte. Un orgasme foudroyant secoue Rose avant qu’elle ne s’écroule, inerte sur le lit. Elle ne sait plus où elle est, comme déconnectée de la réalité.Son père ne veut pas abuser de l’instant, il prend sa fille dans ses bras et la porte dans sa propre chambre, l’étend sur le lit et la borde comme il le faisait quand elle était petite. Rose sombre immédiatement dans un sommeil réparateur. Ses parents l’embrassent avant de rejoindre leur chambre. Emilie commente les derniers événements :
— Tu penses que je suis allé trop loin en la jetant dans tes bras ? Ça n’a pas l’air de l’avoir traumatisée.— Tu en as de belles, Emilie ! Ce n’est quand même pas notre rôle de parents de l’apprendre à jouir et à faire jouir ? Ce n’est pas le rôle non plus d’un père d’en faire une femme. — Je te connais trop Patrick, ne me dis pas que tu n’en crèves pas d’envie. Ca ne t’a pas gêné pour baiser la promise de ton fils (et sa mère), le jour même de leur mariage (salope de belle-fille).— Peut-être, mais jusqu’à maintenant, je me suis retenu d’un tel acte. Tu sais aussi que ce secret ne tiendra pas, car elle risque de tout raconter à ses sœurs et demi-sœurs et je risque de toutes les avoir à la porte de la chambre un jour ou l’autre.— Si tu penses qu’elle se satisfera de regarder derrière la vitrine alors qu’elle a goûté à la chose, je veux bien, mais je n’y crois pas. — On pourrait se contenter de l’initier aux caresses ? — Pour quelqu’un qui a soi-disant des scrupules, tu changes vite’d’avis !
Le lendemain matin, ils se retrouvent tous au petit-déjeuner. Rose n’ose parler en présence de ses jeunes sœurs, Annie et Solène. Sa mère attend leur départ pour lui annoncer la décision qu’elle a prise avec Patrick.
A suivre...
Diffuse en direct !
Regarder son live