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Les chiens ne font pas des chats.

Chapitre 3

Après le père, le grand-père...

Inceste
Les chiens ne font pas des chats. 3
Après le père, le grand-père...

Le lendemain matin, ils se retrouvent tous au petit-déjeuner. Rose n’ose parler en présence de ces jeunes sœurs, Annie et Solène. Sa mère attend leur départ pour lui annoncer la décision qu’elle a prise avec Patrick.
Suite.
— Ma chérie, rejoins-nous ce soir dans notre chambre, nous avons des décisions à prendre.
Arrivée au soir, Rose attend avec impatience de ne plus rien entendre dans la chambre de ses sœurs et rejoint celle de ses parents, uniquement vêtue de son tee-shirt, et gratte à la porte.
— Entre Rose.
Elle pousse la porte, ses parents l’attendent entièrement nus, se tenant par la main.
— Rose, ce soir tu vas encore apprendre à faire plaisir à un homme et recevoir de lui ses caresses et autres plaisirs. Viens à côté de nous.
Aux anges, Rose prend le bord de son tee-shirt à deux mains et le fait passer par-dessus sa tête pour se retrouver elle aussi complètement nue. Excitée comme une puce, elle avance la main pour saisir la grosse limace de son père. Sa mère l’encourage :
— Bon courage, ma fille, réveille la bête !
A peine Rose serre entre ses doigts la verge flasque qu’elle commence à s’allonger et grossir. En quelques instants, la « bête » passe par différentes étapes, de plus en plus enflée et raide. Elle masturbe le sexe qui redevient vite le bâton triomphant de la veille.Pendant toute la nuit, ses « professeurs » l’instruisent des choses et pratiquent de l’amour, mais elle est frustrée, car malgré ses suppliques, son père ne veut pas la déflorer. Avant de regagner sa chambre, ils lui disent qu’elle va passer les vacances de Pâques qui commencent à la fin de la semaine chez son grand-père Henri pour lui laisser le temps de réfléchir à son avenir sans la tentation si proche.Elle ferme les paupières en signe d’acceptation. Mais avant son départ, Emilie emmène sa fille chez le gynéco et lui fait prescrire ses premières pilules. Vu les ardeurs de Rose, elle préfère éviter le pire... On n’est jamais trop prudent.
Trois jours plus tard, Rose arrive chez son grand-père. Il vit seul, mais a eu une vie très mouvementée. (Henri sert de modèle à ...). Les jours se passent, les nuits aussi peuplées de rêves érotiques.
Mais cette nuit, Henri est seul au salon, se rappelant ses aventures. Les savantes caresses de ses maîtresses entre autres. A cette évocation, sa verge gonfle.D’habitude, il se soulage rapidement, mais depuis que Rose est là, il n’ose plus le faire. Il est bien calé dans son fauteuil, il n’y tient plus et extrait son sexe pour se masturber et décharge dans un mouchoir en papier avant de s’assoupir.
On dit que la vie est un éternel recommencement. Rose n’arrive pas à dormir, elle décide d’aller à la cuisine pour boire un verre d’eau, pour cela, il faut traverser le salon. Elle voit bien son grand-père dans le fauteuil qui a l’air assoupi. Elle entre en silence, mais s’arrête vite, estomaquée devant le spectacle. De la braguette jaillit un véritable colosse endormi.
Elle a déjà surpris des conversations de son père parlant de la réputation sulfureuse de son grand-père. Tel père, tel fils ? ! Elle s’approche à pas de loup, comme hypnotisée, ne pouvant se retenir de promener son index sur la protubérance, complètement désinhibée.
— Le pauvre, murmure-t-elle, il doit s’être sevré depuis que je suis là ! Si j’osais, il a l’air de dormir profondément.
Un sourire béat éclaire le visage du dormeur qui doit faire un rêve érotique après s’être soulagé.Dévoyée par ses expériences récentes avec ses parents, complètement désinhibée, elle ne peut plus se retenir et saisit à pleine main la verge d’Henri, ses doigts courent sur le sexe, tournent autour du gland. Son grand-père se remet à bander. Son rêve est si réaliste qu’il a l’impression de vivre l’événement. La force de l’esprit est stupéfiante ! Rose n’en revient pas. Si la verge d’Henri est aussi épaisse que celle de son fils, elle est beaucoup plus longue !Le songe devient si réel qu’il tire Henri des bras de Morphée. Il plisse les yeux et voit cette main fine qui s’active sur son nœud. Il met un long moment avant de réaliser que cette main appartient à sa petite-fille, comprenant ce qu’elle fabrique. Quelle Horreur !
— Bon Dieu ! Qu’est-ce que tu fais ?
Il se redresse brusquement et saisit la main de Rose pour interrompre la masturbation. Elle réalise soudain qu’elle y est allée un peu fort et tente de s’enfuir, mais il ne desserre pas sa poigne. Pendant un moment, un statuquo s’installe. Mais bizarrement, Henri ne la force pas à retirer sa main. Rose tente le tout pour le tout et reprend les allers-retours sur ce pic de granit, assumant ses pulsions.
— Ça va Papy ? Tu veux que je continue ? Je vois bien que tu apprécies.— Euh ! Bien sûr qu’un homme apprécie de se faire branler par une jolie fille. Mais quand c’est sa propre petite fille, il y a comme un problème ! Tu sais ce que veut dire relations incestueuses ?
Mais malgré ses dires, il garde sa main serrée sur celle qui le caresse et continue ses attouchements.
— Tu dates, Papy. Tu sais ce que veut dire la libération des mœurs ? Et si tu savais ce que ta sainte de petite-fille a déjà fait !— Rose, tu as de drôle de principe ! Enfin, il faut dire que ton père est loin de te montrer l’exemple. Henri se demande ce qu’elle a voulu insinuer et devrait la repousser. Ses principes s’entrechoquent avec ses désirs, il n’a pas envie qu’elle cesse. Comme tout homme, il a fantasmé un jour sur la plastique de Rose, mais entre les fantasmes et la vraie vie...
Sa morale cède à sa libido devant l’initiative de Rose en se disant qu’elle est majeure et pleinement conscience de ses actes.
— Quand j’ai vu ton formidable engin, je n’ai pu me retenir de le caresser et on dirait que t’aimes ça, hein papy ?!
Il capitule enfin et s’abandonne aux caresses.
— Fais comme tu veux, mais ce n’est pas bien moral, tout ça ! grommèle-t-il.
Rose s’agenouille entre les cuisses de son grand-père et déboutonne le pantalon pour libérer complètement l’engin.
— Waouh ! T’es vraiment monté gros ! Encore plus que Pa... !
Sa paume glisse le long de cette hampe sans fin, fait glisser le prépuce sur la tige pour décalotter le gland. Henri enlève sa main encore sur celle de sa petite-fille et la pose dans sa chevelure pour attirer ses lèvres sans plus aucune arrière-pensée.
Rose reprend la douce manipulation de ce rostre. Comment papy, malgré son âge, peut-il faire bander à mort un tel monstre ? Ses lèvres chaudes se referment sur le gland, elle a bien retenu les leçons avec son père et fait très attention de ne pas blesser la « bête » avec ses dents. Elle peut en prendre en bouche encore moins qu’avec celle de son père. Sacré Papy !
Henri résiste autant qu’il peut, mais après quelques succions, pétrissage de ses boules et autres friandises, la jouissance envahit son bas-ventre. Il ne peut plus résister à la montée du plaisir et s’épanche dans la bouche de Rose.
Rose est surprise par la rapidité de l’orgasme de son grand-père. Le sperme est plus âcre et beaucoup moins abondant que celui de son père, mais elle le déglutit quand même avec plaisir.
— Oh excuse-moi ma petite chérie, mais je n’ai pas pu me retenir. — Ne t’excuse pas, c’est moi qui le voulais. Le rassure Rose en s’essuyant la bouche d’un revers de main. Excuse-moi de t’avoir surpris en plein rêve érotique et d’en avoir profité. Tu m’en veux ? — C’est moi qui m’en veux de ne pas t’avoir repoussé. J’ai honte. — Non Papy ! T’as pas à avoir honte et je voudrais même te donner encore plus, si tu vois ce que je veux dire...
Comme un rituel, chaque soir, Rose, ne portant comme seul vêtement un tee-shirt chaque fois plus court, retrouve son grand-père qui attend ce moment avec impatience, extrayant le sexe déjà raide de désir.Pour la première fois, Henry a glissé la main entre les cuisses de Rose pour rechercher sa vulve bombée. La main de Rose s’active avec plus de ferveur sur le pénis, heureuse du geste de son grand-père dont les doigts explorent sa fente, décapuchonnant son clitoris. Pour le remercier, elle lui fait une fellation, s’essayant même à une gorge profonde, mais sans succès sur un tel pal.
— Tu as eu un bon professeur, Rose, tu suces comme une déesse qui t’a appris ?— C’est ... Elle a manqué se trahir, comment avouer à son grand-père que c’est sa propre mère qui lui a donné des cours avec la bite de son paternel ?! Euh... Mon petit ami.
Elle est sauvée par le gong, car ses caresses ont amené Henry à la jouissance. D’ailleurs, elle-même vient de couler sur la main calleuse d’Henry qui est fier d’avoir procuré un orgasme à sa petite-fille.Elle avale la dose avant de se blottir dans ses bras.
— Merci Papy ! — Et moi, que devrais-je dire ? C’est à moi de te remercier de donner du plaisir à un vieil homme.
Je n’ose pas te demander de réaliser mon fantasme, faire une dernière fois l’amour...
— Pourquoi une dernière fois Papy, tu as la tige encore verte et vigoureuse. Lui répond-elle en souriant - Au point où nous en sommes.
Mais cette fois, il va falloir donner accès à sa chatte à la première bite de sa vie, et elle réalise soudain qu’elle n’a pas choisi un modèle Small. Il l’a mené dans sa chambre et étendu sur le lit, les pieds touchant le sol, il a placé un coussin sous le dos pour cambrer son corps pour qu’elle lui offre sa croupe. Il frotte son engin énorme sur la fente d’où suinte une mouille abondante. Son gland se présente à l’entrée du vagin et s’y engouffre avec une facilité déconcertante sous un hurlement de Rose.Surpris de la réaction, Henry se retire et constate que sa verge est tachée de sang.
— Putain ! Mais t’étais vierge ! Qu’est-ce que j’ai fais... C’est pas vrai ! Oh pardon Rose, je ne voulais pas !— Je t’ai menti, Papy... Mais j’en avais tant envie. Papa n’a jamais voul...— Quoi ?! Qu’est-ce que tu racontes ?
A suivre...
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